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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 3 ans
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Dans le monde, ces dernières heures…
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SYRIE – Jusqu’à 100 combattants radicaux ont été éliminés en Syrie dans les frappes des Forces aérospatiales russes, a annoncé le dimanche 16 octobre le Centre pour la réconciliation en Syrie.

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Selon Oleg Egorov, chef adjoint du Centre russe pour la réconciliation des parties syriennes, les raids ont eu lieu dans le nord-ouest de la République arabe, où plusieurs groupes radicaux continuent à s’affronter.

Dans le même temps, jusqu’à 15 véhicules équipés de mitrailleuses ont été détruits dans les frappes, a fait savoir M. Egorov, cité par Sputnik.

De son côté, le Centre russe de réconciliation entre les parties en conflit en Syrie a annoncé, le dimanche, la mise en œuvre d’une opération conjointe entre les forces russes et syriennes, qui a entraîné la mort de 20 membres du groupe takfiro-wahhabite Daech, dans le gouvernorat de Deraa, dans le sud de la Syrie, a rapporté la télévision libanaises AlMayadeen.

IRAK – Les autorités du Kurdistan autonome, dans le nord de l’Irak, ont dévoilé ce dimanche 16 octobre la première phase d’un « parc archéologique » abritant des vestiges vieux de 2 700 ans : d’imposants bas-reliefs sculptés sur les parois d’un canal d’irrigation de l’époque assyrienne.

Ces panneaux, sur le site de Faida, ont été mis au jour en plusieurs étapes ces dernières années, par une mission réunissant des archéologues italiens de l’Université d’Udine et leurs homologues de la région du Kurdistan. Ils remontent aux règnes du roi assyrien Sargon II (721-705 avant J.-C.) et de son fils et successeur Sénnachérib.

Faida est le premier d’un total de cinq parcs similaires que les autorités du Kurdistan ambitionnent de créer. A terme, ce projet constituera « une attraction touristique et une source de revenus », a indiqué lors de l’inauguration Bekas Brefkany, de la Direction des antiquités de Dohouk, province du Kurdistan autonome. Pour le moment, l’accès au parc de Faida sera « limité aux touristes étrangers (…), aux chercheurs et aux experts », a-t-il précisé.

Le site abrite un canal d’irrigation datant de l’époque assyrienne, long de dix kilomètres. Treize bas-reliefs monumentaux, sculptés dans ses parois, ont été découverts à ce jour. « Peut-être que dans le futur d’autres panneaux seront découverts », espère Bekas Brefkany. Ils auraient été commandés soit par Sargon II, soit par Sénnachérib expliquait en 2021 à l’AFP Daniele Morandi Bonacossi, co-directeur italien de la mission archéologique.

IRAN – Le bilan de l’incendie survenu samedi soir dans la prison d’Evin, un centre pénitentiaire du nord de Téhéran où sont détenus des opposants politiques et des ressortissants étrangers, s’est alourdi à huit morts, ont annoncé ce lundi les autorités judiciaires iraniennes.

Selon les autorités judiciaires, un atelier a été incendié « à la suite d’une bagarre entre un certain nombre de prisonniers condamnés pour des délits financiers et des vols ».

Des décès sont dus à l’inhalation de fumée et plus de 60 personnes ont été blessées, dont quatre sont dans un état critique, selon les médias d’Etat.

La prison d’Evin a été placée en 2018 sur la liste noire du gouvernement américain pour « graves violations des droits de l’homme ».

Selon la presse officielle, des forces contre-révolutionnaires sont à l’origine de l’incendie, avec l’aide de services de renseignement étrangers, dans le contexte des troubles qui agitent le pays depuis la mort le 16 septembre de la jeune Mahsa Amini aux mains de la police des mœurs à Téhéran.

Les organisations de défense des droits humains estiment qu’au moins 240 manifestants, dont 32 mineurs, ont été tués dans la répression du mouvement de contestation, ce que le gouvernement iranien nie.

Par ailleurs, plus de 8.000 personnes ont été arrêtées dans 111 villes, a indiqué samedi l’agence de presse militante iranienne HRANA.

IRAN – UE – Les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne ont adopté lundi des sanctions contre la police des mœurs et onze dirigeants iraniens impliqués dans la répression des manifestations déclenchées par la mort de Mahsa Amini.

La liste des sanctions, publiée au Journal officiel de l’Union européenne, inclut 11 responsables iraniens, dont le ministre des Technologies de l’information et des communications, Issa Zarepour, et quatre entités, dont la police des mœurs.

Ils feront l’objet d’une interdiction de visa et d’un gel des avoirs de la part de l’UE.

Cette liste, qui avait été approuvée la semaine dernière par les ambassadeurs de l’UE à Bruxelles, comprend aussi le chef de la police des mœurs iranienne, Mohammad Rostami Cheshmeh Gachi.

Le terme « police des mœurs (…) n’est pas vraiment approprié quand on voit les crimes qui sont commis là-bas », a déclaré la ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, à Luxembourg, où étaient réunis ce lundi les chefs de la diplomatie des Vingt-Sept.

La liste a été établie avant l’incendie à la prison d’Evine à Téhéran qui a fait morts et des dizaines de blessés. Des prisonniers politiques iraniens ainsi que des étrangers sont détenus dans cet établissement, dont l’universitaire franco-iranienne Fariba Adelkhah et l’Américain Siamak Namazi, qui sont en sécurité.

Fin septembre, l’Union européenne avait jugé « injustifiable et inacceptable » l’usage « généralisé et disproportionné de la force » contre les manifestants en Iran après la mort de Mahsa Amini, une jeune Kurde iranienne de 22 ans qui était détenue par la police des moeurs pour infraction au code vestimentaire qui impose notamment le port du voiles aux femmes.

L’Iran a averti qu’il réagirait « immédiatement » aux sanctions. 

LIBAN – Trois ans après le 17 octobre [2019], le bilan a forcément un goût d’amertume”, écrit le quotidien francophone libanais L’Orient-Le Jour dans son éditorial du jour à l’occasion du troisième anniversaire du mouvement inédit lancé au Liban le 17 octobre 2019 qui a secoué le pays et sur lequel se penche l’ensemble de la presse libanaise ce lundi.

Ce jour-là, une simple manifestation avait eu lieu à Beyrouth contre la volonté du gouvernement libanais de mettre en place une “taxe WhatsApp” sur les appels gratuits passés depuis ce type d’application, alors que le pays traversait déjà une crise économique et que les autorités avaient décrété deux mois plutôt un “état d’urgence économique”. Et cette manifestation s’est transformée en une contestation généralisée du pouvoir en place, et le mouvement s’est répandu à l’ensemble des communautés et des régions du pays.

Certes, “des dynamiques de transformations sociopolitiques sont observables au milieu du chaos ambiant”, note L’Orient-Le Jour, notamment au sein de la jeunesse et de la diaspora. La plupart des partis politiques semblent “en perte de vitesse”, et 13 députés issus de la contestation populaire ont fait leur entrée au Parlement lors des dernières législatives en mai, une première historique.

Mais tout cela peut paraître bien maigre par rapport à la réalité d’un pays qui se décompose et dans lequel les replis identitaires et les réflexes clientélistes réapparaissent à mesure que le naufrage se prolonge.”

À “l’ivresse des premières semaines” a succédé “un double sentiment de colère et de désillusion”, poursuit le journal. Non seulement parce que le mouvement de contestation contre le système, qualifié de “kleptocratie redistributive”, ne s’est pas structuré, notamment sur le plan des idées, mais également parce que la classe politique installée a usé de tous les moyens pour ne pas être emportée par cette vague.

ISRAËL – Si 277 700 visiteurs sont entrés en Israël en septembre 2022, dont 28 000 ont quitté le pays le même jour, ce chiffre est toutefois en baisse de 39% par rapport au nombre record de 436 500 visiteurs en 2019, avant la pandémie de coronavirus, rapporte le Bureau des statistiques.

Les chiffres de septembre sont même décevants pour un mois de fêtes où de nombreux Juifs de la diaspora se rendent traditionnellement dans le pays pour les vacances. La reprise du tourisme en Israël est en effet à la traîne par rapport à la moyenne mondiale qui a dépassé 60 % des chiffres pré-pandémie en juillet.

Les restrictions à l’entrée des touristes étrangers en Israël n’ont été entièrement levées qu’en mars dernier et le ministère du Tourisme s’attend à ce que le nombre de visiteurs en Israël en 2022 se situe entre 2,2 et 2,5 millions, bien en deçà du record de 2019 (4,55 millions).

Entre janvier et septembre 2022, seul 1,8 million de visiteurs sont venus en Israël, contre 3,5 millions en janvier-septembre 2019.

Cependant, le nombre d’Israéliens voyageant hors du pays a déjà dépassé le record de 2019. En septembre 2022, 967 100 Israéliens se sont envolés pour l’étranger, en hausse par rapport au précédent record de 928 900 en septembre 2019.

Entre janvier et septembre 2022, les Israéliens ont effectué 2 096 600 voyages à l’étranger, contre 2 380 400 de janvier à septembre 2019.

ETHIOPIE – Le gouvernement éthiopien a répété ce lundi être disposé à des pourparlers de paix, tout en disant vouloir prendre le contrôle de sites fédéraux dans la région septentrionale du Tigré, au lendemain d’un appel de l’Union africaine (UA) à y cesser « immédiatement » les hostilités.

Le gouvernement se dit « contraint de prendre des mesures défensives pour protéger la souveraineté et l’intégrité territoriale du pays » face « aux attaques répétées » des autorités rebelles du Tigré, en « collusion active » avec des « puissances étrangères hostiles », indiquent les autorités fédérales dans un communiqué.

« Il est donc impératif que le gouvernement d’Ethiopie prenne le contrôle immédiat de tous les aéroports, autres infrastructures fédérales et installations dans la région » du Tigré, poursuit-il. Et « tout en poursuivant ces objectifs », le gouvernement se dit « déterminé à une résolution pacifique du conflit via les pourparlers de paix sous l’égide de l’UA ».

Le président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, avait appelé dimanche à « un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel », se disant « gravement inquiet des informations sur l’intensification des combats » au Tigré.

L’ONU, les Etats-Unis et l’Union européenne (UE) notamment ont fait part de leurs inquiétudes ce weekend, notamment au sujet des bombardements sur la ville de Shire, à environ 40 km au sud de la frontière éthiopienne avec l’Érythrée.

Les rebelles du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF) se sont dits « prêts à respecter une cessation immédiate des hostilités. »

Le bilan de cette guerre meurtrière est inconnu. Mais elle a provoqué une catastrophe humanitaire, déplaçant plus de deux millions de personnes et plongeant des centaines de milliers d’Ethiopiens dans des conditions proches de la famine, selon l’ONU.

RDC-CHINE – Dans tous les discours publics, les autorités chinoises et congolaises louent les relations entre les deux pays. Cependant à Kinshasa, beaucoup estiment que les partenaires chinois peuvent faire mieux, rapporte RFI.

Sur le plan politique, Samuel Adubango Awotho, vice-ministre des Affaires étrangères, attend un peu plus de la République populaire de Chine, comme membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies : « Nous tenons à cela. Que la Chine porte la voix de la RDC à une certaine sphère, au niveau mondial. Il faut que la voix du peuple congolais soit entendue », plaide-t-il. 

Masudi Katako, membre de l’Association de l’amitié sino-congolaise, souhaite que la population y trouve son compte : « Il va falloir que ce principe dit « gagnant-gagnant » ne soit pas qu’au profit de l’élite. Il faut faire descendre l’intérêt, les prébendes de ce principe jusqu’au niveau de la population. »

Plus concrètement, le sénateur Jérôme Bikenge Musimbi espère que la RDC sortira de sa posture actuelle en demandant une évolution du partenariat. « Jusque-là, la RDC n’est qu’un pays qui produit et qui vend ses produits à l’état brut. Nous attendons de la Chine des réalisations au niveau des transferts des technologies, essentiellement, des industries de transformation ».

Aujourd’hui, dans différents échanges, Congolais et Chinois se disent convaincus également que la coopération doit dépasser le secteur minier et se développer dans d’autres domaines comme les industries manufacturières. Cependant, ce cap n’est pas encore franchi.

RWANDA-CHINE – La Banque de Kigali, le plus grand prêteur commercial du Rwanda, et Ant Group, un important fournisseur chinois de technologies de services financiers, ont lancé jeudi à Kigali, la capitale rwandaise, un service de transfert de fonds instantané du Rwanda vers la Chine.

Le service, sous l’initiative de la finance inclusive telle que définie dans le cadre de la coopération de la plate-forme mondiale de commerce électronique (eWTP), devrait dynamiser les affaires entre les deux pays.

Ce service permet aux expéditeurs au Rwanda de transférer des fonds de leur compte auprès de la Banque de Kigali vers le compte Alipay du destinataire en Chine qui le recevra en yuan, la monnaie chinoise. Cette initiative s’inscrit dans le but d’apporter plus de commodité et d’efficacité aux PME et aux Chinois installés au Rwanda, grâce aux technologies numériques.

« Le nouveau service permettra aux gens de transférer des fonds du Rwanda vers la Chine pour une fraction du coût habituel. Ce n’est que le début, car nous sommes impatients de travailler davantage pour favoriser le commerce et l’investissement entre le Rwanda et la Chine », a déclaré Diane Karusisi, directrice générale de la Banque de Kigali lors de l’événement.

TANZANIE – La présidente de la Tanzanie, Samia Suluhu Hassan, s’est dite préoccupée par le taux de natalité élevé dans le pays et a appelé les citoyens à prendre des mesures de contrôle.

« Hier, j’ai été informée que dans le quartier de Buselesele, dans la région de Geita, un centre (de santé) accueille 1 000 enfants par mois. Maintenant, combien de salles de classe seront nécessaires après trois ans ? Qu’en est-il des centres de santé – combien en faudra-t-il pour desservir tous ces enfants ? Combien de tonnes de nourriture seront nécessaires ? Réduisons le taux de naissance et prenons des mesures de contrôle », a-t-elle déclaré.

En 2018, lors d’un rassemblement dans l’ouest de la Tanzanie, l’ancien président Magufuli avait qualifié de paresseuses les personnes qui utilisent des contraceptifs.

Et en 2016, après le lancement de l’enseignement primaire et secondaire gratuit dans le pays, il a déclaré : « Les femmes peuvent jeter leurs contraceptifs. L’éducation est désormais gratuite. »

La Banque mondiale estime le taux de fécondité de la Tanzanie à 4,8 naissances par femme en 2020. Le taux de natalité élevé est attribué aux mariages précoces et à la faible utilisation de la contraception.

La Tanzanie compte une population d’environ 60 millions d’habitants, dont 49 % vivent avec moins de 2 dollars par jour.

AFRIQUE DU SUD – Deux gigantesques champs de gaz représentant au minimum 1 milliard de barils d’équivalent pétrole : tel est le nouveau coffre-fort de TotalEnergies, situé au large des côtes de l’Afrique du Sud.

En pleine crise énergétique mondiale, la compagnie pétrolière française est pressée d’exploiter ces gisements récemment découverts, rapporte Mediapart. L’organisation écologiste sud-africaine The Green Connection et l’ONG française contre la destruction de l’océan Bloom dévoilent ce 17 octobre que la multinationale a demandé aux autorités sud-africaines le 5 septembre dernier une licence de production pour extraire des fonds marins ces énormes volumes de combustible fossile.

En Afrique du Sud, le pétrolier s’apprête ainsi à investir 3 milliards de dollars pour démarrer ses opérations de forage sur ces deux gisements. Pour Bloom et The Green Connection, il s’agit d’un mégaprojet triplement nocif, pour le climat, pour l’exceptionnelle biodiversité des eaux de la région mais aussi pour les pêcheurs artisanaux.

Selon une récente étude du WWF (World Wide Fund for Nature), les activités industrielles gazières pourraient perturber les différentes espèces de baleines par « la pollution sonore sous-marine, la construction d’infrastructures de soutien, les fuites de pétrole, le transport maritime associé et le risque de marées noires importantes et catastrophiques ».

INSOLITE – Le ministre israélien du Tourisme, Yoel Razvozov, a diffusé dimanche sur les réseaux sociaux une vidéo sur le thème de James Bond, afin d’attirer les touristes en Israël alors que la saison des vacances touche à sa fin.

Dans cette vidéo d’une minute financée personnellement par le ministre, M. Razvozov reprend le rôle de l’acteur britannique Daniel Craig, qui incarne le fameux espion, en pataugeant dans l’eau, torse nu.

On voit également le ministre, qui est un ancien athlète, imiter le personnage, en portant un smoking et en marchant avec assurance dans divers sites touristiques du pays.

Dans le tweet présentant la vidéo, M. Razvozov a écrit : « Le nom est Israël. État d’Israël », en référence à la célèbre phrase d’accroche de l’espion britannique : « Mon nom est Bond, James Bond ».

Pour expliquer cette vidéo pour le moins originale, le ministre a affirmé avoir réfléchi à une façon de contribuer à sa manière au renforcement de l’image d’Israël dans le monde.

« Le marketing d’Israël dans le monde est un travail difficile et il est important que le ministère du Tourisme le fasse et investisse dans ce domaine », a-t-il ajouté.

Dans de précédents messages sur les réseaux sociaux, Yoel Razvozov avait indiqué qu’on le prend souvent pour Daniel Craig lorsqu’il est à l’étranger.

Membre du parti Yesh Atid du Premier ministre Yaïr Lapid, Razvozov a été par le passé un judoka accompli, représentant Israël aux championnats européens, aux championnats du monde et aux Jeux olympiques.

Il est entré en politique après avoir mis fin à sa carrière de sportif, à la suite d’une succession de blessures, mais il reste un athlète passionné et pratique régulièrement le surf.

SUEDE – Le dirigeant conservateur suédois Ulf Kristersson a été élu ce lundi Premier ministre par une majorité absolue au Parlement, avec un soutien inédit au gouvernement de l’extrême droite des Démocrates de Suède (SD) marquant une nouvelle ère politique pour le pays nordique.

Le chef du parti des Modérés, artisan d’un rapprochement sans précédent de la droite traditionnelle et du camp nationaliste aux élections législatives de septembre, a réuni 176 voix pour son élection comme chef de gouvernement, pour 173 contre.

Le vote a été salué par des applaudissements sur les bancs des trois partis de droite (Modérés, Chrétiens-démocrates, Libéraux) qui formeront le futur gouvernement, et des SD, très influente première formation de la majorité avec 73 sièges.

Pour devenir Premier ministre, Ulf Kristersson, 58 ans, ne devait pas avoir de majorité absolue contre lui.

Après huit ans de gauche au pouvoir, il succède à la cheffe du gouvernement sociale-démocrate Magdalena Andersson, qui assurait la transition après avoir présenté sa démission à l’issue des élections.

Vendredi, après plusieurs semaines de négociations, M. Kristersson avait présenté un accord politique avec les trois autres chefs de partis de la majorité, dont le patron des SD Jimmie Åkesson.

Ce dernier avait été le grand vainqueur des élections du 11 septembre, avec un score record de 20,5% des voix et le nouveau rang de deuxième parti de Suède derrière les sociaux-démocrates sortants.

Dans leur feuille de route de 62 pages présentée vendredi, les quatre partis prévoient notamment des mesures pour lutter contre la criminalité et réduire l’immigration, ainsi qu’une relance de l’énergie nucléaire que la Suède avait résorbé ces dernières décennies.

PAKISTAN – L’ancien Premier ministre pakistanais Imran Khan a remporté six des huit élections partielles auxquelles il se présentait personnellement ce weekend, selon des résultats provisoires communiqués ce lundi, dans un scrutin qu’il avait présenté comme un « référendum » sur sa popularité.

Ce résultat a été considéré par la presse pakistanaise comme une victoire personnelle pour l’ancien champion de cricket, renversé par une motion de censure à l’Assemblée nationale en avril et qui espère reprendre le pouvoir aux prochaines législatives, attendues d’ici octobre 2023.

Mais son parti, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), a aussi perdu deux sièges à cette occasion.

Le parti de M. Khan a déjà annoncé que celui-ci ne siègerait pas après ce succès électoral, ce qui entraînera encore d’autres scrutins.

Il est possible pour un candidat de se présenter à plusieurs sièges au Pakistan. S’il est élu dans différentes circonscriptions, il choisit celle qu’il représentera en tant que député et un nouveau scrutin est ensuite organisé dans les autres.

Il est toutefois rare pour un candidat de se présenter à autant de sièges. Cette stratégie n’avait clairement d’autre but pour M. Khan que de jauger sa popularité.

Depuis avril, M. Khan a organisé de vastes rassemblements pour faire pression sur la fragile coalition au pouvoir, et a promis d’annoncer bientôt la date d’une nouvelle « longue marche » sur Islamabad.

Il ne cesse de ressasser sa thèse selon laquelle sa chute aurait été le fruit d’une « conspiration » ourdie par les États-Unis, critique sans répit le gouvernement de son successeur, Shehbaz Sharif, et exige des élections anticipées.

Imran Khan était arrivé au pouvoir en 2018, après la victoire aux législatives du PTI, sur une plateforme populiste mêlant promesses de réformes sociales, conservatisme religieux et lutte contre la corruption.

Mais sous son mandat, la situation économique s’est dégradée et il a perdu le soutien de l’armée, qui avait été accusée d’avoir contribué à le faire élire.

CHINE – Pékin a « reporté » sine die la publication de ses chiffres de la croissance pour le troisième trimestre ainsi que d’autres indicateurs économiques, au moment où le Parti communiste tient son congrès.

Le Bureau national des statistiques, qui devait initialement dévoiler ce mardi une série d’indicateurs, n’a fourni aucune explication pour cet inhabituel changement de calendrier à la dernière minute.

Eminemment politique et sujet à caution, le chiffre officiel du PIB de la Chine n’en reste pas moins très scruté compte tenu du poids du pays comme deuxième économie mondiale.

Au deuxième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) du pays avait progressé de 0,4% seulement sur un an, sa pire performance depuis 2020, après 4,8% au premier trimestre.

A rebours de bon nombre de pays qui optent pour une cohabitation avec le virus et lèvent les restrictions, la Chine continue à suivre une stricte politique zéro Covid.

Ces mesures, qui entraînent fréquemment la fermeture inopinée d’entreprises et d’usines, pénalisent activité et déplacements, et pèsent lourdement sur la consommation des ménages.

Malgré son impact sur l’activité, le président Xi Jinping a réaffirmé dimanche le bien-fondé de sa politique zéro Covid à l’ouverture du 20e congrès du Parti communiste chinois, douchant tout espoir de retour à la normale.

Vendredi, la Chine avait déjà reporté sans aucune explication la publication de ses chiffres du commerce pour septembre.

SUISSE – ETATS-UNIS – Credit Suisse a annoncé lundi être parvenu à un accord définitif avec le procureur général du New Jersey pour régler le dernier litige sur les titres adossés à des créances hypothécaires qui datait de la crise financière de 2008.

L’incapacité pour les ménages de rembourser leurs prêts lors de la remontée des taux d’intérêt avait conduit à cette crise financière, dite des subprimes.

Les crédits subprimes, plus risqués pour le prêteur, étaient des emprunts hypothécaires à taux variables et accordés à des ménages à faibles revenus.

Credit Suisse, qui fait l’objet d’intenses rumeurs de presse et de marché à l’approche d’une mise au point sur sa stratégie après des scandales à répétition, s’acquittera d’un montant de 495 millions de dollars (507 millions d’euros) pour régler les demandes de dédommagements en justice, indique la banque dans un communiqué. Ce montant est couvert par des provisions, précise-t-elle.

L’accord avec le procureur américain « marque une autre étape importante dans les efforts de la banque pour régler pro-activement les litiges et questions du passé », affirme Crédit Suisse.

Le litige dans le New Jersey était le dernier mais aussi le plus important en termes de dédommagement en justice concernant ces titres.

Dans la plainte déposée en 2013, le procureur général de l’Etat du New Jersey reprochait à la banque de ne pas avoir suffisamment donné d’informations sur les risques concernant 10 milliards de dollars de titres adossés à des prêts immobiliers. Les demandes de dédommagements figurant dans la plainte se chiffraient à 3 milliards de dollars.

L’an passé, Credit Suisse avait encore augmenté ses provisions, mettant de côté 850 millions de dollars pour couvrir ces litiges.

JAPON – Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a ordonné ce lundi l’ouverture d’une enquête gouvernementale sur l’Eglise de l’Unification, un groupe religieux qui fait l’objet d’une attention accrue depuis l’assassinat en juillet de l’ancien dirigeant nippon Shinzo Abe.

L’assassin présumé de M. Abe, Tetsuya Yamagami, en voulait à cette organisation surnommée « secte Moon », à laquelle sa mère aurait fait des dons très importants, menant leur famille à la ruine. Le suspect pensait aussi que l’ancien Premier ministre était proche de la secte.

Le groupe a nié tout acte répréhensible, mais de nombreux anciens membres ont critiqué publiquement les pratiques de la secte Moon, accusée d’imposer des objectifs de dons à ses fidèles, et les révélations sur ses liens avec des personnalités politiques de premier plan au Japon ont contribué à faire baisser la cote de popularité du gouvernement de Fumio Kishida.

S’adressant au Parlement, le Premier ministre a signalé « de nombreuses victimes » de cette Eglise et de groupes apparentés, qui se sont retrouvées dans la pauvreté ou confrontées à de graves problèmes familiaux.

« Les efforts déployés pour les aider sont encore insuffisants », a-t-il déclaré, c’est pourquoi « le gouvernement exercera son droit d’enquêter sur l’Eglise (de l’Unification) en vertu de la loi sur les organisations religieuses ».

Le gouvernement souhaite également réviser certaines lois afin de faciliter l’annulation de contrats, et il « renforcera les initiatives pour prévenir des abus sur les enfants et aider les enfants des adeptes dans leur éducation et leur emploi », a déclaré M. Kishida.

Des médias locaux ont rapporté que l’enquête viserait à déterminer si l’Eglise de l’Unification a porté atteinte au bien-être public ou commis des actes incompatibles avec son statut de groupe religieux.

L’investigation pourrait aboutir à un ordre de dissolution au titre de la loi sur les organisations religieuses, qui ferait perdre à la secte Moon ce statut, ainsi que son exemption de taxes, mais elle pourrait continuer à fonctionner.

BRESIL – Les deux candidats à la présidentielle brésilienne, Jair Bolsonaro et Lula, se rendaient coup pour coup dimanche, s’accusant mutuellement de mentir lors de leur premier face à face télévisé, à deux semaines du second tour.

« Lula, arrêtez de mentir, un homme de votre âge! », a lancé le président d’extrême droite, 67 ans, lors des premières minutes de ce débat sur la chaîne Bandeirantes.

« C’est vous le roi des fausses informations, le roi de la stupidité », a rétorqué l’ancien chef de l’Etat de gauche Luiz Inacio Lula da Silva (2003-2010).

Lula, 76 ans, a consacré une bonne partie de son temps de parole au début du débat pour fustiger la « négligence » de son adversaire durant la pandémie de Covid-19, qui a fait plus de 680.000 morts au Brésil.

Jair Bolsonaro a pour sa part a accusé l’ancien métallo de « ne pas avoir la moindre préoccupation envers les plus pauvres », se félicitant d’avoir fait approuver des dépenses exceptionnelles élevant à 600 réais (environ 97 euros) les allocations versées aux familles les plus humbles.

 « Lula, tu devrais rentrer chez toi, profiter de la vie, plutôt que de revenir sur la scène du crime. Tu es une honte nationale ! », a lancé le candidat d’extrême droite, Jair Bolsonaro, fustigeant la « corruption en abondance au Brésil » durant les deux mandats de son adversaire. 
Lula, pour sa part, n’a pas hésité à traiter le président sortant de « petit dictateur ». Il l’accuse notamment de vouloir augmenter le nombre de magistrats de la Cour suprême pour affaiblir le pouvoir judiciaire.

SENEGAL – Des partisans du principal opposant sénégalais Ousmane Sonko, en tournée dans l’ouest du pays, ont été dispersés dimanche soir par la gendarmerie qui leur reprochait « un attroupement illégal », selon le parti de M. Sonko et des images sur les réseaux sociaux.

M. Sonko, 49 ans, candidat à la présidentielle de 2024, a annoncé samedi une tournée nationale avec surtout des « visites de proximité » à des proches, des guides religieux et des responsables de son parti.

A Mbour, une ville à 80 km au sud de Dakar où la tournée a débuté dimanche, la gendarmerie est intervenue pour disperser une foule qui le suivait, a accusé M. Sonko, selon des images diffusées par la télévision de son parti Jotna TV.

Lors d’une altercation avec un responsable de la gendarmerie, ce dernier lui a demandé d’éviter « un attroupement » et de « ne pas occuper la voie publique », ce dont s’est défendu M. Sonko.

Il a accusé la gendarmerie d’« exécuter des ordres illégaux », sur ces images diffusées sur les réseaux sociaux montrant un déploiement de forces de l’ordre dans les zones qu’il visitait autour de Mbour.

M. Sonko, troisième à la présidentielle de 2019, tient un discours à la fois souverainiste, panafricaniste et social, pourfendant les élites et la corruption. Il pilonne aussi l’emprise économique et politique exercée selon lui par l’ancienne puissance coloniale française et les multinationales.

Il est depuis 2021 sous le coup d’une inculpation pour viols présumés contre une employée d’un salon de beauté où il allait se faire masser. Sa mise en cause avait contribué à déclencher plusieurs jours d’émeutes meurtrières, de pillages et de destructions. M. Sonko a crié à la machination du pouvoir, qui s’en défend.

Il a déclaré sa candidature dans la foulée des législatives du 31 juillet. Le camp présidentiel y a perdu la majorité absolue au Parlement.

GRECE – Quatre-vingt-douze réfugiés ont été retrouvés nus après avoir été forcés, selon Athènes, de traverser l’Evros, le fleuve séparant la Turquie de la Grèce, « une image inhumaine », a réagi dimanche le ministre grec de la Protection civile.

Une porte-parole de l’agence européenne de surveillance aux frontières Frontex, Paulina Bakula, a confirmé à l’AFP « le sauvetage des 92 migrants vendredi » avec le concours des autorités grecques.

« Les agents (de Frontex) ont rapporté que les migrants avaient été retrouvés nus et que certains d’entre eux avaient des blessures visibles », a-t-elle ajouté, s’exprimant de Varsovie, le siège de cette organisation, tandis qu’Athènes assure que la Turquie a forcé ces personnes à se dévêtir avant de les expulser du côté grec de la frontière.

Le ministre grec de la Protection civile, Takis Theodorikakos, a accusé Ankara d’« instrumentaliser l’immigration illégale » mais la Turquie a démenti toute implication dans les traitements dégradants infligés à ces réfugiés.

La Grèce doit arrêter « la manipulation et la malhonnêteté », a commenté dans un tweet en anglais le vice-ministre turc de l’Intérieur, Ismail Catakli.

La plupart de ces personnes, des Syriens et des Afghans, « ont raconté à des agents de Frontex que trois véhicules de l’armée turque les avaient transférées au niveau de l’Evros », a assuré Takis Theodorikakos dans un entretien avec la chaîne de télévision privée Skai.

Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a condamné dimanche sur Twitter des « traitements aussi cruels et dégradants » et demandé une « enquête complète sur cet incident ».

Le ministre grec des Migrations grec, Notis Mitarachi, avait qualifié samedi l’incident de « honte pour la civilisation ».

GRANDE BRETAGNE – Le nouveau ministre des Finances Jeremy Hunt a annoncé ce lundi l’annulation de «presque toutes les mesures fiscales» annoncées il y a trois semaines par son prédécesseur Kwasi Kwarteng et qui avaient plongé les marchés britanniques dans la tourmente. Il a martelé que la priorité du gouvernement britannique était de restaurer «la stabilité». Parmi les principales mesures dévoilées lundi, le plafond des factures énergétiques pour tous les ménages sera finalement en vigueur jusqu’à avril seulement et non plus pour deux ans. «D’autres décisions difficiles» sont à venir pour les dépenses gouvernementales comme les impôts, a-t-il ajouté.

Ces mesures permettront au gouvernement de lever environ 32 milliards de livres (36,2 milliards de dollars) par an.

NIGERIA – La situation climatique est catastrophique. Plus de 600 personnes sont mortes depuis juin dans les inondations les plus meurtrières de la décennie provoquées par des pluies exceptionnelles, forçant 1,3 million d’habitants à fuir leur foyer, selon un nouveau bilan des autorités.

Depuis le début de la saison des pluies, de nombreuses régions du pays le plus peuplé d’Afrique ont été ravagées par des inondations, faisant craindre une aggravation de l’insécurité alimentaire et de l’inflation. « Malheureusement, plus de 603 vies ont été perdues », soit 100 morts de plus en une semaine, et 2.400 autres personnes ont été blessées dans les inondations, a affirmé dimanche sur Twitter le ministère nigérian des Affaires humanitaires.

Des précipitations importantes sont à nouveau attendues au Nigeria dans les prochaines semaines, faisant craindre davantage de dégâts. La ministre des Affaires humanitaires Sadiya Umar Farouq a donc appelé à l’évacuation des personnes vivant le long des cours d’eau.

Au Nigeria, pays de quelque 215 millions d’habitants, les producteurs de riz ont prévenu que les inondations dévastatrices de cette année pourraient faire grimper les prix, alors que l’importation de riz est interdite pour stimuler la production locale.

D’après un rapport conjoint publié en septembre par le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Nigeria fait déjà partie des six pays du monde confrontés à un risque élevé de niveaux catastrophiques de famine.

COLOMBIE – Un enfant de deux ans est mort dimanche après avoir été heurté par un petit avion qui a fait une sortie de piste à l’aéroport international Simon Bolivar de Santa Marta, une ville de la côte Caraïbe de la Colombie, ont annoncé les autorités.

L’appareil, un SF50 Cirrus exploité par la société privée Panamerican Training Center, s’est écrasé à la mi-journée pendant la phase de décollage, ont expliqué les enquêteurs.

L’avion a fini sa course contre un arbre à quelques mètres de la piste et près de la plage où se trouvait le petit garçon.

« Malheureusement, nous devons signaler qu’un enfant d’environ deux ans qui n’était pas dans l’avion a perdu la vie », a dit aux médias le colonel Adriana Paz, le commandant de la police locale.

Les cinq occupants de cet appareil qui effectuait un vol à destination de la capitale colombienne Bogota « ont été légèrement blessés » et ont reçu des soins médicaux, selon le rapport officiel.

BOLLORE-CAMEROUN – « Comment le groupe Bolloré a ruiné deux entrepreneurs camerounais ». C’est le nom de l’enquête publiée en 2016 dans Mediapart, pour laquelle la journaliste Fanny Pigeaud ainsi que le fondateur du site d’information, Edwy Plenel, étaient poursuivis par la multinationale française. Après six ans de procédure, la Cour de cassation a tranché en rejetant le pourvoi du groupe.

La Cour de cassation a rejeté mardi 11 octobre le pourvoi de la multinationale française et confirmé la décision de la cour d’appel qui avait jugé que les journalistes Edwy Plenel et Fanny Pigeaud avaient fait leur travail de bonne foi.

Ce seul et même arrêt rendu par la Cour de cassation donne cependant lieu à des communications différentes. Sur Mediapart, en effet, Edwy Plenel écrit : « Bolloré perd définitivement son procès ». En revanche, l’avocat du géant français, Olivier Baratelli, déclare, quant à lui, dans une réaction envoyée par écrit, que « cette décision de la Cour de cassation du 11 octobre est une victoire », puisqu’elle « consacre définitivement le caractère diffamatoire des propos poursuivis ». « Diffamatoire » parce que l’article porte atteinte à l’honneur de Bolloré, certes. Cependant, en dénonçant des agissements d’une de ses filiales au Cameroun, la victoire est donc bien du côté de Mediapart, selon l’un de ses avocats, Emmanuel Tordjman.

L’article de Fanny Pigeaud avait été considéré par la Cour d’appel de Versailles « d’intérêt général au regard des multiples activités du groupe Bolloré particulièrement influent en Afrique » et traité avec « une base factuelle suffisamment sérieuse ». 

BELARUS – Douze militants d’opposition au Bélarus ont été condamnés à des peines de 2,5 à 25 ans de prison lors d’un procès pour « terrorisme » lié au vaste mouvement de contestation de 2020, a annoncé ce lundi l’organisation défense des droits Viasna.

Nikolaï Avtoukhovitch, le dirigeant du groupe selon l’accusation, a été condamné à 25 ans de prison, à l’issue de ce procès qui s’était ouvert en mai. Il était notamment accusé d’acte de « terrorisme » et de préparation d’un acte de « terrorisme » en bande organisée, selon Viasna, dont le chef, Ales Beliatski est actuellement en prison au Bélarus et est l’un des co-lauréats du prix Nobel de la paix 2022.

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