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DEVOIR DE MÉMOIRE : Cérémonie d'hommage aux morts pour la France de la guerre  d'Algérie ainsi que des combats en Tunisie et au Maroc - Infos Dijon

FRANCE-ALGERIE – « Des mémoires vivantes souvent douloureuses ». La Journée nationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie, ce lundi, prend cette année un « écho particulier » après la commémoration des 60 ans de la fin de cette guerre, souligne l’Élysée.

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« Ces derniers mois, notre Nation a su regarder en face l’Histoire de la colonisation et de la Guerre d’Algérie, entamant un parcours de reconnaissance éclairé par le travail nécessaire et permanent des historiens », écrit dans un communiqué la présidence.

« Ceux qui ont traversé ces temps difficiles, porteurs de mémoires vivantes souvent douloureuses, sont tous reconnus, en tant que tels, par la Nation, en leur diversité », ajoute l’Élysée qui précise que « la transmission d’une mémoire éclairée et apaisée est la marque de la vitalité de notre Nation ». Ce lundi, les représentants de l’État déposeront partout en France, une gerbe au nom du président de la République.

Le 18 octobre, Emmanuel Macron a conclu les commémorations de la fin de la guerre d’Algérie il y a 60 ans en rendant hommage aux Invalides aux soldats engagés contre les indépendantistes algériens et qui portèrent « seuls », après 1962, « le poids de la mauvaise conscience » française face à ce conflit. Cette cérémonie était la dernière d’une série d’événements organisés depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir en 2017 pour tenter de « construire une mémoire apaisée et commune » autour de la guerre d’Algérie.

Les présidents Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebboune ont annoncé en août la création d’une commission conjointe d’historiens pour travailler sur toute la période coloniale.

SYRIE – Les forces de sécurité syriennes ont ouvert le feu dimanche sur des manifestants qui ont pris d’assaut un bâtiment gouvernemental à Soueida dans le sud de la Syrie, tuant l’un d’eux, selon une ONG et un média local.

Des centaines de personnes sont descendues dans la rue à Soueida pour manifester contre la détérioration de leurs conditions de vie, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).

Des manifestants en colère ont ensuite pris d’assaut le bâtiment du gouvernorat, et les forces du régime syrien chargées de le protéger ont ouvert le feu pour les disperser, a ajouté l’ONG. «Au moins un manifestant a été tué par balles (…) Les manifestants ont arraché une grande photo du président Bachar al-Assad accrochée sur la façade» du bâtiment, a déclaré à l’AFP le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane.

Rayan Maarouf, un militant de la chaîne d’information locale «Suwayda 24», a confirmé à l’AFP la mort du manifestant. Quatre autres ont été blessés et transportés à l’hôpital, selon lui.

Le pouvoir syrien est présent dans le gouvernorat de Soueida, à majorité druze, par le biais d’institutions officielles et de centres de sécurité, protégés par des forces de sécurité. L’armée est déployée à proximité du gouvernorat.

À Damas, la télévision d’État a affirmé que «des hors-la-loi ont pris d’assaut le bâtiment du gouvernorat et brûlé des dossiers» sans plus de détails.

Des centaines de personnes sont descendues dans la rue à Soueida pour manifester contre la détérioration de leurs conditions de vie, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).

«Suwayda 24» a diffusé des images montrant des dizaines de personnes scandant «Le peuple veut la chute du régime» devant le gouvernorat. 

Trois jours de grève décisifs en Iran | Le Devoir

IRAN – En Iran, des appels ont été lancés pour trois jours de grève et de manifestations contre le pouvoir à partir de ce lundi, alors que le chef de la justice a annoncé la prochaine exécution de manifestants qualifiés de « fauteurs de troubles ».

A Téhéran, un nombre indéterminé mais assez important de magasins sont fermés ce lundi 5 décembre. Selon des vidéos partagées sur les réseaux, la situation est identique dans plusieurs villes de province, notamment Shiraz et Ispahan. Dans les villes du Kurdistan iranien le mouvement semble plus suivi.

Le chef du pouvoir judiciaire a déclaré ce lundi que ceux qui menaçaient les commerçants et les camionneurs pour les obliger à cesser le travail seront identifiés et punis. Le pouvoir a également mis sous scellés certains magasins ayant fermé, notamment le restaurant et la bijouterie de l’ancien footballeur international Ali Daie qui avait annoncé la fermeture de ses magasins en soutien au mouvement de protestation.

Les manifestants ne croient guère à la suppression de la police des mœurs, non confirmée, qui ne serait qu’un leurre, un ballon d’essai pour réduire ma contestation.

LIBAN – Dans une brève allocution à l’ouverture, ce lundi, du Conseil des ministres, le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a insisté sur le fait qu’il n’aurait pas convoqué son équipe démissionnaire à une réunion  » s’il n’y avait pas le dossier médical « . Le gouvernement, rappelle-t-on, doit notamment débloquer des sommes dues aux hôpitaux pour que ces établissements puissent continuer à soigner des patients souffrant de maladies chroniques aux soins du ministère de la Santé.

 » Si certains se cachent derrière la préservation de la Constitution et de la coexistence (pour contester la convocation d’un gouvernement démissionnaire en l’absence d’un chef de l’État), nous leur disons : celles-ci ne peuvent pas être assurées à travers la mort des gens. De toute façon, cela ne se produira pas tant que nous sommes là « , a-t-il ajouté, répondant ainsi à ceux qui ont critiqué son initiative, l’accusant d’outrepasser le texte de la Constitution et de chercher à accaparer le pouvoir.

 » Nous avons pris les devants, conformément à la Constitution. Il nous est demandé d’adopter les décisions les plus difficiles sans que nous puissions bénéficier de la moindre coopération « , a déploré M. Mikati ; avant d’ajouter :  » Nous sommes arrivés au point où il ne nous est plus possible de débloquer des fonds pour couvrir les frais de traitements des patients atteints de cancer et qui ont besoin de dialyse « .  » Y a-t-il quelqu’un qui veut assumer la responsabilité d’un crime collectif à leur égard ?  » s’est-il interrogé.  » Si tel est le cas, que chaque partie assume alors ses responsabilités et les conséquences de ses actes. Pour notre part, nous ne sommes pas du tout prêts à contribuer, par omission, à un meurtre. Nous continuerons d’assumer nos responsabilités « , a lancé Najib Mikati qui a appelé à  » élire un nouveau président de la République sans tarder, pour en finir avec ce problème « .

Palestiniens : "la Colonisation Se Répand Comme Un Cancer Sur Notre Terre" (Mahmoud  Abbas) - I24NEWS

TERRITOIRES OCCUPES – Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a déclaré ce dimanche dans un discours télévisé que les Arabes palestiniens « ont le droit légitime de lutter contre l’occupation colonialiste qui mène une agression systématique contre notre terre et notre peuple par le biais de ses soldats et de ses colons terroristes ». « Chaque jour, et plus encore, chaque heure, il y a de violentes attaques et des violations israéliennes contre notre peuple, notre terre et nos lieux saints », a-t-il martelé.

« La colonisation israélienne se répand comme un cancer sur notre terre. Les colons terroristes font des ravages sur la terre et détruisent les cultures et les animaux, et les meurtres quotidiens des soldats de l’occupation ne cessent pas », a-t-il accusé. Le président de l’AP a souligné que les Palestiniens « ne lèveront jamais un drapeau (blanc) » et qu’ils continueront à « lutter contre l’occupation et l’agression. »

« Nous agirons également au niveau international avec les amoureux de la paix et de la justice à nos côtés pour forcer Israël, l’État occupant, à mettre fin à l’occupation et à l’agression et à le traduire en justice pour ses crimes et ses violations du droit international », a-t-il ajouté.

ISRAËL – Une influence considérable sur les activités civiles du gouvernement israélien en Cisjordanie, de la nomination de fonctionnaires clés à l’approbation finale des constructions et des démolitions dans une majorité du territoire, a été accordée au parti Sionisme religieux, selon l’accord de coalition partiel publié lundi. D’autres détails relatifs aux pouvoirs qui seront accordés au ministre nommé par le sionisme religieux au sein du ministère de la Défense, en charge des « implantations juives et des terres ouvertes » ont également été révélés. L’accord stipule que le ministre nommé à ce poste, qui sera probablement Bezalel Smotrich, agira en coordination et avec l’accord du Premier ministre.

Le futur ministre jouera un rôle clé dans la gestion des Palestiniens et des résidents israéliens des implantations de Cisjordanie. Il aura notamment le pouvoir de nommer les chefs du puissant Coordinateur des activités gouvernementales dans les territoires (COGAT) et de l’Administration civile, responsable de la politique civile du gouvernement en Cisjordanie.

Ces postes sont habituellement attribués par le chef d’état-major de Tsahal, a fait savoir Yaïr Lapid, qui déplore que ce pouvoir ait été octroyé à un ministre. Un certain nombre d’anciens politiciens israéliens et d’officiers supérieurs de Tsahal se sont également élevés contre l’accord qui donne à Smotrich des pouvoirs étendus sur les implantations israéliennes et la vie quotidienne des Palestiniens.

Le Sionisme religieux prendra également le contrôle du ministère de l’Immigration et de l’Intégration et du ministère des Implantations réunis dans au sein du nouveau ministère des Missions nationales et du comité constitutionnel de la Knesset et d’un comité chargé des projets d’infrastructure et des réformes. 

Crise politique au Soudan : signature d'un premier accord entre militaires  et civils

SOUDAN – Des dirigeants militaires et civils au Soudan ont signé, lundi 5 décembre, un premier accord visant à mettre fin à la profonde crise politique qui secoue ce pays pauvre d’Afrique du Nord-Est depuis le putsch il y a un peu plus d’un an.

L’accord intervient après de multiples tentatives pour sortir de l’impasse depuis que le chef de l’armée, Abdel Fattah al-Burhane, a pris le pouvoir et évincé les dirigeants civils.

Le coup d’État du général Burhane le 25 octobre 2021 a fait dérailler une transition difficile vers un régime civil installé après l’éviction en 2019 de l’ancien président Omar el-Béchir, resté au pouvoir pendant près de trois décennies.

L’accord cadre a été signé par le général Burhane, le commandant paramilitaire Mohamed Hamdan Daglo ainsi que plusieurs groupes civils, notamment les Forces pour la liberté et le changement (FFC) qui ont été évincées lors du coup d’État.

La signature s’est déroulée en présence du représentant spécial de l’ONU, Volker Perthes, et celui de l’Union africaine, Mohamed Belaish.

De leur côté, les États-Unis, la Norvège, le Royaume-Uni, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite ont « salué » la signature de ce premier accord.

Au cours de la cérémonie, le général Daglo a réitéré l’engagement de l’armée à quitter la scène politique en déclarant qu’il était « essentiel de construire un régime démocratique durable ».

Dans un premier temps, « l’accord cadre jette les bases de l’établissement d’une autorité civile de transition », ont indiqué les FFC, notant que d’autres groupes civils l’avaient également signé.

La deuxième phase comprend un accord final traitant de questions telles que la justice transitionnelle et les réformes de l’armée, phase qui devrait être achevée « d’ici quelques semaines », selon un communiqué des FFC. Des observateurs se demandent si l’armée sera disposée à renoncer à ses intérêts économiques et à ses larges pouvoirs.

RDC-RWANDA – En dépit des initiatives de paix entreprises par des organisations sous régionales, la tension ne faiblit pas entre Paul Kagame et Félix Tshisekedi. Le président congolais accuse son homologue rwandais d’agresser son pays et d’armer les combattants du M23, ce que Kigali dément formellement.

Devant 250 jeunes venus de 26 provinces du pays, Félix Tshisekedi a appelé les Congolais à faire la différence entre le peuple rwandais et le régime de Paul Kagame. « Ils ont besoin de notre aide pour se libérer. Cela n’a rien à voir avec ce que leurs dirigeants sont en train de leur imposer. Donc, ne les regardez pas comme des ennemis, mais comme des frères qui ont besoin de notre solidarité pour nous débarrasser et débarrasser l’Afrique de ce genre des dirigeants rétrogrades », a-t-il déclaré, ajoutant : « C’est le régime rwandais, avec Paul Kagame à sa tête, qui est l’ennemi de la République démocratique du Congo ».

Concernant les accusations d’agression portées par Kinshasa contre Kigali, Paul Kagame avait nié toute volonté, indiquait-il, de faire la guerre à la RDC. Cependant, il avait lâché une phrase qui avait beaucoup fait parler à Kinshasa : « J’entendais quelqu’un […] dire, je n’exclus pas une guerre avec le Rwanda. Si vous cherchez quelqu’un qui s’y connaît en guerre, venez me voir, s’il vous plaît ».

Des paroles auxquelles le président congolais a répondu ce samedi. « Il s’enorgueillit d’être un faiseur de guerre, un spécialiste dans la guerre. Il en est fier, moi à sa place, je me cacherais, j’aurais honte d’assumer le fait qu’on sème la mort et la désolation », a-t-il dit. Et d’ajouter : « C’est honteux. Je dirais même diabolique ».

La Chine, un acteur majeur de l'exploitation cachée des ressources  naturelles à Madagascar, selon un rapport de l'IFRI - VivAfrik - Actualité

MADAGASCAR – Selon l’IFRI des opérateurs chinois sont omniprésents dans quatre secteurs extractifs clés pour l’économie malgache : pêche, bois, mine et hydrocarbures. Ils nouent des partenariats et des relations avec les cercles dirigeants politico-économiques locaux.

La Chine joue un rôle majeur dans l’économie informelle de l’exploitation des ressources naturelles à Madagascar et contribue ainsi à perpétuer « l’extractivisme caché », dont l’Etat insulaire de l’Océan indien peine à sortir depuis son indépendance, selon un rapport publié le mois dernier par l’Institut français des relations internationales (IFRI).

Intitulé « La Chine à Madagascar : entre opportunisme politique discret et trafics intenses », ce rapport précise que les opérateurs chinois sont actifs dans le secteur extractif malgache en partenariat avec des « oligarchies locales » et « dans une grande opacité ».

Notant que « la lutte pour le contrôle du commerce extérieur et des rentes substantielles liées à l’exportation des produits primaires est un moteur ancien de la formation de l’État et des élites à Madagascar », l’IFRI souligne que ces opérateurs originaires de l’empire du Milieu nouent des relations avec les cercles dirigeants politico-économiques. D’autant plus qu’ils sont très présents dans quatre secteurs extractifs clés pour l’économie malgache : la pêche, la foresterie, les mines et les hydrocarbures.

Le rapport révèle dans ce cadre que pas moins de 14 bateaux sous pavillon chinois ont pêché dans la zone économique exclusive (ZEE) de Madagascar entre janvier 2019 et mai 2021 pour alimenter de grandes unités de congélation croisant plus au large. Selon l’ONG Mongabay, les sociétés propriétaires de ces bateaux auraient reçu des autorisations gouvernementales dans des conditions jugées « insuffisamment transparentes ».

L’IFRI précise également que deux sociétés chinoises ont remporté en 2021 plus de la moitié des licences de chalutage de crevettes et autres fruits de mer dans les eaux côtières malgaches. L’une d’elles, Mada Fisheries, exploite huit bateaux dont trois ont été arrêtés dans les eaux gambiennes pour pêche illégale en 2020.

L’IFRI indique d’autre part que 15 à 20 sociétés chinoises réalisent 95 % des achats de bois de rose à Madagascar, notant que les coupes massives d’arbres profitent peu aux populations locales impliquées étant donné que les profits sont concentrés en bout de chaîne.

AFRIQUE DU SUD – Les principaux partis d’opposition sud-africains ont décidé d’unir leurs forces au Parlement sud-africain pour demander la destitution du Président Cyril Ramaphosa

Le président sud-africain est accusé d’avoir dissimulé le vol d’un demi-million de dollars peut-être plus qui était caché au fond d’un canapé dans sa ferme. Selon le vice-président des Economic Freedom Fighters (EFF), Floyd Shivambu, les partis d’opposition, à l’exception de deux d’entre eux, Good et Al Jama-Ah, se sont réunis le week-end dernier pour adopter une marche à suivre.

Il a déclaré M. Ramaphosa doit être mis à l’examen du Parlement au sujet de ce qu’il qualifie de « scandale », à la suite du rapport d’un groupe d’experts indépendants qui accuse le président sud-africain d’avoir violé la constitution.

La Chambre se réunit ce mardi 6 décembre pour discuter du contenu du rapport qui a conclu que Ramaphosa devait répondre de la violation de son serment dans sa conduite après le vol.

Les partis d’opposition s’attendent à être rejoints par des parlementaires du Congrès national africain (ANC) majoritaire au parlement, pour demander la mise en accusation de Ramaphosa. « Un nombre important de parlementaires de l’ANC, même lors d’un vote ouvert, vont voter pour que le processus de destitution se poursuive », a-t-il indiqué.

Johannesburg: La crue d'une rivière fait quatorze morts

AFRIQUE DU SUD – Le bilan de la crue soudaine d’un cours d’eau à Johannesburg, due à de violents orages est passé de neuf à quatorze morts avec la découverte de cinq corps supplémentaires, a indiqué Robert Mulaudzi, porte-parole des services d’urgence de la ville.

« Hier soir, un groupe participait à des rituels religieux dans la rivière quand un orage est tombé », avait-il expliqué dimanche, précisant qu’il y avait 33 fidèles présents aux abords de la petite rivière Jukskei, au moment de cette crue spectaculaire. « Quand l’orage a éclaté, beaucoup étaient debout dans le lit de la rivière, menant des rituels, des baptêmes » ou rituels de purification. « Ils ont été emportés par la force du courant », a déclaré Robert Mulaudzi, précisant que le pasteur présidant à ces cérémonies avait survécu.

Les montées soudaines d’eau sont fréquentes dans ce quartier périphérique de Johannesburg, où les orages, presque tous les soirs pendant l’été austral, sont souvent soudains et violents. « L’accès aux rivières est libre dans ce pays et les gens pratiquent leur religion où ils veulent », a rappelé Robert Mulaudzi. « Mais nous devons intensifier nos campagnes de sensibilisation » pour éviter que des drames de ce type ne se reproduisent.

INSOLITE – Qu’est-il arrivé aux dizaines de bovins retrouvés morts près de la ville de Meeker, au Colorado (États-Unis) ? Comme l’explique un article du New York Post relayé par GEO et par le Guardian , une quarantaine de vaches et veaux ont mystérieusement perdu la vie durant le mois d’octobre 2022.

Au moins cinq d’entre eux présentaient des plaies caractéristiques des morsures de loups, comme des queues manquantes ou des traces de canines. L’enquête menée dans les environs n’a pourtant pas révélé la présence de ces prédateurs, même si cela ne signifie pas à coup sûr que les loups soient absents de la région.

« Nous nous grattons la tête. Nous ne savons pas ce qu’il s’est passé », a avoué un responsable local. « Le scénario le plus probable serait le suivant : une attaque canine apparente peut avoir déclenché l’apparition d’une cause de décès encore non concluante », a également tenté d’expliquer un des éleveurs concernés. Le New York Post évoque même « une mystérieuse créature qui n’a laissé aucune trace »…

Toutefois, une autre hypothèse a été avancée par les instances dirigeantes des parcs naturels du Colorado : celle d’une maladie. Les bovins auraient peut-être été touchés par une bactérie très dangereuse, nommée Clostridium perfringens. Les éleveurs attendent les résultats des analyses pour en avoir le cœur net.

TCHAD – Un total de 262 personnes arrêtées à N’Djamena lors d’une manifestation violemment réprimée en octobre, avec une cinquantaine de tués par balles, ont été condamnées de 2 à 3 ans de prison ferme dans un procès de masse à huis-clos et sans avocats, a annoncé ce lundi le parquet.

Manifestation réprimée au Tchad: prison ferme pour 262 personnes

Quelque 80 autres, sur 401 personnes jugées, des manifestants contre le régime pour l’essentiel, ont écopé de peines d’emprisonnement avec sursis et 59 ont été relaxées, a précisé à la presse le procureur de la République de N’Djamena, Moussa Wade Djibrine.

Ce procès de masse s’est déroulé en plein désert, à 600 km de la capitale, dans une prison de haute sécurité à Koro Toro, une procédure de dépaysement « illégale » selon leurs avocats qui ont décidé de ne pas s’y rendre. Ils comparaissaient notamment pour « violences et voies de fait », « destruction de biens » et « troubles à l’ordre public ».

Le procès s’est tenu en quatre jours et s’est achevé vendredi mais, seule la télévision d’Etat ayant eu le droit d’y assister, en l’absence de tout autre média, le procureur n’a rendu public le jugement que trois jours plus tard, à son retour dans la capitale.

Le 20 octobre 2022, une cinquantaine de personnes, de jeunes manifestants tués par balles pour l’immense majorité, avaient péri à N’Djamena et ailleurs quand les forces de l’ordre avaient ouvert le feu sur la moindre tentative de rassemblement.

Ils répondaient à l’appel de l’opposition contre la prolongation de deux ans au pouvoir du général Mahamat Idriss Déby Itno, proclamé chef de l’Etat par les militaires le 20 avril 2021 à l’annonce de la mort de son père, le président Idriss Déby Itno, tué au front par des rebelles après avoir dirigé d’une main de fer le Tchad 30 années durant.

Le pouvoir avait reconnu l’arrestation de 601 personnes – dont 83 mineurs – pour la seule N’Djamena, et leur transfert dans la prison de Koro Toro, à plus de deux jours de voiture de la capitale et en l’absence de leurs avocats.

Quelque 80 mineurs détenus à Koro Toro ont été transférés à N’Djamena, a assuré lundi le procureur Wade Djibrine.

NIGER – Le Niger veut réduire le taux de pauvreté de 43% en 2022 à 35% en 2026 grâce à un plan de développement 2022-2026 d’un montant de 30 milliards d’euros, présenté ce lundi à Paris par le président Mohamed Bazoum.

« Notre ambition est de ramener le taux de pauvreté de 43% en 2022 à 35% en 2026. Pour ce faire, le gouvernement mettra en œuvre plusieurs stratégies visant la transformation structurelle de notre économie », a déclaré le président Bazoum lors d’une table ronde regroupant plusieurs parties prenantes, bailleurs et investisseurs intéressés par ce Plan de développement économique et social (PDES).

« Les ressources financières nécessaires à la réalisation de ce plan sont estimées à 29,62 milliards d’euros », dont 13,35 milliards d’euros sur ressources propres de l’Etat, 10,28 milliards d’euros attendus des partenaires techniques et financiers (PTF) et 5,99 milliards d’euros du secteur privé, a-t-il ajouté, espérant que « la présente table ronde nous permettra de mobiliser les montants attendus » hors budget de l’Etat.

Le plan s’articule autour de trois priorités: « le développement du capital humain, l’inclusion et la solidarité; la consolidation de la gouvernance, de la paix et de la solidarité; la transformation structurelle de l’économie », indique la présidence de ce pays, parmi les plus pauvres du monde.

RFI déplore vivement la suspension de sa diffusion au Burkina Faso

BURKINA – La presse burkinabé, connue pour son indépendance et son franc-parler, s’interroge sur la suspension de RFI, à l’instar de L’Observateur Paalga : « avait-on besoin d’en arriver là ? (…) Sur le plan déontologique, tout esprit de corporatisme mis à part, il n’est pas évident que notre confrère ait commis un manquement à la règle qui gouverne le métier de journaliste, estime le quotidien ouagalais. Tout au plus, peut-il être question d’éthique ou d’opportunité de la diffusion de l’information, toutes choses étant laissées à l’appréciation de la rédaction. Or, de ce point de vue, et au-delà de cette station audiovisuelle publique française, relève L’Observateur Paalga, il y a bien longtemps que les médias locaux ne savent plus ce qu’il faut dire ou ne pas dire, sans être accusés de saper le moral des troupes combattantes ou de faire l’apologie du terrorisme. Vue sous un autre angle, cette sanction sonne comme un coup de semonce adressé à toute une confrérie qui ne sait plus à quelle encre tremper la plume, à qui tendre le micro, et sur quoi braquer sa caméra. À tout le moins donc, conclut le quotidien burkinabé, cette censure contre RFI est à la fois symptomatique d’une certaine frilosité gouvernementale, disproportionnée, inopportune et contreproductive. »

Se pose également la question du droit, pointe pour sa part le quotidien Aujourd’hui, toujours à Ouagadougou : « c’est directement le gouvernement qui a ‘frappé’ RFI, remarque Aujourd’hui. La loi a ainsi été écornée, car c’est le CSC, le Conseil supérieur de la communication, qui est qualifié pour gérer une telle question. Les conventions des médias sont signées avec cet organe de régulation. C’est le CSC qui attribue les fréquences. C’est lui qui les suspend ou qui les retire. » Et pas le gouvernement. 

MALI – Le chef de la junte au pouvoir au Mali a abrogé le décret nommant un colonel premier ministre par intérim, ouvrant la voie au retour de Choguel Kokalla Maïga à la tête du gouvernement, ont annoncé les autorités dimanche 4 décembre au soir.

Choguel Kokalla Maïga, un civil et vétéran de la politique nommé premier ministre en juin 2021, a été contraint de prendre ses distances en août après avoir été victime d’un accident vasculaire cérébral à l’âge de 64 ans. Le numéro un malien, le colonel Assimi Goïta, avait nommé par décret le 21 août premier ministre par intérim le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, le colonel Abdoulaye Maïga, par ailleurs porte-parole du gouvernement.

Dimanche, le 62e sommet des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) a demandé la libération avant le 1er janvier des 46 militaires ivoiriens détenus au Mali et annoncé la création d’une force régionale pour lutter contre le terrorisme et pour rétablir l’ordre constitutionnel.

Le volcan Semeru entre en éruption sur l'île de Java, en Indonésie

INDONESIE – Sur l’île de Java en Indonésie, le volcan Semeru est entré en éruption dimanche 4 décembre, un an après une catastrophe meurtrière. Le Centre de volcanologie et de prévention des catastrophes géologiques (PVMBG) a décidé de relever le niveau d’alerte du mont Semeru du niveau trois au niveau quatre, le plus élevé. Plus de 2.400 personnes au total ont fui leurs maisons pour trouver refuge dans 11 centres. Dès ce lundi matin, France Diplomatie recommandait aux voyageurs de « rester à plus de 8 km du cratère et de demeurer très attentifs aux consignes de sécurité données par les autorités indonésiennes.»

L’état d’urgence a été décrété pour deux semaines, la population a reçu des masques pour se protéger des cendres dans l’air et des cuisines collectives ont été mises sur pied pour nourrir les évacués. «L’armée, la police, et les services d’urgence continuent à évacuer des gens du village de Curah Kobokan, où des nuages de cendres brûlantes et de la lave froide peuvent arriver», a souligné Abdul Muhari, le porte-parole de l’agence indonésienne de gestion des catastrophes naturelles.

TRUMP – La classe politique américaine a vivement condamné dimanche un appel la veille de Donald Trump à abandonner la Constitution américaine, pour revenir sur le résultat de l’élection présidentielle de 2020 remportée par Joe Biden. Réitérant ses allégations infondées de fraude massive lors du scrutin, l’ancien président a affirmé samedi sur son réseau Truth Social qu’une «fraude de ce genre et de cette envergure permet l’abrogation de toutes les règles, réglementations et articles, y compris ceux de la Constitution».

Des propos immédiatement condamnés par la Maison-Blanche. «La Constitution américaine est un document sacro-saint qui garantit depuis 200 ans que la liberté et l’État de droit prévalent dans notre beau pays», a commenté samedi un porte-parole de l’exécutif, Andrew Bates, dans un communiqué. «Attaquer la Constitution et tout ce qu’elle représente est un anathème pour l’âme de notre pays et il faut le condamner», a-t-il ajouté. «On ne peut pas n’aimer l’Amérique que lorsqu’on gagne.»

Donald Trump «est hors de contrôle et un danger pour notre démocratie. Tout le monde doit condamner cette attaque contre notre démocratie», a ajouté Chuck Schumer, le chef des démocrates au Sénat.

La croissance du commerce d'armes ralentie par des problèmes d'approvisionnment,  selon un rapport

ARMES – La vente d’armes et de services destinés au secteur militaire a augmenté en 2021 dans le monde, mais elle a été affectée par des problèmes d’approvisionnement liés à la pandémie de Covid-19 et la guerre en Ukraine, selon un nouveau rapport (en anglais) de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri), lundi 5 décembre. 

D’après ce document, les 100 plus grandes entreprises d’armement ont vendu des armes et des services destinés au secteur militaire pour un total de 592 milliards de dollars (environ 562 milliards d’euros) en 2021. Cela représente une augmentation de 1,9% par rapport à 2020.

Les problèmes d’approvisionnement devraient s’aggraver avec la guerre en Ukraine, notamment « parce que la Russie est un grand fournisseur de matières premières utilisées dans la production d’armes », mais aussi car le conflit a entraîné une hausse de la demande, selon le rapport.

Il reste pourtant difficile d’évaluer le niveau de cette hausse, selon Nan Tian. Celle-ci dépend du besoin des pays ayant aidé l’Ukraine de reconstituer leurs stocks, mais aussi de l’aggravation de l’environnement sécuritaire, signifiant que « les pays cherchent à se procurer plus d’armes ».

Cette croissance a cependant été sévèrement affectée par des problèmes généralisés sur la chaîne d’approvisionnement. « L’impact durable de la pandémie commence vraiment à se manifester dans les entreprises d’armement », a déclaré à l’AFP Nan Tian, chercheur au Sipri et co-auteur du rapport.

ESPACE – Trois taïkonautes (occupants d’un vaisseau spatial chinois) sont revenus sur terre dimanche après six mois passés à bord de la station spatiale Tiangong, a annoncé l’agence spatiale chinoise citée par les médias, qualifiant de «succès total» leur mission. L’équipage, qui se trouvait à bord de la station depuis début juin, a atterri sur le site de Dongfeng en Mongolie intérieure (nord de la Chine) à 20h09 heure de Pékin (12h09 GMT), a indiqué l’agence spatiale citée par l’agence officielle Xinhua. Selon le personnel médical, les trois taïkonautes, dont une femme, sont en bonne santé.

Les trois taïkonautes de la mission Shenzhou-14, le commandant de la mission Chen Dong, Liu Yang, première femme astronaute chinoise et Cai Xuzhe, avaient été chargés de superviser les dernières phases de la construction de la station spatiale, joyau de l’ambitieux programme spatial de la Chine.

L’équipage a passé le relais aux trois taïkonautes de la mission Shenzhou-15, qui étaient arrivés fin novembre à la station Tiangong. Il s’agissait du premier transfert d’équipage en orbite réalisé par des taïkonautes chinois.

10 000 militaires et policiers déployés dans une municipalité du Salvador  pour traquer les membres de gangs

SALVADOR – Les forces de sécurité salvadoriennes ont, dimanche 4 décembre 2022, arrêté 140 membres de gangs, dans la ville de Soyapango. L’opération a mobilisé près de 10 000 soldats ou policiers.

Depuis samedi à l’aube, 8 500 soldats et 1 500 policiers encerclent hermétiquement Soyapango pour y traquer les « maras », les redoutables bandes criminelles qui font régner la terreur au Salvador.

Soyapango a la réputation d’être un fief de la « mara » Barrio 18, une des deux plus violentes bandes du pays avec sa rivale MS-13.

La police a notamment annoncé dimanche la capture d’Alexander Pineda, alias « Lazy », un des chefs de Barrio 18 et « un des terroristes les plus recherchés du pays, qui ordonnait des homicides et des extorsions au niveau national », selon elle.

Les autorités n’ont pas annoncé quand cet encerclement prendrait fin, et n’ont pas exhibé publiquement les personnes arrêtées comme elles ont l’habitude de le faire. « Nous n’allons pas quitter Soyapango avant d’avoir capturé le dernier membre de gang », a promis le ministre de la Défense, René Merino.

Plus de 58 000 membres présumés des « maras » ont été arrêtés au Salvador depuis que le président Bukele a déclaré fin mars la « guerre » contre ces gangs. Pour faire face à l’afflux de détenus, l’administration pénitentiaire a entrepris de construire une gigantesque prison pour 40 000 criminels présumés à Tecoluca, une région rurale au centre du pays.

FRANCE – L’animateur de télévision français Jean-Marc Morandini a été condamné lundi à Paris à un an de prison assorti d’une période de sursis probatoire de deux ans pour « corruption de mineurs » sur trois adolescents.

Les faits ont eu lieu lors d’échanges électroniques et d’un casting à son domicile entre 2009 et 2016.

« Malgré le temps écoulé aucune remise en question n’avait été amorcée » par M. Morandini sur ces « passages à l’acte transgressifs », a estimé la présidente du tribunal correctionnel de Paris, soulignant néanmoins qu’il « ne ressort ni du dossier ni des débats, que l’on puisse qualifier M. Morandini de prédateur ou de pédophile ».

« Ce jugement est incompréhensible et assez sévère, et nous entendons faire appel de cette décision », a réagi l’avocate du prévenu, Me Corinne Dreyfus-Schmidt.

Le parquet avait requis à l’encontre de l’animateur vedette de CNews un an de prison avec sursis lors du procès fin octobre.

Le tribunal y a ajouté une obligation de soin de deux ans ainsi qu’une inscription au fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (Fijais).

« Je me réjouis que M. Morandini qui contestait les faits et était dans le déni ait été reconnu coupable par un jugement motivé », a réagi auprès de l’AFP Me Francis Szpiner, avocat d’une victime et de l’association La voix de l’enfant, se disant soulagé que le tribunal ait demandé une inscription au fichier des délinquants sexuels.

La figure du paysage audiovisuel français, absente lors du jugement, répondait de messages envoyés à deux jeunes de 15 ans, en 2013 et en 2015-2016, qui consistaient pour l’un à évoquer des scénarios sexuels et, pour le second, à lui demander d’envoyer une photo de lui dénudé.

Jean-Marc Morandini, 57 ans, passé notamment par Europe 1, était également jugé pour avoir demandé à un troisième adolescent de 16 ans, de se dénuder et de se masturber à son domicile en 2009 lors d’une audition pour un projet de remake d’un film américain, qui n’a jamais vu le jour.

Lors de son procès en octobre, il avait reconnu une « imprudence » mais s’était défendu en invoquant notamment une forme d’« humour ».

Ses avocates avaient, elles, plaidé la relaxe, fustigeant un dossier bâti sur des « déclarations très fluctuantes » et parasité par un supposé « lynchage médiatique ».

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