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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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Anniversaire de la proclamation de la RASD: début des festivités le 22  février

ALGERIE – À l’occasion du 46ᵉ anniversaire de la naissance de la « République arabe sahraouie démocratique (RASD)  », le 27 février, le président de la République algérienne, Abdelmadjid Tebboune, a félicité Brahim Ghali et réitéré son soutien au Polisario et au peuple sahraoui dans le conflit au Sahara. « Le peuple sahraoui a gagné un grand respect et un large soutien au niveau international pour sa détermination à poursuivre la lutte pour son autodétermination et à exercer sa souveraineté sur sa terre », écrit le président algérien dans un message adressé à Brahim. Il a réitéré le soutien de l’Algérie à la « cause sahraouie et au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et l’indépendance ». Aussi, a-t-il exprimé sa détermination à travailler avec le leader des séparatistes, pour renforcer le partenariat « entre les deux peuples frères ».

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Un tournant à Kiev

Fin de l’escalade entre les deux puissances nucléaires: Ce qu’il faut retenir du cessez-le-feu entre l’Inde et le Pakistan

MAROC-FRANCE – Une dizaine d’ONG ont lancé, ce lundi, un appel à rassemblement devant l’ambassade du Maroc à Paris, le samedi 5 mars 2022 à partir de 15h00. Dans un communiqué, les associations signataires expliquent que ce sit-in se tiendra contre le «retour à un durcissement répressif spectaculaire» au Maroc. Elles expliquent que ce durcissement s’inscrit «dans la continuité de l’histoire d’un pouvoir autoritaire : poursuites judiciaires, emprisonnements de journalistes indépendants, lois liberticides, médias indépendants et critiques censurés, inculpations sur la base d’accusations fallacieuses». Les ONG signataires rappellent que «des journalistes, des Youtubeurs, des rappeurs, des activistes des droits humains, des militant-e-s des mouvements sociaux ainsi que tout.e citoyen.n.e exigeant la liberté, la dignité et la justice sociale en font les frais». Les associations de défenses des droits humains se disent mobilisées pour «exiger la libération de tous les détenus politiques et d’opinion, notamment les journalistes Omar Radi, Soulaimane Raissouni, Toufik Bouachrine, les prisonniers du Hirak du Rif : Nasser Zefzafi, Nabil AhamjiK, Said Ighid, Zakaria Adehchour, Mohamed Jalloul, le militant Noureddine Aouaj et les citoyens actifs sur les réseaux sociaux». Elles exigent aussi «que les droits fondamentaux soient respectés au Maroc» et condamnent «les pratiques du régime marocain et de son appareil policier».

IRAK – Les images de son assassinat avaient, rappelle RFI,  provoqué une onde de choc dépassant les frontières de l’Irak. De son vivant, Hisham al-Hashemi se savait menacé, mais n’avait jamais voulu quitter Bagdad, sa ville natale. Et ce, même quelques mois avant son meurtre alors qu’il avait reçu des menaces de mort explicites par des factions armées pro-Iran.

Après avoir longtemps travaillé sur les mouvements jihadistes, Hisham al-Hashemi avait choisi de porter ses recherches sur les milices chiites proches de Téhéran. En 2019, lors de la révolte qui avait secoué l’Irak pendant plusieurs mois, il avait pris position en faveur du mouvement et avait critiqué ouvertement la mainmise iranienne sur le pays. À cette période, de nombreux militants, journalistes ou chercheurs ont été assassinés dans le pays. Très peu de meurtriers ont été retrouvés par les autorités mais celui d’Hisham al-Hashemi pourrait en faire partie. Un suspect est en tout cas derrière les barreaux. Policier de profession, il serait proche des brigades du Hezbollah. Son procès, selon RFI, est attendu ce lundi, après avoir été reporté, en décembre dernier.

IRAN NUCLÉAIRE – L’Iran a déclaré ce lundi que la relance de l’accord nucléaire de 2015 était possible si les puissances occidentales prenaient une décision politique à l’égard de trois points clés qui demeurent non résolus, alors que les négociations indirectes entre Téhéran et Washington entrent dans une phase cruciale. Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a indiqué que les questions en suspens portaient sur l’ampleur de la levée des sanctions, la garantie que les États-Unis ne quitteront pas à nouveau le pacte et la résolution des questions relatives aux traces d’uranium découvertes sur plusieurs sites anciens mais non déclarés en Iran. Après dix mois de négociation à Vienne, des progrès ont été obtenus pour relancer l’accord, abandonné par les Etats-Unis en 2018, qui encadre les activités nucléaires iraniennes en échange d’une levée des sanctions internationales visant le pays. Mais Téhéran et Washington ont prévenu que d’importantes divergences demeuraient.

LIBAN – Trois magistrats français sont arrivés dimanche soir à Beyrouth pour poursuivre leurs investigations dans l’enquête instruite à Nanterre visant Carlos Ghosn, ancien patron de l’alliance Renault-Nissan, a appris l’AFP de source proche du dossier. Les magistrats de Nanterre ont prévu de rester jusqu’à jeudi dans la capitale du Liban, où ils doivent notamment auditionner des témoins, a précisé la source proche. Ce voyage ouvre aussi la voie à un changement éventuel de statut de M. Ghosn, qui vit à Beyrouth depuis son évasion du Japon fin 2019. Concrètement, la justice française peut demander au procureur libanais la « notification des charges » à M. Ghosn – l’équivalent d’une mise en examen en France – ou encore prononcer un mandat d’arrêt à son encontre. C’est le second déplacement de magistrats français dans cette affaire : en juin dernier, M. Ghosn avait été entendu en audition libre pendant cinq jours, pour les enquêtes le visant à Nanterre, mais aussi à Paris, dans le cadre d’une commission rogatoire internationale. À l’issue de cette audition, ses avocats l’avaient dit « heureux » d’avoir pu « expliquer sa position ». Il avait toutefois refusé de répondre aux questions basées sur un disque dur, qu’il estime avoir été « volé au Liban par Nissan » et « peut-être modifié », a-t-il déclaré dans une interview au Parisien le 12 février. Les auditions pourraient être en lien avec ce disque dur. Par ailleurs, le chef de la mission du FMI devait arriver ce soir à Beyrouth pour discuter des ajustements que le Liban doit opérer sur le plan de redressement de son économie, du projet de budget pour 2022 et du plan de réforme de l’électricité.

EGYPTE – Le gouvernement égyptien envisage de lever 230,25 milliards de livres égyptiennes (près de 15 milliards USD) de bons de trésor et d’obligations en mars 2022 sur le marché local, selon les données communiquées par le ministère des Finances. Ces prévisions s’inscrivent dans le cadre d’un plan qui vise à emprunter 602,25 milliards de livres égyptiennes ( EGP)sur les trois premiers mois de l’année. Dans les détails, il est prévu l’émission de 20 offres de bons du Trésor d’une valeur de 155 milliards d’EGP et l’émission de 18 offres d’obligations de 75,2 milliards d’EGP. Emis périodiquement pour couvrir le déficit budgétaire général de l’État. D’autre part, l’Égypte est le marché le plus ciblé pour les fusions et acquisitions en Afrique en 2021, avec une valeur de 9,9 milliards de dollars….

Au Soudan, la “marche du million” met le couteau sous la gorge de l'armée

SOUDAN – Une nouvelle « marche du million » pour restitution du pouvoir aux civils a eu lieu ce lundi 28 février à Khartoum et dans plusieurs villes du pays après que les Comités de résistance de l’État de Khartoum ont proposé une Charte de transition commune. Dimanche soir, devant une foule de micros, c’est à tour de rôle que de jeunes porte-paroles des Comités de résistance de l’État de Khartoum sont venus présenter la « Charte pour l’instauration de l’autorité du peuple ». Une charte politique décrivant une transition de deux ans, au cours desquels le Soudan serait dirigé par un Premier ministre, chef de l’État et chef de l’armée, nommé par les signataires de la Charte. Celui-ci gouvernerait avec une Assemblée qui, au terme de la transition, serait chargée de ratifier une nouvelle Constitution, après quoi des élections libres seraient tenues, ouvertes à tous, sauf aux alliés du président déchu Omar el-Béchir et aux soutiens du coup d’État du 25 octobre. Ce document était attendu depuis plusieurs semaines. Il s’agit d’une « proposition » visant à « unifier les forces révolutionnaires » derrière une feuille de route. Un mouvement pour l’instant dispersé en centaines de Comités de résistance semi-autonomes et un archipel de partis politiques et de syndicats. La Charte refuse toute négociation avec les militaires et propose de juger les putschistes. Elle propose aussi de revoir l’Accord de Juba de 2020 avec les mouvements armés. Des tribunaux spéciaux pour juger les atteintes aux droits humains et l’appel aux organisations internationales, pour la justice transitionnelle sont également prévus.

KENYA – Les envois de fonds de la diaspora ont décuplé au cours des 15 dernières années, atteignant un record absolu de 3,718 milliards de dollars en 2021. C’est ce que relève une première enquête de la banque centrale réalisée entre mars et mai 2021. Cette croissance « souligne l’importance des envois de fonds en tant que source de devises pour le pays, équivalant à plus de 3 % du PIB du Kenya », indique le gouverneur de la Central Bank of Kenya (CBK), Patrick Njoroge, dans le rapport consulté par ‘Financial Afrik’. « Les envois de fonds fournissent également.

ISRAËL – Des Palestiniens ont affronté les forces de police près de la porte de Damas à Jérusalem alors que Lailat al Miraj,  « La nuit du voyage et de la montée au ciel » était célébrée. 10 personnes ont été arrêtées. Dans les vidéos de la scène, on peut voir la police disperser des groupes de Palestiniens avec des grenades assourdissantes et des canons à eau. Dans une autre vidéo, un Palestinien court après un policier et le pousse au sol pendant que l’officier se débat avec une troisième personne. Selon la police, les Palestiniens ont scandé des slogans de provocation et ont jeté des pierres et des bouteilles sur les policiers présents sur les lieux. Les affrontements entre émeutiers et policiers israéliens sont fréquents à Jérusalem-Est.

Réaction au rapport GIEC sur les conséquences d'un réchauffement planétaire  de 1,5°C - Atmo France

CLIMAT – La sortie de route a déjà eu lieu, l’enjeu est désormais de réduire le nombre de tonneaux », a déclaré ce lundi 28 février sur France info François Gemenne, chercheur et co-auteur du rapport du Giec publié le même jour. Le Giec recommande d’accélérer les efforts sur la « politique d’adaptation » au réchauffement climatique, dont les effets sont déjà visibles dans le monde entier. « On a parfois l’impression que nous cherchons des prétextes pour regarder ailleurs », dénonce le chercheur, qui appelle à mettre en place « des infrastructures de protection, notamment face aux inondations ou au risque de submersion. » Les conséquences dévastatrices du changement climatique, longtemps vu comme un point à l’horizon, sont devenues une réalité maintenant aux quatre coins de la planète, avec 3,3 à 3,6 milliards de personnes d’ores et déjà « très vulnérables », soit près de la moitié de l’humanité. Le réchauffement d’environ +1,1°C en moyenne depuis l’ère préindustrielle a déjà contribué au déclin des espèces et à l’extinction de certaines, à l’augmentation des maladies transmises par les moustiques, à plus de morts causées par la chaleur et la sécheresse, à une perte de récoltes agricoles et de la pêche. La santé des populations, physique et mentale, est également touchée. « L’augmentation des extrêmes météorologiques et climatiques a conduit à des impacts irréversibles » sur les sociétés humaines et la nature, conclut le Giec. Mais ce n’est que le début et les impacts sur la nature et l’Homme vont s’accroître: extinction possible de 3 à 14% des espèces terrestres à +1,5°C, des « milliards » de personnes supplémentaires exposés à la dengue, ou de manière générale, une « augmentation sensible des maladies et des morts prématurées ». Tout dépassement de +1,5° « entraînerait des impacts irréversibles » sur des écosystèmes capitaux comme les récifs coralliens, les glaciers de montagne et les calottes glaciaires.

PLASTIQUE – Près de sept ans après l’accord de Paris, la communauté internationale va-t-elle se confronter à cette autre menace planétaire ? Une première étape pourrait être franchie lors de la 5e Assemblée des Nations unies pour l’environnement (ANUE), à Nairobi, où des négociations cruciales ont commencé ce lundi sur un traité international juridiquement contraignant pour lutter contre la pollution plastique. Programmée jusqu’au 2 mars, l’ANUE doit acter la création d’un comité de négociation intergouvernemental. C’est cette instance qui sera chargée d’élaborer le futur traité dont l’adoption pourrait intervenir lors de la prochaine assemblée onusienne, en 2024. Pour la directrice générale du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), Inger Andersen, il s’agit ni plus ni moins du rendez-vous « le plus important de l’agenda environnemental mondial depuis l’accord de Paris sur le changement climatique, en 2015 ». L’enjeu est à la mesure du péril. Chaque minute, l’équivalent d’un camion-poubelle rempli de déchets plastiques se déverse dans les océans. Au rythme actuel, la pollution plastique des océans (11 millions de tonnes par an) aura quadruplé d’ici à 2050. Tirée par le secteur de l’emballage – débouché désormais privilégié par l’industrie pétro-gazière –, la production mondiale de plastique devrait en effet plus que doubler pour flirter avec le milliard de tonnes par an à l’horizon 2050. Pour l’Afrique, il s’agit d’un péril majeur. D’Antananarivo à Dakar, en passant par Nairobi ou Conakry, les capitales africaines sont souillées par d’immenses décharges à ciel ouvert où les déchets plastiques se comptent par milliers de tonnes, dégageant des odeurs pestilentielles, des fumées et particules toxiques. Et au péril de leur vie, hommes, femmes et enfants parmi les plus pauvres, viennent y chercher de quoi survivre au quotidien.

AUSTRALIE – Des dizaines de milliers d’Australiens ont été priées d’évacuer leur maison, ce lundi 28 février 2022, face aux pluies torrentielles qui ont provoqué des inondations record et obligé certains habitants à se réfugier sur leur toit. A la mi-journée, le bilan s’établissait à huit morts. L’agence météorologique a prévenu que d’autres puissants orages et des pluies intenses entraîneraient des « crues soudaines potentiellement mortelles » dans une grande partie de la région côtière centrale du Pacifique. Dans la ville rurale de Lismore, Danika Hardiman a constaté lundi matin au réveil que les eaux couleur de boue avaient atteint le balcon au deuxième étage de son appartement. Elle a grimpé sur le toit avec son conjoint, où ils ont été repérés par des kayakistes, qui ont fait signe à un bateau de sauvetage de fortune. « Nous avons été sauvés par deux personnes dans un bateau, deux riverains », a expliqué Danika Hardiman à l’AFP, décrivant des scènes « horribles » à Lismore. Les digues de la ville ayant déjà cédé, 43 000 habitants ont reçu l’ordre d’évacuer immédiatement.

Nourriture Exotique - Crocodile Sur Le Gril Photo stock - Image du  exceptionnel, désagréable: 56875572

THAÏLANDE – C’est le nouveau plat à la mode: la viande de crocodile, vendue beaucoup moins chère que la viande de porc. En effet, le prix du porc a explosé dans le pays : + 33% en un an. Dans les centaines de fermes à l’ouest de la Thaïlande, la demande de viande de crocodile a presque doublé. « On les nourrit deux fois par mois. À chaque fois au total, c’est 1 500 kg de viande« , déclare un éleveur à France Télévisions. Une fois abattu, le crocodile est soigneusement découpé. La peau sera revendue à plus de 100 euros la pièce, pour en faire des sacs ou des ceintures. La viande sera vendue à 4 euros le kilo, tandis que le porc coûte 7 euros le kilo. La ferme propose aussi ses crocodiles en bord de route, en vente directe. Depuis quelques mois, la demande explose. « Je trouve que la viande de crocodile est meilleure que celle de porc, et en plus elle est moins cher« , explique une cliente. Un restaurant s’est même spécialisé en viande de crocodile.

NAMIBIE – TotalEnergies a annoncé le 24 février 2022 une « découverte significative d’huile légère et de gaz associé » dans sa concession sur le bassin offshore d’Orange, au large de la Namibie. Cette annonce fait suite à celle de la Shell en janvier dernier qui annonçait également une découverte importante sur le même champ pétrolier. Les premières estimations de la compagnie néerlandaise avancent un potentiel de 300 millions de barils sur ce puits. La Namibie est donc en train de prendre sa place parmi les pays producteurs africains, aux côtés du Nigeria, de la Libye, de l’Angola, etc. Il y a tout d’abord l’exploitation du bassin du Kavango, au nord de la Namibie, entre l’Angola et le Botswana. Les premiers forages exploratoires sont en cours et ils sont prometteurs. Le sous-sol renfermerait 120 milliards de barils de pétrole selon les estimations. Cela en ferait l’un des plus importants gisements découverts dans le monde ces dernières années. Situé non loin du fameux delta de l’Okanvango, refuge de dizaines d’espèces animales, le projet fait bondir les ONG environnementales pour la menace que l’exploitation pétrolière fait peser sur la vie animale. L’autre jackpot potentiel se situe en mer, à environ 300 kilomètres des côtes et à une profondeur de 3 000 mètres.

ZIMBAWE – Au moins 16 suspects ont été arrêtés par la police zimbabwéenne en lien avec les violences qui ont fait 22 blessés et un mort dimanche lors d’un rassemblement de l’opposition, et un document de la police affirme que les assaillants sont des militants du parti au pouvoir. Ce mémo, dont l’AFP a obtenu copie, précise qu’un autre suspect en fuite est recherché pour l’homicide d’un militant, transpercé par une lance selon des témoins, lors du rassemblement de Kwekwe (centre). Selon la police, des militants de la Zanu-PF au pouvoir, vêtus de jaune, la couleur de leurs ennemis de la Coalition des citoyens pour le changement (CCC), principal parti d’opposition, ont tendu une embuscade. Les opposants se dirigeaient alors vers le lieu où le chef de leur parti, Nelson Chamisa, principal rival du président Emmerson Mnangagwa et de sa Zanu-PF au pouvoir depuis l’indépendance, devait parler. Les affrontements ont obligé Neslon Chamisa à écourter son discours. Les assaillants ont utilisé machettes, couteaux, catapultes et fouets traditionnels dans un déchaînement de violence, selon la police.

Guinée: heurts entre partisans de l'ex-Premier ministre et forces de  sécurité

GUINÉE – Des heurts ont opposé, ce lundi à Conakry, forces de sécurité et partisans de l’ex-Premier ministre Cellou Dalein Diallo, à qui les militaires au pouvoir ont ordonné, ainsi qu’à une autre figure politique, de quitter leurs maisons, a constaté un correspondant de l’AFP. Ce sont les premiers incidents du genre depuis que des militaires sous le commandement du colonel Mamady Doumbouya ont renversé le président Alpha Condé le 5 septembre 2021. Des centaines de jeunes partisans de M. Diallo ont lancé des pierres contre les forces de l’ordre à Ratoma, l’une des communes constituant la capitale guinéenne, où se trouve le siège de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG), le parti de M. Diallo. Les policiers ont répondu par des jets de gaz lacrymogène, tandis que la circulation était limitée sur l’axe principal du quartier. Cette banlieue de Conakry a été à partir d’octobre 2019 et pendant des mois le théâtre d’une contestation violente de la part des supporteurs de l’UFDG contre la présidence Condé. Cette fois, l’élément déclencheur des troubles a été la décision des nouvelles autorités, enjoignant le 15 février à M. Diallo de quitter au plus tard ce lundi son domicile situé à Dixinn, un quartier de la capitale. L’administration a entrepris la même démarche à l’encontre de l’autre grande personnalité politique guinéenne en dehors du pouvoir, Sidya Touré, autre ancien chef de gouvernement. L’administration affirme que ces biens appartiennent au domaine public. 

TCHAD – Une trentaine de personnes ont été tuées et une cinquantaine blessées dans la collision de deux bus dans la nuit de dimanche à lundi 28 février dans le centre du Tchad, à 630 km de la capitale, selon un communiqué du ministère des Transports publié lundi. «Il s’agit d’une collision de deux bus de transports de passagers (…), l’un en provenance de N’Djamena et l’autre d’Abéché», la troisième ville du pays, selon le communiqué signé par la ministre des Transports et de la Sécurité routière, Fatima Goukouni Weddeye. Le ministère en charge des transports doit prendre l’entièreté de ses responsabilités à cet égard pour faire respecter les règles de circulation qui sauvent», a écrit sur sa page Facebook le président de la junte au pouvoir, Mahamat Idriss Déby Itno, qui a «présenté ses condoléances aux familles éplorées». Les accidents de la circulation sont relativement fréquents et meurtriers au Tchad. En juillet, au moins 8 personnes avaient notamment été tuées dans l’accident d’un camion dans le sud du pays.

TRUMP – L’ancien président condamne l’ “épouvantable attaque russe contre l’Ukraine qui constitue un outrage et une atrocité qui n’auraient jamais dû se produire”, mais il continue à faire l’éloge de Vladimir Poutine.  L’Otan « a l’air tout sauf intelligente » en frappant la Russie de sanctions au lieu de se décider à la « réduire en miettes, au moins psychologiquement »,  a-t-il lancé, samedi 26 février, à la grande convention annuelle des conservateurs américains, à Orlando (Floride). « Le problème n’est pas que Poutine soit intelligent, parce que bien sûr il est intelligent », a-t-il poursuivi. « Le vrai problème est que nos dirigeants soient si bêtes », a-t-il dit, en imputant l’invasion de l’Ukraine par la Russie à la « faiblesse » de son successeur Joe Biden. Il a aussi qualifié Volodymyr Zelensky d' »homme courageux », lors d’un discours de 86 minutes. « Comme tout le monde le comprend, cet horrible désastre ne se serait jamais produit si notre élection n’avait pas été truquée », a aussi répété le milliardaire républicain de 75 ans.

Belarus sheds neutral status in vote critics call rigged | Taiwan News |  2022-03-01 04:25:50

BELARUS – Plus de 65% des Biélorusses ont voté, ce dimanche 27 février, en faveur des amendements à la Constitution proposés par le président Alexandre Loukachenko, a annoncé la Commission électorale centrale de cette ex-République soviétique, suscitant l’inquiétude de l’Union européenne, qui a dénoncé les conditions du scrutin. Parmi les changements proposés, une immunité judiciaire à vie pour les anciens présidents et l’introduction d’une limite de deux mandats présidentiels pour ses successeurs. Cette nouvelle limite s’appliquerait à partir de l’entrée en fonction d’un nouveau président, ce qui permettrait à Alexandre Loukachenko de rester au pouvoir jusqu’en 2035, s’il est réélu en 2025. Dans la version amendée disparaît par ailleurs l’obligation pour la Biélorussie de rester une « zone sans nucléaire ». Cet article serait remplacé par un autre « excluant l’agression militaire depuis le territoire » biélorusse.« Les changements proposés à la Constitution donnent à Loukachenko des outils supplémentaires pour consolider davantage son pouvoir », a déploré le chef de la diplomatie de l’Union européenne, Josep Borrell, dans un communiqué. La suppression de la référence (…) au statut non nucléaire de la Biélorussie « est un autre élément inquiétant », a-t-il dit. Josep Borrell a contesté la validité de ce scrutin organisé « dans un contexte de violations généralisées des droits de l’homme ». « Ce ne sont pas les conditions d’un processus démocratique de révision constitutionnelle », a-t-il ajouté.

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