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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Dans le monde, ces dernières heures…
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ALGÉRIE – Les Algériens s’apprêtent à vivre un Ramadan 2022 sur fond de pénuries, de tensions et de hausse des prix des produits alimentaires de base. Dans le quartier du Sacré-Cœur sur les hauteurs de la rue Didouche Mourad à Alger,  une adresse fait l’unanimité auprès des consommateurs. Il s’agit d’un point de vente d’une entreprise publique (Ex-Sempac -Société nationale des semouleries, meuneries, pâtes alimentaires et couscous). Tous les matins, vers 7h30, une chaîne humaine commence à se former sur le trottoir.  Une queue pour les hommes, une autre pour les femmes. Il faut avoir une sacrée dose de patience, une bonne santé et du temps à revendre, en attendant que le camion d’huile ou de semoule daigne montrer le bout de son nez Lors du passage des journalistes de TSA, des femmes et des hommes de tous âges piétinaient sous la pluie depuis plusieurs heures pour certains. « Je suis arrivée avant 8h pour être sûre de repartir avec un bidon d’huile »,  nous confie une jeune femme. « Les prix sont corrects dans cette grande surface. Il faut juste être patient ». Dans les autres commerces du centre d’Alger, la semoule et l’huile de table ont quasiment disparu des étals. Une seule réponse :makache.  

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LIBAN – Parmi les principaux produits interdits d’exportation par l’Algérie, figure le sucre raffiné. La mesure affecte le Liban, gros importateur de sucre algérien avec des volumes de 60 000 tonnes par an. Selon l’agence Reuters, son Premier ministre a saisi l’occasion de la tenue du forum de Doha pour en discuter avec le ministre algérien des Affaires étrangères. Najib Mikati a indiqué à Ramtane Lamamra que son pays espérait être exempté de la décision algérienne d’interdire l’exportation de sucres, rapporte la même source. L’absence de l’Algérie sur le marché libanais pourrait, note TSA,  profiter au marocain de la société Cosumar, qui serait à l’affût. En 2020, la société a exporté 650 000 tonnes de sucre, en hausse de 25% sur une année.

EGYPTE – Un adolescent a été condamné à cinq ans de prison avec sursis en Egypte, après le suicide d’une lycéenne qu’il faisait chanter en publiant des photomontages dénudés d’elle sur internet, une affaire qui a suscité un tollé en Egypte, a indiqué vendredi une source judiciaire. Basant Khaled, une jeune fille de 17 ans qui vivait dans un village du nord de l’Egypte, s’est suicidée le 23 décembre dernier en avalant du poison. L’adolescent qui la faisait chanter, âgé lui de 16 ans, a été condamné à deux ans de prison avec sursis pour agression sexuelle et à trois ans avec sursis pour avoir publié des photomontages dénudés de la victime sans son consentement. Il était également accusé « d’atteinte aux valeurs familiales » et de harcèlement en ligne, toujours selon des sources judiciaires. Le jeune homme, arrêté en janvier, a commencé son chantage après que Basant Khaled a refusé d’avoir des relations avec lui, avait indiqué en janvier le procureur général. Peu après son suicide, des médias locaux avaient publié la lettre d’adieu de Basant Khaled. « Maman, j’espère que tu me crois, je ne suis pas cette fille, ce sont des photomontages, je ne mérite pas ce qui se passe », y avait elle écrit. Le procès de cinq autres personnes accusées d’avoir participé à cette affaire doit avoir lieu le 10 mai.

ISRAËL – Le Sommet historique du Néguev qui a réuni hier et aujourd’hui  le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken et les ministres des Affaires étrangères israélien, émirati, bahreïni, marocain et égyptien doit être l’occasion pour les dirigeants de discuter des défis régionaux et de la menace iranienne qui pèse sur la région. Dans une déclaration conjointe avec le secrétaire d’État américain, le président israélien Isaac Herzog a déclaré que les États-Unis et Israël « travailleront ensemble pour trouver une coopération régionale plus poussée qui bénéficiera à tous les peuples de la région afin d’empêcher toute menace contre Israël. » A. Blinken a affirmé que ce Sommet « aurait été inimaginable il y a quelques années à peine. Ce que nous voyons, c’est que la normalisation devient la nouvelle norme pour cette région et je pense que cela va attirer de plus en plus de pays car ils voient les avantages de ces partenariats dans la région. »

Le ministre israélien des Affaires étrangères Yair Lapid a déclaré que « nous avons un désaccord sur le programme nucléaire et ses conséquences mais sommes ouverts à un dialogue ouvert et honnête », mais il a ajouté qu’ « Israël et les Etats-Unis vont en ce sens travailler ensemble pour empêcher l’Iran d’obtenir l’arme nucléaire. Mais à la fois Israël va faire tout ce qui doit être fait pour stopper le programme nucléaire iranien ».

D’autre part Antony Blinken a affirmé qu’il recherchait une amélioration tangible de la vie des Palestiniens et a assuré qu’ils discuteront des moyens de calmer les tensions et d’assurer un ramadan et une fête de Pessah paisibles.

GAZA – Le gouvernement israélien devrait augmenter ce dimanche le nombre de permis de travail permettant aux Gazaouis de travailler en Israël, portant à 20.000 au lieu de 12 000 le total de permis accordés, a annoncé samedi le ministère de la Coopération régionale. En octobre, dans le cadre des efforts de cessez-le-feu avec le Hamas, Israël a élargi le programme de permis de travail pour permettre à 10.000 travailleurs supplémentaires d’entrer dans le pays. Il y a à peine deux semaines, le quota a été porté à 12.000 permis. Cependant, un responsable de la sécurité israélienne a déclaré aux journalistes que la limite serait étendue à 20.000, à l’initiative du ministre de la Défense Benny Gantz. En outre, Israël s’est engagé à augmenter le quota à 30.000 permis, selon Mohammad al-Emadi, un émissaire qatari dans la bande de Gaza. L’agence de sécurité israélienne Shin Bet a mis en garde contre le risque que représentent les Gazaouis entrant dans le pays, car plusieurs d’entre eux profitent de ces laissez-passer pour espionner et mener des activités pour le compte du Hamas.

SOUDAN DU SUD – Trois morts et un blessé dans l’attaque d’un convoi des Nations unies transportant de l’aide alimentaire, jeudi 24 mars au Soudan du Sud, dans l’État du Jongleï. Cette nouvelle attaque, rapporte RFI, intervient alors que le pays compte cette année près de 8,3 millions de personnes ayant besoin du soutien du Programme alimentaire mondial pour survivre. Le Soudan du Sud reste l’un des pays les plus dangereux au monde pour les humanitaires. Ils sont 132 à avoir perdu la vie en mission depuis l’indépendance du pays en 2011. L’État du Jongleï est particulièrement dangereux, avec déjà 4 attaques de convois humanitaires rapportés depuis le début de l’année. Le convoi de 44 camions est tombé dans une embuscade entre les villages de Gadiang et de Yuai, dans l’État du Jongleï. Les pillards ont « exécuté » trois des employés de la compagnie privée affrétée par le Programme alimentaire mondial et ont volé l’équivalent de 3,2 millions de dollars de nourriture. L’État du Jongleï connaît aussi des cycles répétés de violence armée entre les communautés Dinka, Nuer et Murle. Fin janvier, des clashs ont encore fait 32 morts. La communauté humanitaire estime à 1,7 million le nombre de personnes ayant besoin d’aide alimentaire dans cette partie du pays.

YEMEN – Samedi, alors que leurs partisans étaient rassemblés à Saana, la capitale qu’ils contrôlent, les rebelles ont annoncé une trêve de trois jours et fait miroiter la perspective d’un cessez-le-feu « permanent. « Nous sommes tout à fait prêts à libérer tous les prisonniers de la coalition que nous avons, a déclaré Mahdi al–Mashat, chef du bureau politique des Houthis. Y compris le frère du président Hadi, les prisonniers des milices locales et tous les prisonniers des différentes nationalités qui sont en notre possession, en échange de la libération complète de tous nos prisonniers. » 

Quelques heures après l’annonce de cette trêve, la coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite au Yémen a bombardé des zones contrôlées par les rebelles Houthis. Samedi soir, vers minuit, la coalition a, en effet, annoncé avoir «commencé à mener des frappes aériennes sur les camps(militaires et zones stratégiques des rebelles Houthis à Sanaa»

INSOLITE – Perché sur un promontoire rocheux au cœur des Andes péruviennes, le Machu Picchu est l’un des sites archéologiques les plus célèbres au monde. Les premières fouilles y furent menées au début du XXe siècle après la redécouverte de la cité inca par l’Américain Hiram Bingham. Plus de cent après, on est toutefois loin de tout savoir sur son histoire. En août 2021, une étude menée sur des restes humains a montré que le lieu avait sans doute été construit autour de 1420, soit deux décennies plus tôt que la date avancée jusqu’ici par les historiens. Aujourd’hui, une autre étude publiée dans la revue Ñawpa Pacha bouscule à nouveau les connaissances : elle avance que Machu Picchu ne serait pas le nom original du lieu.

Selon ces recherches conduites par un archéologue américain et un historien péruvien, la citadelle inca se nommait plutôt « Huayna Picchu ». Le nom « Machu Picchu » n’aurait été associé aux ruines qu’à partir de 1911 et la publication des travaux de Hiram Bingham. Cette conclusion est le fruit de l’analyse de trois sources historiques différentes : les notes de terrain de l’explorateur, des cartes du XIXe siècle et des informations figurant sur des documents du XVIIe siècle. Autant d’éléments qui ont permis aux auteurs de remonter jusqu’à la redécouverte du site inca et au-delà. « Nous avons démarré avec l’incertitude sur le nom des ruines quand Bingham les a visitées pour la première fois et puis nous avons passé en revue des cartes et des atlas imprimés avant cette visite« , a expliqué Brian S Bauer, archéologue de l’université de l’Illinois à Chicago et co-auteur de l’étude repris par The Guardian. Si Bingham est fréquemment présenté comme le découvreur du Machu Picchu, les spécialistes s’accordent à dire que la cité n’a jamais réellement été oubliée. Et l’enquête menée le confirme. Les ruines de la cité sont mentionnées sur un atlas publié en 1904, soit sept ans avant l’arrivée de l’Américain, et sont désignées sous le nom de « Huayna Picchu ». Ce nom, comme celui de « Machu Picchu », ne sort pas de nulle part. Les deux désignent en réalité les montagnes qui s’étendent de part et d’autre de la cité inca. Les notes de Bingham ont indiqué qu’avant de mener son exploration, il avait interrogé les communautés locales et notamment Adolfo Quevedo, un chef d’une ville voisine, qui avait nommé les ruines « Huayna Picchu ».

Quelques jours plus tard, c’est un fermier local qui lui a parlé de vestiges du même nom situés à proximité. Il lui a également indiqué que d’autres ruines se trouvaient au sommet de la montagne du Machu Picchu mais s’étalaient sur une plus faible ampleur que celles du Huayna Picchu. Les deux termes figurent à cette époque dans le journal de Bingham pour désigner le site. Le choix ne serait intervenu que plus tard. Les chercheurs n’ont trouvé aucune référence ancienne à une cité appelée Machu Picchu.

BIRMANIE – Ce dimanche, la junte birmane s’est livrée à une démonstration de force. Elle a promis d’« anéantir » ses opposants, à l’occasion de la journée de l’armée, théâtre en 2021 d’une répression sanglante contre les manifestations pro-démocratie. Plus de 8 000 membres des forces de sécurité, des chars, des camions transportant des missiles et des pièces d’artillerie ont défilé dimanche 27 mars 2022, sur les gigantesques artères de Naypyidaw, la capitale construite par l’ancien régime militaire au début des années 2000. Le chef de la junte, Min Aung Hlaing, en tenue d’apparat, a inspecté ses troupes depuis un 4×4 ouvert, tandis que des avions de combat survolaient la ville, arborant les couleurs jaune, rouge et vert du drapeau national. La junte « ne négociera plus […] et anéantira jusqu’au bout » les opposants, a déclaré le général qui a renversé la dirigeante civile Aung San Suu Kyi le 1er février 2021. Ce dimanche, seuls une douzaine de protestataires ont lancé des fusées éclairantes à Rangoun, la capitale économique, en scandant des slogans anti-junte, selon des images publiées sur les réseaux sociaux. Malgré la répression, de larges portions du territoire échappent toujours au contrôle des généraux.

CHINE – Le second enregistreur contenant les données du vol qui s’est écrasé en Chine a été récupéré dimanche 27 mars et pourrait aider à lever le mystère sur la chute vertigineuse de l’avion en quelques minutes. Cet enregistreur contient les données du vol, comme la vitesse, l’altitude et le cap suivi. Un premier enregistreur de vol, qui contient les conversations dans le cockpit, avait été retrouvé mercredi et envoyé à Pékin pour y être décodé. Son analyse devrait encore prendre plusieurs jours.

Le Boeing 737-800 de la China Eastern Airlines, qui reliait les villes chinoises de Kunming (sud-ouest) et Canton (sud), s’était crashé lundi sur une colline boisée de Wuzhou (sud), dans la province du Guangxi. Les causes de la catastrophe, qui a tué la totalité des 123 passagers et des neuf membres d’équipage, ne sont pas encore connues. Toutes les personnes à bord étaient de nationalité chinoise.

EAU – Le forum de l’eau qui s’est terminé samedi à Dakar a adopté une « Déclaration de Dakar », non contraignante, réclamant l’accélération de « l’application du droit à l’eau potable ». Il recommande par ailleurs l’adoption de « plans de gestion durable et intégrée pour préserver les ressources en eau et les écosystèmes », une « mobilisation des ressources financières » en faveur de l’accès à l’eau des populations et une « gouvernance » de l’eau qui inclut tous les utilisateurs : secteurs agricole, industriel, de la santé, de la biodiversité, de l’énergie… Le président sénégalais, Macky Sall, avait évoqué dans son discours d’ouverture « la raréfaction des ressources hydriques et la dégradation de l’environnement [qui] continue de s’aggraver ». « Deux personnes sur cinq dans le monde vivent dans des régions où l’eau est rare », avait-il ajouté. « Si nous ne changeons pas nos comportements aujourd’hui, l’accès à l’eau va se dégrader, comme nous l’observons déjà dans certains pays », alerte Abdoulaye Sène, secrétaire exécutif du forum. Selon un rapport de l’OCDE de juin 2021, 40 % de la population en Afrique subsaharienne n’a pas accès à des services élémentaires d’approvisionnement en eau et 70 % à un assainissement de base. Et le nombre total de personnes vivant dans des zones urbaines confrontées à une pénurie d’eau permanente passera à 162 millions d’ici à 2050.

ESPAGNE – Les routiers espagnols ont annoncé la poursuite pour une durée « indéterminée » d’un mouvement de grève entamé il y a douze jours, après avoir rejeté un ensemble de mesures gouvernementales d’un montant total de 1 milliard d’euros pour les aider à faire face à la flambée des prix de l’essence. Le gouvernement espagnol a proposé vendredi aux chauffeurs routiers des remises sur les carburants ainsi qu’une prime exceptionnelle afin de mettre fin à cette grève qui a entraîné des pénuries et obligé certaines entreprises à réduire leur production. Mais la « Plate-forme pour la défense du transport », un groupe officieux de chauffeurs routiers à l’origine du mouvement de contestation qui a démarré le 14 mars, a rejeté ces mesures. « Malheureusement, nous continuons la grève », a déclaré Manuel Hernandez, leader du mouvement de contestation, à l’issue d’une rencontre avec la ministre des Transports Raquel Sanchez. Manuel Hernandez a réclamé une aide immédiate, la ministre des Transports n’ayant selon lui promis que des aides sous la forme d’une loi dans les prochains mois, et des mesures transitoires en attendant. La grève a commencé le 14 mars lorsqu’un groupe de chauffeurs et de propriétaires de petits camions ont commencé à bloquer les routes et les ports en réponse à la hausse des prix du carburant, exacerbée par le conflit entre l’Ukraine et la Russie. 

ALLEMAGNE – Le gouvernement allemand, que l’invasion russe de l’Ukraine a convaincu d’investir massivement dans la défense, envisage l’acquisition d’un système de protection anti-missile israélien, affirme ce dimanche 27 mars le quotidien « Bild ». La décision n’a pas encore été prise formellement mais le parti social-démocrate du chancelier Olaf Scholz, la principale formation de la coalition au pouvoir, y est favorable, précise le quotidien le plus lu d’Allemagne. « Nous devons mieux nous protéger contre la menace russe. Pour cela, nous avons besoin rapidement d’un bouclier antimissiles à l’échelle de l’Allemagne », explique dans « Bild » le rapporteur au Bundestag pour le budget de la défense, Andreas Schwarz. « Le système israélien Arrow 3 est une bonne solution », ajoute-t-il au sujet de ce dispositif anti-missiles israélien destiné à contrer des missiles de longue portée. Selon « Bild », le système, inspiré du « Dôme de fer » israélien, coûterait environ 2 milliards d’euros et pourrait être opérationnel dès 2025 depuis trois sites en Allemagne. Le bouclier serait même suffisamment puissant pour couvrir également la Pologne, la Roumanie et les pays baltes.

D’autre part, les quelque 800.000 électeurs du plus petit land allemand votent ce dimanche pour renouveler leur parlement régional. Malgré sa taille, ce scrutin a valeur de test pour la coalition feu tricolore d’Olaf Scholz, un peu plus de 100 jours après son intronisation, mais aussi pour le nouveau chef de l’opposition élu il y a deux mois à la présidence de la CDU, Friedrich Merz. 

MALTE – Le Premier ministre sortant à Malte, candidat du parti travailliste, a revendiqué dimanche la victoire aux législatives à l’issue d’un scrutin tenu dans l’ombre de la guerre en Ukraine et marqué par une abstention record dans l’histoire du petit archipel méditerranéen. Comme annoncé par les sondages, Robert Abela a indiqué à la chaîne de télévision TVM que son parti avait remporté la majorité des suffrages, sans cependant fournir de résultat chiffré. Alors que le taux de participation dépasse habituellement les 90%, il devrait s’établir autour de 85% selon la Commission électorale, un niveau historiquement bas depuis l’indépendance en 1964 de Malte, ancienne colonie britannique entrée dans l’UE en 2004.

Il s’agirait du premier mandat gagné dans les urnes pour M. Abela, nommé chef du gouvernement après la démission début 2020 de Joseph Muscat, dont le mandat a été entaché par des soupçons de corruption. Il a également été accusé d’avoir voulu influencer l’enquête sur l’assassinat en 2017 de la journaliste d’investigation Daphne Caruana Galizia qui travaillait sur la corruption.

C’est aussi le premier scrutin national auquel pouvaient voter les Maltais âgés de 16 à 18 ans.

FRANCE-GABON – Un masque sculpté d’Afrique centrale datant du XIXe siècle a été adjugé pour 4,2 millions d’euros hors-frais samedi en France, malgré les protestations lors de la vente de quelques Gabonais réclamant sa « restitution » à son pays d’origine. Rarissime, ce masque de bois aux lignes pures, apanage d’une société secrète du peuple Fang du Gabon, a « pulvérisé » son estimation, très prudente, de 300.000 à 400.000 euros, s’est réjoui dans un communiqué l’Hôtel des ventes de Montpellier (sud). Avec les frais, il a atteint 5,25 millions d’euros, selon la même source et « talonne de peu » le record de 5,9 millions d’euros atteint à Paris en 2006 par un autre masque du peuple Fang, dont l’esthétique a inspiré les peintres Modigliani ou Picasso. « Il s’agit d’un recel », s’était exclamé depuis le fond de la salle de ventes un homme se présentant comme un membre de la communauté gabonaise de Montpellier, a constaté un journaliste de l’AFP. « Ne vous inquiétez pas, on va porter plainte. Nos ancêtres, mes ancêtres, de la communauté Fang, on va récupérer cet objet », un « bien mal-acquis colonial », a-t-il lancé, accompagné d’une demi-douzaine de ses compatriotes. Le commissaire-priseur, Jean-Christophe Giuseppi, lui a répondu que la vente se faisait « en toute légalité, dans l’état actuel de (ses) informations ».

LE PEN – Des manifestants présentés comme nationalistes ont perturbé samedi soir une émission que Marine Le Pen était en train d’enregistrer à son hôtel au Gosier en Guadeloupe, son entourage parlant de manifestants « d’extrême gauche » qui l’ont « bousculée assez violemment ». « Vingt manifestants d’extrême gauche nous ont bousculés assez violemment », a rapporté à l’AFP l’entourage de la candidate du Rassemblement national à l’élection présidentielle. Son attachée de presse a rapporté avoir reçu « un coup dans le dos ». Ils ont aussi « arraché le micro » que portait la candidate. « Il n’y a pas eu véritablement d’affrontements ni de violences mais plutôt de l’intimidation vis-à-vis de Marine Le Pen », a rapporté un journaliste. Sur les images diffusées par la chaîne, on peut voir le garde du corps de Marine Le Pen la prendre contre lui tandis qu’elle baisse la tête pour se protéger. Elle a été rapidement évacuée du plateau sur lequel Guadeloupe La Première devait l’interroger en direct. Les manifestants, qui scandaient « dehors », « raciste » selon des images de BFMTV, ont quitté d’eux-mêmes les lieux, a indiqué à l’AFP la direction de l’hôtel.Interrogé, Emmanuel Macron a « condamné avec la plus grand fermeté. « Je combats les idées de madame Le Pen, mais avec respect ».

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