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L'Algérie s'oppose à la référence au Maroc dans un communiqué sur Al-Qods  et entrave son adoption | SNRTNews

ALGERIE-AL QODS – Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, s’est entretenu mardi au téléphone avec nombre de ses homologues de pays arabes, appelant à cette occasion a “une réaction prompte et adéquate de la communauté internationale face à l’escalade de la répression (sioniste) et à l’accroissement du nombre des victimes palestiniennes”.

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“Dans le cadre des efforts de l’Algérie visant à assurer une protection internationale en faveur de la population palestinienne civile a Al Qods et à mettre fin à la répression des forces d’occupation, Lamamra a eu des consultations avec plusieurs de ses homologues des pays arabes, dont notamment le Palestinien Riyad Al-Malki, le Jordanien Ayman Safadi, le Tunisien Othman Jerandi, ainsi qu’avec le Secrétaire général de la Ligue des Etats arabes Ahmed Abul-Gheit”, a indiqué un communiqué du ministère des Affaires étrangères. “Le chef de la diplomatie algérienne a mis en évidence l’urgence d’une réaction prompte et adéquate de la communauté internationale face à l’escalade de la répression et à l’accroissement du nombre des victimes palestiniennes”, ajoute le texte. Alger continue de dénoncer « le comportement inacceptable » du Maroc qui dément et accuse à son tour.

MAROC – Le Syndicat de l’Union marocaine du travail (UMT) a adressé une note au gouvernement demandant, entre autres, une augmentation de 1000 DH sur le salaire des fonctionnaires et des employés du secteur public. Dans un contexte marqué par une forte inflation et la dégradation du pouvoir d’achat des Marocains, le syndicat a appelé à ce que le salaire minimum du secteur soit porté à 4000 DH. Une revendication qui fait partie de 66 points répartis en dix axes. L’UMT exige également la diminution de la pression fiscale sur les citoyens notamment la suppression de l’impôt sur les pensions de retraite ainsi que l’élaboration d’une offre de logement adéquate pour les fonctionnaires. 

Le salaire moyen dans la fonction publique au Maroc a connu une hausse de 15,71 % lors de la dernière décennie, selon le ministère de l’Économie et des finances. Ce salaire est passé de 7150 DH à 8237 DH, soit une augmentation annuelle moyenne de 2,15 %, malgré la crise sanitaire et économique, a révélé le rapport sur les ressources humaines annexe au projet de loi de finances (PLF) au titre de l’exercice 2022.

MAROC-ESPAGNE – « Nous suivons de près toute activité susceptible de toucher aux intérêts de l’Espagne dans les eaux sous sa souveraineté ou sa juridiction », ont assuré des sources diplomatiques espagnoles à Europa Press, réagissant à l’annonce du Maroc de réactiver l’exploration pétrolière à Tarfaya, au large de Lanzarote et de Fuerteventura. Les mêmes sources ajoutent que « le gouvernement est ferme dans la défense des intérêts de l’Espagne et fidèle à ses positions sur la délimitation des espaces maritimes conformément au droit international ».

Le secrétaire général de la Coalition canarienne-PNC, Fernando Clavijo, a déclaré lundi que ni Pedro Sanchez, ni le président des îles Canaries, Ángel Víctor Torres, « ne vont lever le petit doigt » pour empêcher cette exploration pétrolière du Maroc près de Lanzarote et Fuerteventura. Le député de Nueva Canarias (NC) au Congrès, Pedro Quevedo, a exigé pour sa part que Sanchez entame immédiatement des négociations avec le Maroc pour la délimitation des eaux territoriales des deux pays avec la participation des îles Canaries. Dans la déclaration commune qui a sanctionné la rencontre de Sanchez avec le roi Mohammed VI à Rabat le 7 avril, il a été convenu de réactiver le « groupe de travail sur la délimitation des espaces maritimes sur la côte atlantique dans le but de faire des progrès concrets ».

Years of Tensions between Lebanon's Aoun and Berri Culminate in  Constitutional Dispute | Asharq AL-awsat

LIBAN- Bien que engagés ensemble dans la bataille électorale, les deux camps du président de la République Michel Aoun et de la Chambre, Nabih Berry, dont les rapports n’ont jamais été au beau fixe, ont récemment replongé dans les querelles et les échanges d’accusation. Réagissant au quart de tour à une question relative aux critiques du président Aoun contre le tandem Amal-Hezbollah, le président de la commission parlementaire des Finances et du Budget Ali Hassan Khalil (Amal) s’est déchaîné contre le chef de l’Etat.  » Il est vrai qu’il ne nous a pas nommés mais il était évident qu’il parlait de nous. Ma question est la suivante : qui a bloqué les permutations judiciaires pendant deux ans ? Il est important que le chef de l’Etat y réponde et qu’il nous explique les raisons pour lesquelles l’action de la justice a été bloquée de ce fait « , a lancé Ali Hassan Khalil. Dimanche, répondant aux questions de la presse au sujet du blocage l’enquête sur l’explosion meurtrière du 4 août 2020 au port de Beyrouth, Michel Aoun en avait attribué la responsabilité au tandem Amal-Hezbollah, mais sans le nommer :   » C’est la même partie qui a bloqué le Conseil des ministres. Elle est connue. Pourquoi me posez-vous la question alors que vous connaissez la réponse  » ? Il faisait ainsi allusion à la campagne menée par Amal et le Hezbollah contre le juge d’instruction Tarek Bitar et la cascade de recours présentés contre lui par les avocats des responsables politiques proches de ces deux formations et dont la responsabilité administrative avait été retenue par le magistrat. M. Aoun faisait aussi allusion au blocage du gouvernement par les ministres chiites qui s’étaient retirés d’une de ses réunions quelques semaines seulement après sa formation en septembre 2021 pour le contraindre à prendre position contre Tarek Bitar.

SOUDAN – Vendredi dernier, le général Abdel Fatah Al Burhan avait annoncé la libération imminente de membres des Forces pour la liberté et le changement arrêtés il y a plus de deux mois. Une libération annoncée afin de faciliter un éventuel dialogue entre Soudanais. Mais ils sont toujours détenus. Selon l’opposition, ils sont plus d’une vingtaine à être incarcérés à la prison de Soba à Khartoum. Des hauts cadres de partis politiques et de la société civile. Parmi eux, Khaled Omar Youssef, ex-ministre du Gouvernement civil, arrêté le 9 février. Ou bien Muhammad al Faki Suleiman, ancien membre du Conseil souverain, arrêté le 13 février. Quasiment tous étaient membres du Comité de démantèlement de l’ancien régime avant leur arrestation. Pour la première fois lundi, un groupe d’avocats a pu rencontrer cinq d’entre d’eux. Ils n’ont été ni interrogés, ni inculpés, ils ne savent toujours pas pourquoi ils sont là, explique Maître Omar Al Farouk Shumena. « Ils ne savent toujours pas pourquoi ils sont en détention ».

INSOLITE – Après deux ans d’une vie quasiment sous cloche, certains préparent déjà un tout autre confinement. Inquiets de voir la guerre en Ukraine durer, effrayés à l’idée d’une internationalisation du conflit, anxieux face au risque nucléaire, de plus en plus de Français cherchent à se faire construire un abri antiatomique. Un refuge, autonome en énergie, eau et alimentation, qui pourrait constituer un lieu de repli en cas de catastrophe. Dans un pays qui ne compterait qu’un millier de bunkers – quelque 600 militaires et 400 privés, selon Artemis Protection, fabricant d’abris antiatomiques -, les entreprises spécialisées croulent aujourd’hui sous les commandes.

«284, c’est le nombre de demandes de devis reçues le 25 février pour la construction d’un bunker NRBC.» Chez Bünkl, on en est encore stupéfait: au lendemain de l’invasion de l’Ukraine, l’entreprise était assaillie de demandes, à propos de ses abris destinés à faire face aux risques nucléaire, radiologique, biologique et chimique. «Cela avait commencé pendant la crise du Covid, mais la guerre a agi comme un détonateur, précise le patron. Les demandes viennent de toute la France – et non plus seulement des alentours des sites Seveso -, de tous âges et de toutes classes sociales.» Pour Amesis Bat, «c’est une explosion: + 4 000 % par rapport à avant la guerre, détaille le gérant, Enzo Petrone. Quand je pense qu’à nos débuts, en 2012, on nous riait au nez… Aujourd’hui, on a un appel toutes les vingt minutes environ, contre huit ou neuf par an en période normale. Les gens paniquent, et il y a de quoi! Les trois points d’inquiétude majeurs sont la bombe nucléaire, des émeutes de la faim et un cataclysme climatique».

Chez Refuge dans mon jardin, créé en octobre dernier, voilà les carnets de commandes déjà remplis: «On a eu 300 demandes de renseignements en six semaines, dont une quinzaine doit se concrétiser, commente Florence Sanner, la créatrice de l’entreprise. Du coup, je vais embaucher!» Le premier chantier se déroule «chez un couple de trentenaires avec deux enfants, dans une zone résidentielle pas très loin d’une centrale nucléaire, décrit-elle. Il y a aussi ces agriculteurs, qui veulent un grand modèle pour stocker un maximum de nourriture, avec des panneaux solaires pour être autonomes en électricité».

Un point commun chez ces citoyens angoissés: «la discrétion». Une des premières questions concerne «les mesures de protection pour que ça ne se sache pas dans le voisinage». Afin de faire oublier le confinement et «rendre les choses presque désirables», insiste-t-on chez Bünkl, «on a travaillé le côté déco, et on parle de “cocon cosy” plutôt que de bunker». «Choisissez votre ambiance», «harmonisez la couleur de votre porte», «installez un home cinéma», conseille-t-on, tandis que des «éclairages à spectre de luminothérapie» sont prévus, «qui simulent à la perfection le cycle circadien» afin de préserver «l’équilibre temporel de votre organisme». Chez Amesis Bat, on propose «des écrans au plafond pour simuler le ciel». Ici, le premier prix est à 96.000 euros, pour 14 m2, qui peuvent accueillir 6 personnes dans des lits superposés à trois étages. Pour 26 m2, il faudra compter 116.000 euros. «Mais ça peut multiplier par trois la valeur de la maison ! 

Julian Assange : la justice britannique annule en appel le refus d'extrader  - Le Parisien

ASSANGE- Le tribunal de Westminster Magistrates à Londres a officiellement rendu une ordonnance d’extradition et il revient désormais à la ministre britannique de l’Intérieur, Priti Patel, de l’approuver, ce qui ne semble faire aucun doute.   « En termes simples, je suis tenu d’envoyer votre affaire à la ministre d’État pour décision« , a déclaré le magistrat Paul Goldspring lors d’une courte audience de sept minutes.   Le fondateur de WikiLeaks, âgé de 50 ans, n’était pas présent physiquement au tribunal mais a suivi la procédure administrative par liaison vidéo. Les avocats de Julian Assange peuvent encore faire appel. 

À moins d’un appel, Julian Assange sera extradé dans les 28 jours suivant la décision de la ministre d’ordonner l’extradition. 

À l’extérieur du tribunal, quelques dizaines de soutiens de Julian Assange s’étaient rassemblés mercredi avec des pancartes proclamant « N’extradez pas Assange. Le journalisme n’est pas un crime » ou encore « Que la liberté de la presse repose en paix« . 

Parmi eux, Carolina Graterol, journaliste âgée de 55 ans, qui a dénoncé une « parodie de justice » et a confié être « pessimiste« .  « Je pense que malheureusement il mourra en prison s’il est envoyé (aux Etats-Unis)« , a-t-elle dit à l’AFP. 

L’ancien chef du Parti travailliste, Jeremy Corbyn, était également présent pour défendre l’Australien.

GRANDE BRETAGNE – Le Premier ministre britannique Boris Johnson s’est excusé « sans réserve » devant le Parlement ce mardi après s’être vu infliger une amende pour avoir enfreint les restrictions anti-covid, sans convaincre l’opposition qui une fois encore a demandé sa démission. Boris Johnson est le premier chef de gouvernement britannique en exercice sanctionné pour avoir enfreint la loi et il risque d’autres amendes dans le cadre de l’enquête sur le « partygate », nom du scandale des fêtes organisées dans les cercles du pouvoir pendant les confinements mis en place contre la pandémie.

Le dirigeant conservateur s’adressait aux députés pour la première fois depuis qu’il a dû payer une amende de 50 livres sterling (60 euros) il y a une semaine, pour avoir participé à cet anniversaire surprise pour ses 56 ans le 19 juin 2020. Un événement de « moins de 10 minutes », selon lui, qui a également valu à son épouse Carrie et son ministre des Finances Rishi Sunak d’être sanctionnés. Il a toutefois tenté de minimiser mardi l’importance du scandale qui exaspère les Britanniques en passant au bout de quelques minutes au sujet de l’invasion russe en Ukraine. « Je sais que de nombreuses personnes sont en colère et déçues et je ressens une obligation encore plus importante de respecter les priorités des Britanniques et de répondre à l’attaque barbare de Poutine contre l’Ukraine.

Face à la crise économique, les Sri Lankais appellent à la démission du  président | Les Echos

SRI LANKA – Les manifestations qui se déroulent depuis plusieurs semaines au Sri Lanka face à la crise économique s’intensifient.

Un couvre-feu était maintenu ce mercredi dans le centre du Sri Lanka appelé à la retenue par la communauté internationale, au lendemain de la mort d’un homme dans des manifestations antigouvernementales qui s’amplifient sur l’île en quête d’un renflouement du Fonds monétaire international (FMI). L’île de 22 millions d’habitants, où les pénuries généralisées s’accentuent, manque cruellement de dollars pour financer l’importation de produits de première nécessité (denrées alimentaires, carburant, médicaments). La population à bout manifeste chaque jour sa colère dans tout le pays depuis plusieurs semaines et appelle le président Gotabaya Rajapaksa à démissionner.

En proie à sa pire crise économique depuis son indépendance en 1948, le Sri Lanka a annoncé le 12 avril faire défaut sur sa dette extérieure de 51 milliards de dollars. Les tarifs des transports publics devraient augmenter de 35 % mercredi, au lendemain de la hausse du prix du diesel de près de 65 %. Le prix du pain a bondi de près de 30 %. Dans le centre de l’île, à Rambukkana, à 95 km de Colombo, des manifestations contre les pénuries de carburant et la hausse des prix ont dégénéré mardi. Les forces de l’ordre ont lancé des gaz lacrymogènes et tiré à balles réelles pour disperser la foule en colère. Un père de deux enfants, âgé de 42 ans, a été tué et près de 30 personnes dont 11 policiers ont été blessées, selon les autorités. Un couvre-feu décrété était maintenu ce mercredi dans la ville où les commerces sont restés fermés toute la matinée.

Les principales missions étrangères basées à Colombo, notamment celles des États-Unis, de la Grande-Bretagne, ont fait part de leur inquiétude et appelé à la retenue de toutes les parties.

TAÏWAN – « CTS présente ses sincères excuses pour cette grave erreur qui a semé la panique parmi le public et causé des problèmes aux unités concernées. » Une chaîne de télévision taïwanaise s’est excusée, ce mercredi 20 avril, après avoir diffusé par erreur une série d’alertes indiquant que la Chine avait lancé des attaques contre l’île pendant l’édition matinale de son journal. Le média chinois, basé à Taipei, a suscité l’inquiétude après avoir diffusé plusieurs alertes, notamment « La ville de New Taipei est touchée par des missiles guidés de l’armée communiste » et « Des navires ont explosé, des installations et des bateaux ont été endommagés dans le port de Taipei ». CTS a attribué cette méprise au personnel, qui a diffusé par erreur le contenu d’exercices de prévention que la station avait été chargée de produire pour les pompiers de la ville de New Taipei. Certains internautes ont réagi avec colère et mépris. Il n’y avait cependant aucun signe de panique dans les rues de Taipei ce mercredi matin.

RUSSIE – Le milliardaire russe Oleg Tinkov, fondateur de la banque en ligne Tinkoff, grand succès FinTech de ces dernières années, a fustigé ce mardi 19 avril une guerre “absurde” russe en Ukraine et a appelé l’Occident à aider à mettre fin à ce “massacre”. “90% des Russes sont CONTRE cette guerre”, a assuré Oleg Tinkov, 54 ans, sur Instagram, en soulignant ne voir “AUCUN bénéficiaire de cette guerre absurde” où “des gens et des soldats innocents meurent”. “En se réveillant avec une gueule de bois, les généraux ont compris qu’ils avaient une armée de merde”, a affirmé ce mardi Oleg Tinkoff, en ajoutant: “Et comment l’armée peut être bonne si tout le reste dans le pays c’est de la merde plongée dans le népotisme et la servilité?”

 Fondée en 2006, la banque Tinkoff a connu une croissance rapide et a revendiqué en 2020 être la troisième banque de détail de Russie derrière les géants publics Sberbank et VTB. La banque Tinkoff affirme compter aujourd’hui quelque 20 millions de clients. 

Milliardaire haut en couleur, Oleg Tinkov a connu une période mouvementée. Il a annoncé début 2020 être atteint d’une leucémie, peu après avoir été arrêté à Londres, les États-Unis l’accusant de fraude fiscale et demandant son extradition. Il a ensuite été libéré sous caution et a suivi un traitement à Londres.

Oleg Tinkov, qui a quitté le poste de PDG de la banque Tinkoff en 2020, est visé actuellement par des sanctions britanniques décidées en lien avec l’offensive russe en Ukraine.

En Afrique du Sud, des inondations causent la mort d'environ vingt personnes

AFRIQUE DU SUD – Après avoir été frappée par des inondations meurtrières, l’Afrique du Sud a commencé, mardi 19 avril, à évaluer les destructions d’une semaine de violentes intempéries dans la région de Durban, sur la côte est. Au moins 448 personnes ont été tuées, selon un nouveau bilan communiqué dans la soirée, et les premières estimations économiques se montent à plusieurs centaines de millions d’euros. « Cinq nouveaux corps ont été retrouvés aujourd’hui », a déclaré sur le terrain le ministre en chef de la province, Sihle Zikalala. « Les pires inondations que nous ayons jamais vues », a déploré, plus tôt, la ministre chargée de la gestion des catastrophes, Nkosazana Dlamini-Zuma. 

Les autorités prévoient des centaines de millions d’euros de dommages. Une première estimation pour la réparation des seules infrastructures routières se monte à près de 354 millions d’euros. Le gouvernement avait déjà annoncé la semaine dernière un fonds d’urgence de 63 millions d’euros pour la région, qui a déjà connu des destructions massives en juillet lors d’une vague inédite d’émeutes et de pillages.

Certains s’inquiètent déjà de possibles détournements, dans un pays qui a une longue histoire de corruption : « Il doit y avoir une transparence absolue », a réclamé Karam Singh, de l’ONG Corruption Watch.

CÔTE D’IVOIRE – Devant les deux chambres réunies en Congrès, le président ivoirien Alassane Ouattara a annoncé, ce mardi 19 avril, la nomination d’un nouveau vice-président. Il s’agit de Tiémoko Meyliet Koné, actuel gouverneur de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest. Il a prêté serment ce matin. Le poste était vacant depuis juillet 2020. La nomination de Tiémoko Meyliet Koné au poste de vice-président de Côte d’Ivoire est une petite surprise. Son nom n’apparaissait presque jamais dans les pronostics ces derniers jours.

Quoi qu’il en soit, le président Alassane Ouattara n’a pas tari d’éloges sur lui, saluant son expérience gouvernementale il y a une quinzaine d’années, parlant de lui comme d’un « technocrate hors pair », un « brillant économiste », « un homme de consensus et de probité ».

À bientôt 73 ans, Tiémoko Meyliet Koné est gouverneur de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) depuis 2011. Un mandat qu’il va devoir écourter pour regagner Abidjan, la BCEAO étant basée à Dakar, au Sénégal.

GRECE – Une ONG grecque a accusé Athènes ce mercredi d’abandonner des dizaines de migrants, dont plusieurs enfants, bloqués sur le fleuve Evros à la frontière avec la Turquie. Le Conseil grec pour les réfugiés (CGR) dit avoir demandé lundi aux autorités grecques de porter secours à 46 migrants, dont 10 mineurs, coincés sur un îlot du fleuve Evros, dans le nord du pays. Cette requête était restée sans réponse ce mercredi, a précisé l’ONG dans un communiqué.

Interpellées sur un autre groupe de 37 migrants, dont 16 enfants, les autorités grecques ont indiqué la semaine dernière ne pas avoir pu les localiser et avoir ensuite perdu contact avec eux, a rapporté le CGR. Au total, depuis janvier 2022, l’organisation dit avoir alerté les autorités sur la nécessité de secourir au moins 230 migrants originaires de Syrie, Turquie, Afghanistan et Irak dans la région d’Evros. Dans certains cas, elle dit n’avoir jamais reçu de réponse.

Dans au moins trois cas, le CGR précise avoir eu connaissance que des migrants de Turquie et de Syrie avaient été refoulés en Turquie sans avoir pu demander l’asile. Athènes a toujours démenti les allégations de refoulement illégal de migrants aux frontières, en dépit des accusations régulières d’ONG et de médias.

Il faut agir contre le travail forcé des Ouïghours | IndustriALL

CHINE – Le Parlement chinois a ratifié ce mercredi les conventions internationales interdisant le travail forcé, alors que la Chine est accusée de recourir à cette forme de travail dans sa région à majorité musulmane du Xinjiang (nord-ouest). La ratification par la Chine des conventions de l’Organisation internationale du travail (OIT) sur le travail forcé était une des conditions posées par l’Union européenne pour ratifier un accord bilatéral sur les investissements signé fin 2020.

Le comité permanent de l’Assemblée nationale populaire (ANP, le Parlement chinois) a ratifié la convention de 1930 sur le travail forcé et celle de 1957 sur l’abolition du travail forcé, a annoncé le Parlement à l’issue d’une session de trois jours.

Cette ratification survient alors qu’un comité d’experts de l’OIT avait en février dernier fait part de sa « profonde inquiétude » face au traitement des minorités ethniques et religieuses en Chine, notamment au Xinjiang.

Selon des organisations de défense des droits humains, au moins un million de Ouïghours et membres d’autres ethnies musulmanes sont ou ont été incarcérés dans des camps dans cette région du nord-ouest de la Chine.

TIMOR – Le prix Nobel de la paix Jose Ramos-Horta a remporté l’élection présidentielle au Timor oriental, selon les résultats préliminaires annoncés ce mercredi par les autorités électorales. M. Ramos-Horta, qui avait déjà dirigé le pays entre 2007 et 2012, a obtenu 62,09% des voix contre 37,91% pour le président sortant Francisco « Lu Olo » Guterres.

Ce duel au second tour était identique à celui de 2007, déjà remporté haut la main (avec 69% des voix) par M. Ramos-Horta.

Jose Ramos-Horta, 72 ans, débutera son quinquennat le 20 mai, jour du 20e anniversaire de l’indépendance du Timor oriental après 24 ans d’occupation indonésienne. Il a promis de résoudre un blocage politique de plusieurs années dans cette ancienne colonie portugaise de 1,3 million d’habitants, dû à un affrontement des deux principales forces politiques.

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