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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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CLIMAT – Le réchauffement climatique aura des conséquences cataclysmiques note un pré-rapport du Giec, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, et ce bien avant 2050. Pénurie d’eau, exode, malnutrition, extinction d’espèces… La vie sur Terre telle que nous la connaissons sera inéluctablement transformée par le dérèglement climatique quand les enfants nés en 2021 auront 30 ans, voire plus tôt, alerte ce projet révélé aujourd’hui par l’AFP. Quel que soit le rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre, les impacts dévastateurs du réchauffement sur la nature et l’humanité qui en dépendent vont s’accélérer, assure le Giec.  En signant l’accord de Paris en 2015, le monde s’est engagé à limiter le réchauffement à +2°C par rapport à l’ère pré-industrielle, si possible +1,5°C. Désormais, le Giec estime que dépasser +1,5°C pourrait déjà entraîner «progressivement, des conséquences graves, pendant des siècles, et parfois irréversibles». Selon l’Organisation météorologique mondiale, la probabilité que ce seuil de +1,5°C sur une année soit dépassé dès 2025 est déjà de 40%. L’humanité n’est à ce stade pas armée pour faire face à la dégradation certaine de la situation. «Les niveaux actuels d’adaptation seront insuffisants pour répondre aux futurs risques climatiques», prévient le Giec. Même en limitant la hausse à 2°C, jusqu’à 80 millions de personnes supplémentaires auront faim d’ici à 2050 et 130 millions pourraient tomber dans la pauvreté extrême d’ici dix ans.

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MAROC – Le procès du journaliste marocain Soulaimane Raissouni a repris mardi 22 juin à Casablanca en son absence alors que le prévenu, en grève de la faim depuis 76 jours, «frôle la mort», selon sa famille. L’administration pénitentiaire (DGAPR) a fait savoir à la cour au début de l’audience qu’il avait «refusé» d’assister au procès. Vendredi, la DGAPR l’avait accusé dans un communiqué de «chercher à tromper l’opinion publique en observant une pseudo-grève de la faim». Un autre journaliste, Omar Radi, un reporter de 34 ans,  en détention préventive depuis près de 11 mois pour des accusations de «viols» et d’espionnage qu’il conteste, comparait  dans le même tribunal, mais dans une autre salle.  Aujourd’hui à Rabat, plusieurs organisations veulent faire entendre la voix des victimes alors que Reporters sans frontières, AMDH et plusieurs autres ONG ont fait leur la cause des trois journalistes poursuivis, à divers degrés de gravité, pour viol. Les ambassadeurs et représentants diplomatiques étrangers auront l’occasion d’en savoir plus, selon Association marocaine de défense des victimes (AMDV),  sur le calvaire qu’endurent les victimes à travers des témoignages de Sarah El Mers (affaire Bouachrine), Hafsa Boutahar (affaire Raïssouni) et Muhammad Adam (militant LGBT qui poursuit Raïssouni pour viol).

MAURITANIE – Inculpé en mars, en même temps qu’une dizaine de personnalités, pour des faits présumés de corruption, blanchiment d’argent, enrichissement illicite ou encore dilapidation de biens publics commis pendant les années où il dirigeait le pays, l’ancien président Ould Abdel Aziz, 65 ans,   a été écroué, mardi 22 juin dans la soirée. Il avait refusé de continuer à se présenter à la police trois fois par semaine, comme le lui imposent les conditions de son placement en résidence surveillée. L’ancien président poursuit sa descente aux enfers sous son successeur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, son ancien chef de cabinet et ministre, dont il avait pourtant préparé l’accession à la présidence. Il crie « au règlement de comptes » parce qu’il ne quitte pas la vie politique et a intégré en avril un petit parti d’opposition, le Ribat national.

CENTRAFRIQUE – La présidence centrafricaine dénonce un complot contre sa coopération avec la Russie. Sa dénonciation intervient après une enquête menée par la chaîne américaine CNN et The Sentry sur l’implication des mercenaires russes dans les exactions commises dans cet État d’Afrique Centrale. The Sentry est une ONG cofondée par George Clooney et John Prendergast qui enquête sur les réseaux de blanchiment d’argent criminels en Afrique. Pendant plusieurs mois, leurs enquêteurs ont travaillé en collaboration avec CNN sur une enquête confidentielle, recueillant des témoignages et des documents impliquant le groupe de mercenariat Wagner dans de nombreux cas d’exactions commis contre des civils: meurtres, exécutions extrajudiciaires torture, pillages, incendies de villages, enlèvements ou encore viols collectifs.  Bangui qualifie cette enquête « d‘allégations diffamatoires, fantaisistes et fallacieuses ». Pour la présidence, cette enquête est un « complot », contre la République, ajoutant « qu’une campagne de désinformation et de manipulation, visant à déstabiliser les institutions de la République et à instaurer un régime favorable aux intérêts stratégiques étrangers, a été savamment orchestrée par des responsables habitués et diffusée par une partie de la presse internationale ».

HONG KONG – Le rideau tombe sur « Apple Daily » et sur la liberté de la presse à Hong Kong. Après vingt-six ans d’existence, le quotidien pro démocratie vivait, ce mercredi, ses dernières heures. « Apple Daily’ a décidé que le journal cessera ses activités à partir de minuit et que le 24 juin sera son dernier jour de publication », a annoncé le tabloïd devenu la bête noire de Pékin. Un autre choix était-il possible ? Le gel des actifs la semaine dernière a porté un coup fatal au journal, rendant impossible le paiement du personnel et de ses fournisseurs. Le patron du journal, Jimmy Lai, magnat de la presse de 73 ans et critique assumé du parti communiste, est en prison depuis plusieurs mois, condamné pour avoir participé aux gigantesques manifestations pro-démocratie qui ont secoué Hong Kong en 2019. Mardi, la cheffe de l’exécutif hongkongais Carrie Lam a assuré qu’elle ne visait pas la liberté de la presse mais luttait contre la »subversion du gouvernement ».

IRAN-ETATS-UNIS –  Le département américain de la Justice a annoncé ce mercredi avoir « saisi » 33 sites de médias contrôlés par l’Union iranienne de radio et de télévision islamique (IRTVU) et trois sites irakiens des brigades du Hezbollah, qui étaient hébergés selon lui sur des domaines appartenant aux Etats-Unis, en violation des sanctions. L’IRTVU, elle-même sous l’égide de la Force Al-Qods, est désormais, aux côtés de cette unité d’élite des Gardiens de la Révolution iraniens, sur la liste noire des sanctions américaines, ce qui interdit aux Américains, aux entreprises américaines et aux entreprises étrangères de faire des affaires avec eux ou leurs filiales. L’agence de presse semi-officielle iranienne YJC a dénoncé la mesure américaine comme la preuve que « les appels pour la liberté d’expression sont des mensonges ». En octobre dernier, les procureurs américains avaient saisi un réseau de domaines en ligne dont ils dénonçaient l’utilisation par les Gardiens de la révolution iranienne à des fins de désinformation politique à travers le monde.

Les autorités iraniennes ont annoncé avoir déjoué ce matin une opération de « sabotage » contre l’un des bâtiments de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA). Aucun précision n’a été donnée.

INSOLITE – Tout va bien, le nouveau porte-avions américain, l’USS Gerald R Ford est solide. Pour le vérifier, il a fait sauter près de lui dix-huit tonnes d’explosifs. Ce test, visant à s’assurer que le bâtiment puisse résister aux conditions de combat, fait partie de « sa mise en route » entamée il y a quelques semaines, quatre ans après sa livraison. “La marine américaine effectue des essais de choc en utilisant des explosifs pour confirmer que nos navires de guerre peuvent continuer à répondre aux exigences de mission dans les conditions difficiles qu’ils pourraient rencontrer au combat“, a déclaré l’US Navy dans un communiqué. L’onde de choc de l’explosion aurait provoqué un séisme de magnitude 3,9, selon les capteurs de mesure déployés au large de la Floride. Le porte-avions va maintenant  retourner en cale sèche pour subir des opérations de maintenance. Il devrait normalement subir une ou deux autres explosions avant d’être pleinement opérationnel, peut-être d’ici la fin de l’année.

KHASHOGGI – Le New York Times a révélé mardi que quatre membres du commando ayant tué le journaliste saoudien Jamal Khashoggi en 2018 avaient reçu un entraînement paramilitaire aux États-Unis, assurée par un groupe privé américain de sécurité, Tier 1 Group, sur la base d’une autorisation accordée par l’administration de Barack Obama en 2014. Cette formation s’est poursuivie au moins jusqu’au début du mandat de Donald Trump, précise le New York Times. Ayant reçu un feu vert du département d’État américain, a révélé mardi le New York Times. Tier 1 Group insiste sur le fait que l’entraînement était «de nature protective» et «sans aucun lien avec leurs odieux actes postérieurs». Selon un rapport américain rendu public en février, sept membres d’une unité d’élite chargée de la protection du prince héritier d’Arabie saoudite, Mohamed Ben Salmane, appartenaient au commando ayant tué Jamal Khashoggi. Le New York Times ne précise pas si les quatre agents formés aux États-Unis appartenaient à cette unité. 

BELARUS – Minsk dénonce les nouvelles sanctions «destructrices» prises par les Occidentaux après l’interception d’un avion de ligne par Minsk pour arrêter un opposant, affirmant qu’elles «frisent la déclaration de guerre économique». « Ce qu’on n’attendait pas, c’est que l’Allemagne participe aussi à ce complot collectif », a lancé le président biélorusse, Alexandre Loukachenko, à l’occasion des commémorations du 80e anniversaire du début de l’invasion de l’URSS par le IIIe Reich. « On ne l’attendait pas de ceux dont les ancêtres avaient tué un Biélorusse sur trois et empêché la naissance de millions d’enfants », a-t-il affirmé. « Regardez ! N’est-ce pas symbolique ? Ils ont mis en place des sanctions dans la nuit, des sanctions économiques contre nos gens et nos entreprises. La nuit du 22 juin », a-t-il poursuivi. L’opération Barbarossa a débuté le 22 juin 1941. En fait, les sanctions ont été décidées le 21…

HONGRIE – Treize pays de l’Union européenne « inquiets » pour les droits LGBT appellent la Commission à agir. Depuis ce mardi, la Hongrie est sous le feu des critiques de pays membres de l’Union européenne après l’adoption à Budapest d’une législation interdisant « la promotion » de l’homosexualité auprès des mineurs. La déclaration a été signée par les Pays-Bas, le Luxembourg, la France, l’Allemagne, l’Irlande, l’Espagne, le Danemark, la Finlande, la Suède, ainsi que les trois pays baltes. « Nous demandons instamment à la Commission européenne, en tant que gardienne des traités, d’utiliser tous les outils à sa disposition pour garantir le plein respect du droit européen, y compris en saisissant la Cour de justice de l’UE » pour faire respecter le droit européen face à cette loi hongroise à l’encontre des personnes LGBT, ont-ils indiqué. Cette loi est « indigne de l’Europe », a fustigé le ministre luxembourgeois des Affaires étrangères et européennes Jean Asselborn. « Les gens ont le droit de vivre comme ils veulent, on n’est plus au Moyen-Age », a-t-il ajouté. La loi hongroise « viole clairement les valeurs de l’UE », a renchéri le ministre délégué allemand aux Affaires européennes Michael Roth. Le Français Clément Beaune dénonce une loi qui « assimile » l’homosexualité « à une forme de menace ou de propagande ». La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré que l’exécutif européen était en train d’examiner si cette loi « enfreint la législation européenne ». En France, Marine Le Pen est d’accord avec Viktor Orban. Ce dernier, qui avait prévu d’assister au match Allemagne-Hongrie, a annulé sa venue à Munich.

GRÈCE – Amnesty International accuse la Grèce de « torture, mauvais traitements et refoulements illégaux » de migrants vers la Turquie. Elle estime, dans un rapport publié mercredi, que ces pratiques sont devenues « de facto » la politique grecque de contrôle aux frontières. L’ONG dit avoir documenté, entre juin et décembre 2020, 21 incidents à la frontière terrestre gréco-turque, impliquant un millier de personnes. En février et mars 2020, des dizaines de milliers de migrants avaient afflué vers la Grèce, au poste-frontière de Kastanies, après l’annonce du président turc Recep Tayyip Erdogan d’ouvrir ses frontières vers l’Europe. «Nos recherches montrent que les refoulements violents sont devenus de facto la politique grecque de contrôle aux frontières dans la région d’Evros», souligne Adriana Tidona, chercheuse sur les migrations en Europe, en référence au fleuve qui borde la frontière terrestre gréco-turque. «Le niveau d’organisation nécessaire pour exécuter ces retours (…) montre jusqu’où la Grèce est prête à aller pour renvoyer illégalement ces personnes et le dissimuler», note-t-elle dans le rapport d’Amnesty.

Le gouvernement grec a toujours démenti de telles allégations.  Pour Amnesty, l’agence européenne Frontex ne peut ignorer ces abus.

PÉROU – Un fort séisme de magnitude 6 a frappé Lima et d’autres secteurs de la côte centrale du Pérou mardi soir, sans que des dommages ou victimes ne soient immédiatement répertoriés, a annoncé le Centre sismologique national. De nombreux habitants de Lima sont sortis dans la rue en raison de la forte secousse. «Ç’a été très fort, ça a secoué toute la maison, on a dû sortir», a dit à l’AFP Julia Lazaro Rodriguez, 60 ans. Sur la côte Verte, le front de mer de Lima, quelques rochers sont tombés depuis des falaises de 80 mètres de haut, a indiqué la télévision Canal N. A l’aéroport international Jorge Chavez, des éléments du plafond sont tombés sur des bancs dans les salles d’attente, mais l’aéroport, peu fréquenté en raison de la pandémie de coronavirus, continue de fonctionner, selon Radio Nacional. Dans des supermarchés, il y a eu des bris de bouteilles, selon la presse. Le Pérou est secoué chaque année par au moins une centaine de tremblements de terre perceptibles pour la population, car il est situé sur la ceinture de feu du Pacifique, une zone d’activité tellurique qui s’étend le long de la côte ouest du continent américain.

MER NOIRE – Un avion Su-24 et des navires russes ont indiqué avoir tiré des coups de semonce mercredi 23 juin contre un destroyer britannique qui, selon Moscou, était entré dans les eaux territoriales russes en mer Noire, un incident rare dans cette zone. L’armée britannique a rapidement démenti, indiquant que son destroyer effectuait un «passage innocent» dans les eaux ukrainiennes.  «Aucun tir n’a été dirigé vers le HMS Defender et nous ne reconnaissons pas l’affirmation selon laquelle des bombes ont été larguées sur sa trajectoire», a déclaré Londres. En revanche, l’armée britannique a évoqué «un exercice de tir en mer Noire» dont la Russie aurait «prévenu la communauté maritime».

CÔTE D’IVOIRE –  L’ancien Premier ministre ivoirien et ex-chef rebelle Guillaume Soro  a été condamné en son absence à Abidjan, à la prison à perpétuité pour « atteinte à la sûreté de l’État » pour des faits commis fin 2019. Guillaume Soro, 49 ans, qui vit en exil, et ses coaccusés étaient accusés de « complot », « tentative d’atteinte contre l’autorité de l’État » ainsi que de « diffusion et publication de nouvelles fausses jetant le discrédit sur les institutions et leur fonctionnement, ayant entraîné une atteinte au moral des populations ». La cour d’assises d’Abidjan a donc suivi les réquisitions du parquet, tout comme pour les principaux autres accusés, Souleymane Kamagaté, son ex-chef du protocole, Affoussy Bamba, ancienne ministre, et Touré Moussa, son ancien chef de la communication, condamnés à 20 ans de prison. Deux des frères de Guillaume Soro et son ancien bras droit Alain Lobognon ont eux, été condamnés à 17 mois de prison pour « troubles à l’ordre public ». La cour a également ordonné la confiscation des biens de Guillaume Soro et de ses 19 coprévenus, ainsi que la dissolution de son mouvement, Générations et peuples solidaires (GPS), accusé de se livrer à « des actes subversifs ». Elle a ordonné aux condamnés de payer solidairement 1 milliard de francs CFA (150 millions d’euros) à l’Etat ivoirien. « Pour lui, ce sera la prison à perpétuité », avait déclaré en octobre 2020 le président Alassane Ouattara au sujet de Guillaume Soro, son ancien allié.

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