L’enseignant et chercheur en économie, Aram Belhadj, souligne que le Fonds monétaire international (FMI) n’a pas publié les perspectives économiques à moyen terme pour la Tunisie (2023 – 2027), dans son dernier rapport ; un précédent, selon ses dires.
L’institution financière l’a imputé aux pourparlers techniques, en cours actuellement, dans le cadre de l’accord attendu, écrit-il souligné en substance.
L’économiste suppose que « cette décision subite » du FMI tienne au fait qu’il n’est pas jusque-là convaincu des promesses et programme de réformes présentés par le gouvernement tunisien.
