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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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ALGERIE – Réagissant à la visite du ministre israélien de la Défense Benny Gantz au Maroc, Ramtane Lamamra a déclaré au quotidien paraissant à Londres Al Quds Al Arabi, M. Lamamra a indiqué que l’Algérie « se sent aujourd’hui comme un État qui fait face à l’entité sioniste, auquel nous envoyions nos troupes pour le combattre aux côtés de nos frères arabes, maintenant qu’il est à nos frontières et signe des accords militaires, sécuritaires et de renseignements avec le voisin, le frère et l’ami ». « Malgré cela, ajoute le chef de la diplomatie algérienne, nous nous attelons à réunir les arabes au cours du prochain sommet (prévu à Alger en mars prochain, ndlr) pour arriver à une position commune concernant le soutien aux droits du peuple palestinien, et revenir à l’initiative de paix arabe de 2002, sans nous immiscer dans les affaires de ceux qui ont opté pour la normalisation avant la création de l’État palestinien ». Le ministre des Affaires étrangères a, par ailleurs, affirmé que « L’idée d’utiliser le Sahara occidental pour renforcer le Maroc et affaiblir l’Algérie existe toujours. Après le terrorisme et le Hirak populaire, on a déterré l’idée, croyant que l’Algérie était occupée par sa situation interne et que les Nations-Unies sont sous l’influence de la France et des États-Unis dans cette question. Mais le Maroc sait qu’il ne peut pas imposer ses vues dans le dossier du Sahara et qu’il reste encore une citadelle tenace qu’est l’Algérie ».

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LIBAN – Le président du Courant Patriotique Libre Gibran Bassil a écarté toute occupation iranienne du Liban et appelé au départ du gouverneur de la Banque du Liban Riad Salamé, lors d’un discours prononcé depuis Kfardebian. “Aujourd’hui, ils veulent vous convaincre qu’une nouvelle occupation est arrivée au Liban, qui est l’occupation iranienne, mais s’il y a une occupation iranienne, nous serons les premiers à y faire face comme nous avons affronté l’occupation israélienne ou syrienne”, note Gebran Bassil, estimant qu’il n’y a pas de présence iranienne au Liban. Il s’en est également pris indirectement au dirigeant des Forces Libanaises Samir Geagea, l’accusant d’être financé par l’étranger, allusion à un financement saoudien, pour être un outil à ces pays. “Ils tuent quand on leur demande et ils approuvent des politiques telles que le renversement de la loi orthodoxe (électorale) et des pouvoirs du président”. Gébran Bassil a également estimé que le président de la république, le général Michel Aoun a dû faire face durant son mandat aux mauvaises politiques financières qui menaçaient de démanteler le Liban. Il s’agissait de libérer l’état du régime politique qui gouverne le Liban depuis les années 1990 mais également du régime financier qui demeure aujourd’hui et qui serait dirigé par le gouverneur de la Banque du Liban Riad Salamé qui doit partir.

Aujourd’hui , des manifestants ont exprimé leur colère dans la rue, dès 6h du matin, à travers tout le territoire, afin de protester contre la détérioration de leurs conditions de vie alors que le pays n’en finit plus de s’enliser dans une crise socio-économique et financière. « Nous sommes en enfer », « Je n’ai plus rien à perdre », « Défends tes droits » scandaient les manifestants.

LIBYE – Lors d’un entretien téléphonique, dimanche 28 octobre, la ministre des Affaires étrangères Najla Al- Mangoush a assuré à son homologue marocain Nasser Bourita que la Libye a décidé de retirer sa candidature pour siéger au Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine et qu’elle apporterait son soutien à celle du Maroc, ce qui peut fâcher la Tunis. En effet, la Tunisie s’est officiellement portée candidate au Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, a annoncé le président tunisien Kaïs Saïed le mardi dernier 23 novembre dans une allocution à distance aux travaux du 21e Sommet des chefs d’Etat et de gouvernements du Marché commun d’Afrique orientale et australe (COMESA). « Cela permettra à mon pays d’apporter son expertise et contribuer positivement, avec tous les pays africains, en matière de stabilité et de développement dans la région », avait déclaré M. Saïed. L’Afrique du Nord a droit à deux des quinze sièges.

IRAN – Alors que les pourparlers reprennent à Vienne ce lundi 29 novembre, l’Iran s’est déclaré « fermement déterminé » à parvenir à un accord avec la communauté internationale sur le dossier nucléaire, a annoncé le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères. « La délégation de la République islamique d’Iran est à Vienne avec la ferme détermination de parvenir à un accord et envisage des pourparlers fructueux », a déclaré à la presse Saïd Khatibzadeh. « Le gouvernement a montré sa volonté et son sérieux en envoyant une équipe de qualité connue de tous. Si l’autre côté montre la même volonté, nous serons sur la bonne voie pour parvenir à un accord », a-t-il ajouté. Cependant, la nouvelle équipe de négociateurs iraniens a formulé des demandes jugées irréalistes par les Européens et les Américains, affirment des diplomates occidentaux. « Nos demandes sont claires. C’est aux autres parties et en particulier aux Américains de décider s’ils veulent que cet accord soit ou non ressuscité. Ils ont abandonné le pacte, donc ils doivent y revenir et lever toutes les sanctions », a dit à Reuters un responsable iranien proche des pourparlers. La République islamique exige la levée de toutes les sanctions américaines et européennes prises depuis 2017, y compris celles n’ayant aucun rapport avec son programme nucléaire. Le traité des 2015, connu sous son acronyme anglais JCPOA, offrait à Téhéran la levée d’une partie des sanctions étouffant son économie en échange d’une réduction drastique de son programme nucléaire, placé sous un strict contrôle de l’ONU.

ISRAËL – Le président Isaac Herzog a allumé dimanche une bougie pour le premier soir de la fête juive de Hanoucca, qui dure huit jours dans la ville d’Hébron, en Cisjordanie. S’exprimant lors d’une cérémonie au Caveau des Patriarches, un sanctuaire vénéré par les Juifs et les musulmans comme étant la dernière demeure d’Abraham, M. Herzog a déclaré que le lien entre les Juifs et la ville et le tombeau était « au-delà de toute controverse ». « Le lien historique des Juifs avec Hébron, avec la tombe du patriarche, avec l’héritage des patriarches et des matriarches est incontestable. La reconnaissance de ce lien doit être au-delà de toute controverse. » Le président israélien a par ailleurs évoqué l’héritage commun des Juifs et musulmans, malgré les tensions toujours présentes dans la ville, qui se sont accentuées avant sa visite.

« Vous ne serez pas d’accord sur tout, mais nous devons nous rappeler que ‘nous sommes tous les fils d’un seul homme' », a-t-il dit selon un communiqué de son bureau, en citant la Bible. À proximité du site, des dizaines de militants de la gauche israélienne ont protesté contre la visite, avec des pancartes en hébreu et en anglais accusant Israël d’apartheid et appelant à « chasser l’obscurité », en référence à une célèbre chanson pour enfants de Hanoucca. Plus tôt, des agents de la police des frontières se sont battus avec plusieurs Palestiniens venus protester devant le Caveau des Patriarches contre la venue d’Isaac Herzog.

SOUDAN-ETHIOPIE – L’Éthiopie a nié avoir mené au cours du weekend une attaque dans une région frontalière disputée avec le Soudan, blâmant les rebelles tigréens que le gouvernement combat depuis plus d’un an. Samedi soir, l’armée soudanaise avait annoncé la mort de «plusieurs» de ses soldats dans la région d’Al-Fashaga, des terres fertiles qui font l’objet d’un conflit frontalier entre Addis Abeba et Khartoum, après l’attaque selon elle de groupes armés et de milices liées à l’armée éthiopienne. Un porte-parole du gouvernement éthiopien, Legesse Tulu, a qualifié dimanche ces déclarations de «sans fondement».

À l’inverse, M. Legesse en a renvoyé la responsabilité de l’attaque sur le Front de libération du Peuple du Tigré (TPLF. «Un large groupe d’insurgés, de bandits et de terroristes est entré (depuis le Soudan)», a déclaré le porte-parole à la chaîne officielle Ethiopian Broadcasting Corporation (EBC), sans apporter plus de précisions.  «L’armée éthiopienne et les milices locales les ont détruit», a-t-il ajouté. M. Legesse a également affirmé que le TPLF s’entraînait au Soudan et recevait du soutien de «sponsors étrangers», qu’il n’a pas spécifié. 

ETHIOPIE – Ce qui se passe au Tigré est « une guerre génocidaire », assure Mgr Tesfaselassie Medhin, l’évêque de l’éparchie catholique d’Adigrat, dans la région du Tigré, et l’Église catholique locale n’est pas épargnée. « Comme tous les Tigréens, l’Église catholique au Tigré est très affectée par cette guerre génocidaire qui nous est faite par les armées locales et les armées étrangères, avec des attaques physiques, psychologiques et spirituelles sur nos laïcs, nos prêtres, nos religieuses et nos structures », dénonce-t-il dans une vidéo publiée le 24 novembre par Dimtsi Weyane Television, une chaîne locale. L’évêque interpelle à nouveau les autorités éthiopiennes et la communauté internationale sur la situation humanitaire des populations tigréennes, privées depuis des mois « de l’aide alimentaire humanitaire, et de tous les services de base comme les médicaments, l’électricité, le téléphone, l’Internet, les transports aériens et terrestres ». Pour lui, le rapport conjoint de la Commission éthiopienne des droits de l’homme (EHRC) et du Haut-Commissariat aux droits de l’homme des Nations unies ne reflète pas toute la réalité parce qu’il « ne semble même pas mentionner le crime de guerre et le génocide par leur nom ».

TURQUIE – La Turquie envisage un rapprochement « progressif » avec Israël et l’Egypte, après avoir ouvert un nouveau chapitre de ses relations avec les Emirats arabes unis, a déclaré le président Recep Tayyip Erdogan, selon des propos rapportés lundi par des médias turcs. « Nous serons en mesure de nommer des ambassadeurs dans un calendrier défini lorsque nous aurons pris cette décision (…) Nous avancerons progressivement », a affirmé le chef de l’Etat à des journalistes, en réponse à une question sur les relations difficiles que la Turquie entretient avec Israël et l’Egypte. 

Les relations entre Ankara et l’Etat hébreu sont tendues depuis l’incident du Mavi Marmara en 2010 -navire turc arraisonné alors qu’il tentait de forcer le blocus de Gaza- , les deux pays avaient alors rappelé leurs ambassadeurs en 2018. Mi-novembre, le président turc s’est toutefois entretenu avec son homologue israélien Isaac Herzog et Naftali Bennett – le premier entretien entre un chef de gouvernement israélien et M. Erdogan depuis 2013 -, quelques heures après la libération et le retour dans leur pays d’un couple de touristes israéliens accusés d’espionnage et détenus en Turquie. Ankara entretient aussi des relations crispées avec Le Caire depuis le renversement en 2013 de l’ex-président égyptien Mohamed Morsi, soutenu par M. Erdogan, qui avait conduit au rappel des ambassadeurs des deux pays.

INSOLITE – Le bus circulait entre Haacht et Perk, dans l’entité de Kampenhout. À son bord se trouvaient essentiellement des écoliers. D’après les médias flamands, le conducteur aurait été agacé par des adolescents qui sonnaient pour marquer l’arrêt sans pour autant descendre. Malgré les cris et les pleurs des enfants terrorisés, le chauffeur a continué son parcours sans s’arrêter « avec une conduite agressive », selon l’un des enfants. Les écoliers ont été contraints de descendre au terminus. Mais ils avaient prévenu, par téléphone, la police et leurs parents qui sont venus les chercher. Une voiture banalisée de la police aurait suivi le bus. La société de transport a confirmé l’incident. “Il a effectivement sauté toute une série d’arrêts. Nous attendons l’enquête de la police. Nous n’avons actuellement aucune explication sur le comportement du conducteur. Lorsque nous saurons exactement ce qui s’est passé, nous pourrons alors décider d’éventuelles sanctions.”, a déclaré le porte-parole de la compagnie flamande. 

TOURISME – Sous l’effet de la crise sanitaire liée au Covid-19, le secteur devrait encore perdre 2.000 milliards de dollars, a annoncé lundi l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), qui juge la reprise de l’activité « lente » et « fragile ». Cette estimation, similaire aux pertes essuyées en 2020, survient alors que de nouvelles restrictions ont été prises, en particulier en Europe, pour faire face à une nouvelle vague de l’épidémie. Ces dernières évolutions montrent que « la situation est totalement imprévisible » et que le secteur touristique n’est pas à l’abri d’aléas susceptibles de provoquer « d’énormes dégâts » économiques, a reconnu auprès le secrétaire général de l’OMT Zurab Pololikashvili. Sous l’effet de la crise sanitaire liée au Covid-19, le secteur devrait encore perdre 2.000 milliards de dollars, a annoncé lundi l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), qui juge la reprise de l’activité « lente » et « fragile ». Cette estimation, similaire aux pertes essuyées en 2020, survient alors que de nouvelles restrictions ont été prises, en particulier en Europe, pour faire face à une nouvelle vague de l’épidémie et que le variant Omicron, détecté pour la première fois en Afrique du Sud, se propage dans le monde entier. Ces dernières évolutions montrent que « la situation est totalement imprévisible » et que le secteur touristique n’est pas à l’abri d’aléas susceptibles de provoquer « d’énormes dégâts » économiques, a reconnu auprès le secrétaire général de l’OMT Zurab Pololikashvili. Aujourd’hui, 46 pays précisément restent fermés aux touristes, ce qui représente une destination sur cinq.

OMS – « Plus jamais ça! »: le chef de l’OMS a appelé ce lundi les nations à établir un accord sur les pandémies pour que les générations futures soient mieux armées pour les combattre, près de deux ans après l’éruption du Covid. « Tout cela se reproduira à moins que vous, les nations du monde, ne vous unissiez pour dire d’une seule voix: plus jamais ça! », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à l’ouverture de la réunion exceptionnelle de l’Assemblée mondiale de la santé – organe décisionnel suprême de l’Organisation mondiale de la santé qui rassemble ses 194 membres. Cette réunion de trois jours n’est que la seconde session spéciale de l’Assemblée mondiale de la santé. Les membres de l’OMS sont convenus dimanche de lancer des négociations en vue de créer un instrument international pour mieux prévenir et combattre les pandémies. « Le moment est venu de nous élever au-dessus de cette pandémie et de laisser un héritage aux générations qui nous suivront », a souligné M. Tedros. « L’émergence d’Omicron est un autre rappel que le Covid n’en a pas fini avec nous », a-t-il poursuivi, en relevant que le monde ne devrait pas avoir besoin « d’un autre rappel à l’ordre ».

OMICRON – Alors que des cas sont enregistrés un peu partout dans le monde, les ministres de la Santé des pays du G7, à l’issue d’une réunion d’urgence convoquée par le gouvernement britannique, en ce moment à la tête de la présidence tournante du G7, ont déclaré que le nouveau variant Omicron, « hautement transmissible », exige une « action urgente ». « Les ministres ont salué le travail exemplaire de l’Afrique du Sud, qui a su détecter le variant et alerter les autres », ajoutent-ils dans un communiqué commun, soulignant notamment la « pertinence stratégique d’assurer l’accès aux vaccins ».

Comme Israël, le Japon a décidé ce lundi de se refermer à tous les visiteurs étrangers. Trois semaines après avoir assoupli certaines restrictions pour permettre l’entrée des voyageurs d’affaires, étudiants et stagiaires étrangers, le Japon va «interdire toutes les (nouvelles) entrées de ressortissants étrangers du monde entier à partir du (mardi) 30 novembre», a déclaré le Premier ministre japonais Fumio Kishida. 

RDC – Le président congolais Félix Tshisekedi a donné son feu vert à l’armée ougandaise pour qu’elle traque sur son territoire des rebelles du groupe Forces démocratiques alliées (ADF), responsable de massacres dans l’est de la République démocratique du Congo et d’attaques en Ouganda. Dans l’est, les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu sont placées depuis mai sous état de siège, avec les autorités civiles remplacées par des officiers de l’armée et de la police. Malgré cette mesure exceptionnelle, l’armée n’a pu empêcher le massacre de près de 1 200 civils pendant cette période, selon un bilan du Baromètre sécuritaire du Kivu (KST en anglais), qui dispose d’experts dans les zones de ces violences. Cette autorisation de traverser la frontière n’est pas vue d’un bon œil par tous les Congolais, certains pointant du doigt le rôle joué par les voisins ougandais et rwandais dans la déstabilisation de l’est de la RDC depuis près de trente ans.

HAÏTI – «Certaines femmes kidnappées n’arrivent même pas à savoir combien d’hommes les violaient»: Judith Fadois a beau travailler depuis plus de six ans en Haïti, à la clinique de Médecins sans frontières, dédiée à la prise en charge des crimes sexuels, la médecin s’avoue dépassée par l’horreur de certains cas. Déjà minées par le tabou qui entoure ces crimes dans une société considérée comme machiste, la cruauté accrue des gangs haïtiens lors de certains enlèvements sidère les équipes médicales, qui prennent en charge les victimes de violences sexuelles. «Pour certains cas, je parlerais de mutilation, tellement elles ont été traitées en objet», témoigne sobrement le Dr Fadois, responsable des activités médicales du centre MSF. Les bandes armées ont virtuellement pris le contrôle d’Haïti, depuis plusieurs mois, alors même que ce petit pays des Caraïbes faisait déjà face à une pauvreté endémique.

TRUMP – Une tour de douze étages, à quelques encablures de la Maison-Blanche: Donald Trump s’apprête à céder son hôtel de Washington, où grouillaient jadis lobbyistes, donateurs et gouvernements étrangers, tous prêts à dépenser beaucoup dans l’espoir de gagner un peu d’influence auprès du président. Condamné plusieurs fois à la démolition, l’immeuble a été sauvé de justesse en 2011 lorsque Donald Trump s’est engagé à investir 200 millions de dollars dans sa rénovation. L’hôtel à ouvert à l’automne 2016, quelques mois avant que Donald Trump n’entre à la Maison-Blanche. En accédant à la présidence, Donald Trump a confié le contrôle de son empire immobilier à ses deux fils aînés, promettant de ne pas se mêler de l’activité de ses propriétés. En réalité, il en a assuré la promotion à chaque occasion possible et le Trump International Hotel a conservé de son influence. Durant sa présidence, 150 responsables de 77 pays étrangers se sont rendus dans les propriétés du milliardaire républicain, selon l’ONG anti-corruption CREW. Cependant, une enquête parlementaire a révélé que l’hôtel avait perdu plus de 70 millions de dollars sous la présidence Trump, estimant qu’il avait «grossièrement exagéré» ses bénéfices. La Trump Organization a qualifié le rapport «d’intentionnellement trompeur, irresponsable et faux sans équivoque» et l’a qualifié de «harcèlement politique». Mais, au vu de la faible occupation de l’hôtel, la Trump Organization a cédé le bail de l’immeuble pour un montant annoncé de 375 millions de dollars à un fonds d’investissement, qui prévoit de rouvrir l’hôtel dans les premiers mois de 2022 sous le nom de Waldorf Astoria.

ETATS-UNIS – Kevin Strickland a été innocenté et libéré de prison mardi 24 novembre après y avoir passé 43 ans de sa vie. Mais la justice du Missouri qui l’a condamné à tort pour un triple meurtre à Kansas City en 1978, n’offre à l’homme aujourd’hui âgé de 62 ans aucune compensation financière. Une campagne de financement participatif sans précédent a toutefois réussi à mobiliser et récolter des fonds pour son secours. Depuis sa libération, près de 28 000 donateurs du monde entier ont offert entre 5 et 10 000 dollars, soit plus de 1,5 million de dollars. Strickland a déclaré à CNN qu’il souhaitait maintenant prendre la route en direction de l’océan, qu’il n’a encore jamais vu de sa vie. « Pas seulement le voir, mais y nager », a-t-il déclaré. « Ce serait une grande victoire. » L’homme, qui a des problèmes de santé, se déplace en fauteuil roulant. 

CHINE-AFRIQUE – Après vingt années d’une coopération économique Chine-Afrique particulièrement dynamique et porteuse d’espoir pour le continent, le Forum sur la coopération sino-africaine (Focac), qui s’est ouvert ce dimanche 28 novembre à Dakar, devrait marquer le pas sur les précédentes éditions. Dans un livre blanc publié quelques jours avant ce sommet, les autorités chinoises détaillent leurs actions et leurs ambitions en Afrique. Elles parlent d’une « nouvelle ère » fondée sur l’égalité. Parmi les termes employés afin de caractériser cette relation : « Sincérité, résultats réels, amitié et bonne foi ». Un lexique qui, note RFI, répond peut-être aux signaux de frustrations qui sont apparus ces dernières années dans certains pays où des manifestations et des incidents contre des citoyens chinois ont pu avoir lieu. Parmi les priorités qui seront mises en avant lors de ce rendez-vous :  la coopération dans le domaine des services de soins, la lutte contre la Covid-19. Autre point toujours évoqué par Pékin : les Nouvelles routes de la soie. La coopération de la Chine sur le continent est très dynamique. 19% des échanges commerciaux de l’Afrique ont lieu avec la Chine. Dans un discours prononcé par liaison vidéo lors de la cérémonie d’ouverture,  Xi Jinping, a déclaré que la Chine fournirait à l’Afrique un milliard de doses de vaccins supplémentaires contre la COVID-19. De plus, la Chine réalisera dix projets de santé pour les pays africains et enverra en Afrique 1.500 professionnels médicaux et experts de santé publique, selon M. Xi. La Chine travaillera aussi avec les pays africains sur la réduction de la pauvreté et le développement de l’agriculture

BREXIT PÊCHE – « Les Britanniques le savent, la balle est dans leur camp », a déclaré Clément Beaune, lundi 29 novembre sur France Inter concernant le litige autour des licences de pêche dans la Manche et l’accord post-Brexit entre l’Union européenne et le Royaume-Uni. Alors que les négociations doivent se poursuivent ce lundi 29 novembre et mercredi 1er décembre, le secrétaire d’État aux Affaires européennes promet « de faire les comptes » en fin de semaine. « S’il n’y a pas eu de geste massif d’ici au 10 décembre, nous arrêterons ce dialogue » a-t-il indiqué, en référence à l’ultimatum imposé par la Commission européenne au gouvernement britannique, « une date limite, précise et publique ». Clément Beaune a dénoncé le manque de volonté et d’efforts entrepris par les Anglais. « Je vais être très honnête, c’est beaucoup trop lent et le rythme n’y est pas », a-t-il fustigé concernant le nombre de licences accordées (960 mais la France en demande 150 de plus). Selon lui, les Britanniques exigent des « documents, des précisions aux pêcheurs qui ne sont pas prévus par l’accord ».

AFGHANISTAN – Les talibans ont demandé l’aide de l’Union européenne pour garantir le fonctionnement des aéroports afghans lors de discussions ce week-end à Doha, a annoncé l’Union européenne dimanche 28 novembre. « La délégation afghane a confirmé son engagement à garantir et à faciliter le passage en toute sécurité des ressortissants étrangers et des Afghans qui souhaitent quitter le pays », a déclaré dans un communiqué le service diplomatique de l’UE (SEAE). À cet égard, les deux parties ont souligné l’importance fondamentale de maintenir les aéroports afghans ouverts et la délégation afghane a demandé une aide pour maintenir les opérations des aéroports », ajoute la diplomatie européenne. Les talibans se sont également engagés à respecter leur promesse d’« amnistie générale » pour les Afghans qui ont travaillé contre eux pendant les deux décennies de domination occidentale, jusqu’au retrait précipité des États-Unis en août, selon ce document.

Aujourd’hui, la vallée du Panchir, haut lieu de la résistance semble abandonnée par les hommes d’Ahmad Massoud. Il n’y a plus de combats.  Bazarak, la capitale provinciale, est devenue une ville fantôme. Face aux talibans qui patrouillent sur la route principale, les habitants, plongés dans la misère, se trouvent sous surveillance constante témoigne les ennoyés spéciaux de France 24. Le Front de résistance nationale affirme qu’il est toujours actif.

HONDURAS – La candidate de gauche Xiomara Castro confirmait ce lundi son avantage à l’élection présidentielle du Honduras face au dauphin du président de droite sortant, selon des résultats partiels portant sur plus de la moitié des suffrages. Mme Castro, 62 ans, obtient 53,61 % des voix, loin devant son adversaire du Parti National (PN, droite) Nasry Asfura, qui recueille 33,87 % des suffrages, après le dépouillement de 51,45 % des votes. Dès dimanche soir, Xiomara Castro, épouse de l’ancien président Manuel Zelaya renversé en 2009 par un coup d’Etat, avait revendiqué la victoire. « Nous avons gagné ! », avait-elle lancé devant ses partisans réunis au siège de son parti LIBRE. Elle a promis de « former un gouvernement de réconciliation » et d’instaurer une « démocratie participative ». « Je tends la main à mes opposants, car je n’ai pas d’ennemis », a-t-elle dit en promettant de chasser « la haine, la corruption, le trafic de drogue, le crime organisé… »

RUSSIE – L’armée russe a annoncé ce lundi avoir effectué avec succès un nouveau tir d’essai du missile de croisière hypersonique Zircon, dans un contexte de course à ce genre d’armements, que Moscou juge « invincibles ». Cette annonce intervient après la publication récente dans des médias américains d’informations selon lesquelles la Chine a testé cet été un missile hypersonique capable de lancer à son tour un projectile, une technologie dont ni les Etats-Unis ni la Russie ne disposent actuellement. L’armée russe a pour sa part annoncé dans un communiqué avoir tiré un missile Zircon depuis la frégate Amiral Gorchkov sur une cible dans les eaux de la mer Blanche, dans l’Arctique. D’une portée maximale d’environ 1.000 kilomètres, le Zircon doit équiper les navires de surface et les sous-marins de la flotte russe. Les premiers missiles hypersoniques nouvelle génération Avangard, capables d’atteindre une vitesse de Mach 27 et de changer de cap et d’altitude, ont pour leur part été mis en service au sein de l’armée russe en décembre 2019. La Russie cherche aussi à développer ses armes utilisables dans l’espace.

ZEMMOUR – Alors qu’il est sur le point de déclarer sa candidature à la présidence française, le polémiste est en net recul et repasse derrière Marine Le Pen. La séquence du doigt d’honneur renvoyé à Marseille à une femme avec ce commentaire « et bien profond » ne passe pas. Dans un tweet, il a bien essayer de se justifier : « J’ai donc usé du seul langage que vous et vos camarades « antifas » comprenez immédiatement : le vôtre. Toutefois, vous imiter était fort inélégant, j’en conviens bien volontiers ». Mais les critiques ne cessent pas. « Être président ou présidente de la République, ça ne s’improvise pas, c’est un long chemin, il faut pouvoir endosser des responsabilités, il faut pouvoir en être digne et aujourd’hui je pense que la pré-candidature un peu précipitée d’Éric Zemmour est en train de tourner au fiasco » après ce « geste totalement indigne », a jugé ce matin  sur LCI la présidente de la région Île-de-France. Sur CNews, Michel Barnier a dit la même chose et dimanche, Marine Le Pen avait constaté que « La mue du polémiste à candidat ne s’est pas faite ». Éric Zemmour est persona non grata dans plusieurs villes et ses soutiens commencent à le lâcher.

MIGRANTS MANCHE – Gérald Darmanin a appelé, ce lundi 29 novembre sur BFMTV, le Royaume-Uni à ouvrir un « accès légal à l’immigration » et à prendre « ses responsabilités » sur cette question.  La veille, il avait participé à une réunion intergouvernementale sur la crise migratoire, dont les Britanniques avaient été exclus. Les participants à cette réunion à Calais ont convenu « d’améliorer la coopération conjointe avec le Royaume-Uni. « C’est parce qu’il n’y a pas de voie légale pour les immigrés d’aller en Grande-Bretagne, et parce [qu’ils travaillent] sans carte d’identité en Angleterre qu’il y a cet appel d’air », a assuré Gérald Darmanin. « Que faire avec les Anglais ? Et bien qu’ils changent leur législation, qu’ils prennent leurs responsabilités« , a-t-il lancé, assurant que 30 000 demandes d’asile sont enregistrées au Royaume-Uni chaque année, contre environ 150 000 en France. « Je suis tout à fait prêt à discuter » avec les Britanniques « à condition que nous ayons un rapport normal et d’égalité d’humeur », a poursuivi Gérald Darmanin, assurant par ailleurs que son homologue Priti Patel et lui s’appelaient « quasiment tous les jours ». Sur France info, Xavier Bertrand a proposé de laisser les migrants « prendre le ferry » pour « installer un rapport de force » avec Boris Johnson. « irresponsable » a commenté François Bayrou.

FILLON– L’affaire des soupçons d’emplois fictifs de Penelope Fillon est celle de « personnes (qui) se sont enrichies de manière illicite », a estimé ce lundi l’accusation au procès en appel de François Fillon, de son épouse et de son ex-suppléant Marc Joulaud. L’avocat général Yves Micolet a défendu l’enquête du Parquet national financier (PNF) puis l’instruction menées en pleine campagne présidentielle en 2017 face aux critiques de la défense de l’ancien Premier ministre. « Faire le procès du PNF est un leurre pour essayer de masquer la gravité des faits par les prévenus », a assené le magistrat. « Il n’y a pas eu d’immixtion illégale de la justice dans l’élection présidentielle (ni) d’atteinte à la séparation des pouvoirs ».

Le parquet a réclamé cinq ans de prison dont quatre avec sursis contre l’ancien Premier ministre plus 375 000 euros d’amende et dix ans d’inéligibilité ;  deux ans avec sursis, 100 000 euros d’amende et deux ans d’inéligibilité contre son épouse. Trois ans de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité ont été requis contre Marc Joulaud.

GUADELOUPE – La négociation a duré dix minutes, les syndicalistes ayant claqué la porte. « Quand on refuse de condamner les violences, ça n’aide pas à négocier. Ces responsables doivent prendre leur responsabilité et condamner les violences. Je reste là » a tweeté le ministre Sébastien Lecornu. Cela avait mal commencé : sur la place de la Victoire, lieu hautement symbolique en face de la sous-préfecture de Pointe-à-Pitre, le «collectif des organisations en lutte» avait appelé à un rassemblement en début de matinée. L’objectif était clairement affiché : faire pression sur le ministre des Outre-Mer pour qu’il accepte de rencontrer la trentaine d’entités qui composent le groupe, seule condition pour que des négociations aient lieu. La veille au soir, Sébastien Lecornu avait expliqué ne vouloir recevoir que quelques représentants du collectif – une dizaine tout au plus – pour s’asseoir autour d’une table et écouter leurs revendications. A l’intérieur des locaux, le ministre attendait… Le « collectif des organisations en lutte » finissait par convenir qu’une délégation entrerait bien voir le ministre, lui ferait part de ses doléances, puis ferait aussitôt demi-tour.TWITTER – Le réseau social a confirmé ce lundi le départ, avec effet immédiat, de son directeur général et cofondateur Jack Dorsey. L’entrepreneur était régulièrement critiqué depuis son retour à la tête de la compagnie en 2015. Jack Dorsey a lui-même annoncé son départ dans un long message diffusé sur Twitter. « J’ai décidé de quitter Twitter parce que je pense que la société est prête à couper le cordon avec ses fondateurs », a-t-il expliqué. Depuis son retour à la tête de la compagnie à l’oiseau bleu, en octobre 2015, l’entrepreneur au style décontracté était régulièrement critiqué pour n’avoir pas lâché les rênes de son autre entreprise, le spécialiste des paiements mobile Square, pour se consacrer uniquement à Twitter. Le marché a, dans un premier temps, favorablement réagi à l’information, le titre Twitter prenant 4,16 % dans les premiers échanges à Wall Street. Sa cotation a toutefois été suspendue peu après dans l’attente d’une annonce officielle.

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