• Qui sommes-nous ?
  • Contact
  • S'identifier
dimanche, 11 mai, 2025
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
عربي
TUNISIE DIRECT
  • NATIONAL
    • Politique
    • Nos Régions
  • INTERNATIONAL
  • SANTÉ
    • Infos Covid
  • ÉCONOMIE
  • CULTURE
  • SOCIÉTÉ
  • SPORT
    • foot
  • FEMME
  • IDÉES & DÉBATS
    • Editoriaux
    • soit dit en passant
    • Entretien
  • SCIENCES ET ENVIRONNEMENT
    • High-tec
    • animaux
  • NATIONAL
    • Politique
    • Nos Régions
  • INTERNATIONAL
  • SANTÉ
    • Infos Covid
  • ÉCONOMIE
  • CULTURE
  • SOCIÉTÉ
  • SPORT
    • foot
  • FEMME
  • IDÉES & DÉBATS
    • Editoriaux
    • soit dit en passant
    • Entretien
  • SCIENCES ET ENVIRONNEMENT
    • High-tec
    • animaux
TUNISIE DIRECT
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
Page d'accueil INTERNATIONAL

Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 3 ans
dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Dans le monde, ces dernières heures…
Share on FacebookShare on Twitter

SAHARA – El Bachir Mustapha Sayed semble en rupture de ban avec le chef du Polisario et le régime algérien, le protecteur du mouvement indépendantiste. Le site Bladi.net indique que dans un enregistrement sonore diffusé sur les réseaux sociaux, il condamne ouvertement la reprise des armes, lancée le 13 novembre 2020, par Brahim Ghali contre le Maroc avec le soutien de l’Algérie, à la suite du blocage du passage d’El Guerguerat avec une poignée de miliciens déguisés en civils. Le frère cadet de Mustapha El Ouali, fondateur du Polisario mort en juin 1976, estime que c’était « une erreur stratégique monumentale ». Une erreur « fatale » pour le Polisario, relève-t-il.

Lire aussi

Un tournant: Vladimir Poutine propose des négociations « directes » avec l’Ukraine à Istanbul le 15 mai

Un tournant à Kiev

Autre erreur monumentale relevée : la décision de rompre les accords de cessez-le-feu, signés sous l’égide de l’ONU en 1991. À en croire le « ministre conseiller à la présidence », le Polisario ne dispose plus de moyens humains de faire une guerre. Cela pourrait expliquer la nouvelle position du mouvement indépendantiste. Dans un communiqué, le secrétariat général a évoqué l’engagement du Polisario à « coopérer afin de mettre en œuvre la résolution du sommet de l’Union africaine pour faire taire les armes » sur le continent, organisé en Afrique du Sud.

MAROC FOOT – Depuis plusieurs semaines maintenant, le scénario semblait se dessiner de manière limpide. Alors que Vahid Halilhodzic a vu la contestation monter autour de lui jusqu’à être remercié de son poste de sélectionneur à quelques mois de la Coupe du monde, son successeur annoncé se nommait Walid Regragui, ancienne gloire des Lions de l’Atlas et justement libre après un très bon travail avec le Wydad Casablanca. Mais une grosse surprise se dessine ces dernières heures. En effet, le président de la Fédération Fouzi Lekjaa serait en réalité en discussions avec Walter Mazzarri, l’ancien entraîneur de Naples et de l’Inter Milan. Libre de tout contrat depuis son départ du club de Cagliari en fin de saison dernière, l’Italien de presque 61 ans (il les fêtera en octobre), constituerait l’une des priorités de la FRMF selon les éléments de la chaîne en langue arabe Al Araby relayés par le quotidien Il Mattino. 

MAURITANIE – Le mouvement Tawassoul et le groupe parlementaire d’Amitié Maroc-Mauritanie ont appelé Ahmed Raissouni à «présenter ses excuses». En Algérie plusieurs partis ont pointé des propos «irresponsables», incitant à la «Fitnah». Ils ont appelé les oulémas algériens membre de l’UIOM à prendre position.

Les propos, tenus récemment par le président de l’Union internationale des oulémas musulmans (UIOM), le Marocain Ahmed Raissouni, sur l’Algérie, Tindouf et la Mauritanie ont créé une vague de réactions. Dans une interview, il a qualifié l’existence de la république islamique de la Mauritanie d’«erreur». Il a également assuré que les «oulémas et les prédicateurs marocains sont prêts à marcher sur Tindouf en Algérie, à condition que le roi fasse appel à eux».

Ces déclarations, prononcées il y a plusieurs jours mais qui ont refait surface lundi, ont fait réagir plusieurs partis politiques en Algérie, mais également en Mauritanie, à commencer par le groupe parlementaire d’amitié Maroc-Mauritanie. Dans un communiqué, la présidente du groupe, Zeinab Bint El Taqi a dénoncé, lundi, des propos «qui vont trop loin dans l’insulte contre» son pays et «sortent du cadre du respect et de la consolidation des relations entre les deux pays, tant sur le plan populaire qu’officiel».

C’est en Algérie où les propos du président de l’UIOM ont provoqué les réactions les plus virulentes. Ainsi, le Front de libération nationale (FLN) a pointé des «déclarations dangereuses» et «irresponsables». Il a ajouté que ces propos ne peuvent émaner que d’un «haineux et ignorant qui nie les valeurs de l’islam, transgresse les aspirations de la nation et exploite sa position en appelant à la Fitnah, aux combats entre musulmans et à l’inimitié contre la souveraineté des pays et la dignité de leurs peuples».

Ne ratant pas l’occasion de citer Israël et la normalisation, le parti au pouvoir en Algérie a estimé qu’il «aurait été plus approprié pour Raissouni d’appeler à des rassemblements de masse dans diverses villes du Maroc contre la normalisation avec l’entité sioniste, qui occupe Jérusalem et profane Al-Aqsa» et contre «le régime du Makhzen qui a vendu la Palestine» et «lancer l’appel au djihad pour libérer Ceuta et Melilla occupés».

LIBYE – Le Conseil de sécurité de l’ONU a tenu hier une séance consacrée à la situation en Libye. La question de la difficile nomination d’un nouvel envoyé spécial en Libye a été largement évoquée. Ce poste est vacant depuis la démission, il y a huit mois, du Slovaque Jan Kubis.

L’Américaine Stéphanie Williams avait dirigé la Manul (Mission d’appui de l’ONU en Libye), jusqu’à fin juillet, mais seulement en tant que conseillère spéciale du secrétaire général de l’ONU. La communauté internationale, fortement divisée, n’arrive pas à s’entendre sur un nouvel émissaire. Cette-fois-ci, c’est la Libye qui a annoncé officiellement son opposition à la nomination du Sénégalais Abdoulaye Bathily.

Pour la première fois, Tripoli réclame que son avis soit pris en considération lors du choix du prochain émissaire. Son représentant à l’ONU Taher al Sonni a appelé à des discussions préalables « sérieuses et profondes » avec les Libyens avant de procéder au vote, afin d’éviter un échec de dernière minute. 

« Nous souhaitons que l’envoyé spécial soit africain, mais nous allons être plus sélectifs, nous cherchons, dit-il, une personnalité plus compétente et connaisseuse du dossier ». Tripoli a opposé un refus clair à la candidature du diplomate sénégalais Abdoulaye Bathily, proposé aux membres du Conseil par Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU. Le gouvernement d’union nationale dirigé par Abdelhamid Dbeibah soutient plutôt la candidature de l’Algérien Sabri Boukadoum, qui a été refusé par surprise par les Émirats arabes unis et aussi par Washington si l’en on croit Alger.

SYRIE – Depuis plusieurs semaines, le régime turc ne cessait d’agiter l’imminence d’une opération en Syrie, par laquelle il ambitionne de repousser les forces kurdes qui contrôlent les localités à la frontière turco-syrienne. Ce mardi, il a mis sa menace à exécution et a bombardé une position près de la frontière, dans une zone tenue par le régime de Bachar al-Assad. La frappe a fait au moins 17 morts, dont l’identité n’est pas encore connue.

«Dix-sept combattants ont été tués dans une frappe aérienne turque qui visait une position du régime syrien près de la frontière turque» dans le village de Jarqali, à l’ouest de la ville de Kobané, a ainsi rapporté l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) mardi. «On ne sait pas s’ils sont issus des forces du régime ou si ce sont des combattants kurdes qui contrôlent la zone», a précisé le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane.

Les Forces démocratiques syriennes (FDS) ont, elles, indiqué dans un communiqué que «des avions militaires turcs» avaient mené «12 frappes aériennes contre des positions de l’armée syrienne déployées sur la bande frontalière à l’ouest de Kobané», sans fournir plus de détails pour le moment. De son côté, l’agence de presse officielle syrienne Sana, citant une source militaire, a confirmé la mort d’au moins trois soldats syriens et de six blessés. «Toute attaque contre une position tenue par nos forces armées se heurtera à une réponse directe et immédiate sur tous les fronts», a ajouté Sana. De violents combats avaient éclaté dans la nuit de lundi à mardi entre les FDS, dirigées par les forces kurdes, et l’armée turque, qui a intensifié ses bombardements après qu’une de ses positions côté turc de la frontière a été attaquée, selon l’OSDH.

IRAK – D’après la chaîne américaine CNN, qui cite l’agence de presse irakienne INA, la police locale aurait retrouvé, samedi 13 août, un tableau supposément signé de la main de Pablo Picasso lors d’un raid antidrogue. D’après les premières informations, la toile avait été volée.

« Un tableau appartenant au peintre international Picasso a été saisi en leur possession, [il a été] estimé à [plusieurs] millions de dollars », a confirmé auprès de l’agence de presse INA le directeur de la communication du service antidrogue de la police irakienne. Selon les informations publiées par les autorités, au moins trois suspects ont été interpellés alors qu’ils étaient soupçonnés d’appartenir à un réseau de commerce et de transport de stupéfiants, dans le centre-est du pays.

Selon la police locale, cette détention, qui pourrait paraître étonnante, ne l’est pas tant que ça. « Le commerce de la drogue est lié à de nombreux crimes, notamment le meurtre, le vol, l’enlèvement, le viol, la formation de gangs, la corruption et la désintégration familiale, jusqu’à ce qu’il atteigne le commerce des antiquités. » Dans le cas présent, l’authentification est encore en cours. Ainsi, le parcours du tableau, ce qu’il représente et toute une série de détails à son sujet, n’ont pas encore été communiqués par la police à l’origine de cette saisie.

IRAK – Les principaux responsables politiques en Irak ont tenu une réunion ce mercredi 17 août à l’initiative du premier ministre Moustafa al-Kazimi pour tenter de sortir le pays de l’impasse, une rencontre boudée par l’incontournable leader chiite Moqtada Sadr.

Depuis fin juillet la tension est montée d’un cran entre les deux grands pôles du chiisme politique et les tentatives de médiation n’ont pas abouti. D’un côté, Moqtada Sadr veut dissoudre le Parlement et organiser des législatives anticipées. De l’autre, ses adversaires du Cadre de coordination composé d’influentes factions chiites majoritairement pro-Iran, exigent la formation d’un gouvernement avant de discuter d’élections anticipées. Selon un communiqué de ses services, Moustafa al-Kazimi, qui expédie les affaires courantes, a réuni au siège du gouvernement à Bagdad les barons de la politique irakienne. Le Cadre de coordination était représenté par Nouri al-Maliki et Haïdar al-Abadi, deux ex-premiers ministres, mais aussi par Hadi al-Ameri et Faleh al-Fayyad, hauts responsables du Hachd al-Chaabi, alliance d’anciens paramilitaires intégrés aux forces régulières.

Le chef de l’État Barham Saleh et le président du Parlement Mohamed al-Halboussi, allié de Moqtada Sadr et principal acteur politique de la communauté sunnite en Irak, étaient aussi présents à la réunion, selon leurs services. Dans un communiqué laconique, le Courant sadriste a, lui, annoncé qu’il ne participait pas «au dialogue national».

LIBAN – La justice libanaise a renoncé à poursuivre l’ épargnant excédé qui avait pris en otage le personnel et les clients d’une banque à Beyrouth la semaine dernière pour pouvoir retirer ses économies gelées.

La banque a abandonné les charges retenues contre Bassam al-Sheikh Hussein et un juge a donc ordonné sa libération, rapportait mardi l’agence officielle ANI. Mercredi 17 août, un responsable judiciaire a confirmé à l’AFP que Bassam al-Sheikh Hussein avait été libéré. Si la banque s’est retirée de l’affaire, l’État peut toutefois toujours engager des poursuites, a-t-il précisé.

Jeudi, Bassam al-Sheikh Hussein avait fait irruption dans une agence du centre-ville de la Federal Bank, réclamant, fusil à la main, ses plus de 200.000 euros d’économies bloqués depuis l’effondrement bancaire qui a créé l’une des pires crises économiques du monde depuis 1850 selon la Banque mondiale. Bassam al-Sheikh Hussein réclamait cet argent pour payer les frais d’hospitalisation de son père, selon l’ANI, et s’était rendu au bout de plusieurs heures après que la banque avait accepté de lui donner près de 30.000 euros, selon les médias locaux. Bassam al-Sheikh Hussein avait été acclamé par la foule après sa prise d’otage et salué comme un héros.

ISRAËL – Le ministère israélien des Finances « ne veut pas d’accords » avec le syndicat des enseignants qui a organisé des grèves nationales pour exiger une augmentation des salaires, a affirmé mardi la ministre de l’Éducation, Yifat Shasha-Biton à Channel 12.

A deux semaines du début de la nouvelle année scolaire, les négociations entre le Trésor et les enseignants sont au point mort, et le syndicat menace de ne pas commencer les cours en temps et en heure.

« (Le ministère des Finances) ne se soucie pas des enseignants, des parents ou des élèves. Pour eux, les négociations pourraient même traîner jusqu’en décembre », a-t-elle accusé, ajoutant que l’offre précédemment présentée n’était pas « réaliste ».

Selon elle, certains « responsables » du ministère des Finances « ne veulent pas d’accord » et s’opposent à l’augmentation des salaires des enseignants, que le Syndicat des enseignants réclame depuis janvier.

Le système éducatif manque d’enseignants – près de 6.000 – estime le ministère de l’Education citant les bas salaires et le mécontentement des conditions de travail comme principales raisons de cette pénurie.

Selon le rapport du ministère des Finances pour l’année scolaire 2020-2021, une augmentation significative du nombre de jeunes éducateurs quittant l’enseignement a été constatée. Leurs salaires mensuels s’affichaient à 6.900 shekels, soit un peu moins de 2.100 euros.

MAHMOUD ABBAS – Israël et l’Allemagne ont vivement dénoncé mercredi les propos du président palestinien Mahmoud Abbas qui a comparé en Allemagne la politique israélienne envers les Palestiniens au génocide juif par l’Allemagne nazie.

Le dirigeant de 87 ans, en Allemagne pour son suivi médical, s’est entretenu mardi à Berlin avec le chancelier Olaf Scholz à propos notamment du conflit israélo-palestinien et de la coopération bilatérale.

Interrogé à la fin d’une conférence de presse conjointe sur l’attentat des Jeux Olympiques de Munich de 1972, fatal à 11 Israéliens et perpétré par un commando palestinien, M. Abbas a comparé la situation dans les Territoires palestiniens occupés par Israël à la Shoah.

« De 1947 à aujourd’hui, Israël a commis 50 massacres dans 50 villes palestiniennes (…) 50 massacres, 50 holocaustes et encore aujourd’hui il y a chaque jour des morts causées par l’armée israélienne », a déclaré M. Abbas.

Depuis, il tente de clarifier ses propos.

« Nous voulons la paix, nous voulons la sécurité, nous voulons la stabilité (…) il faut développer une confiance entre nous », a-t-il ajouté à Berlin, en dénonçant aussi la politique « d’apartheid » d’Israël. Ses déclarations « n’avaient pas pour intention de nier la singularité de l’Holocauste » qui reste le « pire crime haineux de l’ère moderne », a indiqué son bureau.

« Le président n’a pas nié les massacres dont ont souffert les juifs sous l’Allemagne nazie mais il a dit au monde de ne pas perdre de vue les massacres infligés au peuple palestinien », a ajouté le Premier ministre palestinien Mohammed Shtayyeh.

Mardi, le chancelier Scholz avait déclaré que le mot « apartheid » n’était pas une « description correcte de la situation » dans les Territoires palestiniens sans toutefois réagir aux propos de M. Abbas sur la Shoah.

« Je suis dégoûté par les remarques scandaleuses du président palestinien Mahmoud Abbas », a tweeté ce mercredi matin le chef du gouvernement allemand, ajoutant: « Pour nous Allemands en particulier, toute relativisation de l’Holocauste est intolérable et inacceptable. » M. Scholz était lui-même critiqué, essentiellement par l’opposition conservatrice et certains médias, pour ne pas avoir réagi immédiatement aux déclarations de M. Abbas lors de cette conférence de presse qui s’est achevée directement après cette réponse.

« Abbas relativise l’Holocauste… et Scholz se tait », titrait ainsi le quotidien populaire Bild sur son site internet.

ISRAËL-TURQUIE – Israël a annoncé ce mercredi le rétablissement total des relations diplomatiques avec la Turquie et le retour des ambassadeurs dans les deux pays.

« Il a été décidé d’élever le niveau des liens entre les deux pays à des relations diplomatiques pleines et entières et de renvoyer les ambassadeurs et les consuls généraux dans les deux pays », a indiqué le Premier ministre israélien Yaïr Lapid dans un communiqué.

« Le rétablissement des relations avec la Turquie est un atout important pour la stabilité régionale et une nouvelle économique très importante pour les citoyens d’Israël », a-t-il ajouté.

A Ankara, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Cavusoglu, a précisé dans la foulée que la Turquie « n’abandonnerait pas la cause palestinienne ».

Les relations bilatérales entre Israël et Ankara s’étaient tendues en 2010 avec l’affaire du Mavi Marmara, lorsque des forces israéliennes avaient lancé un assaut meurtrier sur ce navire turc tentant d’acheminer de l’aide à la bande de Gaza, enclave palestinienne sous blocus israélien.

EGYPTE – Dimanche dernier, l’église Abu Seifein située à Gizeh en Égypte prenait feu, 41 personnes y ont perdu tragiquement la vie. Depuis, on a appris via les médias égyptiens et anglais dont The Sun que Mohamed Salah a fait un don de 130 000 livres sterling pour aider à reconstruire le lieu de culte. Une nouvelle qui lui a valu énormément d’éloges sur les réseaux sociaux.

Ce n’est pas la première fois que la star de Liverpool montre sa générosité dans ce genre de situation que ça soit pour son pays ou en Angleterre. Aperçu en train de payer le carburant de plusieurs fans de Liverpool pendant le pic de la pandémie de covid-19 en 2020, il a également fait un énorme don de 2,48 millions de livres sterling (plus de 2,85 millions d’euros) à l’Institut national égyptien du cancer après qu’une attaque terroriste ait tué 20 personnes en 2019. Tous ces gestes ont amené le Sunday Times à classer Salah comme la huitième personne la plus charitable du Royaume-Uni en juin dernier.

SOUDAN – Le bilan des pluies torrentielles et des inondations qui ont récemment frappé le Soudan est passé à 75 morts, a annoncé mardi soir le Conseil national de la Défense civile du pays.

Trente personnes ont également été blessées, tandis que 12.551 maisons ont été détruites et 20.751 autres endommagées pendant les pluies, a indiqué le conseil dans un communiqué.

Le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a publié dimanche un rapport indiquant qu’environ 38.000 personnes avaient été touchées par les intempéries et les inondations depuis le début de la saison des pluies au Soudan.

Le Soudan subit fréquemment des inondations causées par les fortes pluies entre juin et octobre.

KENYA – Le président élu du Kenya William Ruto a promis ce mercredi, deux jours après avoir été déclaré vainqueur de l’élection du 9 août, que son futur gouvernement s’empresserait de répondre « aux énormes attentes » des Kényans et rendrait des comptes.

« Nous allons d’ici peu prendre des mesures pour diriger un gouvernement transparent, démocratique, et qui  »rend des comptes« , s’est engagé William Ruto, élu au terme d’un des scrutins les plus serrés depuis l’indépendance en 1963.

Il s’exprimait à Nairobi à l’issue d’une réunion avec les membres de sa coalition, Kenya Kwanza.

Pour l’instant, seuls les comités parlementaires peuvent demander aux ministres de s’expliquer, via un processus que certains jugent opaque.

 »Les attentes des Kényans sont énormes et par conséquent nous n’avons pas le luxe de perdre du temps« , a-t-il poursuivi, deux jours après sa victoire annoncée à 50,49% des voix contre 48,85% pour Raila Odinga, figure de l’opposition soutenue par le président sortant, et qui a rejeté mardi ces résultats.

Selon M. Ruto, les Kényans ont envoyé  »un message très clair aux dirigeants: ils veulent que nous fassions avancer le pays« , touché par une flambée des prix des denrées alimentaires et de l’essence liée à la pandémie et amplifiée par la guerre en Ukraine.

William Ruto a par ailleurs promis de veiller à ce que les fonctionnaires servent  »tous les Kényans de manière égale« , indépendamment de leur  »tribu«  ou de leurs  »affiliations politiques« .

RDC – Le 42ème sommet de l’organisation sous-régionale s’ouvre, ce mercredi 17 août 2022, à Kinshasa.

Quinze chefs d’État et de gouvernement de la SADC (Communauté de développement des pays de l’Afrique Australe) prennent part à ce sommet. A l’issue des travaux, le Président de la RDC, Félix Tshisekedi, prendra la tête de cette organisation. D’ores et déjà, Kinshasa a fixé ses ambitions : celles de voir l’organisation sous-régionale prendre activement part dans la résolution du conflit qui mine la partie Est du pays.

La RDC compte plaider pour l’implication de la SADC dans la résolution du conflit dans sa partie orientale. «Pendant une année que nous allons prendre la présidence de la SADC, nous allons continuer à plaider pour l’accompagnement de la SADC pour que la RDC trouve la paix et la sécurité au niveau de tout son territoire, de toutes ses villes», a déclaré Didier Mazenga, ministre rd-congolais de l’Intégration régionale.

Les chefs d’Etat débattront des questions économiques et sécuritaires dans la sous-région. Ce 42ème sommet de la SADC a pour thème «Promouvoir l’industrialisation par le biais de l’agro-industrie, de la valorisation des minéraux et des chaînes de valeur régionales pour une croissance économique inclusive et résiliente». Les participants vont se pencher sur les progrès réalisés dans la mise en œuvre du programme d’intégration régionale de la SADC. 

ANGOLA – Malgré une capacité installée de 6 400 MW selon l’Agence des États-Unis pour le développement international (Usaid), le taux d’accès à l’électricité en Angola est de 43 %. Grâce à deux nouvelles centrales solaires photovoltaïques d’une puissance cumulée de 284 MWc dans la province de Benguela, au moins 1,8 million de personnes seront désormais raccordées au réseau électrique national. Le groupe portugais MCA, du nom de son fondateur Manuel Couto Alves a réalisé les installations.

La première centrale électrique est située à Biópio, dans la municipalité de Catumbela. Pour un coût de 300 millions de dollars, les travaux de construction   de cette l’installation qui affiche une capacité de 188 MWc, ont permis la pose des pieux métalliques qui supportent 509 040 panneaux solaires. La seconde centrale solaire photovoltaïque d’une valeur de 152 millions de dollars, entre en service avec 261 360 panneaux solaires pour la production de 96 MWc d’électricité à Baía Farta. La commune est située à 569 km de la capitale Luanda.

ZIMBABWE – La rougeole frappe toujours. Elle a tué au moins 157 enfants, avec plus de 2.000 infections signalées dans le pays, a déclaré le gouvernement mardi. Le ministère de la Santé a imputé ces cas à des rassemblements religieux.

Les infections se multiplient rapidement dans ce pays d’Afrique australe depuis l’apparition du premier, début août, les décès signalés ayant presque doublé en moins d’une semaine. « Au 15 août, les chiffres cumulés dans le pays s’élevaient à 2.056 cas et 157 décès », a précisé la ministre de l’Information Monica Mutsvangwa.

Pour lutter contre cette épidémie, le gouvernement va intensifier les vaccinations. Il compte en outre puiser dans le fonds national pour les catastrophes « pour faire face à l’urgence ». L’exécutif va également demander aux chefs traditionnels et religieux leur soutien pour inciter les populations à se faire vacciner.

MADAGASCAR – La rentrée des classes approche à Madagascar, et le prix des fournitures scolaires ne cessent d’augmenter. Une lourde charge pour les parents qui n’ont plus que trois semaines pour trouver l’argent nécessaire ou économiser pour acheter le matériel de leurs enfants, alors que l’inflation touche aussi l’alimentation et les transports. Si l’État a mis en place des systèmes d’aides, envoyer ses enfants à l’école demande de plus en plus de sacrifices pour de nombreux ménages.

Environ un quart des enfants en âge d’aller à l’école primaire ne sont pas scolarisés à Madagascar, selon une étude de l’Unesco publiée en avril 2021. 

AFRIQUE DU SUD – Plus de 150 vautours à dos blancs, une espèce menacée, ont été tués en Afrique du Sud et au Botswana ces derniers jours, a-t-on appris auprès d’associations de défense de la nature, aggravant encore leur risque d’extinction.

Les oiseaux sauvages sont régulièrement victimes des chasseurs qui les empoisonnent pour les empêcher de signaler leurs méfaits aux gardes forestiers et autres gardiens de la biodiversité.

L’empoisonnement des vautours n’est pas rare en Afrique australe, riche en faune sauvage. Les oiseaux sont la cible des braconniers car ils attirent, en se regroupant en vol au-dessus d’une carcasse, l’attention sur leurs activités illégales.

Plus d’une cinquantaine ont été retrouvés dans la région de Chobe au Botswana et une centaine dans l’immense parc Kruger en Afrique du Sud, selon le groupe Vulpro et les parcs nationaux sud-africains.

Dans les deux cas, les vautours, tout comme une hyène, sont morts après avoir dépiauté comme ils font les chairs d’un buffle ayant été empoisonné. « La saison de la reproduction, c’est maintenant, ce qui aggrave encore les choses », a expliqué le fondateur de Vulpro, Kerri Wolter, précisant qu’en ces premiers jours frémissants de printemps austral, les poussins ne survivront pas sans leurs parents.

AFRIQUE DU SUD – Une chasse à l’homme a été lancée ce mercredi en Afrique du Sud après l’enlèvement en début de matinée d’un petit garçon de six ans en chemin vers l’école, dans une banlieue du Cap, a annoncé la police.

« Six suspects ont pris la fuite avec la victime et n’ont pas encore été arrêtés », a déclaré la police locale dans un communiqué. Une enquête, considérée comme « sensible », a été ouverte.

Shanawaaz Asghar, six ans, a été enlevé devant la maison familiale située à Kensington, une banlieue du nord du Cap.

« Il se dirigeait avec son père, son frère et sa sœur, vers leur voiture dans la cour devant leur maison lorsqu’il a été enlevé », a expliqué une source policière à l’AFP.

Aucun motif n’a été dévoilé pour l’instant.

L’Afrique du Sud affiche un des taux de criminalité les plus élevés au monde. Le nombre d’enlèvements a plus que doublé au premier trimestre de cette année (3.306 cas) par rapport à l’année précédente, selon les statistiques de la police.

ARABIE SAOUDITE – Fin juillet, le prince héritier Mohammed ben Salmane était reçu à Paris. L’Elysée assurait alors que «la question des droits de l’homme» serait mise sur la table par Emmanuel Macron, qui a besoin de son partenaire saoudien dans un contexte de flambée des prix de l’énergie depuis la guerre en Ukraine. Moins de trois semaines plus tard, on mesure l’efficacité de la prise de parole du président français. Comme le rapporte The Guardian, le tribunal spécial antiterroriste saoudien vient de condamner à trente-quatre ans de prison Salma al-Shehab, 34 ans, une étudiante inscrite à l’université de Leeds (Royaume-Uni) et de retour dans son pays natal pour les vacances d’été, pour son usage de Twitter.

La jeune femme fait partie des musulmans chiites, une minorité persécutée dans le royaume. Elle est accusée d’avoir suivi et retweeté les messages postés par des dissidents et des militants saoudiens. Dans un premier temps, cette mère de deux enfants, prénommés Noah et Adam, avait été condamnée à trois ans de prison. Son «crime», selon les mots du régime ? S’être servie d’Internet pour «provoquer un trouble public et déstabiliser la sécurité civile et nationale». Mais c’était sans compter sur la décision de la cour d’appel prononcée lundi 15 août. Désormais, Salma al-Shehab écope d’une peine largement alourdie, accompagnée d’une interdiction de voyager à sa sortie de prison, de trente-quatre ans également. Le Guardian précise toutefois que la jeune femme pourrait encore être en mesure de demander un nouvel appel dans cette affaire. D’après le quotidien britannique, qui s’est entretenu avec certains de ses proches, l’étudiante «n’est pas une activiste de premier plan», ni au sein du royaume saoudien ni au Royaume-Uni. Son compte Twitter affichait près de 2 600 abonnés.

NIGERIA – Une cour d’appel du nord du Nigeria a rejeté mercredi 17 août l’appel interjeté par un chanteur de 24 ans condamné à mort par pendaison pour «blasphème» par un tribunal islamique en août 2020, dans un jugement rendu via l’application zoom. Trois juges de la cour d’appel de la ville de Kano ont rejeté l’appel de Yahaya Aminu Sharif, condamné deux ans plus tôt par un tribunal islamique à la peine capitale pour avoir insulté le Prophète musulman dans l’une de ses chansons. Après la diffusion début 2020 de cette chanson sur les réseaux sociaux, des milliers de personnes étaient descendues dans les rues de la ville de Kano pour réclamer son arrestation. 

Il demandait à la justice de l’État de Kano de rejeter la légalité de la charia au nom de la Constitution laïque du Nigeria et un nouveau procès devant un tribunal de droit commun. «La tentative des appelants de prouver l’illégalité de la charia est sans fondement (…) et l’affaire est rejetée», a déclaré sur Zoom le juge d’appel fédéral 

NIGER – Une marche prévue mercredi à Niamey contre la présence de soldats de la force Barkhane au Niger, a été interdite et ses organisateurs ont annoncé avoir décidé de lancer en lieu et place une pétition exigeant leur départ.

Le mouvement M62 qui rassemble des organisations de la société civile et se décrit comme « pacifique » et engagé pour « la dignité et la souveraineté du peuple nigérien », indique dans un communiqué que, « respectueux » de la loi, il « prend acte de l’interdiction » de sa marche.

Il annonce avoir dès lors décidé « de lancer une pétition en ligne contre la présence de Barkhane au Niger », dont le texte demande que le régime du président Mohamed Bazoum la « fasse partir de notre pays », ainsi que « toute autre force maléfique dont l’objectif est de déstabiliser et/ou piller les ressources de notre pays et du Sahel ».

Poussée hors du Mali, la force française Barkhane – dont le dernier soldat a quitté ce pays lundi – restera néanmoins présente au Sahel, tout particulièrement au Niger, l’un des principaux alliés de la France dans cette région.

En avril, les députés nigériens avaient largement voté en faveur d’un texte autorisant le déploiement de forces étrangères sur le territoire, notamment françaises, pour combattre les jihadistes.

BIRMANIE – La Haute-commissaire de l’ONU aux droits humains, Michelle Bachelet, a déclaré mercredi qu’il n’était toujours pas sûr pour les réfugiés rohingyas de retourner en Birmanie, près de cinq ans après une répression ayant provoqué leur exode massif au Bangladesh voisin.

« Malheureusement, la situation actuelle de l’autre côté de la frontière signifie que les conditions ne sont pas réunies pour les retours », a déclaré Mme Bachelet aux journalistes à Dacca.

Environ 750.000 Rohingyas ont fui les exactions de l’armée en Birmanie et cherché asile en 2017 au Bangladesh voisin, où se trouvaient déjà plus de 100.000 réfugiés, victimes de précédentes violences.

Les Rohingyas survivent, entassés dans des camps insalubres à l’abri de baraques faites de bâches, tôles et bambous et refusent de retourner en Birmanie, à majorité bouddhiste, tant qu’ils n’auront pas obtenu des droits de citoyenneté.

« Le rapatriement doit toujours être effectué de manière volontaire et digne, uniquement quand des conditions sûres et durables existent en Birmanie », a ajouté Mme Bachelet.

La Birmanie est dirigée par une junte militaire depuis l’éviction de son gouvernement civil l’année dernière.

COREE DU NORD – La Corée du Nord a tiré deux missiles de croisière mercredi, a déclaré le ministère sud-coréen de la Défense, mettant fin à un mois d’accalmie dans la série record d’essais d’armement de Pyongyang cette année.

« La Corée du Nord a tiré deux missiles de croisière en direction de la Mer Jaune depuis Onchon, dans la province de Pyongan du Sud », a déclaré à l’AFP un responsable du ministère.

« Les autorités militaires américaines et sud-coréennes analysent les détails tels que la distance de vol », a-t-il ajouté.

La Corée du Nord n’a pas testé de missile de croisière depuis janvier, a précisé l’agence de presse Yonhap. Ce type de missile n’est pas interdit par les sanctions actuelles des Nations unies.

La Corée du Nord a procédé depuis janvier à une série d’essais d’armement, dont certains en contravention avec les sanctions en vigueur, notamment le tir d’un missile balistique intercontinental pour la première fois depuis 2017.

Séoul et Washington estiment aussi que le régime de Kim Jong Un pourrait bientôt mener un septième essai nucléaire.

En début de semaine, les troupes militaires sud-coréennes et américaines ont lancé des exercices préliminaires avant le début de leur exercice annuel combiné Ulchi Freedom Shield (UFS). Ces exercices exaspèrent Pyongyang, qui les considère comme une répétition d’invasion.

ETATS-UNIS SECHERESSE – Certains Etats américains et le Mexique vont devoir réduire leur consommation d’eau pour éviter des conséquences « catastrophiques » pour le fleuve Colorado, alors que la région subit un épisode de sécheresse historique, a annoncé mardi le gouvernement fédéral.

Après plus de deux décennies de chutes de pluie plus faibles que d’habitude, le niveau de ce cours d’eau – essentiel pour l’Ouest américain – est alarmant. Les cycles de sécheresse sont aggravés par le changement climatique dû à l’activité humaine.

Malgré des années de mises en garde, les Etats qui dépendent du fleuve n’ont pas réussi à réduire suffisamment leurs besoins en eau, conduisant les autorités fédérales à imposer mardi des restrictions.

« Pour éviter un effondrement catastrophique du système du fleuve Colorado et un futur d’incertitude et de conflit, l’utilisation de l’eau dans le bassin doit être réduite », a déclaré Tanya Trujillo, une responsable de l’agence fédérale des ressources en eau.

L’Arizona recevra 21% d’eau en moins en 2023, le Nevada 8% de moins et le Mexique, où le Colorado finit sa course, 7% de moins.

La Californie, le plus grand utilisateur de l’eau du fleuve et le plus peuplé des Etats américains, ne sera pas affectée l’an prochain.

Des responsables des Etats situés en amont du fleuve ont dénoncé une décision jugée injuste.

CANADA – Le cardinal Marc Ouellet, qui occupe l’une des fonctions les plus importantes du gouvernement du Vatican, est accusé d’agressions sexuelles dans une action collective rendue publique mardi au Canada et visant plus de 80 membres du diocèse de Québec.

L’ecclésiastique, actuel préfet de la Congrégation pour les évêques, aurait procédé à des attouchements inappropriés à l’égard d’une stagiaire entre 2008 et 2010 lorsqu’il était archevêque de Québec selon un document issu de l’action collective autorisée par la Cour supérieure de cette province francophone en mai dernier.

Ces révélations interviennent trois semaines après une visite du pape François au Canada, au cours de laquelle il s’est excusé pour les abus perpétrés par des membres de l’Eglise dans des pensionnats pour autochtones.

Contacté par l’AFP, le diocèse de Québec a répondu prendre « acte des allégations à l’endroit du cardinal Marc Ouellet » et ne vouloir « faire strictement aucun commentaire à ce sujet ».

Ces accusations figurent parmi les témoignages de 101 personnes « ayant été agressées sexuellement » par des membres du clergé et des employés laïcs entre juin 1940 et aujourd’hui, soulignent les documents judiciaires.

Dans le cas de Marc Ouellet, la plaignante, désignée par la lettre « F. », affirme avoir été agressée plusieurs fois par le cardinal.

Elle raconte notamment que le cardinal Marc Ouellet l’aurait « embrassée » et aurait « glissé sa main » le long de son dos « jusqu’à ses fesses » en 2010.

En février, évoquant le « drame des abus sexuels commis par des clercs », le cardinal Ouellet avait fustigé, lors d’un important colloque au Vatican en présence du pape François, les « comportements criminels trop longtemps dissimulés pour protéger l’institution ».

MEXIQUE – Un journaliste indépendant mexicain, qui avait disparu le 9 août, a été retrouvé mort dans l’Etat de Sonora (nord-ouest), a annoncé mardi 16 août le parquet. Le corps de Juan Arjon Lopez, 62 ans, fondateur de la page Facebook d’informations « A qué le temes » (« De quoi tu as peur »), a été découvert dans la ville de San Luis Rio Colorado, près de la frontière avec les Etats-Unis, a déclaré à la presse la procureure de Sonora, Indira Contreras.

Selon le parquet, la cause de la mort est un traumatisme cranio-encéphalique dû à un coup avec un objet contondant. « Aucune piste d’investigation n’est écartée », a affirmé la procureure. Selon Reporters sans frontières (RSF), Juan Arjon Lopez alternait son métier de journaliste avec celui d’employé dans un restaurant local.

Depuis le début de l’année, 13 journalistes ont été assassinés au Mexique, l’un des pays les plus dangereux du monde pour cette profession, selon RSF. Cette organisation n’a toutefois pas, à ce stade, inclus Juan Arjon Lopez dans ce bilan.

GRANDE BRETAGNE – Liz Truss, qui aspire à succéder à Boris Johnson à la tête du parti conservateur et du gouvernement britannique, s’en prend à la culture du travail de ses compatriotes, qui devraient « bosser plus », dans une conversation ayant fuité mardi. « Il y a un problème fondamental dans le rapport au travail » au Royaume-Uni, affirme Liz Truss, ministre des Affaires étrangères du gouvernement sortant, dans cet enregistrement publié par le quotidien The Guardian sur son site internet.

« Si nous voulons devenir un pays plus riche et plus prospère, cela doit changer. Mais je ne pense pas que les gens soient prêts à le faire », ajoute-t-elle, dans cette conversation qui date selon le journal de l’époque où elle était numéro deux du Trésor, de 2017 à 2019.

Cet enregistrement a été dévoilé juste avant une réunion télévisée organisée par le Parti conservateur à Perth en Ecosse, lors de laquelle Liz Truss et son dernier rival en lice pour la tête de la formation, l’ancien ministre des Finances Rishi Sunak, doivent répondre à des questions de militants. En allusion notamment au vote du Brexit en 2016, Liz Truss remarque que « nous disons que c’est l’Europe qui provoque ces gros problèmes, que ce sont les immigrés ». « Mais ce qu’il faut faire, c’est bosser plus. Ce n’est pas un message populaire », l’entend-on encore dire. Pour elle, la productivité moindre des Britanniques résulte « en partie d’un état d’esprit et d’une attitude. C’est une question de culture du travail, en fait. En Chine, c’est très différent, je peux vous l’assurer ».

SUISSE – Les opposants à l’achat d’avions de combat américains F-35A par la Suisse ont déposé mardi, devant les autorités, une initiative en vue d’organiser un vote populaire sur le sujet. L’alliance de gauche Stop-F35 a déposé les signatures auprès de la Chancellerie fédérale à Berne qui va désormais vérifier qu’il y a bien 100.000 signatures valides, comme l’exige la loi, a constaté l’AFP. Le Conseil fédéral [le gouvernement suisse, ndlr] devra ensuite fixer la date du vote.

« Avec cette initiative, seule la question du type d’avion est en cause. Si la Suisse se décide pour un autre jet, l’initiative sera retirée », indique l’alliance, sur son site internet. Le gouvernement a décidé fin juin 2021 d’acquérir 36 F-35A, auprès du constructeur américain Lockheed Martin. En septembre 2020, les Suisses avaient approuvé de justesse, lors d’un vote populaire, une enveloppe de 6 milliards de francs (5,6 milliards d’euros) pour permettre aux forces aériennes de se doter d’une nouvelle flotte. Si le gouvernement suisse affirme que l’avion était de loin le meilleur, au prix le plus bas de tous les jets en lice pour le contrat (Rafale, F/A-18 et Eurofighter), les innombrables difficultés techniques et dépassements budgétaires du programme F-35 aux États-Unis ont incité deux commissions parlementaires à lancer une enquête sur le choix de l’appareil. Toutefois, le gouvernement a annoncé en mai qu’il voulait accélérer le processus d’achat, l’offre américaine expirant fin mars 2023, laissant penser que Berne n’entend pas attendre le résultat du vote populaire.

Tunisie Direct

Tunisie Direct

  • Qui sommes-nous ?
  • Advertise
  • Contact
  • S’identifier

© 2021 TUNISIE DIRECT.

Pas de résultat
Afficher tous les résultats
  • Home
  • NATIONAL
  • INTERNATIONAL
  • SANTÉ
  • ÉCONOMIE
  • CULTURE
  • SOCIÉTÉ
  • SPORT
  • FEMME
  • SCIENCES ET ENVIRONNEMENT
  • النسخة العربية
  • S'identifier

© 2021 TUNISIE DIRECT.

Bienvenue

Connectez-vous à votre compte ci-dessous

Mot de passe oublié?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre adresse e-mail pour réinitialiser votre mot de passe.

S'identifier

Add New Playlist

Tunisie Direct et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Vous pouvez consentir à l’utilisation de ces technologies en cliquant sur « accepter »