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En Ukraine ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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En Ukraine ces dernières heures
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Le vaisseau amiral de la flotte russe en mer Noire, le croiseur Moskva a été « gravement endommagé » ont rapporté hier jeudi les agences d’Etat russes, citant le ministère de la Défense. Pour Moscou, c’est un incendie qui a provoqué l’explosion de munitions à bord du croiseur lance-missiles. L’équipage a été entièrement évacué et une enquête est en cours pour déterminer la cause de l’incendie. Selon Kiev, le croiseur a pris feu après avoir été touché par des missiles.

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« Des missiles Neptune qui protègent la mer Noire ont causé d’importants dégâts à ce navire russe », a affirmé le gouverneur ukrainien de la région d’Odessa (sud), Maxime Martchenko.

Quelle que soit la cause, cela prouve que l’armée russe n’est pas aussi dominatrice qu’on le croyait, mal formée et mal entraînée, vulnérable.

Un nouvel échange de prisonniers a eu lieu hier jeudi : « Sur ordre du président Volodymyr Zelensky, un quatrième échange de prisonniers a eu lieu jeudi. Cinq officiers et dix-sept militaires ont été échangés, ainsi que huit civils, dont une femme », a écrit la vice-première ministre ukrainienne, Iryna Verechtchouk, sur Telegram. « Au total, trente de nos concitoyens rentrent chez eux aujourd’hui », s’est-elle félicitée. Mme Verechtchouk n’a pas précisé le nombre de Russes échangés contre ces Ukrainiens.

Ce nouvel échange intervient cinq jours après la libération de douze soldats et quatorze civils ukrainiens, toujours d’après Kiev. Plusieurs échanges de militaires et de civils ont déjà eu lieu entre Ukrainiens et Russes depuis le début de l’invasion, le 24 février, sans être chaque fois confirmés officiellement par les deux parties.

Alors que les combats continuent à Marioupol, des combats de rues, presque au corps à corps, et que l’on signale toujours des morts dans des frappes russes à Kharkiv, le gouverneur d’une région russe limitrophe de l’Ukraine a accusé les forces de Kiev d’avoir bombardé ce jeudi la localité frontalière russe de Klimovo, faisant état de blessés. Il n’était pas possible de vérifier le bien-fondé de ces accusations de manière indépendante. Mercredi soir, l’armée russe avait menacé de frapper des centres de commandement dans la capitale ukrainienne Kiev, que Moscou a renoncé pour l’heure à prendre, accusant l’Ukraine de tirs et de sabotages sur le territoire russe. « Nous voyons des tentatives de sabotage et de frappes des forces ukrainienne sur des cibles sur le territoire de la Fédération de Russie », a déclaré Igor Konachenkov, le porte-parole du ministère russe de la Défense. « Si de tels événements se poursuivent, des frappes seront menées par l’armée russe sur des centres de prise de décision, y compris à Kiev, ce que l’armée russe s’est retenue de faire jusqu’à présent », a-t-il poursuivi.

                                                           Génocide ?

Joe Biden puis Justin Trudeau ont qualifié de « génocide » les crimes commis par les forces russes à l’encontre des Ukrainiens. Interrogé, Emmanuel Macron a déclaré ce jeudi qu’il ne souhaitait pas entrer dans une « escalade verbale » au sujet des crimes de guerre commis par l’armée russe en Ukraine, en refusant de parler de « génocide ». « Le mot de “génocide” doit être qualifié par des juristes, pas par des politiques », a ajouté le chef de l’Etat pour qui « Les mots ont un sens et il faut être tous très prudents, parce que mon rôle est évidemment d’essayer de bâtir la paix, en tout cas de stopper cette guerre, et donc d’éviter à tout prix l’escalade et de protéger les Françaises et les Français contre une extension de la guerre ».

Ce refus du président français -et aussi du chancelier allemand- de dénoncer un « génocide » en Ukraine par l’armée russe est « très blessant », a déploré Volodymyr Zelensky.

Le concept de génocide, théorisé par le juriste Raphaël Lemkin en 1944, est maintenant une notion de droit pénal international très précise qui a été défini dans une convention de l’ONU en 1948. Selon cette convention, le génocide s’entend « d’un certain nombre d’actes commis dans l’intention de détruire intégralement ou en partie un groupe national, ethnique, racial ou religieux ». Carole André-Dessornes, géopolitologue et chercheuse associée à la Fondation pour la Recherche stratégique, insiste sur la planification et sur l’intention qui sont inhérentes à la notion de génocide : « Il faut vraiment une intention de détruire tout un peuple, de l’exterminer, de l’effacer. Tous les génocides donnent l’impression qu’ils sont soudains mais ils sont en fait préparés lentement. Cela passe par des discours qui vont servir à déshumaniser l’autre avant de passer à l’acte. »Même si l’on peut considérer que les crimes commis par les Russes en Ukraine relèvent du génocide, cette qualification ne peut être confirmée que par les tribunaux à l’issue d’enquêtes qui auraient permis de, trouver les éléments qui prouvent qu’il y avait bien une intention délibérée de massacrer tout un peuple. Trois génocides seulement ont été reconnus au plan juridique, ceux des Arméniens commis par l’Empire Ottoman,  des Juifs et des Tsiganes commis par les nazis en Allemagne, en Pologne et en France et des Tutsis au Rwanda, commis par les milices hutues 

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