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Abir Moussi: « ils ont peur que le monde voit que des millions de manifestants s’opposent au 25 juillet »

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 3 ans
dans Les infos du jour, Politique, SLIDER
Abir Moussi: « nous sommes face à une guerre des légitimités »
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Invitée le 9 mai 2022 par Myriam Belkadhi sur les ondes de la radio Shems FM, Abir Moussi a expliqué que le PDL avait adressé plusieurs courriers aux gouvernements précédents les appelant à dissoudre l’Union des oulémas. « Nous avons entamé ces démarches depuis cinq ans… Nous avons appelé, en 2018, à l’annulation de la tenue d’une session consacrée à l’investiture religieuse. Nous nous sommes retrouvés, actuellement, face à ce genre de procédé camouflé sous la forme d’un référendum », a-t-elle déclaré.

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La présidente du PDL a assuré qu’elle n’avait pas reçu de réponse officielle concernant la tenue d’une marche vers le palais de Carthage à la date du 15 mai 2022. Elle a affirmé avoir envoyé un courrier au gouverneur de Tunis, Kamel Fekih, expliquant le trajet et le lieu de rassemblement. Elle a expliqué qu’une personne faisant partie du district de police avait exprimé le refus des autorités tunisiennes par voie orale. Elle a expliqué que le district de police a refusé d’adresser un courrier officiel au parti l’informant de cette décision.

« On ne veut pas révéler au monde que des millions de manifestants participeront afin d’exprimer leur refus quant aux décisions de Kaïs Saïed… Il est en train d’exploiter les faux sondages de Zargouni… Il a été élu, moi aussi ! Il a porté atteinte à mon droit d’achever mon mandat sous prétexte de mettre en place des réformes… Kaïs Saïed a eu peur d’une manifestation pouvant mettre en péril son projet… Nous allons continuer à militer… La nouvelle République pourrait signifier un recul au niveau des acquis de la femme et des droits et des libertés… Il y a une politique de deux poids, deux mesures… Nous avons pu observer le rassemblement ridicule du 8 mai… Il y a des incitations à l’encontre du PDL », a-t-elle déclaré.

Abir Moussi a considéré que le gouvernement Bouden a, complètement, ignoré la dangerosité de la situation et a choisi de ne pas réagir. Elle a expliqué que l’Union des Oulémas Musulmans continuait d’organiser des sessions de formation et des projets. Elle a affirmé que les membres de cette organisation étaient présents au sein des mosquées et autres associations à caractère religieux. « Mounira Chakroun, représentante de l’union de Karadhaoui, est aussi membre de conseil de la ligue nationale pour la conservation du coran… Les daechiens ont infiltré cette association… Nous sommes en sit-in afin de pousser vers la dissolution des réseaux créés par cette organisation… L’Etat est non-seulement au courant, il collabore avec ce réseau. Les ministères ont signé plusieurs conventions et accords avec l’union de Karadhaoui », a-t-elle affirmé

La présidente du PDL a estimé que les bases extrémistes d’Ennahdha étaient en train d’accomplir, du temps de Kaïs Saïed et Najla Bouden, ce qu’ils n’avaient pas pu faire du temps de Rached Ghannouchi. Elle a rappelé que le gouvernement Mechichi avait dispersé par la force le premier sit-in du PDL devant le siège de l’union. Elle a, également, considéré que Najla Bouden a refusé d’entamer les procédures judiciaires contre cette organisation alors qu’une série d’accusations avait été dressée par la direction générale des associations et des partis politiques.

« Il n’y a pas de volonté politique pour le faire… L’Etat a chargé une brigade policière de charger le sit-in à 4h du matin afin d’enlever une bâche en plastique nous protégeant des fortes pluies. On nous a interdit la possibilité d’avoir une tente. Or, on a pu observer le déploiement de plusieurs tentes dans le cadre de la consultation électronique servant à déformer la volonté des Tunisiens… Nous continuerons notre sit-in et c’est à l’Etat d’en assumer les conséquences… L’Etat sera responsable de la mort de citoyens afin de servir les intérêts de Karadhaoui… Nous appelons à la dissolution des associations au service des islamistes ! », s’est-elle exclamée.

Abir Moussi a, également, appelé à l’interdiction de la création d’un parti politique par l’ancien membre d’Ennahdha, Abdellatif Mekki. Elle a affirmé que cette structure politique sera au service des islamistes et des Frères musulmans. La nouvelle République de Kaïs Saïed, selon elle, sera au service des daechiens, de Hizb Ettahrir et des ligues de protections de la Révolution. Elle a rappelé que Abdellatif Mekki avait collaboré, en tant que ministre de la Santé, avec l’ONG Qatar Charity. Elle a assuré que la création d’un parti par ce dernier n’était qu’une opération de recyclage.

Abir Moussi a expliqué que le PDL avait soutenu les mesures annoncées à la date du 25 juillet 2021 jusqu’au détournement du processus à la date du 22 septembre 2021. Elle a affirmé que le président de la République n’avait plus la possibilité d’appliquer l’article 80 de la Constitution suite à la dissolution de l’Assemblée des représentants du peuple. « Kaïs Saïed est conscient qu’en cas de tenue d’élection, le PDL sera au pouvoir ! Il s’agit d’un véritable danger pour lui, car il sait que nous allons appliquer la loi ! », a-t-elle ajouté.

Abir Moussi a expliqué qu’elle a saisi le tribunal administratif afin d’annuler l’appel à candidature à l’Instance supérieure indépendante pour les élections lancé par le conseil provisoire de la magistrature. Elle a considéré que les organisations et associations opérant dans le secteur de l’observation des élections et du processus électoral ne devaient pas légitimer le référendum du 25 juillet. Elle a rappelé que le projet de la nouvelle constitution n’a toujours pas été rendu public.

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