• Qui sommes-nous ?
  • Contact
  • S'identifier
vendredi, 9 mai, 2025
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
عربي
TUNISIE DIRECT
  • NATIONAL
    • Politique
    • Nos Régions
  • INTERNATIONAL
  • SANTÉ
    • Infos Covid
  • ÉCONOMIE
  • CULTURE
  • SOCIÉTÉ
  • SPORT
    • foot
  • FEMME
  • IDÉES & DÉBATS
    • Editoriaux
    • soit dit en passant
    • Entretien
  • SCIENCES ET ENVIRONNEMENT
    • High-tec
    • animaux
  • NATIONAL
    • Politique
    • Nos Régions
  • INTERNATIONAL
  • SANTÉ
    • Infos Covid
  • ÉCONOMIE
  • CULTURE
  • SOCIÉTÉ
  • SPORT
    • foot
  • FEMME
  • IDÉES & DÉBATS
    • Editoriaux
    • soit dit en passant
    • Entretien
  • SCIENCES ET ENVIRONNEMENT
    • High-tec
    • animaux
TUNISIE DIRECT
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
Page d'accueil INTERNATIONAL

Attentat de Nice: Perpétuité incompressible pour le tunisien Brahim Aouissaoui

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 2 mois
dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Attentat de Nice: Perpétuité incompressible pour le tunisien Brahim Aouissaoui
Share on FacebookShare on Twitter

Un Tunisien de 25 ans, Brahim Aouissaoui, a été condamné en France à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une période de sûreté incompressible, la peine la plus lourde du code pénal français, après l’assassinat de trois personnes en 2020 dans la basilique de Nice, dans le sud-est de la France.

Lire aussi

Festival Ennesri de Zaghouan (39ème édition du 17 au 25 mai 2025) : La « Nouba parfumée » à l’ouverture…

Une première: Le nouveau pape est un Américain

La perpétuité incompressible est une sanction rarissime rendant très infime la possibilité d’un aménagement de peine. En matière de terrorisme, cette peine aussi appelée «perpétuité réelle» avait été prononcée contre Salah Abdeslam pour les attentats du 13 novembre 2015, qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis.

«Habité par l’idéologie djihadiste»

Dans un réquisitoire à deux voix, les avocates générales du parquet national antiterroriste (Pnat) ont mis en avant «la dangerosité intacte» de Brahim Aouissaoui «enfermé dans son fanatisme totalitaire et barbare». Ce dernier a revendiqué son acte par le «droit» de venger les musulmans tués dans le monde par «l’Occident».

Alors qu’une des avocates générales rappelait que l’accusé était «habité par l’idéologie djihadiste», le Tunisien de 25 ans a crié en arabe: «Ce n’est pas du terrorisme» avant de se faire rabrouer par son propre avocat qui lui a demandé fermement de se taire.

Cet avocat, commis d’office et payé par la justice française, Me Martin Méchin, avait indiqué à l’audience ne pas s’attendre à autre chose que la perpétuité incompressible, mais appelé la cour à «faire preuve de courage» en arguant que c’était «une peine de mort qui ne dit pas son nom, la peine de mort des hypocrites».

Invité à prendre une dernière fois la parole avant que la cour se retire pour délibérer, Brahim Aouissaoui a dit que «s’il y a une justice, jugez au nom des enfants et des femmes (musulmans) qui sont morts».

«Cruauté absolue»

Pour l’accusation, Brahim Aouissaoui a fait preuve d’une «sauvagerie inouïe» en assassinant avec un couteau de cuisine la paroissienne Nadine Devillers, 60 ans, quasiment décapitée, le sacristain Vincent Loquès, 54 ans, égorgé, et la mère de famille Simone Barreto Silva, 44 ans, qui a reçu 25 coups de couteau avant de succomber.

Le jeune Tunisien est également accusé de sept tentatives d’assassinat contre deux amis du sacristain, présents dans l’église, et les cinq policiers municipaux qui sont parvenus à le neutraliser après «14 minutes d’une scène d’horreur d’une cruauté absolue, dans un lieu sacré et hors du temps», selon les mots d’une des deux magistrates.

«La peine requise doit être à la hauteur de la barbarie» de cet acte, a affirmé une des magistrates en soulignant «la détermination sans faille» de l’accusé décidé à «frapper la France, terre des ‘chiens’ et des ‘mécréants’ pour semer la terreur». Il a cherché à «déshumaniser» ses victimes en les décapitant ou les égorgeant, a-t-elle dit. «Son intention de tuer ne peut souffrir d’aucune contestation», ont affirmé les magistrates, en soulignant que l’action de Brahim Aouissaoui «ne s’inscrit pas dans un coup de folie».

«Une haine intacte»

Jeune homme buvant de l’alcool et fumant du cannabis, déscolarisé à 13 ans, Brahim Aouissaoui s’est brusquement radicalisé fin 2018 ne fréquentant plus que des salafistes, dont certains impliqués dans des dossiers terroristes en Tunisie. «L’attentat est en réalité l’aboutissement d’un engagement djihadiste né en Tunisie», a résumé une avocate générale. «Sa haine de l’Occident et de la France est restée intacte».

Tunisie Direct

Tunisie Direct

  • Qui sommes-nous ?
  • Advertise
  • Contact
  • S’identifier

© 2021 TUNISIE DIRECT.

Pas de résultat
Afficher tous les résultats
  • Home
  • NATIONAL
  • INTERNATIONAL
  • SANTÉ
  • ÉCONOMIE
  • CULTURE
  • SOCIÉTÉ
  • SPORT
  • FEMME
  • SCIENCES ET ENVIRONNEMENT
  • النسخة العربية
  • S'identifier

© 2021 TUNISIE DIRECT.

Bienvenue

Connectez-vous à votre compte ci-dessous

Mot de passe oublié?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre adresse e-mail pour réinitialiser votre mot de passe.

S'identifier

Add New Playlist

Tunisie Direct et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Vous pouvez consentir à l’utilisation de ces technologies en cliquant sur « accepter »