Les frappes continuent et le monde « suit en temps réel » la situation en appelant à ne pas l’aggraver. De l’attentisme dans l’attente de l’évaluation des dégâts , de la riposte iranienne, des conséquences sur le prix, en hausse, du pétrole, sur la navigation dans le détroit d’Ormuz où passe 20% du pétrole mondial, sur la conférence Palestine organisée par la France et l’Arabie Saoudite. De la rhétorique. Depuis des dizaines d’années, Benjamin Netanyahou pensait à ces frappes qui pourraient être l’œuvre de sa vie. Persuadé que le pays des ayatollahs représentait une menace existentielle pour la survie de l’Etat hébreu, il se préparait sans relâche et ces derniers jours lui apportait l’opportunité qu’il a saisie. Un rapport de l’AIEA indiquait une augmentation du taux de l’enrichissement de l’uranium, Donald Trump disait se rapprocher d’un accord avec Téhéran. Deux dangers selon lui. Et, au plan intérieur, même s’il venait d’écarter la chute de son gouvernement à propos de la conscription des étudiants religieux, il était de plus en plus critique sur son action destructrice à Gaza. Deux autres dangers. Il lui fallait agir. Avec ou sans le feu vert américain. ...
Lire la suiteAprès les frappes israéliennes en Iran, Emmanuel Macron a tenu une...
Lire la suiteL’Organisation tunisienne des jeunes médecins a décidé d’observer, à partir du 12 juin courant, une grève générale de...
Lire la suiteLe recours aux chèques a enregistré un net recul en Tunisie au cours du premier trimestre 2025, selon les données publiées dans le...
Lire la suitePar Sayda BEN ZINEB Le festival « Shluq, musique en...
Lire la suite