Une quinzaine d’associations et d’ONG dont le SNJT, et la LTDH, ainsi que de nombreuses personnalités, comme Kamel Jendoubi, Bochra Belhaj Hmida, Néziha Rjiba, Bassem Trifi, Leïla Rebaiï et autres…appellent à « la libération immédiate de Abderrazek Kilani, à cesser d’avoir recours à la justice militaire pour juger les civils, et liquider opposants et adversaires politiques, et à tenter de faire taire toutes les voix discordantes du pouvoir croissant du président et ses soutiens ».
Les signataires appellent toutes les associations, les personnalités et les partis démocratiques « à contrer le danger despotique rampant, qui se répand non seulement pour attenter aux acquis démocratiques, mais aussi toutes les organisations, les partis civils et le pouvoir judiciaire.
Ils pointent une tentative « d’instaurer un régime autoritariste faisant revenir la Tunisie à l’époque despotique et au pouvoir personnel ».