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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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ALGERIE – Le gouvernement affirme que tous les indicateurs économiques sont au vert et que le pays n’a pas besoin d’aide extérieure, mais le FMI estime que pour équilibrer son budget, l’Algérie a besoin d’un baril de pétrole à 141,6 dollars. Il est autour de 85. L’équilibre des comptes extérieurs nécessite , cette année, un prix de 91,5 dollars le baril, contre 80,6 dollars le baril l’année passée. Le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a indiqué, récemment, lors de la présentation du projet de loi de finances (PLF) 2022 devant la Commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN), que les recettes budgétaires pour l’exercice en cours devraient s’établir à 5.858,03 milliards de dinars, contre 5 114,09 milliards de dinars à fin 2020, soit une augmentation de 14,5%. Voilà plusieurs années que le budget de l’État algérien est voté régulièrement avec un niveau très élevé de déficits, y compris pendant la période d’abondance de ressources. “Faute de pouvoir réduire substantiellement la dépense publique ou de renforcer les prélèvements au titre de la fiscalité ordinaire, le seul indicateur susceptible d’influer réellement sur le déficit du budget, c’est le niveau des exportations d’hydrocarbures et, en conséquence, celui de la fiscalité pétrolière”, relevait le Cercle d’action et de réflexion pour l’entreprise (Care) dans une de ses contributions.

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ALGERIE-FRANCE – Parlant samedi sur TV5 monde, François Hollande a critiqué les récents propos de son successeur sur l’Algérie. « On ne parle pas comme ça de l’Algérie » a-t-il dit, il y a une « forme de délicatesse dans les expressions à avoir » car « « chaque fois que la France prend position sur les affaires intérieures de l’Algérie, ça lui revient en boomerang ». « Les rapports entre la France et l’Algérie, compte tenu de ce qui s’est produit, une guerre, sont des rapports extrêmement délicats. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas se dire un certain nombre de vérités, les uns et les autres (…) », a estimé François Hollande. Toutefois, même s’il estime qu’il faut dire un « certain nombre de vérités », il considère aussi qu’il « ne faut pas avoir de mots qui puissent blesser. » « Ce n’est pas à nous de juger les dirigeants de l’Algérie », a-t-il dit, en réponse à la question sur ce qu’a dit Emmanuel Macron sur le pouvoir algérien qu’il a qualifié de « système politico-militaire » qui exploite la « rente mémorielle depuis 1962. »

ALGERIE-MAROC – C‘est officiel : dimanche, le président Abdelmadjid Tebboune a ordonné de ne pas reconduire le contrat d’un gazoduc alimentant l’Espagne car il passe par le Maroc. En contrepartie du transit du gazoduc, Rabat recevait annuellement près d’un milliard de m3 de gaz naturel, ce qui représente 97 % de ses besoins. Le gaz algérien alimentait, en outre, deux centrales thermoélectriques marocaines. En contrepartie du transit du gazoduc, Rabat recevait annuellement près d’un milliard de m3 de gaz naturel, ce qui représente 97 % de ses besoins. Le gaz algérien alimentait, en outre, deux centrales thermoélectriques marocaines. Le Maroc réagit en mode « même pas mal ». Dans son communiqué publié dès dimanche 31 octobre, l’Office national de l’électricité explique que la décision algérienne n’aura dans l’immédiat qu’un impact « insignifiant ». Le pays a pris ses dispositions. Et même si les deux centrales qui fonctionnent grâce au gaz algérien s’arrêtent, le consommateur ne s’en rendra pas compte. Le Maroc dispose d’une capacité de production électrique qui couvre largement ses besoins. Le nouveau gouvernement d’Aziz Akhannouch discute également avec Madrid pour que l’Espagne renvoie du gaz au Maroc par le même gazoduc. En revanche, l’addition devrait augmenter pour l’Espagne car une partie du gaz serait livrée par méthanier.

SAHARA – Le nouvel émissaire des Nations unies (ONU) pour le Sahara occidental prend officiellement ses fonctions ce lundi 1er novembre 2021. Nommé début octobre, le diplomate italo-suédois Staffan de Mistura aura la tâche difficile de relancer un processus diplomatique au point mort. La preuve, le poste est resté vacant pendant deux ans et demi. Staffan de Mistura devra trouver des moyens concrets de ramener les protagonistes autour de la table. Néanmoins, l’Algérie, parrain du Polisario, a récemment refusé de participer aux discussions, estimant que les tractations devaient se faire directement entre le Maroc et les indépendantistes sahraouis. La résolution du conseil de sécurité des Nations unies renouvelant le mandat de la Minurso pour un an donne plutôt raison aux thèses marocains et aux tables rondes avec participation de l’Algérie. La proposition marocaine, basée sur une large autonomie sous souveraineté du Royaume, est considérée par la quasi-totalité des membres du Conseil de sécurité et des puissances internationales comme crédible, réaliste et réalisable. 

LIBAN – Les réactions à la crise avec l’Arabie saoudite sont mitigées. Le Premier ministre Najib Mikati a regretté « profondément la décision du royaume ». Il a « espéré » une reconsidération de cette mesure et réaffirmé son « rejet ferme et catégorique de tout ce qui nuit aux relations fraternelles profondes avec le royaume ». Le leader druze libanais Walid Joumblatt qui a naguère qualifié le conflit au Yémen d’« absurde » sans s’attirer de protestations a plaidé, samedi, pour le maintien de « ce qui reste des relations libano-arabes ». L’ex Premier ministre Saad Hariri a fait assumer au Hezbollah la dégradation sans précédent des relations entre le Liban et les pays du Golfe, où vivent et travaillent près de 400 000 libanais. « Nous sommes tombés en enfer », a-t-il dit en réclamant la fin de ce qu’il appelle « la mainmise de l’Iran » sur le pays du cèdre. Pour le quotidien Al-Akhbar, proche du Hezbollah, les mesures de rétorsions saoudiennes sont en réalité une riposte à l’avancée des rebelles houthis soutenus par le Hezbollah et l’Iran autour de Marib. La chute de cette ville du nord du Yémen serait une défaite majeure pour la coalition menée par le royaume.

YÉMEN – La coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite au Yémen a affirmé, dimanche 31 octobre, avoir tué plus de 218 rebelles houthistes dans de nouveaux raids depuis trois jours près de Marib. « Vingt-quatre véhicules militaires ont été détruits et plus de 218 terroristes » ont été tués au cours des dernières soixante-douze heures à Al-Jawba (50 kilomètres au sud de Marib) et à Al-Kassara (30 kilomètres au nord-ouest de Marib), a fait savoir la coalition dans un communiqué relayé par l’agence de presse officielle SPA. Ce matin, la coalition a dénoncé une attaque au missile balistique menée par les Houthis près de Marib qui a atteint une mosquée et une école religieuse, tuant ou blessant 29 civils dont des femmes et des enfants. Les Houthis ont revendiqué en octobre de nouveaux gains territoriaux dans cette région riche en pétrole. Ils contrôlent déjà la majeure partie du nord du Yémen, dont la capitale, Sanaa. 

IRAN – Téhéran a rejeté ce lundi 1er novembre la déclaration commune de quatre pays occidentaux sur le nucléaire iranien, considérant qu’elle ne « collait pas à la réalité » et réaffirmant le caractère pacifique de son programme. En marge du sommet du G20 à Rome, la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et les Etats-Unis avaient affiché leur « vive et croissante inquiétude face au rythme accéléré des mesures provocatrices prises par l’Iran dans le domaine nucléaire, telles que la production d’uranium hautement enrichi et d’uranium métal enrichi ». La diplomatie iranienne a rejeté ces accusations : « La production d’uranium métal et d’uranium hautement enrichi, comme déjà affirmé par le passé, est faite à des fins pacifiques et à des usages civils », a réagi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Saïd Khatibzadeh. « Il convient donc de noter que de telles positions [des Occidentaux] ne collent pas à la réalité et n’apporteront pas de résultats constructifs », a-t-il ajouté devant la presse. 

IRAK – Un Irakien a été condamné à mort ce lundi pour le meurtre de deux journalistes commis en janvier 2020 à Bassora pendant le mouvement de protestation anti-pouvoir en Irak, a annoncé la Cour suprême. Le condamné, dont seules les initiales « H.K. » ont été révélées, a « avoué tous les crimes » qui lui sont imputés et qu’il a commis « dans le but de déstabiliser la sécurité et la stabilité et d’intimider les gens à des fins terroristes », a indiqué la Cour suprême dans un communiqué. Il a été condamné à mort par pendaison par un tribunal de Bassora, la grande ville du sud irakien. Il a 30 jours pour faire appel.

Le décret autorisant son exécution doit encore être signé par le président irakien, Barham Saleh. Le journaliste Ahmad Abdessamad, 37 ans, a été tué en janvier 2020 avec son caméraman Safaa Ghali, 26 ans, dans leur ville natale de Bassora par des hommes armés à bord d’un 4×4. Les deux journalistes travaillaient pour la chaîne irakienne Dijla. Plus de 600 Irakiens ont été tués lors du mouvement de contestation de 2019, touchés par des balles réelles ou des grenades lacrymogènes. 

ISRAËL-IRAN – Le groupe de hackers iranien Black Shadow a piraté le site israélien de rencontre LGBT Atraf et a lancé un ultimatum aux administrateurs du site, leur intimant de verser une rançon d’un million de dollars dans les 48 heures sous peine que les informations personnelles des utilisateurs ne soient divulguées. « Jusqu’à présent, ni le gouvernement israélien ni Cyberserve ne nous ont contactés », ont écrit les pirates dans un communiqué. Black Shadow a affirmé vendredi avoir piraté les serveurs de la société d’hébergement Internet israélienne Cyberserve, désactivant plusieurs sites Web et menaçant de divulguer des informations sur les utilisateurs qui seraient au nombre d’un million. D’autre part, et pour la première fois, des photos satellite à haute définition des sites nucléaires israéliens sont disponibles gratuitement depuis quelques jours sur internet, grâce au site Mapbox et à de multiples applications. Chacun peut donc désormais observer la centrale nucléaire de Dimona, dans le sud du pays, présentée par les experts étrangers comme le cœur de l’arsenal atomique israélien, ainsi que la base où sont censés être stockés des missiles balistiques.

GAZA – La Fondation turque d’aide humanitaire (IHH) a fourni, dimanche, des aides à cent de familles touchées par la récente agression israélienne contre la Bande de Gaza. Le responsable de la communication de la fondation turque à Gaza, Mahmoud Chourifa, a précisé que « chaque famille a une machine à laver, un réfrigérateur, une bonbonne de gaz et une gazinière de cuisine. M. Chourifa a expliqué que la fondation cherche à se tenir aux côtés de ces familles et « travaille de toute son énergie pour apporter une aide aux personnes assiégées de la Bande de Gaza”.

INSOLITE – Un jeune escroc anglais a créé une copie du site Love2shop, une boutique en ligne tout à fait légitime qui commercialise des cartes cadeaux. Pour faire connaitre son clone, l’adolescent a acheté des mots clé Google afin de détourner le trafic vers son propre site. Durant la seule semaine durant laquelle son site a été actif, au printemps 2020, l’arnaqueur a « vendu » pour 6.500 livres (environ 7.700 €) de fausses cartes cadeaux. Il a surtout pu récupérer au moins 12.000 coordonnées de cartes bancaires et près de 200 informations de connexion à des comptes PayPal ! Et il ne s’est pas arrêté en si bon chemin : grâce à ces données, il a pu acheter des bitcoins et autres cryptos. Lors de son procès, il a été révélé qu’il avait acquis 48 bitcoins, ce qui à l’époque représentait environ 240.000 €. Lors de son arrestation en août dernier, cette manne avait atteint plus de 500.000 €… Et désormais, le montant tourne autour de 2,5 millions d’euros ! La petite affaire n’a cependant pas duré, Love2shop a rapidement lancé une enquête et a pu mettre la main sur le jeune escroc, faisant fermer la copie du site. La juge a été très claire dans son verdict. En s’adressant à l’ado, elle lui a signifié que s’il avait été adulte, il aurait fini en prison. Au lieu de cela, il écope d’une peine de réhabilitation de 12 mois (il a plaidé coupable de blanchiment d’argent et fraude). 

SOUDAN – Trois manifestants ont été tués et une centaine ont été blessés par les forces de sécurité à Omdourman (Soudan), ville-jumelle de Khartoum, samedi 30 octobre, lors de protestations dénonçant le coup d’Etat militaire, a annoncé dimanche un syndicat de médecins pro-démocratie. Les opposants à ce coup d’Etat militaire manifestent contre le général Abdel Fattah Al-Burhane, et sont décidés à remettre la transition démocratique sur les rails malgré la répression meurtrière. Ces nouveaux décès portent à douze le nombre de protestataires tués depuis que le chef de l’armée a annoncé dissoudre l’ensemble des institutions du pays. Le général Burhane, seul maître aux commandes, a limogé le procureur général qui avait ordonné la libération des manifestants et les hommes d’Etat ou politiques incarcérés après ce coup d’état militaire. Le Soudan vivait, depuis le 21 août 2019, une période de transition de 53 mois qui devait s’achever par la tenue d’élections début 2024. Par ailleurs, l’émissaire de l’ONU au Soudan, Volker Perthes, a rencontré dimanche le Premier ministre Abdallah Hamdok, assigné à résidence, et évoqué de possibles « médiations » pour sortir le pays de l’impasse. « Nous avons discuté des options de médiation et des moyens de sortir de la crise au Soudan. Je poursuivrai les efforts avec les autres parties prenantes soudanaises », a-t-il écrit sur sa page Twitter.

JAPON – Le parti du Premier ministre japonais Fumio Kishida a obtenu une victoire plus nette que ce que prédisaient les sondages et les projections à la fermeture des bureaux de vote dimanche, confortant le chef du gouvernement conservateur fraîchement nommé dans ses orientations politiques. « C’était un scrutin très difficile », a déclaré Fumio Kishida à la presse. Mais les électeurs ont démontré qu’ils souhaitaient un « gouvernement stable » de la majorité sortante pour façonner l’avenir du pays, a-t-il ajouté. Il a fait ces déclarations après que son Parti libéral démocrate (PLD, droite nationaliste) et son partenaire, le Komeito (centre droit), ont remporté 293 des 465 sièges à la Chambre basse du Parlement, selon les derniers décomptes des médias japonais. Moins de 56 % des électeurs. Fort de la majorité absolue, Fumio Kishida s’est engagé ce lundi à doubler (à 2%) le budget de la défense japonaise pour tenir tête à la Chine, à lutter davantage contre le changement climatique et à soutenir la relance de l’économie. Sur 1 051 prétendants se disputant 465 sièges figuraient seulement 186 candidates (17,7 %), dont 141 n’ont pas été élues. La chambre basse ne compte donc que 9,7 % de députées.   

ETHIOPIE – Les combats font rage entre forces éthiopiennes et rebelles tigréens autour de la ville de Kombolcha, ont raconté ce lundi des habitants, au lendemain de l’annonce par les rebelles de la prise de ce carrefour stratégique du nord de l’Ethiopie. Dessie, que les Tigréens affirment aussi avoir prise, et Kombolcha sont situées à un carrefour routier stratégique à environ 400 kilomètres au nord de la capitale éthiopienne Addis Abeba et 300 km à l’ouest de Djibouti.  Si leur prise se confirmait, elle marquerait une nouvelle étape majeure dans ce conflit qui dure depuis un an. Il pourrait s’agir d’un point de bascule dans la guerre entre le gouvernement fédéral et les rebelles tigréens du TPLF qui pourraient poursuivre leur route vers la capitale Addis-Abeba, et menacer le gouvernement. En région Amhara, la deuxième province la plus peuplée d’Éthiopie, les autorités se préparent à la guerre totale. En effet, elles ont déclaré l’état d’urgence hier dimanche. Tous les budgets régionaux, les armes et les véhicules pourront être réquisitionnés pour l’effort de guerre. Les communications sont coupées dans une grande partie du nord de l’Éthiopie et l’accès des journalistes est restreint, rendant pratiquement impossible toute vérification indépendante des informations données par les deux parties.

COVID – Selon les chiffres de l’université de Johns Hopkins, le monde a officiellement passé ce lundi la barre des 5 millions de morts du Covid-19 depuis que le bureau de l’OMS en Chine a fait état de l’apparition de la maladie fin décembre 2019. Un bilan que tout le monde s’accorde à qualifier de largement sous-estimé. En prenant en compte la surmortalité liée au Covid, il pourrait être deux à trois fois plus élevé, prévient l’OMS. La revue The Economist estime que le Covid a causé quelque 17 millions de décès. Avec près de 750 000 décès, les Etats-Unis sont le pays le plus touché par la pandémie absolue, suivis de près par le Brésil (plus de 600 000) et l’Inde (environ 460 000). Relativement à sa population, c’est le Pérou qui a payé le plus lourd tribut à ce jour. Ces chiffres sont ceux donnés par les différents pays. Quel qu’il soit, le bilan du covid est inférieur à celui d’autres pandémies : on estime que la grippe dite « espagnole » de 1918-1919 – également causée par un virus alors inédit – a tué de 50 à 100 millions de personnes, et en 40 ans, le sida a provoqué plus de 36 millions de décès.

MACÉDOINE DU NORD – Le Premier ministre Zoran Zaev a annoncé sa démission dimanche soir après les mauvais résultats de son parti, le SDSM (gauche), aux élections municipales dans ce petit pays enclavé des Balkans. La décision de Zoran Zaev est une surprise de taille, et un événement plutôt rare dans le pays et la région. Elle fait suite à des mois de perte de popularité du Premier ministre qui a bataillé pour redresser l’économie affectée par la pandémie de coronavirus et fait peu de progrès dans ses efforts pour ouvrir les négociations d’adhésion à l’Union européenne. Lors de ce scrutin, dont le second tour se tenait ce dimanche, le SDSM a perdu la capitale Skopje et la plupart des grandes villes et centres urbains du pays après avoir, en 2017, remporté plus de la moitié des 80 municipalités de la Macédoine du Nord. « J’assume la responsabilité de ces résultats aux élections. Je démissionne de mon poste de Premier ministre. J’ai apporté la liberté et la démocratie, et la démocratie sous-entend de prendre ses responsabilités », a encore expliqué M. Zaev qui a également démissionné de son poste de président du SDSM. « Le gouvernement a perdu sa légitimité », a affirmé le leader de l’opposition Hristijan Mickoski, en appelant de ses vœux l’organisation d’élections législatives anticipées. Zoran Zaev espère être chargé de former un nouveau gouvernement.

ETATS-UNIS – Le président américain Joe Biden a été testé négatif au coronavirus, a indiqué ce lundi la présidence américaine, peu après l’annonce de la contamination de la porte-parole de la Maison Blanche Jen Psaki. Le « président a également été testé, un test PCR hier (dimanche), et il a été testé négatif », a déclaré aux journalistes une porte-parole du président, Karine Jean-Pierre, à bord d’Air Force One, en route pour le sommet des Nations Unies sur le climat à Glasgow. Mme Jean-Pierre a précisé que le test effectué au président n’avait pas été fait en réponse à l’annonce du résultat positif de Jen Psaki, mais qu’il avait été effectué « indépendamment » car il était « nécessaire pour entrer au Royaume-Uni ». Jen Psaki avait décidé il y a quelques jours de ne pas participer au déplacement européen du président américain car des membres de sa famille avaient contracté le virus. La porte-parole de la Maison Blanche dit n’avoir, grâce au vaccin, que de légers symptômes et précise qu’elle travaille depuis chez elle, ajoutant qu’elle se mettrait en quarantaine pendant dix jours avant de subir un nouveau test et de revenir éventuellement à la Maison blanche.

TEXAS AVORTEMENT – La cour suprême des Etats-Unis s’est réunie cet après-midi pour examiner la loi qui interdit pratiquement l’avortement au Texas. Elle devait entendre deux recours distincts contre une loi du Texas qui interdit d’avorter dès que les battements de cœur de l’embryon sont perceptibles, soit vers six semaines de grossesse, même en cas d’inceste ou de viol. Après avoir reconnu en 1973 le droit des femmes à avorter, la Cour a précisé en 1992 qu’il s’appliquait tant que le fœtus n’est pas viable hors de l’utérus, soit vers 22 semaines de grossesse. Ces arrêts historiques, bien qu’ayant autorité sur tout le pays, ne passent toujours pas auprès d’une partie de la population – surtout à droite et dans les milieux religieux. Jusqu’ici, les tribunaux ont toujours empêché la mise en œuvre des lois locales limitant le doit à l’avortement. Des manifestants pro et anti-avortement avaient commencé à se réunir au petit matin devant la cour suprême qui compte six magistrats conservateurs sur neuf dont trois nommés par l’ex-président républicain. « L’avortement est essentiel » contre « laissez leurs cœurs battre », chaque groupe se faisait face, armé de pancartes et bannières, sous l’œil vigilant des forces de l’ordre.

EVEREST – Les recherches pour tenter de retrouver trois jeunes alpinistes français portés disparus après une avalanche sur un sommet de la région de l’Everest ont repris lundi 1er novembre, ont indiqué à l’AFP des responsables des opérations de secours. « Quelque chose comme un sac ou un objet noir a été repéré sur le versant de la montagne », a déclaré le responsable des recherches. Mais « l’espoir de retrouver des survivants est à présent quasi nul », selon la Fédération Française des Clubs Alpins et de Montagne (FFCAM). On sait qu’ils ont échappé à une avalanche et qu’ils ont renoncé à leur montée. Leurs traces se perdent dans leur descente. Louis Pachoud, Gabriel Miloche et Thomas Arfi entamaient l’ascension d’une goulotte sur la gauche de la face ouest du sommet Mingbo Eiger (6 070 mètres d’altitude), a précisé la FFCAM lundi dans un communiqué. Les trois alpinistes, qui n’ont pas encore été localisés, sont tous âgés d’une vingtaine d’années, et appartiennent au Groupe Excellence Alpinisme National (GEAN), une formation d’élite française. Ils font partie d’un groupe arrivé fin septembre dans la région du Khumbu (région de l’Everest), pour gravir plusieurs sommets entre 5 et 6 000 mètres d’altitude situés au sud de l’Ama Dablam (6 814 m). Le dernier contact téléphonique avec eux depuis leur bivouac remonte au 26 octobre.

MIGRANTS – Près de 400 migrants ont débarqué ce dimanche d’un navire battant pavillon turc que la Grèce a autorisé à accoster, même si elle accuse la Turquie d’avoir violé un accord migratoire, selon les autorités grecques. La Grèce demandait depuis vendredi à la Turquie de récupérer le bateau. Devant le refus turc, les autorités grecques ont finalement autorisé les migrants à débarquer sur l’île de Kos, en mer Egée. Selon les garde-côtes, ils ont été transportés dans un centre d’accueil, où ils vont être placés en quarantaine et testés pour le coronavirus. Selon le ministère des Migrations, 382 personnes ont débarqué et six d’entre elles ont été interpellées pour être interrogées. Les nationalités n’ont pas été précisées. la Grèce a accusé la Turquie d’avoir sciemment permis le départ du bateau, en violation de l’accord de mars 2016 qui prévoyait un réel effort d’Ankara pour limiter les migrations à partir de son territoire en échange d’une aide financière de milliards d’euros de la part de l’UE. Selon le Haut-commissariat aux réfugiés (HCR) de l’ONU, plus de 2 500 personnes ont fait la traversée de la mer Egée cette année à partir de la Turquie voisine, contre 9 700 en 2020, année pour laquelle le HCR a recensé plus de 100 morts ou disparus.

ESWATANI – Anciennement nommé Swaziland, l’Eswatini, petit État enclavé en Afrique du Sud, est le théâtre depuis le mois de mai de troubles qui auraient fait une centaine de morts, selon l’opposition ; une trentaine, selon le gouvernement. Mswati III, qui règne depuis trente-huit ans sur 1,3 million de sujets, réprime par la force ceux qui s’opposent à la dernière monarchie absolue d’Afrique. Le roi tentait de calmer le jeu le week-end dernier en changeant de premier ministre et en annonçant l’ouverture d’un forum national. Mais opposition et société civile, qui réclament une démocratie, rejettent ce dialogue placé sous l’égide de la monarchie. Couronné en 1986, Mswati III est décrié pour son train de vie fastueux dans un pays dont les deux tiers de la population vivent sous le seuil de pauvreté. Ses apparitions publiques sont de plus en plus rares. L’une de ses dernières sorties était pour la « danse des roseaux », le 8 octobre dernier. Dans cette cérémonie haute en couleur, les jeunes vierges du royaume s’offrent à lui. Il a le privilège, comme le faisaient son père et son grand-père, de choisir une nouvelle épouse tous les ans. Le souverain, éduqué en Angleterre, a déjà 15 épouses.

MEXIQUE – C’est au moins le septième journaliste assassiné dans le pays depuis le début de l’année. Alfredo Cardoso Echeverria, directeur d’un site d’informations d’Acapulco, dans le sud du Mexique, est décédé dimanche à l’hôpital, deux jours après avoir été retrouvé grièvement blessé par balles, ont annoncé dimanche 31 octobre les autorités. « Je dois présenter mes condoléances à la famille du journaliste Alfredo Cardoso Echeverria, fondateur du site d’information Las Dos Costas, pour cette regrettable perte », a déclaré sur les réseaux sociaux Evelyn Salgado, la gouverneure de l’État de Guerrero où est situé Acapulco. Selon RSF, Alfredo Cardoso, dont la famille avait reçu des menaces, avait été enlevé jeudi par des individus encagoulés qui avaient fait irruption à son domicile.

Il avait été retrouvé le lendemain, atteint de cinq balles, à bord de son véhicule, ont rapporté des médias locaux. Transporté d’urgence à l’hôpital, le journaliste a succombé à ses blessures dimanche. Le Mexique est considéré comme l’un des pays les plus dangereux pour travailler dans les médias avec plus d’une centaine de journalistes assassinés depuis 2000, selon les chiffres de la Commission des droits de l’homme. Plus de 90 % des homicides de journalistes restent impunis, dénoncent les organisations de défense de la liberté d’expression.

COP26 – Comparant la lutte contre le réchauffement climatique à James Bond tentant de désamorcer une bombe, Boris Johnson, en, ouvrant à Glasgow la COP a rappelé qu’il ne s’agissait pas « d’un film, l’horloge tourne ». Filant la métaphore cinématographique, le Premier ministre britannique a ajouté que les dirigeants avaient « la possibilité et le devoir de faire de ce sommet le moment où l’humanité a enfin commencé à désamorcer la bombe » que représente le changement climatique. « Plus on met de temps à agir, pire ce sera », a-t-il poursuivi. « L’humanité a longtemps joué la montre sur le climat. Il est minuit moins une sur l’horloge de l’apocalypse et nous devons agir maintenant », a martelé Boris Johnson. Le Premier ministre a poursuivi : « si on ne prend pas au sérieux le changement climatique aujourd’hui, ça risque d’être trop tard pour nos enfants demain. (…) Ils ne nous pardonneront pas » si nous échouons, a-t-il mis en garde. « Oui, ça va être dur, mais oui, nous pouvons le faire. Alors mettons-nous au travail », a-t-il conclu. Après lui, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a confirmé que la COP26 devait agir pour « sauver l’humanité » et le prince Charles a affirmé que « le coup de l’inaction est bien supérieur au coût de la prévention », Joe Biden a insisté sur le fait que les efforts pour lutter contre le réchauffement climatique représentent une « opportunité incroyable » pour l’économie mondiale. Pour Emmanuel Macron qui veut crédibiliser l’objectif de 1,5 degré « la clé est que les plus gros émetteurs, dont les stratégies nationales ne sont pas conformes à notre objectif, rehaussent leurs ambitions dans les quinze jours qui viennent ».

TURQUIE – Le président turc n’est pas à la COP 26 : « Nous avons renoncé à nous rendre à Glasgow quand nos demandes n’ont pas été satisfaites. Il n’en allait pas seulement de notre sécurité, mais aussi de la réputation de notre pays », a déclaré le président turc à des journalistes, à bord de l’avion présidentiel lors de son retour du G20 à Rome. Selon plusieurs médias, dont le site Middle East Eye, le président n’est pas venu en raison de restrictions sur la taille de la délégation turque et le nombre de véhicules officiels. Recep Tayyip Erdogan – dont le pays est le dernier en date à avoir ratifié l’accord de Paris sur le climat. Il devait s’entretenir avec Joe Biden. Mais les deux chefs d’État se sont rencontrés dimanche lors du G20 à Rome, se promettant de mieux coopérer pour améliorer des relations particulièrement tendues, selon Ankara et la Maison-Blanche. Le président turc s’est également entretenu à huis clos dimanche avec la chancelière allemande Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron. L’entourage d’Emine Erdogan, l’épouse du président turc, a fait savoir lundi à l’Agence France-Presse que les relations entre la première dame turque et Brigitte Macron étaient au beau fixe, en dépit des tensions régulières entre leurs époux

NIGERIA – Un gratte-ciel en construction s’est effondré ce lundi à Lagos, la capitale économique, piégeant des personnes à l’intérieur, selon des ouvriers du bâtiment et des responsables des services de secours. Les responsables n’ont pas pu préciser le nombre de personnes prises au piège, mais des ouvriers et des voisins se démenaient pour extraire des gens des décombres de l’immeuble de 25 étages, dans le quartier d’Ikoyi, ont constaté des correspondants de l’AFP sur place. « Il s’agit d’un immeuble de 25 étages encore en construction. De nombreux ouvriers sont piégés sous les décombres. Nous essayons de les secourir », a déclaré Femi Oke-Osanyintolu, un responsable de l’Agence de gestion des urgences de l’État de Lagos. « Nous ne pouvons pas dire pour l’instant combien de personnes sont mortes. L’opération de sauvetage est en cours ». Selon des riverains et des travailleurs présents sur le site, dont certains couverts de poussière, des dizaines de personnes auraient pu se trouver à l’intérieur lorsque le bâtiment s’est effondré. Ikoyi est l’un des quartiers résidentiels et d’affaires les plus huppés de Lagos, capitale économique de quelque 20 millions d’habitants.

BIRMANIE – Dimanche soir, les Etats-Unis ont condamné d’« abominables attaques » de la junte birmane dans l’Etat Chin (ouest), où elle est accusée d’avoir détruit plus de 100 habitations et des églises chrétiennes, a fait savoir le porte-parole du département d’Etat, Ned Price. « Ces abominables attaques montrent qu’il est urgent pour la communauté internationale de demander des comptes à l’armée birmane et de prendre des mesures pour empêcher les violations flagrantes et les atteintes aux droits humains », a-t-il précisé dans un communiqué. Vendredi, des médias locaux et des témoins ont rapporté que les forces armées de la junte avaient bombardé la ville de Thantlang après une confrontation avec des forces locales d’autodéfense. De quoi susciter le courroux de Washington : « Nous condamnons ces actions brutales du régime birman contre des personnes, leurs maisons et leurs lieux de culte, qui mettent en évidence le mépris total du régime pour la vie et le bien-être de la population birmane », a déclaré Ned Price. Selon des habitants, un incendie a ensuite ravagé la ville de 7 500 personnes, détruisant des dizaines d’habitations et autres bâtiments, dont un bureau de l’ONG Save the Children. Les militaires au pouvoir ont, eux, accusé samedi les forces de défense du peuple (PDF) d’être à l’origine de l’incendie, faisant état de 2 églises et 70 habitations détruites par le feu.

GEORGIE – Le parti au pouvoir a remporté le deuxième tour des élections municipales, selon les résultats officiels annoncés dimanche et rejetés comme frauduleux par l’opposition dont le chef, emprisonné, fait une grève de la faim. Le parti Rêve géorgien a remporté de peu ces élections dans 19 sur 20 municipalités où ses candidats affrontaient ceux du Mouvement national uni (MNU) de Saakachvili, a annoncé dimanche la Commission électorale centrale. « Je félicite tout le monde pour notre victoire au deuxième tour, nous avons gagné toutes les villes », a déclaré le Premier ministre Irakli Garibachvili à la télévision. Pour sa part, le dirigeant du MNU, Nika Melia, a assuré que l’opposition n’allait pas reconnaître ces résultats, en accusant le Rêve géorgien d’avoir « volé les élections ». Le MNU a été créé en 2001 par Mikheïl Saakachvili, devenu ensuite président pro-occidental de ce pays du Caucase de 2004 à 2013. Parti en exil avant même la fin de son second mandat, il est revenu en Géorgie juste avant le premier tour des élections de 2021. Aussitôt emprisonné, il a aussitôt entamé une grève de la faim, toujours en cours.RDC – L’Assemblée nationale a adopté, ce lundi 1er novembre en première lecture, le projet de loi portant prorogation de l’état de siège en Ituri et au Nord-Kivu. C’est pour la 11ème fois consécutive que les élus du peuple se livrent à cet exercice. 335 des 342 députés ayant pris part au vote ont voté « pour », 6 ont voté « contre » et 1 s’est abstenu. Cette nouvelle prorogation prend cours du 3 au 17 novembre, soit 15 jours. Les députés de l’Ituri et du Nord-Kivu n’ont pas participé au vote. Ils ont quitté la salle pour exiger un plan de sortie de cette mesure avant toute prorogation. Pour eux, l’état de siège ne résout rien car les violences ne font que s’aggraver dans les deux provinces. Ils exigent aussi le départ des deux gouverneurs militaires. Cinq mois d’état de siège dans deux provinces de l’est de la RDC n’ont pas produit « d’effet positif visible », selon le rapport mensuel d’un groupe d’experts publié dimanche, qui relève une « nette » augmentation des violences en septembre après une « baisse notable » en août. « Le nombre de civils tués y est resté remarquablement stable (546 au 3e trimestre, contre 566 au 2e), de même que le nombre d’enlèvements (280 contre 273) ».

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