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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 3 ans
dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Dans le monde, ces dernières heures…
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ALGÉRIE – La société Générale Assurance Méditerranéenne (GAM Assurances) a officiellement lancé, le 26 mars 2022, son offre d’assurance « Takaful Général » basée sur les principes de la Charia. Une première en Algérie depuis un décret l’instituant dans le pays. L’assureur algérien qui a obtenu un agrément auprès du ministère des Finances en 2021 dans ce sens, propose à travers ce canal, une offre de 40 polices d’assurance fondées sur « la coopération, l’entraide mutuelle et la solidarité entre les participants dans la prise en charge des leurs risques » Ahmed Hadj Mohamed, vice-président du conseil d’administration de la GAM, a expliqué que l’assurance conventionnelle est basée sur le transfert du risque à l’assureur, alors que l’assurance Takaful repose sur le partage du risque entre les assurés. Dans un contrat Takaful, un groupe de personnes (des participants) s’engagent à s’entraider à travers le paiement d’une contribution (prime). Les contributions apportées permettent la création d’un fonds des participants. Mohamed Boudjellal, membre du Haut-Conseil islamique (HCI), a souligné que le décret exécutif n°21-81 du 23 février 2021 définit les contours de l’assurance Takaful et explique, par exemple, en quoi consiste un fonds des participants. Il s’agit d’un “compte dans lequel sont affectés les contributions, les revenus de placements et à partir duquel sont payés les indemnisations et les frais de gestion”. Si le solde du fonds est positif, le montant de ce solde est redistribué aux participants selon les conditions contractuelles. Mais en cas de déficit du fonds, l’opérateur (la GAM dans ce cas) est tenu d’accorder au fonds un prêt sans intérêt, qui pourra être récupéré sur les éventuels excédents des exercices à venir.

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ALGÉRIE – Ce dimanche, lors de la réunion du Conseil des ministres, le président Abdelmadjid Tebboune est revenu à la charge sur cette question de l’interdiction d’exportation de certains produits. Dans ses instructions aux membres du gouvernement, il a insisté sur la « stricte application des mesures visant à empêcher l’exportation des produits alimentaires essentiels ». Le chef de l’Etat a demandé aux ministres d’ « accorder la plus haute importance à la lutte contre la contrebande, afin de préserver nos capacités économiques, notamment face aux changements sans précédents dans le monde. Concernant la crise de l’eau potable dans les wilayas d’Alger, de Constantine et d’Oran, le président Abdelmadjid Tebboune a affirmé que la sécurité hydrique de l’Algérie passe par le « dessalement de l’eau de mer ». « Il est donc nécessaire, en toute urgence, d’accélérer le processus de mise en service des cinq stations de dessalement », a-t-il instruit, selon le communiqué. Le président de la République a en outre ordonné de « cesser tout forage de puits pour alimenter les réseaux d’eau potable et ce afin de préserver le stock stratégique au niveau actuel, et de ne pas exposer le couvert végétal à des risques environnementaux ».

MAROC – La Banque mondiale (BM) vient d’approuver un financement de projet d’investissement d’un montant de 180 millions de dollars (1 748 millions de dirhams) en vue d’appuyer une agriculture résiliente et durable au Maroc. D’après la BM, le nouveau projet constitue un programme «innovant et inédit, en ce qu’il allie investissements structurels, avec la modernisation des services d’irrigation et de drainage, et investissements immatériels destinés à renforcer la gouvernance des ressources hydriques et à apporter des services de conseil agricole aux cultivateurs». «La première composante du projet vise à compléter les investissements du Maroc dans la gouvernance de l’eau. Elle revêt trois axes stratégiques prioritaires : l’assouplissement du processus d’allocation des ressources hydriques, l’optimisation de la gestion des aquifères et une meilleure connaissance des effets des programmes d’amélioration de la productivité de l’eau», explique Rémi Trier, coresponsable du projet. Le deuxième volet vise à fournir des services d’irrigation et de drainage climato-intelligents à travers le déploiement de techniques de conservation de l’eau sur de nouvelles surfaces en favorisant la résilience aux sécheresses, la réduction des émissions de gaz à effet de serre et le stockage de carbone dans les sols. Le projet vise à toucher quelque 16 000 agriculteurs répartis sur plus de 50 000 hectares, à Souss-Massa et Tadla. Le troisième volet prévoit d’apporter à 23 500 agriculteurs des services de conseil visant à optimiser les investissements, à renforcer la résilience climatique et à intensifier la productivité de l’eau.

MAROC – Le gouvernement a annoncé la signature de huit conventions d’investissement avec des équipementiers automobiles mondiaux dans le but d’implanter de nouvelles usines dans le pays, dont trois dédiées à la production de câblage électrique. Le montant global avoisine 160 millions d’euros. En raison de l’invasion de l’Ukraine, le secteur songe donc à réorganiser son outil industriel. Et, le Maroc attire. 12 000 emplois seraient créés. Le Royaume a fortement misé au cours de la dernière décennie sur l’industrie automobile, devenu le premier secteur exportateur du pays, avec l’implantation d’usines géantes de l’alliance Renault-Nissan en 2012 et 2019 et du groupe Stellantis (PSA-FCA).

Dans le détail, le 11e équipementier mondial, le groupe japonais Yazaki, va construire un nouveau site industriel dédié à la production de câblages électriques à Meknès et va étendre ses unités de Kénitra et de Tanger, pour un investissement total de 751 millions de dirhams, soit environ 70 millions d’euros. À Tanger toujours, l’Allemand Stahlschmidt va également construire une usine de câbles et de systèmes de déverrouillage, et l’Américain TE Connectivity, une usine de moulage et d’assemblage de connecteurs. La ville accueillera aussi les activités du groupe américain, Lear, 9e équipementier mondial, puisqu’il y construira une usine de terminaux et de connecteurs, en complément d’une autre à Meknès pour y produire des câbles. L’investissement total prévu devrait atteindre 346 millions de dirhams, soit 32 millions d’euros, pour 2 162 emplois. Sumitomo a signé une convention pour l’extension de son unité de production de faisceaux électriques à Casablanca. Il projette la création de 2 000 postes.

LIBYE – Les détentions arbitraires et disparitions forcées en Libye s’accompagnent régulièrement d’abus comme de la torture, selon les enquêteurs de l’ONU. Ce lundi à Genève, ils ont dévoilé de nouvelles indications sur des actes équivalant à des crimes contre l’humanité. Dans son nouveau rapport, la Mission internationale d’établissement des faits sur la Libye affirme que ces enlèvements ou violations ont été « largement répandus ». Des civils ont été arrêtés seulement pour être suspectés d’être proches avec l’une des parties au conflit libyen et sont détenus sans que personne ne sache où ils se trouvent pendant de longues périodes, selon elle. Certains d’entre eux n’ont pas été relâchés. Les trois membres de la mission avaient déjà conclu en octobre dernier que les violences dans les prisons et contre les migrants constituent de possibles crimes contre l’humanité. Depuis, ils ont également élargi leurs investigations à de nouveaux centres de détention. Ils ont identifié de nouveaux meurtres, cas de torture, viols ou encore persécutions de migrants par des acteurs étatiques, des milices ou des trafiquants. « Nous avons davantage de preuves », affirme le président de la mission, Mohamed Auajjar. Depuis octobre, des milliers de personnes ont été interceptées en mer et ramenées en Libye où elles font face à ces « conditions inhumaines », selon les trois enquêteurs.

IRAK-SYRIE – Bagdad a confirmé construire un mur en béton sur une partie de sa frontière avec la Syrie pour empêcher l’infiltration de jihadistes du groupe Daesh. Un premier segment « d’une dizaine de kilomètres et d’une hauteur de 3,5 m a été érigé dans le gouvernorat de Ninive », dans la zone de Sinjar, dans le nord-ouest de l’Irak, a indiqué ce dimanche à l’AFP un officier irakien de haut rang qui a requis l’anonymat. Bagdad compte ainsi « mettre un coup d’arrêt à l’infiltration de membres de l’Etat islamique » sur son territoire, a précisé cette source. Selon ce haut gradé de l’armée irakienne, il s’agit d’une « première étape », sans toutefois expliquer quelle serait la longueur totale du mur une fois terminé. De son côté, l’OSDH a indiqué que ce premier plan se trouvait au niveau de la ville syrienne d’Al-Chaddadi, au sud de Hassaké.

C’est à Hassaké, zone aux mains des Kurdes, que des combattants de Daesh avaient attaqué la prison de Ghwayran en janvier pour libérer leurs frères d’armes qui y étaient incarcérés. Les Forces démocratiques syriennes (FDS), dominées par les Kurdes, ont repris le contrôle de la prison après six jours de combats, au prix de centaines de morts. Elles ont aussi affirmé que les prisonniers évadés ont été rattrapés. Mais d’après l’OSDH, certains auraient réussi à s’échapper pour de bon. D’autres seraient passés en Turquie voisine.

LIBAN – Le Premier ministre Najib Mikati a rencontré l’émir du Qatar Cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani au siège du « Forum de Doha » dans la capitale qatarie ainsi que son homologue qatari, Cheikh Khaled ben Khalifa ben Abdelaziz Al-Thani. Ils ont discuté des relations entre le Liban et le Qatar et les pays du Conseil de coopération du Golfe (CG). Après les deux rencontres, il a tenu une conférence de presse au cours de laquelle il a déclaré que « le Liban a toujours besoin d’un tel parrainage arabe, et le Qatar est aux côtés du Liban et nous l’espérons, tous les pays arabes et ceux du Golfe en particulier, rétabliront leurs relations normales le Liban » En réponse à une question, il a confirmé que le Liban entretient toujours d’excellentes relations avec les pays arabes et le CCG, d’autant plus qu’il est un des fondateurs de la Ligue arabe. « Ce qui s’est passé au cours de la dernière période était un nuage d’été qui s’est dissipé et il disparaîtra avec les visites que j’effectuerai dans les pays arabes et avec le retour à la normale des relations diplomatiques entre le Liban et les pays du Golfe et nous avons besoin de ces relations, en particulier avec le Royaume d’Arabie saoudite », a-t-il précisé. Concernant les efforts du gouvernement pour trouver une solution à la situation économique, il a déclaré qu’elle est le cumul des trente dernières années, et cette question ne peut être résolue du jour au lendemain.

LIBAN – La France, l’Allemagne et le Luxembourg ont gelé 120 millions d’euros d’avoirs libanais suite à une enquête sur une affaire de blanchiment d’argent, a annoncé ce lundi l’agence européenne pour la coopération judiciaire, précisant que cinq propriétés ont été saisies. L’enquête est dirigée contre cinq suspects accusés de blanchiment d’argent et d’avoir « détourné des fonds publics au Liban pour des montants de plus de 330 millions de dollars et 5 millions d’euros, respectivement, entre 2002 et 2021 », a souligné Eurojust dans un communiqué. Le parquet financier français (PNF) a salué sur Twitter des « saisies d’ampleur » dans le cadre d’une information judiciaire qu’il avait ouverte pour des chefs de « blanchiment en bande organisée, d’association de malfaiteurs et de recel de délit commis notamment en France et au Liban ».Le PNF avait le 2 juillet 2021 ouvert une information judiciaire visant le riche patrimoine en Europe de Riad Salamé, gouverneur de la banque centrale du Liban, sur lequel pèsent les chefs d’accusations de de blanchiment en bande organisée et association de malfaiteurs.

EGYPTE – Le ministre français de l’Economie, Bruno Le Maire, a déclaré ce lundi que l’Egypte sera assurée de recevoir le blé dont elle a besoin dans les mois à venir. « Nous serons au côté de l’Egypte pour lui apporter le blé dont elle pourrait avoir besoin dans les mois à venir », a déclaré Bruno Le Maire lors d’un déplacement au Caire. Le but de cette visite est d’ « assurer le suivi opérationnel des coopérations économiques bilatérales déjà conclues ainsi que de renforcer la relation industrielle franco-égyptienne dans différents projets ».

SOUDAN DU SUD – La résidence du vice-président Riek Machar à Juba, la capitale, aurait été encerclée par les forces gouvernementales. Samedi, déjà, Riek Machar faisait état de sa vive préoccupation face à la détérioration de la ‘’ situation sécuritaire’’ dans son pays. Dans la foulée, il sollicitait l’intervention urgente des pays d’Afrique de l’Est rassemblés au sein de l’Igad. Le vice-président sud-soudanais a notamment demandé l’implication du Soudan dans une lettre adressée au général Al-Burhan. Khartoum fait partie des garants de l’accord de paix signé en 2018 entre le gouvernement et les forces de Riek Machar. Initiative qui a abouti à son retour à Juba en février 2020. Mais cet accord bat de l’aile. Le vice-président sud-soudanais accuse les forces loyalistes du président Salva Kiird’attaquer ses troupes. Avec les risques de voir le plus jeune Etat du continent basculer une nouvelle fois dans la violence. 

SOMALIE – L’Amisom, après 15 ans sur place, va commencer sa transition vers un nouveau modèle de mission en Somalie. C’est une étape vers le retrait des troupes de l’Union africaine. Un plan de réduction graduelle des effectifs est prévu : 2 000 hommes devraient quitter le pays situé à l’est de l’Afrique, début 2023. Le Conseil de sécurité votera, le 30 mars, une résolution sur le remplacement de l’Amisom, la mission de l’ONU en Somalie, par l’Atmis (Mission de transition de l’Union africaine en Somalie, African Union Transition Mission in Somalia en anglais). Officiellement, la mission de l’Amisom, dont les soldats sont déployés en Somalie face aux miliciens islamistes shebabs, prendra fin le lendemain. Le mandat de l’Amisom, en place depuis 2007, devait se terminer le 31 décembre 2021. Mais l’Union Africaine (dont des pays membres fournissent les troupes) et le gouvernement somalien ont finalement signé un accord : la force, qui comprend plus de 19 000 soldats provenant principalement du Kenya, de l’Éthiopie, de l’Ouganda, du Burundi et de Djibouti, va rester mais sous un format modifié, dans le cadre du Plan de transition révisé pour la Somalie. Ce plan de transition devrait permettre de procéder au transfert progressif des responsabilités en matière de sécurité aux forces de sécurité somaliennes. On est bien loin du projet initial, soutenu par l’Union africaine, qui prévoyait un éventuel transfert de l’Amisom à une mission de maintien de la paix (OMP) onusienne. Mais l’ONU a déjà du mal à faire financer ses OMP, en particulier en Afrique.

ISRAËL- L’État islamique (EI) a revendiqué lundi 28 mars l’attaque à l’arme automatique qui a coûté la vie à deux policiers à Hadera, dans le nord d’Israël, selon un communiqué diffusé par le site de propagande Amaq. «Deux membres des forces de police juives ont été tués et plusieurs ont été blessés dans une attaque d’un commando infiltré», a affirmé l’EI dans ce communiqué. Dudu Boani, haut responsable de la police dans cette région, a indiqué que les deux morts étaient deux policiers et que des forces spéciales avaient tué les assaillants, deux Arabes israéliens identifiés par le renseignement israélien comme des agents locaux de l’EI. La policière tuée, une franco-israélienne de 19 ans, était née à Marseille. L’autre policier était un Druze, également âgé de 19 ans.

CISJORDANIE – Le roi Abdallah II de Jordanie est arrivé ce lundi à Ramallah pour s’entretenir avec le président palestinien Mahmoud Abbas. Ce rare déplacement du roi jordanien à Ramallah, le premier depuis 2017, fait suite à une rencontre, dimanche, entre Mahmoud Abbas et le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken. La visite qui intervient quelques jours avant le ramadan, le mois du jeûne musulman devant débuter en fin de semaine, est vue comme une tentative d’apaiser les tensions dans les Territoires palestiniens. Des responsables palestiniens ont, en effet, à de nombreuses reprises averti que la situation en Cisjordanie était sur le point d’« exploser ». Environ 475.000 Israéliens y résident dans des colonies, jugées illégales par le droit international. Quelque 2,9 millions de Palestiniens vivent aussi en Cisjordanie. Israël occupe depuis 1967 ce territoire qui était alors aux mains de la Jordanie. Amman a signé un traité de paix avec Israël en 1994, deuxième pays arabe à le faire après l’Egypte en 1979.

SOMMET DU NEGUEV – Le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, et les chefs de la diplomatie d’Israël, d’Égypte, de Bahreïn, des Émirats arabes unis et du Maroc étaient présents en Israël pour discuter de la paix au Moyen-Orient et du programme nucléaire iranien. Cette réunion diplomatique de haut rang a eu lieu à Sde Boker, dans le désert du Néguev où repose la dépouille du fondateur d’Israël, David Ben Gourion. Des discussions sur des échanges économiques, technologiques et sécuritaires ont eu lieu, mais dans la conférence de presse de bilan, il a surtout été question d’Iran. Une inquiétude commune autour du programme nucléaire iranien rassemblait les participants. Mais Yair Lapid, chef de la diplomatie israélienne, l’a affirmé, l’alliance d’Israël et de certains pays du Golfe envoie un message fort à Téhéran :  « Cette nouvelle architecture, les capacités partagées que nous construisons intimident et dissuadent nos ennemis communs, en premier lieu l’Iran et ses mandataires » Yair Lapid a aussi confirmé la création d’un Forum du Néguev dont le format n’est pas encore très clair. Il pourrait s’agir de rendre annuelle cette rencontre diplomatique. Et, pourquoi pas, d’y inviter, cette fois, les Palestiniens, continue-t-il. Des propos sur lequel a rebondi Antony Blinken: « Ces accords de paix régionaux ne sont pas un substitut au progrès entre Palestiniens et Israéliens. L’une des questions discutées aujourd’hui était de savoir comment les pays impliqués dans les accords d’Abraham et la normalisation, ainsi que ceux qui ont des relations diplomatiques de longue date avec Israël, peuvent soutenir l’Autorité Palestinienne et le peuple palestinien de manière concrète ». Car tous ces efforts conjoints, continue-t-il, doivent conduire à une solution à deux États. « Mais ce n’est qu’un mirage, une illusion et une récompense gratuite pour Israël qui ignore les droits du peuple palestinien », a réagi dans un communiqué Mohammad Shtayyeh, le Premier ministre palestinien.

INSOLITE – Marc De Mesel est un quadragénaire flamand qui, selon ses propres dires, a commencé à investir en 1999. Depuis la crise financière de 2008, il affirmait – notamment sur YouTube – que son capital avait augmenté de 40 à 50% chaque année. Dès 2012, il aurait misé énormément d’argent dans la cryptomonnaie, un pari risqué grâce auquel il aurait engrangé “d’énormes profits”. Il aimait étaler sa richesse sur les réseaux sociaux à coups de photos à bord de ses voitures de sport ou au bras de jeunes et jolies petites amies africaines, pour qui il dit sans fard avoir un faible. Sans vouloir choisir l’une d’elles toutefois: il expliquait récemment avoir déménagé au Kenya pour y pratiquer librement la polygamie. Sa fortune et ses femmes entre qui il partageait ses soirées: “un rêve”, se réjouissait celui qui partageait fièrement des clichés et vidéos de ses conquêtes et de sa progéniture. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’était pas avare avec ses compagnes. Plus que ses mœurs, ce sont d’ailleurs ses largesses – notamment les 800.000 euros qu’il a versés à Felesta Njoroge, 21 ans, et les 850.000 offerts à Tebby Wambui Kago, une étudiante du même âge – ont d’ailleurs fini par interpeller la justice. Les médias locaux se sont également intéressés aux pratiques du Belge flamboyant, qu’ils accusent d’autres versements douteux. Cette générosité – le Flamand prétend simplement vouloir s’assurer que ses petites amies en disposent librement et que les enfants qu’il a avec l’une ou l’autre ne manquent de rien – est apparue de plus en plus suspecte. Les autorités kényanes ont donc décidé d’enquêter sur ses agissements, tandis que l’Asset Recovery Agency (ARA) le soupçonne de faire partie d’un vaste carrousel international de blanchiment d’argent. Le “rêve” kényan du Belge a alors pris une autre tournure. En septembre dernier, la police a perquisitionné son domicile, ce que le quadragénaire a largement déploré dans une vidéo sur YouTube. La plateforme d’informations kényane “Nairobi News” rapporte désormais que selon Stephen Githinji, avocat de l’ARA, Marc De Mesel et sa compagne Felesta Njoroge ont fui le pays. Ils auraient quitté le Kenya à pied pour rejoindre Namaranga, une ville tanzanienne juste au-delà de la frontière. “Nous avons des indices selon lesquels cet homme recrute de jeunes Kényanes pour une organisation criminelle internationale”, aurait expliqué l’avocat d’ARA au tribunal. D’autres membres de cette association de malfaiteurs se trouveraient en Belgique et en Allemagne, avance encore Nairobi News. Alors que les autorités kényanes ne parviennent pas à le localiser exactement, le quadragénaire a osé faire une “apparition” sur YouTube le 23 mars dernier. À en croire ses déclarations, ses finances seraient soudain au plus mal. “J’ai perdu 80% de mon portfolio”, jure-t-il, l’air dépité. Adepte de la prise de risque, ce qui aurait fait sa fortune avec les bitcoins à l’époque, il aurait cette fois souffert de gros revers de fortune. Il déclare qu’il reverra dorénavant sa stratégie d’investissement pour essuyer moins de pertes. La justice aimerait savoir où il se trouve…

CHINE – La moitié de Shanghai est mise sous cloche ce lundi au moment où la capitale économique chinoise, agglomération de 25 millions d’habitants affronte sa pire flambée de Covid-19 depuis deux ans. L’annonce de cette mesure dimanche soir a provoqué un afflux des habitants dans les supermarchés. Confinement en deux temps : la moitié de la ville de Shanghai est mise sous cloche ce lundi au moment où la capitale économique chinoise de 25 millions d’habitants affronte sa pire flambée de covid depuis deux ans. Les Shanghaïens habitant dans l’est de la ville sont confinés jusqu’au 1er avril à 5h du matin à leur domicile, avec interdiction d’en sortir. A cette date, ce sera au tour de la partie ouest. L’annonce de cette mesure dimanche soir a provoqué un afflux des habitants dans les supermarchés. Beaucoup d’entre eux sont lassés de l’impuissance des autorités à juguler cette flambée épidémique malgré plusieurs semaines de restrictions. Pour la mairie, ce confinement en deux phases vise à accélérer le dépistage de la population et à venir à bout des nouvelles infections « le plus vite possible ». Jusqu’alors, Shanghai avait cherché à éviter un confinement total, très préjudiciable à l’économie. Il fallait préserver au maximum l’activité portuaire mais aussi celle du pôle financier de la ville.

COREE DU NORD – Kim Jong Un a promis de doter son pays d’une puissance militaire « redoutable » et imparable, ont rapporté ce lundi les médias d’Etat. Toutefois, des doutes sont apparus sur la nature du missile qui a été lancé jeudi. Ce ne serait pas « le monstre » annoncé. Washington et Seoul sont convaincus que le régime nord-coréen a truqué le lancement de son missile balistique intercontinental (ICBM), rapporte, dimanche 27 mars, l’agence de presse sud-coréenne Yonhap. « Les alliés pensent que le Nord a de nouveau testé jeudi un ICBM Hwasong-15, du même type que celui qu’il a tiré fin 2017, selon plusieurs sources, indique Yonhap. Et ce, alors que le Nord a publiquement revendiqué le succès du lancement d’un missile Hwasong-17 », soit le dernier modèle de missile. Cette analyse, émanant des services de renseignements et de données satellitaires, se base sur l’aspect du moteur-fusée du missile, précisément sur le nombre de ses tuyères, et le temps de combustion du premier étage du projectile, tous deux caractéristiques du Hwasong-15 et non pas du Hwasong-17.

Par ailleurs, des experts ont également mis en doute le récit nord-coréen en constatant que la photo prise au moment du lancement du missile montrait un ciel clair à Pyongyang, alors que le temps était nuageux dans la capitale nord-coréenne à l’heure précise du tir.

ALLEMAGNE – Un peu plus de cent jours après son accession au pouvoir, le parti social-démocrate du chancelier allemand Olaf Scholz a remporté haut la main son premier test électoral, un scrutin régional en Sarre, face à des conservateurs en crise. Le parti du chancelier a recueilli 43,5 % des voix, contre 28,5 % pour les chrétiens-démocrates de la CDU, à la tête depuis plus de 20 ans de cette petite région de l’ouest de l’Allemagne, selon de premiers résultats officiels. Le SPD obtiendrait même la majorité absolue au parlement du Land, avec 29 des 51 sièges, contre 19 pour la CDU. Les électeurs ont « clairement opté pour un changement à la tête de leur région », a réagi sur Twitter Scholz, saluant une « victoire convaincante ». Les sociaux-démocrates, à la tête de la coalition au pouvoir depuis début décembre, gagneraient ainsi plus de 13 points par rapport au précédent scrutin en 2017 dans ce Land, le plus petit d’Allemagne après les villes de Berlin, Hambourg et Brême. Donné comme moribond il y a encore quelques mois, avant de remporter une victoire surprise aux élections générales de septembre, le SPD va ainsi mettre un terme à 23 années de règne des conservateurs dans cette petite région frontalière de la France.

AFGHANISTAN – Encore une restriction aux droits des femmes : les talibans ont ordonné aux compagnies aériennes en Afghanistan de refuser d’embarquer des femmes si elles ne sont pas accompagnées d’un homme de leur famille. Depuis leur retour au pouvoir le 15 août dernier, les talibans ont progressivement balayé 20 ans de liberté conquise par les femmes, en dépit des promesses de se montrer plus souples que lors de leur premier régime (1996- 2001), quand les femmes étaient privées de presque tous leurs droits. « Certaines femmes qui voyageaient sans un parent de sexe masculin n’ont pas été autorisées à embarquer sur un vol » ce vendredi, a indiqué une passagère du même avion. Une femme afghane disposant d’un passeport américain n’a pas non plus été autorisée à embarquer sur un vol pour Dubaï le même jour. Fin décembre, les talibans ont déjà interdit aux femmes d’effectuer des voyages de plus de 72 km dans le pays si elles n’étaient pas accompagnées par un membre proche de la famille. 

AZERBAIDJAN – Moscou a accusé, samedi 26 mars, l’Azerbaïdjan d’avoir violé le cessez-le-feu avec l’Arménie, signé après la guerre du Haut-Karabakh de 2020, en déployant des troupes dans la zone sous contrôle des forces russes de maintien de la paix. Les incidents entre forces armées arméniennes et azerbaïdjanaises sont fréquents, mais c’est la première fois depuis la fin du conflit, en novembre 2020, que Moscou accuse l’une des parties de violer la trêve dont Vladimir Poutine est le garant. Ce regain de tension survient dans un contexte tendu, au moment où la Russie a lancé une offensive de grande ampleur contre l’Ukraine. « Entre le 24 et 25 mars, les forces armées de l’Azerbaïdjan ont violé l’accord trilatéral des dirigeants de la Russie, de l’Azerbaïdjan et de l’Arménie (…), entrant dans la zone sous responsabilité du contingent russe de maintien de la paix au Haut-Karabakh », a dénoncé le ministère de la défense russe dans un communiqué. A Bakou, le ministère de la défense azerbaïdjanais a « regretté » la déclaration russe, « qui ne reflète pas la vérité et n’adopte qu’un seul point de vue ». Il a assuré que « l’Azerbaïdjan n’a violé aucune clause » de l’accord de cessez-le-feu et aussi « demandé au ministère de la défense russe d’assurer le retrait complet des troupes arméniennes et les unités armées illégales de ce territoire internationalement reconnu comme appartenant à l’Azerbaïdjan ».

MEXIQUE – Dix-neuf personnes ont été tuées dimanche 27 mars 2022 lors d’une fusillade dans le centre du Mexique, selon un communiqué des services du procureur général de la République.

Les autorités sont arrivés sur les lieux de la tuerie dans la ville de Las Tinajas, dans l’État de Michoacan, vers 10 h 30, à la suite d’informations sur une attaque contre une salle des fêtes, indique le communiqué, publié dans la nuit de dimanche à lundi. « Les corps de 19 personnes sans vie (16 hommes et trois femmes) portant des marques de balles ont été trouvés » et plusieurs autres personnes ont été blessées et transférées à l’hôpital. La cause de la fusillade n’a pas été précisée. Le Michoacan et l’État voisin du Guanajuato sont deux des États du Mexique les plus ravagés par la violence, en raison de guerres de territoire entre bandes rivales impliquées dans le trafic de drogue et d’autres activités illégales comme le commerce de carburant volé. Selon des chiffres officiels, plus de 340 000 personnes ont été assassinées au Mexique depuis décembre 2006, date à laquelle le gouvernement mexicain a lancé une offensive militaire controversée contre les cartels de la drogue. La plupart de ces assassinats sont attribués à des règlements de compte entre groupes criminels.

BRESIL – Le Parti libéral (PL) avait vu grand pour le lancement de la pré candidature de Jair Bolsonaro à un nouveau mandat, dimanche 27 mars. Le nouveau mouvement politique du chef de l’Etat (Adhère pour le Brésil), et le neuvième auquel il adhère depuis le début de sa carrière, avait réservé le plus important palais des congrès d’Amérique latine pour l’événement, à Brasilia. Mais, en violation flagrante de la loi électorale, qui fixe au 16 août le début de la campagne présidentielle – l’élection se tiendra en octobre –, le PL a dû rebaptiser à la hâte la cérémonie, et faire disparaître des affiches les termes « lancement » et « pré candidature ». Le président a promis une nouvelle fois de « donner sa vie pour le Brésil », en ajoutant à de nombreuses reprises « si Dieu le veut ». Avec le vocabulaire militaire qu’il affectionne, il a décrit le combat qu’il va mener comme « une bataille du bien contre le mal. Dans notre Brésil, notre ennemi n’est pas externe, il est interne ». Sans jamais citer nommément l’ancien président Luiz Inacio Lula da Silva, dit « Lula », il a attribué à la gauche – l’ennemi interne – tous les maux du pays, en particulier la corruption et la perte des valeurs morales.

MALTE – Le Premier ministre maltais sortant Robert Abela a prêté serment lundi après sa nette victoire aux élections de samedi qui ont offert à son Parti travailliste -55,11% des suffrages- un troisième mandat au gouvernement. « C’est un résultat qui nous oblige à davantage de responsabilité, et que nous devons traduire par une plus grande humilité », a déclaré Roberto Abela à ses supporteurs en liesse dans la ville de Naxxar où s’est tenu le dépouillement. Son adversaire du parti nationaliste (41,74%), Bernard Grech, l’a appelé pour concéder sa défaite et a indiqué vouloir travailler « pour ceux qui ne sont pas satisfaits du gouvernement actuel ». La participation, la plus faible jamais enregistrée dans l’archipel depuis l’indépendance de Malte en 1974, s’est élevée à 85,68%, soit – 6,38 points par rapport aux élections législatives du 3 juin 2017. C’est la première fois depuis 1996 que la participation s’établit à moins de 90%. Les Maltais restent cependant, de loin, les plus nombreux des Européens à se rendre aux urnes à chaque élection, en dehors de toute obligation de vote.

ETATS-UNIS – Le projet de budget 2023 de l’administration de Joe Biden devrait inclure une proposition d’un « impôt minimum sur le revenu des milliardaires », d’après le Washington Post. Les 700 Américains les plus riches seraient concernés, à savoir ceux ayant des revenus supérieurs à 100 millions de dollars annuels. Ce qui devrait augmenter drastiquement l’ardoise fiscale des grosses fortunes comme Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon, ou Elon Musk, à la tête de Tesla, qui pourraient devoir s’acquitter de respectivement 35 et 50 milliards de dollars de taxe supplémentaire. La proposition viserait à s’assurer que les Américains les plus riches payent au moins 20% d’impôts sur la totalité de leurs revenus », indique le texte de la Maison Blanche obtenu par le journal. « Avec cet impôt minimum, les Américains les plus riches ne seront plus sujets à un taux d’imposition plus faible que les professeurs ou les pompiers », ajoute la Maison Blanche.Une étude précédente de l’administration américaine avait affirmé cet automne que 400 foyers de milliardaires n’ont payé en moyenne que 8,2% d’impôts sur leurs revenus entre 2010 et 2018, un taux souvent bien en-dessous de celui de nombreux foyers américains. Cette nouvelle mesure qui doit, pour être appliquée, obtenir l’aval du Congrès, pourrait lever jusqu’à 360 milliards de dollars de nouvelles recettes sur dix ans.

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