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Nomination d’un Premier ministre: La France insoumise menace le président Macron de destitution

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 10 mois
dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Nomination d’un Premier ministre: La France insoumise menace le président Macron de destitution

(240708) -- PARIS, July 8, 2024 (Xinhua) -- Head of French left-wing party La France Insoumise (LFI) Jean-Luc Melenchon (C) attends an event after the second round of France's legislative election in Paris, France, July 7, 2024. The left-wing parties' alliance, the New Popular Front (NFP), wins the 2nd round of France's legislative elections, and is expected to hold between 175 and 205 seats in the National Assembly, according to projections published by research firm Elabe. French President Emmanuel Macron's coalition comes in second with the possibility of getting 150 to 175 seats, while the far-right wing party and its allies would only obtain 115 to 150 seats, Elabe said in its projections. No party would get the absolute majority of 289 seats in the 577-member French National Assembly. TO GO WITH: "Roundup: Left-wing parties alliance wins France's legislative elections, PM vows to resign" (Photo by Xose Bouzas/Xinhua)

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La France insoumise menace d’engager une procédure de destitution contre Emmanuel Macron. Le parti de gauche accuse le président français de «coup de force institutionnel contre la démocratie» pour son refus «de prendre acte» du résultat des législatives de juillet, dans un texte publié dans «La Tribune» dimanche.

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«Nous donnons à cette tribune un rôle concret d’avertissement solennel», écrivent les co-signataires, dont le leader des Insoumis Jean-Luc Mélenchon, le coordinateur du parti Manuel Bompard ou encore la patronne des députés LFI Mathilde Panot. Emmanuel Macron «doit savoir que seront utilisés tous les moyens constitutionnels de le démettre plutôt que nous soumettre à son mauvais coup contre la règle de base de la démocratie : en France, le seul maître est le vote populaire», insistent-ils.

Vers Premier ministre non issu du NFP?

Alors qu’Emmanuel Macron doit consulter vendredi prochain les forces politiques en vue de former un gouvernement, près d’un mois et demi après les élections, les Insoumis mettent en garde le président qui «serait sur le point de nommer un chef de gouvernement sans tenir compte du résultat politique» de ces législatives, qui ont placé en tête la gauche unie au sein du Nouveau Front populaire (193 députés), mais loin de la majorité absolue (289 députés).

Emmanuel Macron a écarté le 23 juillet l’hypothèse de nommer la représentante du NFP Lucie Castets à Matignon, arguant qu’elle ne parviendrait pas à réunir une base suffisante à l’Assemblée pour gouverner. Depuis, circulent notamment les noms du président LR des Hauts-de-France Xavier Bertrand, ou encore de l’ancien Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve.

«On peut qualifier de coup de force institutionnel contre la démocratie la décision du chef de l’État», déplorent les Insoumis. Ceux-ci invoquent donc l’article 68 de la Constitution, qui permet au Parlement de destituer le président pour « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat». Une telle procédure doit cependant franchir plusieurs obstacles. Si LFI, avec 72 députés, peut théoriquement déposer seul sa proposition de résolution, le parti de gauche radicale dit vouloir agir sur une «base aussi collective que possible».

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