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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 3 ans
dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Dans le monde, ces dernières heures…
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ALGÉRIE-RUSSIE – Le président Tebboune n’était pas à Bruxelles au sommet Union européenne-Union africaine, il est aujourd’hui en visite à Doha pour une visite d’Etat au Qatar, mais selon le site algerie.dz-com, son rêve est de rencontrer à Moscou Vladimir Poutine et il travaille depuis des semaines sur le projet d’une visite d’Etat en Russie. Ses conseillers et les diplomates algériens les plus proches des circuits russes tentent coûte que coûte d’organiser cette visite dans les plus brefs délais pour permettre à Tebboune d’être reçu par le président russe. Cette rencontre revêt une importance stratégique pour Tebboune en quête d’une dimension internationale qui lui fait tellement encore défaut. En rencontrant l’homme fort de la puissante Russie, Tebboune veut s’imposer comme le président africain et arabe les plus proches de Moscou, la puissance qui élargit en ce moment sa zone d’influence en Afrique du Nord et en Afrique Sub-saharienne. D’autre part, depuis l’alliance entre Rabat et Tel-Aviv en 2020, Alger travaille énormément sur le renforcement de son axe avec Moscou dans l’espoir d’obtenir l’appui de Poutine et sa protection contre l’interventionnisme Israélien au Maghreb. Le site écrit également que le « mafieux Tebboune aime le mafieux Vladimir Poutine car comme le dit le proverbe : qui se ressemble s’assemble ». 

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ALGÉRIE – Le monde du patronat s’est renforcé ce samedi 19 février par la création d’une nouvelle organisation, Conseil du renouveau économique algérien (CREA). Le directeur général des laboratoires Vénus a été plébiscité président de cette organisation pour une durée de trois ans.  Créé à l’initiative de dirigeants d’entreprises nationales publiques et privées, le Conseil du renouveau économique algérien aspire à contribuer activement à la transition économique de l’Algérie. Réunis hier en assemblée générale constitutive au Centre international des conférences, les membres fondateurs du CREA ont élu Kamel Moula comme président pour un mandat de trois ans, selon les précisions de ce dernier lors d’une conférence de presse sanctionnant l’assemblée, signalant l’élection de 29 membres du bureau exécutif.  Des entreprises publiques, des entreprises privées, des start-up et des entrepreneurs engagés ont ainsi fait le choix de se fédérer pour créer ce nouveau Conseil, car conscients des opportunités d’émergence économique existantes et en prenant acte de la volonté ferme du président de la République d’établir un climat des affaires serein et attractif et de sa démarche entreprise pour la construction d’une Algérie économiquement nouvelle, ont expliqué les initiateurs du CREA, rapportés par l’APS.

MAROC – Grâce aux radars fixes placés sur les axes routiers, les tribunaux marocains ont rendu 182 354 jugements relatifs aux violations et délits détectés, pour un montant total de 66 655 821 dirhams. Faisant le bilan de la stratégie nationale de la sécurité routière, le ministre de la Justice, Abdelatif Ouahbi, a déclaré que le Maroc se donne progressivement les moyens pour réduire les décès liés aux infractions routières. Par ailleurs, indique-t-il, un ensemble de mesures se met en place par son département, pour une meilleure efficacité dans la réduction des accidents de la route. Et d’ajouter qu’« avec l’installation de nouveaux radars dotés de technologies avancées […], le nombre d’infractions devraient connaître une hausse, qui impactera le nombre des PV de contraventions et de délits constatés ». Le Maroc serait le pays du monde arabe qui compte le plus de morts sur ses routes. Au niveau mondial, le Royaume détient la 6e place. Ces chiffres rapportés dans une étude sur les accidents de la route et leur impact économique dans le monde arabe, révèlent qu’une moyenne de 3800 personnes meurent annuellement dans des accidents de la route au Maroc, soit 10 morts par jour. A cela s’ajoute un blessé toutes les 7 minutes. Le chiffre de l’an dernier est de 3 499 morts.

Au Liban, les banques réduisent la voilure pour survivre à la crise

LIBAN – Des dizaines d’agences fermées, des milliers d’emplois supprimés: pour faire face à la crise économique sans précédent qui frappe le Liban depuis plus de deux ans, les banques naguère considérées comme un fleuron de l’économie ont considérablement réduit la voilure. A son apogée, le secteur bancaire représentait trois fois le PIB du Liban, avec des dépôts totalisant plus de 150 milliards de dollars. Les prêts à intérêts avantageux pour l’habitat, l’achat de voitures ou les voyages contribuaient au succès des banques, qui étaient alors une fierté nationale. Mais avec la pire crise économique que ce petit pays de six millions d’habitants ait connu depuis plus d’un siècle, tout s’est effondré. A commencer par le volume des prêts, passé de 59 milliards de dollars en 2018 (51,9 milliards d’euros) à 29,2 milliards de dollars (25,6 milliards d’euros) fin 2021, calculé au taux de change officiel de la livre libanaise, selon l’Association des banques du Liban (ABL). Autre conséquence, les banques ont imposé des restrictions sur les retraits en devises et empêché les transferts d’argent à l’étranger. Ces mesures ont limité l’accès aux comptes, notamment en dollars américains. Le nombre d’agences bancaires a chuté de 1.081 fin 2018 à 919 fin novembre 2021. Par ailleurs, le nombre d’employés dans le secteur bancaire est passé de près de 26.000 fin 2018 à quelque 20.000 en novembre 2021, soit une réduction de l’ordre de 23 %, selon l’ABL.

EGYPTE – L’appel du président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi, à renforcer le rôle du secteur privé est aussi paradoxal que ambitieux, alors que l’armée continue d’étendre son emprise sur l’économie et que la taille du secteur public, surendetté, ne cesse d’enfler. Au risque d’entraîner le pays dans une spirale à la libanaise, préviennent certains. Inaugurant une nouvelle usine chimique, fin 2021, le président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi, avait reconnu l’échec du secteur public de son pays à faire croître l’économie, confirmant un “U-turn” (revirement) dans sa politique économique amorcé il y a quelques années et qui demeure tout aussi paradoxal que ambitieux, explique le journal britannique The Economist. “Nous avons besoin du secteur privé. […] Nous nous sommes révélés incompétents en matière de gestion”, avait reconnu Al-Sissi, alors que l’armée – dont il est issu et qui était déjà aux manettes à l’époque de Hosni Moubarak – ne cesse d’étendre son emprise sur l’économie du pays, rappelle The Economist. Tout en privilégiant les intérêts financiers d’une caste militaire de plus en plus influente, le pouvoir en place avait été acculé à amorcer ce revirement sous l’impulsion du Fonds monétaire international (FMI), en contrepartie d’un prêt de 12 milliards de dollars. Défi de taille : même si le rôle de l’armée venait à être réduit, “on se demande ce que les entreprises égyptiennes pourront produire”, ajoute The Economist.

SOMALIE – le président somalien et son Premier ministre se sont retrouvés pour dénoncer avec vigueur des accords de production pétrolière avec une société américaine annoncés samedi par leur ministre du de l’Energie. Le ministre somalien du Pétrole et des Ressources minérales Abdi Rashid Mohamed Ahmed avait annoncé samedi la conclusion avec la société Coastline Exploration Ltd de sept accords de production partagée (PSA) couvrant des blocs d’exploration offshore en eau profonde. Le ministre avait parlé de « grand moment » pour la Somalie, un des pays les plus pauvres du monde et en proie depuis des décennies à des troubles de multiples natures, et notamment à une rébellion jihadiste meurtrière. « Les programmes d’exploration sismique indiquent que la Somalie a la possibilité de devenir un important pays producteur de pétrole et de gaz », s’était réjoui le ministre dans un communiqué en assurant que les PSA conclus avec Coastline Exploration auraient « un effet positif immédiat pour le pays », en générant des dizaines de millions de dollars de revenus.

Mais quelques heures plus tard, tant le président Mohamed Abdullahi Mohamed, alias Farmajo, que le Premier ministre Mohamed Hussein Roble déclaraient ces accords « illégaux ». Cette annonce, a souligné le cabinet du président, contrevient au décret qui interdit la signature de tout accord avec une entité étrangère durant la période des élections. Le Premier ministre a de son côté jugé cet accord « illégal et inacceptable » et assuré sur Twitter qu’il prendrait « toutes les mesures nécessaires pour protéger les ressources nationales ».

Barrage de la Renaissance : L'Ethiopie dénonce "un faux pas historique" de  la Tunisie au sein du Conseil de sécurité - Gnet news

ETHIOPIE – Après plus de dix ans de travaux et de controverses avec l’Egypte et le Soudan, l’Ethiopie a officiellement lancé dimanche la production d’électricité de son grand barrage de la Renaissance, sur le Nil Bleu. C’est « la naissance d’une ère nouvelle », a lancé le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed en présidant dimanche le lancement de la production du Gerd (« Grand Ethiopian Renaissance Dam »), projet controversé de plusieurs milliards de dollars, a constaté un correspondant de l’AFP. « C’est une bonne nouvelle pour notre continent et pour les pays en aval avec lesquels nous aspirons à travailler ensemble », a-t-il ajouté sur Twitter. Accompagné de nombreux hauts responsables du pays, Abiy Ahmed a effectué une tournée dans la centrale électrique et a cliqué une série d’interrupteurs sur un écran électronique pour déclencher la production du barrage. « Ce grand barrage a été construit par les Ethiopiens, mais au bénéfice de tous les Africains, pour que tous nos frères et sœurs d’Afrique en profitent », a affirmé un haut responsable participant à l’inauguration. Selon les médias d’Etat éthiopiens, la production initiale du Gerd est de l’ordre de 375 MW avec la mise en service d’une première turbine. L’objectif de production initiale de 6.500 mégawatts a été revu à la baisse à 5.000 MW, soit le double de la production actuelle de l’Ethiopie.

KENYA – Les bus publics au Kenya, c’est une institution. On les appelle les Matatu. Ils sont très colorés, font partie du folklore de la capitale. Mais les Matatu sont aussi très bruyants et polluants. L’entreprise Opibus propose aujourd’hui des Matatu électriques. Le premier d’entre eux est sorti de l’atelier il y a quelques jours pour un trajet-test. « C’est une grande étape aujourd’hui car nous travaillons sur ce projet depuis longtemps. Je suis très contente, reconnaît l’ingénieure Béatrice Wanjiru. Ce bus a le potentiel de révolutionner les transports publics au Kenya mais aussi en Afrique en général. Un véhicule facile à entretenir et peu coûteux à conduire, cela va faire la différence. «Ces bus ont une autonomie de 120 km. Il faut compter cinq à six heures de recharge. Dans quelques années, cela pourrait changer le visage de Nairobi. Car le bus est le principal moyen de transport des Kenyans. Il y en a plus de 12 000 dans la capitale, qui est une des plus polluées au monde. Ces Matatu électriques pourraient non seulement améliorer la qualité de l’air mais aussi la pollution sonore qui est difficilement supportable au centre-ville. Il existe déjà quelques mototaxis électriques et même des voitures de safari électriques.

TURQUIE – Un journaliste local a été tué par balles samedi au siège de son journal à Kocaeli, dans le nord-ouest de la Turquie, ont rapporté les médias locaux. Directeur et rédacteur en chef du quotidien local Ses Kocaeli (La Voix de Kocaeli), Gungor Arslan a été visé par un assaillant armé dans son bureau. Grièvement blessé, le journaliste est décédé dans l’hôpital de la ville où il avait été transféré. Les forces de l’ordre ont interpellé l’assaillant, a annoncé la préfecture de Kocaeli sans toutefois donner de détails sur son identité, ni sur les circonstances du meurtre. Le représentant en Turquie de l’ONG Reporters sans frontières (RSF), Erol Onderoglu, a indiqué à l’AFP que le journaliste enquêtait sur des affaires de corruption présumée dans sa ville. Erol Onderoglu a condamné l’attentat et demandé qu’il puisse être élucidé et que les responsables soient «punis de la manière la plus sévère». Dans ses deux dernières publications, la victime avait reproché au maire de Kocaeli, élu de l’AKP (Parti de la justice et du développement, au pouvoir), d’attribuer des appels d’offres à des groupes proches de son parti. Gungor Arslan avait déjà été victime d’une attaque physique et avait subi une mise en examen pour ses articles.

Dans cette chaîne de restaurants, les serveurs sont odieux mais les clients  adorent ça - Edition du soir Ouest-France - 18/02/2022

INSOLITE – Dans les restaurants Karen’s Diner, en Australie, le client n’est pas roi. Et c’est peu de le dire. Le concept de cette chaîne, dont un deuxième établissement s’apprête à ouvrir à Melbourne, après celui de Sydney, et avant celui de Brisbane, ne s’arrête à la spécialité qui est servie, à savoir le hamburger, ni à la décoration, dans le style américain des années 1950. Non, la vraie originalité, c’est de proposer le pire service possible, comme le rapportent le quotidien australien The Age et l’hebdomadaire Courrier international. Le personnel est prié d’être détestable. Insultes, remarques désobligeantes, moqueries voire gestes obscènes sont donc au menu. Du moins quand les serveurs n’ignorent pas tout bonnement les clients. Et pourtant, la clientèle est loin d’être offusquée par tant d’impolitesse. Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est même ce qu’elle vient chercher. Le concept du restaurant est clairement affiché, sur son site internet. Et dès l’entrée, au restaurant de Sydney, un panneau vous met dans l’ambiance : « Asseyez-vous et fermez-la. »

La devise des restaurants Karen’s Diner prône une excellente cuisine et un service exécrable. Même le nom de la chaîne est à double sens : le prénom Karen, dans les pays anglo-saxons, est aussi un cliché employé de façon péjorative pour désigner une femme blanche d’un certain âge qui se pense supérieure aux autres et râle en permanence. Par extension, au resto, une « Karen », c’est un client pénible qui se croit tout permis et exige de voir le patron pour des détails insignifiants. Au sein du Karen’s Diner, les personnes nommées Karen sont d’ailleurs invitées à venir – et à se plaindre – pour obtenir une boisson gratuite sur présentation d’une preuve d’identité. D’ailleurs, l’impolitesse ne va pas que dans un seul sens. Les clients sont invités à jouer le jeu jusqu’au bout et à se comporter eux aussi de façon odieuse avec le personnel. C’est grâce aux réseaux sociaux, et notamment à TikTok, que ces restaurants ont vu leur popularité augmenter. Des vidéos tournées au sein du restaurant de Sydney sont devenues virales.

ELIZABETH 2 – La reine, 95 ans, a été testée positive au Covid-19 mais ne présente que des symptômes « légers » comparables à ceux d’un rhume, a annoncé dimanche le palais de Buckingham. La souveraine, qui avait été récemment en contact avec son fils le prince Charles deux jours avant que celui-ci ne soit testé positif, mènera néanmoins des « tâches légères » au cours de la semaine prochaine, a précisé Buckingham Palace. Selon une journaliste du Daily Mail, plusieurs cas de Covid ont été détectés dans l’équipe du château de Windsor. Mercredi dernier, la reine Elizabeth avait confié avoir du mal à « bouger », lors de son premier engagement public en personne. Une vidéo d montrait la reine debout, souriante, portant une robe à motifs, avec une canne dans les mains. « Comme vous pouvez le voir, je ne peux pas bouger« , avait-t-elle déclaré montrant son pied ou sa jambe gauche. 

ROYAUME UNI – Le gouvernement britannique a annoncé jeudi l’arrêt immédiat pour raisons de sécurité de ses « visas en or » réservés aux riches investisseurs, au moment où le Royaume-Uni affiche sa fermeté envers l’afflux d’argent russe sur son sol en pleine crise ukrainienne. Il s’agit de s’attaquer à la « finance illicite », a souligné dans un tweet la ministre des Affaires étrangères Liz Truss. « Ce genre d’activités malfaisantes, notamment ce que nous observons de la part de la Russie en ce moment, n’a pas sa place au Royaume-Uni », a-t-elle ajouté. Inaugurés en 2008, ces visas sont réservés aux investisseurs disposant d’au moins deux millions de livres souhaitant s’établir au Royaume-Uni. Mais certains cas ont soulevé des « préoccupations » en termes de sécurité, notamment concernant des « gens qui ont amassé leur richesse de manière illégitime » et liés à des affaires de corruption, a souligné le ministère de l’Intérieur dans un communiqué. Dans ce texte, la ministre britannique de l’Intérieur, Priti Patel a assuré vouloir « bloquer les élites corrompues qui menacent la sécurité nationale ».

L’arrêt de ces visas, surnommés « visas en or », concerne toutes les nationalités, mais les regards se tournent vers la Russie. Le gouvernement a été accusé de complaisance envers l’afflux d’argent russe douteux sur le sol britannique, notamment dans certains quartiers huppés de Londres, qui ont ainsi gagné le surnom de « Londongrad ».

Le "convoi de la liberté" organisé par les anti-pass arrive en Europe et en  France

CANADA – La police reconnaît qu’« il faudra du temps » mais assure que des « progrès significatifs » ont été atteints dans l’évacuation du centre d’Ottawa, paralysé depuis des semaines par des camionneurs anti-mesures sanitaires. Depuis jeudi, les forces de polices canadiennes travaillent à déloger les militants du « Convoi de la liberté » qui bloquent Ottawa depuis 23 jours pour demander la fin de l’obligation vaccinale pour franchir la frontière vers les États-Unis. Au petit matin ce dimanche (heure tunisienne), un noyau dur de manifestants perdurait. « Cette opération est toujours en cours, elle n’est pas terminée et il faudra encore du temps pour atteindre nos objectifs », a toutefois souligné Steve Bell, chef de la police de la capitale canadienne, sans s’avancer sur un calendrier plus précis. 170 personnes arrêtées, 50 véhicules remorqués Plusieurs « figures » du mouvement ont été arrêtées. Aspergeant les protestataires de spray au poivre, détruisant les vitres des véhicules dans lesquels certains s’étaient retranchés, les autorités avaient repris dans l’après-midi de samedi l’axe majeur devant le Parlement canadien, où des centaines de camions stationnaient illégalement.

BRÉSIL – Les secours ont découvert de nouveaux corps sous les amas de boue à Petropolis (Etat de Rio de Janeiro) dévastée par des inondations et des glissements de terrain qui ont fait au moins 147 morts, dont vingt-six enfants, selon le dernier bilan des autorités. Cinq jours après la catastrophe, les secouristes poursuivent les recherches à l’aide de pelles et de bêches pour tenter de retrouver des disparus. Des pluies diluviennes se sont abattues mardi sur cette ville de 300 000 habitants, située à 60 kilomètres au nord de Rio de Janeiro, transformant les rues en torrents de boue et provoquant des glissements de terrain. Au cours de ce phénomène, Petropolis a reçu davantage de pluie que la moyenne de tout un mois de février. Plus de 500 pompiers, avec des hélicoptères, des pelleteuses et des chiens renifleurs restent mobilisés, même si les chances de retrouver des survivants sont de plus en plus minces.

GRECE – Alors que le feu fait rage depuis vendredi matin sur le ferry de la compagnie italienne Grimaldi, l’un des douze chauffeurs de poids lourds portés disparu à bord a été retrouvé vivant et évacué par les secouristes grecs. Ils avaient auparavant détecté sa présence alors que le bateau était remorqué à moins de 3 km de Corfou. Ils ont pu retourner sur le ferry pour lui porter secours et l’évacuer avec une échelle, selon les autorités grecques. Vêtu d’un short et d’un tee-shirt noir, il est arrivé à descendre l’échelle par ses propres moyens jusqu’au bateau des sauveteurs et semblait en bonne santé, selon des images du site Internet Iefimerida. Le jeune homme, âgé de 21 ans, a déclaré être originaire de Biélorussie. Les sauveteurs espèrent que le passager secouru pourra donner des informations sur les autres disparus, qui pourraient être prisonniers sur le ferry, dont s’échappe toujours dimanche une fumée épaisse. Le jeune rescapé a indiqué aux sauveteurs avoir entendu des voix samedi soir à bord du bateau.

Pakistan - Six ans après avoir étranglé sa sœur pour l'honneur, il est  acquitté en appel - Le Matin

PAKISTAN – Le frère d’une célébrité pakistanaise des réseaux sociaux, acquitté lundi en appel de l’assassinat «d’honneur» de sa sœur, pour lequel il avait été condamné à la perpétuité en 2019, est sorti de prison samedi, a annoncé son avocat. Muhammad Waseem, 38 ans, avait été condamné à la prison à vie après avoir reconnu fièrement avoir étranglé, en 2016, sa sœur Qandeel Baloch, en raison de son «comportement intolérable», selon lui. La victime, âgée de 26 ans, était une célébrité des réseaux sociaux où elle apparaissait toujours soigneusement coiffée et maquillée, dans des poses provocatrices, parfois jugées scandaleuses par ses compatriotes les plus conservateurs. L’assassinat de la jeune femme avait provoqué une onde de choc au Pakistan, où des centaines de femmes sont tuées chaque année par des proches sous prétexte qu’elles auraient sali l’honneur familial. Depuis une récente modification de la loi pakistanaise, les parents d’une victime d’un «crime d’honneur» ne peuvent plus pardonner à son assassin, souvent un membre de la famille, ce qui jusqu’alors permettait de soustraire ce dernier à l’action de la justice. Ce pardon reste toutefois possible dans les autres meurtres. Lundi, un juge d’appel a estimé que le meurtre de Baloch ne pouvait être qualifié de crime d' »honneur ». Il a rejeté les aveux de Muhammad Waseem et l’a acquitté. Selon le jugement d’appel rendu public vendredi, l’homme a été « acquitté sur la base d’un compromis » entre les parties. La mère avait donné « son consentement » pour pardonner. 

MALI – Une manifestation a été organisée samedi à Bamako pour célébrer le départ des soldats français du Mali, à l’initiative de mouvements de soutien aux autorités de transition dominées par les militaires, sans mobiliser beaucoup de monde, ont constaté des journalistes de l’AFP. La manifestation a réuni quelques centaines de personnes sur la Place de l’indépendance, dans le centre de la capitale malienne, selon les journalistes présents. «On est sorti pour chasser la France. On n’a pas besoin de la France. Qu’elle s’en aille !», a dit à l’AFP Issa Diarra parmi les manifestants. Il dit être «derrière (le chef de la junte, le colonel) Assimi (Goïta) et le Mali». «La France a été chassée. Si elle reste, elle devient une force d’occupation», a déclaré à l’AFP Siriki Kouyaté, membre de «Yerewolo Debout sur les remparts». Ce mouvement favorable à la junte au pouvoir et d’autres associations soutenant la même cause sont à l’initiative de la manifestation de samedi.

AFRIQUE DU SUD – Environ 2000 personnes ont manifesté samedi à Johannesburg contre les travailleurs immigrés, signe d’une montée en puissance du sentiment anti-migrants dans une Afrique du Sud rongée par un chômage record et une pauvreté aggravée par le Covid, a constaté une journaliste de l’AFP. L’Afrique du Sud est épisodiquement en proie à des flambées xénophobes. Soixante-deux personnes ont été tuées dans des émeutes en 2008. De violents heurts ont fait sept morts en 2015 et au moins douze en 2019. Depuis janvier, un mouvement baptisé «Opération Dudula» («refouler» en zoulou), qui ne rassemblait encore que quelques centaines de manifestants le week-end dernier, monte en puissance. Sa principale revendication est que les emplois non qualifiés occupés par des étrangers doivent être «rendus» aux Sud-Africains. Le pays compte 3,95 millions d’étrangers, selon les statistiques officielles, sur une population de près de 60 millions. La première puissance industrielle du continent lutte avec 35 % de chômage mais attire de nombreux migrants africains. Le président Cyril Ramaphosa a mis en garde cette semaine contre des « rassemblements essayant de fomenter des sentiments et attitudes négatives » à l’égard des étrangers, assurant que les services de sécurité sont à l’œuvre.

Le mystère du « bateau fantôme » : des indices relient des passeurs  égyptiens au naufrage tragique | Middle East Eye édition française

ITALIE MIGRANTS – Un Egyptien, soupçonné d’être un passeur, a été arrêté après la mort de sept migrants qui ont péri de froid en mer, en raison des très mauvaises conditions climatiques, a annoncé samedi la police italienne. L’homme de 38 ans, identifié grâce aux témoignages des survivants du voyage, est soupçonné d’avoir organisé, à partir de la Libye, cette traversée de la Méditerranée pour 287 personnes sur un bateau de 16 m de long, en dépit de conditions particulièrement dangereuses, puisque la mer était mauvaise et les températures inférieures à zéro. La plupart des passagers souffraient d’hypothermie lorsque les garde-côtes italiens les ont secourus, le 25 janvier dernier. Sept d’entre eux, des Bangladais, en sont morts, en raison de «conditions de voyage inhumaines», selon la police. En annonçant cette arrestation, la police de la ville sicilienne d’Agrigente a précisé que cet homme avait déjà été condamné en Sicile comme passeur de clandestins en 2011, sans donner plus de détails.

BOLIVIE – Des manifestants proches du pouvoir en Bolivie ont empêché, vendredi 18 février, l’hospitalisation de l’ancienne présidente Jeanine Añez, emprisonnée depuis mars 2021 et en grève de la faim depuis le 9 février, et dont l’hospitalisation a été ordonnée par un juge. Des centaines de sympathisants du parti présidentiel, le Mouvement vers le socialisme (MAS, gauche), ont encerclé la prison où se trouve l’ancienne chef de l’Etat par intérim (2019-2020) à La Paz en scandant « Elle ne va pas sortir ! », « Assassin ! » et « Trente ans de prison ! ». L’ancienne présidente, qui s’estime « prisonnière politique », devait être « prise en charge en urgence » dans un hôpital de la capitale en raison de la « détérioration de son état santé », selon une ordonnance judiciaire.

EUNICE – La tempête Eunice qui s’est abattue sur le nord-ouest de l’Europe a laissé dans son sillage au moins 16 morts ainsi que d’importants dégâts matériels et des coupures d’électricité massives. En Allemagne, « plus de 1 000 kilomètres de voies ferrées ont été endommagées », selon un porte-parole de la compagnie de chemins de fer Deutsche Bahn, essentiellement par des chutes d’arbres, paralysant en partie le trafic dans le nord du pays. Le pic de la tempête est néanmoins passé et l’alerte (d’un niveau trois sur une échelle de quatre) des services météorologiques allemands a été levée. Des centaines de vols, trains et ferries ont été annulés dans tout le nord-ouest de l’Europe face aux vents d’une force extrême provoqués par Eunice, qui a déferlé moins de 48 heures après la tempête Dudley (au moins six morts en Pologne et en Allemagne). Formée en Irlande, la tempête est d’abord passée au-dessus du Royaume-Uni. À Londres, les ingénieurs travaillent d’arrache-pied pour réparer les dommages causés sur les voies ferroviaires, mais en attendant des dizaines de trains sont annulés. En Belgique, la partie haute d’une grue est tombée sur les deux derniers étages d’un hôpital, sans faire de victimes. L’Allemagne, les Pays-Bas ont aussi subi d’importants dégâts. En Pologne, ils seraient près d’un million à être privés d’électricité. En France, où une nouvelle tempête, Franklin, était attendue ce dimanche soir, ce sont 25 000 foyers qui était encore dans électricité dans l’après-midi.

L'Australie accuse la Chine d'intimidation

AUSTRALIE – CHINE – Le Premier ministre australien a affirmé ce dimanche 20 février que la Chine avait commis un « acte d’intimidation », le gouvernement de Canberra accusant un navire chinois d’avoir dirigé un laser vers un avion militaire australien. Deux navires de la marine chinoise voguaient jeudi au large de la côte nord australienne lorsque l’un d’eux a visé un avion de surveillance australien avec un laser, ce qui « pouvait mettre des vies en danger », a affirmé le ministère australien de la Défense. « Je ne peux le considérer autrement que comme un acte d’intimidation », a relevé le Premier ministre Scott Morrison, qualifiant cette action d’« injustifiée et non provoquée ». Canberra avait déjà accusé la Chine en 2019 d’avoir visé des appareils de l’armée australienne avec des lasers de type militaire. Il s’agissait alors d’hélicoptères de l’armée de l’air, pris pour cibles dans la mer de Chine méridionale où les tensions sont vives depuis des années. La Chine revendique en effet la quasi-totalité de cette mer par laquelle transitent chaque année des milliards de dollars d’échanges commerciaux. La zone, riche en ressources naturelles, est également revendiquée par Brunei, la Malaisie, les Philippines, Taïwan et le Vietnam.

FRANCE RAOULT – Malgré un jargon scientifique et un style quelque peu alambiqué, le rapport préliminaire des inspecteurs de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) sur l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) dirigé par le professeur Didier Raoult et sur l’Assistance publique-hôpitaux de Marseille (AP-HM) est accablant.  Déclenchée à la suite d’alertes et d’enquêtes de L’Express et de Mediapart, cette inspection devait faire la lumière sur les conditions dans lesquelles l’IHU mène certaines études impliquant la personne humaine.  Daté du 19 janvier, ce compte-rendu, que Mediapart a pu consulter, pointe 15 dysfonctionnements, dont plus de la moitié sont jugés « critiques », c’est-à-dire « totalement inacceptables » et passibles de sanctions administratives ou de poursuites pénales. Les inspecteurs constatent notamment que l’IHU ne dispose d’aucun service ou personne en charge de veiller au cadre réglementaire des recherches. Pire, certains patients pris en charge dans des services de l’AP-HM ont été utilisés par l’IHU pour des essais sans que l’AP-HM n’en soit tenue informée. Contacté par Mediapart, le professeur Didier Raoult n’a pas répondu à nos questions. Et l’AP-HM nous a affirmé « réserver ses réponses à l’ANSM durant cette phase de rapport préliminaire ».

UKRAINE – Le camp occidental multiplie les déclarations alarmistes et les appels à Moscou. Depuis Munich où se tient la Conférence sur la sécurité, qui s’est achevée ce dimanche, les Occidentaux ont lancé des appels à la désescalade, rappelant que le dialogue était toujours possible. « Nous appelons la Russie à choisir la voie de la diplomatie, à réduire les tensions, à retirer une grande partie de ses forces armées de la proximité immédiate des frontières de l’Ukraine », ont lancé les ministres des Affaires étrangères du G7, dans une déclaration commune. A Washington, Joe Biden s’est dit prêt à rencontrer son homologue russe à tout moment. Le président français s’est entretenu pendant 1h45 minutes avec Vladimir Poutine puis avec l’Ukrainien Volodymyr Zelensky qui demande un cessez-le -feu immédiat dans le Donbass.  Le Russe est d’accord pour continuer à discuter afin d’ arriver à une solution politique et donc un cessez-le-feu, mais maintient que ses revendications doivent être prises en compte. A Moscou, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a déclaré que les déclarations alarmistes des puissances occidentales sur l’imminence d’une invasion russe en Ukraine sont une provocation et pourraient avoir des conséquences néfastes. Le président russe Vladimir Poutine ne prête pas attention à ces propos, a-t-il ajouté sur la chaîne de télévision Rossiya 1.

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