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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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ALGERIE – S’appuyant sur une nette augmentation de la production notamment de céréales et de légumineuses, le gouvernement algérien prévoit de couvrir les besoins alimentaires du pays à hauteur de 83 % en 2023, relate Middle East Eye, malgré la sécheresse.

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Les autorités algériennes encouragent les agriculteurs à investir dans les immenses domaines désertiques assis sur la gigantesque nappe phréatique du Sahara, notamment via le raccordement des fermes au réseau électrique et des aides financières pour le forage de puits destinés à l’irrigation.   

« L’avenir de l’Algérie réside aujourd’hui dans les terres sahariennes, d’autant que le Sud algérien pourrait s’ériger en véritable base en vue de réaliser la sécurité alimentaire, à travers des investissements de qualité dans le secteur agricole », a recommandé le ministre de l’Intérieur, Brahim Merad, lors d’un déplacement dans la wilaya (préfecture) d’El-Meghaier (Sud-Est).

Actuellement, la valeur annuelle de la production agricole est estimée à un peu plus de 25 milliards de dollars. Le secteur représente 14 % du produit intérieur brut (PIB) du pays selon le gouvernement.

Mais la facture des importations des biens alimentaires avoisine les 10 milliards de dollars par an. Il s’agit essentiellement des céréales et du lait dont la production locale ne suffit pas malgré la politique de subventions.

Des investissements étrangers sont d’ailleurs prévus pour combler une partie de ce déficit, rappelle MEE. 

ALGERIE-RUSSIE – La presse internationale, allemande, russe et autre, avait parlé de manœuvres militaires algéro-russes à la frontière avec le Maroc. C’était du 16 au 28 novembre et l’objectif étant des exercices tactiques de lutte contre le terrorisme. Des médias avaient rapporté en début de semaine dernière que l’ambassadrice américaine à Alger aurait évoqué le sujet avec Saïd Chengriha, chef d’état-major de l’armée algérienne. Et voilà que ce 29 novembre, soit 24 heures après la date de la fin des manœuvres, si manœuvres il y en a eues, le ministère de la défense algérienne sort un communiqué/démenti où elle écrit que « cet exercice militaire conjoint qui était programmé dans le cadre de la coopération avec l’armée russe dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, n’a pas été mené. »

Le ministère a également expliqué que tous les exercices communs avec la partie russe ou un autre partenaire font l’objet d’annonces dans des communiqués publiés par ses services.

Devant se dérouler du 16 au 28 novembre dans la région de Béchar, à une cinquantaine de kilomètres de la frontière du Maroc, l’opération s’inscrit dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Intitulée « Bouclier du désert 2022 », elle devrait réunir quelque 200 soldats des forces antiterroristes russes et algériennes.

Pour Maroc Hebdo, ce démenti a pour but de montrer patte blanche aux puissances occidentales les USA et la France notamment qui n’accepteraient en aucune manière un tel exercice à la frontière marocaine. C’est aussi un signe de la faiblesse du régime algérien en perte de vitesse et qui ne sait plus sur quel pied danser.

QATAR FOOT – Un haut responsable qatari, Hassan Al-Thawadi, a déclaré qu’« entre 400 et 500 » travailleurs migrants sont morts lors de projets de construction liés à la Coupe du monde 2022, lors d’une interview avec le journaliste britannique Piers Morgan. L’estimation est nettement plus élevée que le nombre de décès précédemment signalés par le pays organisateur.

« L’estimation est d’environ 400, entre 400 et 500, a déclaré Al-Thawadi. Je n’ai pas le nombre exact. C’est quelque chose qui a été discuté. »

Si le quotidien britannique The Guardian évoque 6 500 décès – un chiffre qui ne concerne pas que les chantiers des stades. Jusque-là, les autorités de l’émirat se contentaient de dire que 40 immigrés affectés à la construction des stades avaient trouvé la mort, dont trois seulement dans l’exercice de leur travail.

Peu après, les autorités qatariennes expliquaient que ce chiffre de 400 à 500 concernait toutes les morts liées au travail entre 2014 et 2020.

MAROC – Répondant à une question à la Chambre des conseillers, lors de la séance mensuelle consacrée à la discussion des politiques publiques, axée sur le thème “le dialogue social, consécration de la notion de l’équité sociale et mécanisme pour la réalisation du développement économique”, M. Akhannouch a indiqué que le gouvernement a réussi la structuration et la mise en place d’un modèle moderne de dialogue social, soulignant l’implication positive et les efforts consentis par les syndicats et les organisations professionnelles du patronat à cet égard. M. Akhannouch a notamment fait valoir la signature le 30 avril dernier de la charte nationale du dialogue social.

Pour ce qui est de l’amélioration du pouvoir d’achat des salariés et des employés, le Chef du gouvernement a relevé qu’il a été procédé à la régularisation des promotions des employés pour les années 2020 et 2021 en raison des répercussions de la pandémie, ce qui a coûté au Trésor public environ 8 milliards de dirhams (MMDH). De même, il a été convenu notamment de porter le salaire minimum dans le secteur public à 3.500 dirhams, d’augmenter les allocations familiales et de supprimer les échelles inférieures, ce qui a nécessité la mobilisation d’une enveloppe financière d’environ 500 millions de dirhams (MDH).

Et afin de permettre aux retraités d’obtenir une pension de vieillesse qui préserve leur dignité, les conditions pour en bénéficier ont été ramenées de 3.240 à 1.320 jours de cotisation seulement, en plus permettre aux assurés ayant atteint l’âge de la retraite de récupérer leur part de cotisations dans le cas où ils n’auraient pas atteint ce plafond, a souligné M. Akhannouch, rappelant dans ce sens l’augmentation de 5% du montant des retraites dans le secteur privé.

MAURITANIE – Le Président Mohamed Ould Cheikh Al-Ghazouani a annoncé que les salaires des fonctionnaires civils et militaires seront augmentés de 20%, à partir de début janvier prochain.

Ould El-Ghazouani a également annoncé une augmentation de 50% du salaire minimum et une augmentation de 66% des allocations familiales versées par la Caisse nationale de Sécurité sociale.

Dans son long discours à l’occasion du 62e anniversaire de l’indépendance du pays, le président a souligné que le gouvernement « a réussi à faire face à l’endettement, dont le niveau était extrêmement élevé, épuisant l’économie nationale et entravant, presque complètement, la capacité de Nouakchott à accéder aux fonds étrangers ».

Environ 31% des 4 millions d’habitants de la Mauritanie vivent en dessous du seuil de pauvreté, selon les données officielles.

La Banque mondiale classe la Mauritanie parmi les « pays les moins avancés », puisqu’elle est classée 160è sur 189 pays, en ce qui concerne l’indice de la croissance humaine.

SYRIE – La Chine a exprimé ce mercredi sa profonde préoccupation devant les hostilités menées par la Turquie et l’entité d’occupation israélienne en Syrie, appelant à arrêter immédiatement ces attaques et à éviter toute action susceptible d’aggraver la situation.

Cité par l’agence de presse “Novosti”, le représentant permanent adjoint de Chine auprès des Nations unies, Geng Shuang, a indiqué lors de la réunion du Conseil de sécurité que nous devons fermement défendre la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Syrie”.

« Les hostilités menées par la Turquie et Israël violent de manière flagrante la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Syrie, et pourraient aboutir à l’escalade de la crise en Syrie », a-t-il ajouté.

Il a souligné l’importance de poursuivre le dialogue pour résoudre les problèmes pertinents.

SYRIE – Ces derniers jours, “des dizaines d’arrestations et de conscriptions forcées” ont été enregistrées à Damas, à la suite de “nombreuses descentes” effectuées par les puissants services de renseignements du régime syrien “dans les cafés populaires, les restaurants et les endroits diffusant les matchs de la Coupe du monde au Qatar”, indique le site libanais Al-Modon, cité par Courrier International.

Selon la Constitution syrienne, tous les hommes âgés de 18 à 42 ans sont appelés à faire leur service militaire obligatoire pour une durée de dix-huit mois à deux ans. Mais depuis le début de la guerre en 2021, le régime s’est arrogé le droit de confisquer les biens des Syriens échappant au service militaire et ceux de leurs proches, à moins de payer les frais exorbitants d’exemption. De nombreux Syriens tentent d’échapper à la conscription, parfois en émigrant à l’étranger.

Selon plusieurs sources d’information syriennes, les moukhabarat “ciblent les grands cafés de Damas où les jeunes hommes regardent les rencontres du Mondial de football”.

Quand les patrouilles n’entrent pas dans ces endroits pour procéder à des contrôles d’identité, elles se postent à l’extérieur à la fin des matchs pour procéder à des interpellations “de manière aléatoire”, explique Al-Modon, hostile au régime de Bachar El-Assad.

Ainsi, le 20 novembre dernier, premier jour de la compétition, 30 arrestations ont été documentées dans la capitale syrienne. Deux jours plus tard, dans la région de Damas, 35 arrestations ont eu lieu et 200 interpellations ont été comptabilisées en marge de la rencontre ayant opposé l’Argentine à l’Arabie saoudite.

IRAN-IRAK – Le Leader de la Révolution islamique en Iran, l’Ayatollah Sayed Ali Khamenei a discuté, le mardi 29 novembre, de plusieurs sujets bilatéraux dont la sécurisation des frontières, avec le Premier ministre irakien Mohamed Chia al-Soudani, lors d’une visite à Téhéran.

L’Iran accuse des groupes d’opposition iraniens kurdes, basés dans la région autonome du Kurdistan irakien, de mener des attaques armées sur son territoire en s’infiltrant à partir de l’Irak, mais aussi d’encourager les émeutes déclenchées en Iran après la mort le 16 septembre de la Kurde iranienne Mahsa Amini.

Mohamed Chia al-Soudani a assuré que son gouvernement n’autoriserait aucune partie à utiliser le territoire irakien pour porter atteinte à la sécurité de l’Iran. Ce à quoi Khamenei a répondu: « Malheureusement, c’est ce qui se produit actuellement dans certaines régions d’Irak », selon l’agence officielle Irna.

« La seule solution, c’est que le gouvernement central irakien étende son autorité à ces régions », a-t-il ajouté, rapporte l’AFP.

Lors de cette réunion à laquelle a également assisté le président Raïssi, le Premier ministre irakien, Mohammed Shia al-Soudani, a souligné les relations stratégiques et historiques entre l’Iran et l’Irak.

« La guerre contre Daech a été un exemple clair de la coexistence de l’Iran et de l’Irak, où le sang des Iraniens et des Irakiens a été mélangé dans la même tranchée », a affirmé M.al-Soudani, cité par le site iranien francophone PressTV.

« De notre point de vue et de celui du gouvernement irakien, la sécurité, la paix, la coopération et la stabilité dans la région sont très importantes », a dit M. Raïssi lors d’une conférence de presse commune. « Par conséquent, la lutte contre les groupes terroristes, le crime organisé, la drogue et toute insécurité qui menace la région repose sur la volonté commune des deux pays », a-t-il souligné.

Sur le plan économique, M. Soudani a fait part de la reconnaissance de son pays à l’Iran « pour son soutien avec l’approvisionnement continu de gaz et d’électricité », alors que l’Irak est très dépendant du gaz et de l’électricité de son voisin.

« Ce voyage et les discussions entre les deux délégations iranienne et irakienne peuvent grandement aider à résoudre les problèmes bilatéraux », a dit pour sa part le président Raïssi.

IRAN – La justice iranienne a confirmé ce mercredi la peine de mort pour quatre hommes condamnés pour avoir coopéré avec Israël, ennemi juré de l’Iran, a annoncé l’organe du pouvoir judiciaire.

« Selon la décision finale rendue par la Cour suprême, les accusés Hossein Ordoukhanzadeh, Shahin Imani Mahmoudabad, Milad Ashrafi Atbatan et Manouchehr Shahbandi Bojandi, ont été condamnés à mort pour leur coopération (…) avec le régime sioniste (Israël, NDLR) et pour enlèvement », a annoncé Mizan Online.

Le 22 mai, les Gardiens de la révolution, l’armée idéologique de la République islamique, avaient annoncé dans un communiqué avoir arrêté les membres d’« un réseau agissant sous la direction des services de renseignement » israéliens.

L’agence ne précise ni où ils opéraient, ni le lieu où ils ont été arrêtés.

« Ces personnes ont commis des vols, des destructions de biens personnels et publics, des enlèvements et l’extorsion de faux aveux », avait annoncé le texte.

« Trois autres accusés ont été condamnés à des peines de cinq à dix ans de prison pour crime contre la sécurité du pays, complicité dans l’enlèvement et possession d’armes », a ajouté mercredi Mizan Online.

ISRAËL – Israël doit se préparer à une dégradation supplémentaire de la situation sécuritaire dans les mois à venir, ont averti mardi de hauts responsables du Shin Bet et de Tsahal alors qu’ils s’exprimaient face à la commission des affaires étrangères et de la défense de la Knesset. 

Un responsable anonyme qui a témoigné devant la commission des affaires étrangères et de la défense de la Knesset a ainsi déclaré aux députés que l’establishment sécuritaire s’attendait à ce que le pays subisse des attaques de plus en plus nombreuses et « professionnelles ». Ce même responsable a également souligné que le prochain gouvernement devrait encore travailler pour renforcer l’Autorité palestinienne dans l’intérêt sécuritaire d’Israël. 

Ces déclarations des responsables sécuritaires surviennent alors que la Cisjordanie est le théâtre de violences incessantes depuis plusieurs semaines. Cinq Palestiniens ont été tués mardi, dont l’un a été abattu après avoir mené un attentat à la voiture-bélier contre une soldate en Cisjordanie, la blessant grièvement. Les quatre autres – dont deux frères – ont été tués dans des affrontements avec les troupes israéliennes dans les territoires palestiniens.

ETHIOPIE – Le ministre éthiopien de l’Innovation et de la Technologie, Belete Molla, a déclaré que le rétablissement de l’accès à l’Internet dans la région du Tigré se fera parallèlement à la reprise des services téléphoniques et électriques, bien qu’aucune date n’ait été fixée pour ces objectifs.

Il s’exprimait lors du Forum annuel des Nations unies sur la gouvernance de l’Internet qui se tient cette semaine à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne.

« Le gouvernement éthiopien est en train de concevoir un package qui ne concerne pas seulement la reprise de l’internet, mais la reprise de tout, parce que c’est ce dont nous avons besoin en tant que peuple, en tant que gouvernement », a déclaré Belete Molla. « Il n’y a pas de calendrier ».

Le Tigré, où vivent plus de cinq millions de personnes, est pour l’essentiel privé d’internet, de télécommunications et de services bancaires depuis que la guerre a éclaté entre les troupes du gouvernement fédéral et les forces dirigées par le Front de libération du peuple du Tigré en novembre 2020.

Un accord de cessez-le-feu signé entre les parties belligérantes en Afrique du Sud au début du mois engage le gouvernement à rétablir les services de base du Tigré, mais la coupure des communications n’a pas encore été levée.

L’Éthiopie a coupé l’internet au moins 22 fois depuis 2016, selon le groupe de défense des droits de l’internet Access Now. La panne qui touche le Tigré « est la plus longue coupure ininterrompue au monde », a déclaré Brett Solomon, directeur exécutif d’Access Now.

Lors de la cérémonie d’ouverture du forum Internet mardi, le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed a semblé défendre la fermeture du Tigré, affirmant qu’Internet avait « favorisé la diffusion de la désinformation alors que l’Éthiopie faisait face à une rébellion armée dans le nord du pays ».

KENYA -La Haute Cour a émis le lundi 28 novembre dernier, une injonction interdisant temporairement l’importation de produits génétiquement modifiés dans le pays. Cette décision intervient à la suite d’une deuxième plainte déposée par la Kenya Peasants League (KPL) à l’encontre de l’administration de l’actuel président William Ruto pour avoir autorisé en octobre dernier la consommation de produits OGM après 12 ans de suspension.

Selon l’organisation qui représente plusieurs producteurs, le feu vert de l’exécutif a été donné avec empressement et sans respect des procédures légales en vigueur alors que « les produits OGM présentent un risque pour la santé ». « Le requérant déplore la manière dont une déclaration aussi importante sur l’importation et la culture de maïs OGM n’a jamais été soumise à la participation du public, pas plus que le contenu des rapports, s’il en existe, qui ont précédé la prise de ladite décision, n’a été soumis à la participation publique des parties prenantes », explique la HCK.

Conséquence directe de la décision juridique, l’exécution du plan gouvernemental qui prévoyait des importations de maïs génétiquement modifié en franchise de droits pour juguler la flambée des prix de la céréale sur le marché local, pourrait être retardée, voire annulée.

Cela représenterait un coup dur pour les autorités qui comptaient améliorer grâce à cette démarche l’offre intérieure de maïs actuellement en chute en raison de la pire sécheresse que connaît le pays depuis 40 ans.

ANGOLA – La femme d’affaires angolaise Isabel dos Santos, visée par la justice de son pays, se dit victime d’une « persécution politique » menée par le président Joao Lourenço, dans un entretien à une télévision portugaise diffusé mardi soir.

« Il n’y a pas de doute que nous sommes dans un contexte de persécution politique », a affirmé la fille de l’ex-président angolais José Eduardo dos Santos, décédé en juillet après 38 ans de règne autoritaire entaché de népotisme sur cette ancienne colonie portugaise d’Afrique australe riche en hydrocarbures.

« Le procureur général de la République reçoit ses ordres directement du président », a-t-elle ajouté devant les caméras de la chaîne TVI/CNN Portugal.

Le responsable du parquet angolais, Helder Pitta Gros, avait confirmé lundi aux médias de son pays avoir demandé à Interpol d’émettre un mandat d’arrêt contre Isabel dos Santos.

Dans son interview à CNN Portugal, la femme d’affaires de 49 ans affirme ne pas avoir connaissance du « document officiel ».

Mais, selon une version préliminaire d’un mandat d’arrêt international publié par les médias portugais, Isabel dos Santos est recherchée par les autorités angolaises pour fraude contre l’Etat, blanchiment d’argent et association criminelle.

D’après ce document, elle est soupçonnée d’avoir siphonné des fonds de la compagnie pétrolière nationale angolaise, Sonangol, qu’elle a dirigée avant que Joao Lourenço ne succède à son père à la tête de l’Angola.

Alors que les autorités angolaises disent ne pas savoir où se trouve Isabel dos Santos, le mandat d’Interpol indique qu’elle est susceptible de séjourner aux Emirats arabes unis, au Royaume-Uni et au Portugal.

ZAMBIE – L’homme d’affaires russe Evgueni Prigojine, un proche allié du président Vladimir Poutine, a déclaré mardi que l’étudiant zambien mort en Ukraine était engagé dans les rangs du groupe paramilitaire Wagner, dont il a admis être le fondateur.

La Russie avait informé la Zambie que Lemekhani Nyirenda était mort au combat en Ukraine en septembre. Les autorités de Lusaka avaient alors exigé de Moscou des explications sur les raisons pour lesquelles ce ressortissant s’était retrouvé engagé dans le conflit ukrainien.

Le père de Lemekhani Nyirenda a affirmé que son fils purgeait une peine de neuf ans de prison dans la banlieue de Moscou pour un délit lié à la drogue lorsqu’il a été « enrôlé » pour combattre. Sa famille a ajouté qu’elle ne savait pas comment ni par qui il avait été recruté.

Mardi, le groupe de restauration Concord d’Evgueni Prigojine a déclaré que Lemekhani Nyirenda avait été recruté par Wagner. Evgueni Prigojine et d’autres représentants de Wagner ont fait le tour des prisons russes pour offrir aux détenus une amnistie en échange de leur engagement à combattre pour la Russie en Ukraine.

« Oui, je me souviens bien de ce type », a déclaré Evgueni Prigojine dans une réponse écrite à la question d’un journaliste qui voulait savoir si le Zambien avait combattu pour Wagner.

Evgueni Prigojine a déclaré que Lemekhani Nyirenda était mort en « héros » et qu’il avait été « l’un des premiers à pénétrer dans les tranchées ennemies le 22 septembre ».

Reuters n’a pas été en mesure de vérifier les circonstances de la mort de Lemekhani Nyirenda ou l’affirmation d’Evgueni Prigojine selon laquelle il avait rejoint Wagner volontairement.

MOZAMBIQUE – Le Mozambique a rouvert mardi pour la première fois en deux ans un port-clé desservant un projet gazier de plusieurs milliards de dollars dans le nord du pays, a annoncé la radio publique, après avoir délogé les djihadistes de la ville.

Des djihadistes liés au groupe État islamique s’étaient emparés il y a deux ans de la ville portuaire de Mocimboa da Praia, dans la province pauvre mais riche en ressources naturelles de Cabo Delgado, en en faisant leur siège de facto et en coupant toutes les activités commerciales.

En août 2021, les forces rwandaises ont aidé le Mozambique à reprendre le contrôle de la ville portuaire.

Mocimboa da Praia se trouve au sud de la péninsule d’Afungi, le centre névralgique d’un projet de gaz naturel liquéfié de plusieurs milliards de dollars baptisé Mozambique GNL, exploité par le géant français de l’énergie TotalEnergies.

Mardi, un bateau appartenant à Mozambique GNL est arrivé à Mocimboa da Praia avec une cargaison de carburant, de voitures, de tracteurs et divers équipements pour des entreprises opérant dans la ville de Palma, située à 80 km au nord.

Le gouverneur de Cabo Delgado, Valige Tauabo, et le patron de TotalEnergies au Mozambique, Maxime Rabilloud, ont assisté à l’arrivée du premier bateau commercial en deux ans.

ZIMBABWE – Le Zimbabwe a signé un accord avec Tsingshan Holdings Group, qui prévoit de mettre en place des opérations d’extraction et de traitement du lithium dans le pays d’Afrique australe, a déclaré mardi le président Emmerson Mnangagwa.

Tsingshan, l’un des principaux producteurs de nickel au monde, construit actuellement une usine d’acier inoxydable d’un milliard de dollars au Zimbabwe. La société possède également une exploitation de charbon à coke et une fonderie de ferrochrome au Zimbabwe, qui possède certaines des plus grandes réserves de lithium de roche dure au monde.

Mnangagwa et le fondateur de Tsingshan, le magnat chinois Xiang Guangda, ont supervisé la signature d’un accord-cadre pour les projets d’expansion prévus par Tsingshan à Harare mardi.

« Tsingshan Holdings Group est prêt à étendre ses activités actuelles. La société se lancera dans la production de ciment et de concentrés de lithium, ainsi que dans l’augmentation de la production de coke et de ferrochrome, entre autres projets d’exploitation minière et de traitement des minéraux au Zimbabwe », a déclaré M. Mnangagwa lors de la cérémonie de signature.

AFGHANISTAN – Au moins 16 personnes ont été tuées et 24 blessées mercredi dans une explosion dans une école coranique de la ville d’Aybak, dans le nord de l’Afghanistan, a-t-on appris de source hospitalière.

« Ce sont tous des enfants et des gens ordinaires », a déclaré à l’AFP sous couvert d’anonymat un docteur d’un hôpital d’Aybak, capitale de la province de Samangan.

Un responsable provincial a confirmé l’explosion, mais n’a pas pu fournir de chiffres sur les victimes ni d’informations sur les circonstances.

Des dizaines d’explosions et d’attaques visant des civils ont eu lieu depuis le retour au pouvoir des talibans en août 2021, la plupart étant revendiquées par la section locale du groupe État islamique (EI-K).

Un attentat suicide commis le 30 septembre dans un centre de formation de Kaboul préparant aux examens universitaires avait fait 54 morts, dont au moins 51 filles, selon l’ONU.

Cet attentat n’avait pas été revendiqué, mais le gouvernement afghan avait accusé l’EI-K d’avoir mené cette attaque.

Puis le 5 octobre, au moins quatre personnes avaient été tuées à Kaboul dans une explosion survenue dans une mosquée du ministère de l’Intérieur.

INFLATION – Le taux d’inflation annuel de la zone euro a reculé à 10% en novembre, contre 10,6% en octobre, soit la première baisse depuis juin 2021 grâce une accalmie sur les tarifs de l’énergie, a annoncé ce mercredi Eurostat.

Tirée par l’énergie et l’alimentation, l’inflation avait atteint chaque mois un plus haut niveau historique depuis novembre 2021. La situation s’était aggravée depuis le printemps avec les perturbations des marchés liées à la guerre en Ukraine.

La baisse constatée en novembre est plus forte que ce qu’avaient anticipé les analystes de Bloomberg et Factset qui tablaient sur une inflation à 10,4%.

Le ralentissement de la hausse des prix a surtout concerné l’énergie. Cette composante de l’indice a progressé de 34,9% en rythme annuel, après 41,5% en octobre.

La flambée des prix de l’alimentation (y compris alcool et tabac) a cependant continué à s’accélérer à 13,6%, en progression de 0,5 point par rapport au mois précédent.

La hausse annuelle des prix dans l’industrie est restée stable à 6,1% en novembre, tandis qu’elle s’est légèrement ralentie dans les services à 4,2% (-0,1 point).

Parmi les 19 pays partageant la monnaie unique, l’Espagne a détrôné la France pour le taux d’inflation le plus faible à 6,6%, contre 7,1% dans l’Hexagone, d’après les données harmonisées d’Eurostat.

L’inflation a légèrement reflué en Allemagne à 11,3% (-0,3 point) et en Italie à 12,5% (-0,1 point).

Mais la présidente de la BCE, Christine Lagarde, a souligné lundi qu’elle serait « surprise » si l’inflation avait atteint son sommet en octobre, suggérant qu’elle risquait donc de continuer à augmenter ces prochains mois et que le resserrement monétaire en cours allait se poursuivre.

« J’aimerais voir l’inflation avoir culminé en octobre mais je pense qu’il y a trop d’incertitude » pour supposer que c’est le cas, a-t-elle déclaré lors d’une audition devant le Parlement européen.

ALLEMAGNE – Le taux de chômage en Allemagne a légèrement augmenté en novembre, en raison de l’inflation galopante et de l’arrivée massive de réfugiés ukrainiens sur le marché du travail, a indiqué mercredi l’Agence allemande pour l’emploi dans un communiqué,

L’indicateur affiche 5,6% en données corrigées des variables saisonnières (CVS), 0,1 point au-dessus de son niveau en octobre, a-t-elle détaillé.

Le nombre de chômeurs a augmenté de 17.000 sur un mois, toujours en données CVS.

En données brutes, le nombre de chômeurs baisse de 8.000 sur un mois, pour atteindre 2,43 millions, selon l’organisme.

« Dans l’ensemble, le marché du travail est stable. Le chômage et le sous-emploi corrigés des variations saisonnières ont de nouveau augmenté et le chômage partiel augmente à nouveau mais l’emploi augmente de manière significative », commente Daniel Terzenbach, de l’Agence pour l’emploi.

Le chômage en Allemagne, qui s’établissait à 5,0% en début d’année, a grimpé à partir de juin, alors que les réfugiés ukrainiens affluaient sur le marché du travail.

Depuis août, l’indicateur s’était stabilisé à 5,5%.

D’après l’Office fédéral des migrations et des réfugiés, 1,144 million de ressortissants ukrainiens étaient enregistrés en Allemagne fin octobre, soit 988.000 de plus qu’à la fin février, au moment où la Russie a envahi l’Ukraine.

CHINE-RUSSIE – La Russie et la Chine ont effectué des patrouilles aériennes communes en Asie-Pacifique, a annoncé ce mercredi l’armée russe, sur fond de conflit en Ukraine et de rivalité entre Pékin et Washington.

De son côté, l’armée sud-coréenne a annoncé avoir fait décoller des avions de combat après que six avions de guerre russes et deux chinois ont pénétré sans préavis dans sa zone de défense aérienne. Les appareils ont finalement tous quitté la zone et n’ont pas violé l’espace aérien de la Corée du Sud, a-t-elle précisé.

Selon un communiqué du ministère russe de la Défense, une escadrille de bombardiers stratégiques russes et chinois « a effectué une patrouille aérienne au-dessus de la mer du Japon et de la mer de Chine orientale ».

Le vol commun a duré environ huit heures et sur certaines étapes de leur itinéraire, les bombardiers russes et chinois ont été « escortés par des avions de chasse d’Etats étrangers », a expliqué le ministère russe.

Cette annonce intervient sur fond d’un virage de plus en plus accentué de la Russie vers l’Asie, dans le contexte d’un isolement croissant de Moscou sur la scène internationale et des sanctions occidentales sans précédent la visant en raison du conflit en Ukraine.

Les patrouilles surviennent aussi alors que les rivalités entre la Chine et les Etats-Unis s’intensifient, notamment dans la région de l’Asie-Pacifique où Washington et Pékin sont en concurrence croissante.

ESPACE – La Chine a envoyé mardi 29 novembre trois nouveaux astronautes vers sa station spatiale, où ils effectueront dans quelques jours le premier relais d’équipage en orbite de l’histoire de leur pays, selon un média officiel.

Le vaisseau de cette mission, Shenzhou-15, a été propulsé par une fusée Longue-Marche 2F, qui a décollé à 23H08 heure locale (15H08 GMT) du centre spatial de Jiuquan, dans le désert de Gobi (nord-ouest), a annoncé l’agence de presse Chine nouvelle, qui cite l’agence spatiale chargée des vols habités (CMSA).

Il s’est ensuite amarré avec succès à la station spatiale nommée en chinois Tiangong (« Palais céleste »), également connue par son acronyme CSS (pour « Chinese space station » en anglais), selon Chine nouvelle.

Les astronautes, trois hommes, resteront six mois dans l’espace.

La station spatiale a désormais sa structure finale en forme de T, avec trois modules. Mais différents réglages et ajustements doivent encore être effectués au cours de cette mission Shenzhou-15 qui sera « la dernière consacrée à la construction », a expliqué la CMSA.

Le commandant de la mission est Fei Junlong, un ancien de Shenzhou-6 (2005). Il fait équipe avec Deng Qingming et Zhang Lu, pour lesquels il s’agit du premier vol spatial.

Tiangong est semblable en taille à l’ex-station russo-soviétique Mir. Sa durée de vie devrait être d’au moins 10 ans.

La Chine a été poussée à construire sa propre station en raison du refus des Etats-Unis de l’autoriser à participer à l’ISS.

ETATS-UNIS – Le Sénat américain a voté mardi, à 61 voix contre 36, une loi protégeant le mariage homosexuel dans l’ensemble des Etats-Unis, par crainte d’un retour en arrière de la Cour suprême en la matière.

« L’amour est l’amour et les Américains devraient pouvoir se marier avec la personne qu’ils aiment », a réagi le président américain Joe Biden dans un communiqué.

La Chambre des représentants, qui avait déjà approuvé un texte très similaire en juillet, doit encore voter une nouvelle fois sur cette loi modifiée, ce qui ne devrait être qu’une formalité. Joe Biden devra ensuite signer le texte.

Les unions entre personnes de même sexe sont garanties par la Cour suprême des Etats-Unis depuis 2015. Mais après la volte-face historique de la haute cour sur l’avortement, nombre de progressistes craignent que ce droit ne soit lui aussi détricoté.

Concrètement, la loi abroge des législations antérieures définissant le mariage comme une union entre un homme et une femme et interdit aux agents d’état-civil — quel que soit l’Etat dans lequel ils travaillent — de discriminer les couples « en raison de leur sexe, race, ethnicité ou origine ». Ce texte s’applique aussi aux couples interraciaux.

CÔTE D’IVOIRE – Le procès des accusés de l’attentat de Grand-Bassam s’ouvre, mercredi 30 novembre, au tribunal criminel d’Abidjan. Les faits remontent au 13 mars 2016, lorsque 19 personnes et 3 militaires ont perdu la vie au cours d’une fusillade survenue dans cette station balnéaire située à une quarantaine de kilomètres à l’est de la capitale ivoirienne. À l’époque, cet attentat avait été revendiqué par les terroristes d’al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).

L’enquête a permis d’interpeller quatre personnes : le chauffeur qui a convoyé les armes, un homme qui a fait le repérage des lieux et deux personnes qui ont hébergé le commando terroriste. Parmi les autres suspects figure Mimi Ould Baba, présenté par la justice ivoirienne comme le commanditaire de cet attentat : ce dernier est en prison au Mali. Il a par ailleurs été inculpé par la justice américaine car il est accusé d’avoir aidé à organiser l’attaque du 15 janvier 2016 contre le café-restaurant « Cappucino » et l’hôtel « Splendid » à Ouagadougou. Il y a aussi Fawaz Ould Check, alias « Ibrahim 10 », condamné au Mali pour l’attentat du bar-restaurant « La Terrasse ». Et puis il y a aussi Kounta Dallah, présenté comme l’un des cerveaux de l’attentat, toujours en fuite dans le Sahel.

En tout, la justice a inculpé 18 personnes d’« actes terroristes », d’« assassinat » et de « détention illégale d’armes ». Tous ne sont pas présents dans le box des accusés ce mercredi.

Parmi les 19 personnes tuées se trouvaient neuf Ivoiriens, quatre Français, un Libanais, une Allemande, une Macédonienne, une Malienne, une Nigériane et une personne non identifiée. 

BELGIQUE – Il est 7h58, ce 22 mars 2016, lorsqu’une bombe explose dans le hall des départs de l’aéroport de Zaventem, près de Bruxelles. Une seconde bombe explose neuf secondes après la première, à une centaine de mètres plus loin. Ce double attentat-suicide fait 16 morts, et autant à la station de métro Maelbeek, cible d’une nouvelle attaque terroriste une heure après. Au total, plus de 340 personnes sont blessées, dont des dizaines d’élèves de la province d’Anvers. 

Ce mercredi 30 novembre, soit plus de six ans et demi plus tard, le procès de ces attentats, retardé de plusieurs semaines, s’ouvre à Bruxelles, avec le tirage au sort des jurés. Sont présents neuf accusés, dont Salah Abdeslam, déjà condamné pour la préparation des attentats du 13-Novembre, et près d’un millier de parties civiles.

Les débats qui doivent durer jusqu’en juin démarreront lundi prochain. Six ans et demi après les pires attaques subies par la Belgique en temps de paix, ce procès s’annonce comme le plus grand jamais organisé devant une cour d’assises belge.

AIRBUS – La justice a validé ce mercredi à Paris un accord permettant à l’avionneur européen Airbus d’éviter des poursuites pénales dans les enquêtes pour corruption principalement lors de la vente d’appareils en Libye et au Kazakhstan entre 2006 et 2011, contre une amende de 15,9 millions d’euros.

Lors d’une audience publique, le président du tribunal judiciaire de Paris Stéphane Noël a homologué une convention judiciaire d’intérêt public (Cjip), conclue entre Airbus et le Parquet national financier (PNF) le 18 novembre.

Pour les magistrats du PNF, qui ont relevé d’un côté le « caractère répété des agissements corruptifs » de l’entreprise et de l’autre l’époque « ancienne » des faits reprochés et la « coopération » du groupe lors de l’enquête, il s’agit d’une amende « équitable, juste, adaptée ».

La pénalité ne vaut pas reconnaissance de culpabilité et le géant européen peut donc toujours accéder aux marchés publics.

Le montant de l’amende correspond aux commissions totales versées aux intermédiaires lors de la vente des appareils.

Le 31 janvier 2020, Airbus avait déjà accepté de verser 3,6 milliards d’euros d’amende, dont 2,1 milliards d’euros à la France, pour éviter des poursuites devant les justices française, britannique et américaine, dans une enquête sur des « irrégularités » portant notamment sur les agents commerciaux intervenant dans les contrats de vente d’avions ou de matériels militaires.

L’information judiciaire sur les soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle 2007 de Nicolas Sarkozy, ouverte en 2013, s’est intéressée à la vente fin 2006 de douze avions Airbus au régime de Mouammar Kadhafi.

Trois semaines après la conclusion de ce contrat, 2 millions d’euros auraient été virés, à la demande d’un ex-cadre d’Airbus mis en examen mi-mars, sur un compte de l’intermédiaire Alexandre Djouhri, lui aussi mis en examen dans ce dossier.

L’enquête dite du « Kazakhgate », ouverte en mars 2013, se penche elle sur des soupçons de corruption et de commissions illégales versées à des intermédiaires en marge de contrats conclus entre la France et le Kazakhstan entre 2009 et 2010, sous la présidence de Nicolas Sarkozy.

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