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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 3 ans
dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Dans le monde, ces dernières heures…
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ALGERIE – Les pompiers continuaient ce jeudi de lutter contre des feux de forêt dans le nord et l’extrême est du pays, au milieu de « scènes de désolation », au lendemain de violents incendies qui y ont fait au moins 38 morts et plus de 200 blessés.

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Le bilan s’est alourdi avec 30 morts parmi lesquels 11 enfants dans la zone d’El Tarf, dans l’extrême est du pays, près de la frontière avec la Tunisie, cinq à Souk Ahras, deux femmes à Sétif et une personne à Guelma, dans l’est, selon la protection civile et des médias locaux qui ont aussi fait état de plus de 200 blessés.

Sur la route vers El Kala, près d’El Tarf, une ville de 100.000 habitants, « une tornade de feu a tout emporté en quelques secondes, la plupart des morts ont été encerclés alors qu’ils visitaient un parc animalier », a décrit à l’AFP un journaliste local.

Une équipe de l’AFP sur place a confirmé « d’importants dégâts dans le parc animalier, la mort d’une personne qui aidait les gens à fuir » et de « 12 autres prises au piège dans un autocar » qui tentaient de repartir.

Le Premier ministre, Aymen Benabderrahmane, est arrivé jeudi matin à El Tarf, selon la télévision.

Les autorités redoutent « de nouveaux départs de feu à cause des vents violents », selon l’équipe AFP qui a constaté la fermeture de nombreuses routes.

Au total, 39 incendies ont ravagé 14 wilayas (départements) ces derniers jours, et un certain nombre étaient encore en cours jeudi. L’armée et la protection civile tentent d’en venir à bout avec des hélicoptères bombardiers d’eau.

MAROC – Vingt-trois personnes ont été tuées et 36 blessées dans un accident d’autocar mercredi 17 août au sud-est de Casablanca, selon un bilan des autorités régionales de la Santé. Il s’agit d’un des drames de la circulation les plus meurtriers du pays ces dernières années. Les autorités locales n’ont pas fait état de touristes étrangers parmi les victimes.

Le véhicule s’est renversé dans un virage sur une route nationale dans la province de Khouribga, à 125 kilomètres au sud de Casablanca. L’autocar assurait la liaison entre la mégapole de Casablanca et la région rurale d’Aït Aatab, près de la ville de Béni Mellal, au pied du Haut Atlas. Une enquête a été ouverte, tandis que les blessés ont été évacués vers l’hôpital provincial de Khouribga.

Au Maroc, les accidents de la circulation font en moyenne près de 3 500 décès et 12 000 blessés graves chaque année, soit une moyenne de 10 morts et 33 blessés graves par jour, selon des statistiques de l’Agence nationale de la Sécurité routière (NARSA).

MAROC – Une touriste française est morte mardi de ses blessures après avoir été mordue par des chiens errants dans une station balnéaire du Sahara occidental, dans le sud du Maroc, ont indiqué mercredi 17 août les autorités locales.

La victime, âgée de 44 ans et dont l’identité n’a pas été divulguée, a été attaquée par une meute de chiens errants alors qu’elle s’était éloignée à pied de son hôtel dans la commune d’El Argoub, ont précisé les mêmes sources. Selon les premiers éléments, la ressortissante française était arrivée mardi à El Argoub, une station balnéaire connue pour la pratique du kitesurf, au bord de l’Atlantique, située à 70 km de Dakhla, chef-lieu de la province d’Oued Eddahab, une région du Sahara occidental sous contrôle marocain.

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie, sous la supervision du parquet, pour élucider les circonstances de cet incident, ont ajouté les autorités locales.

La prolifération des chiens errants est un véritable fléau au Maghreb. L’État marocain a signé une convention en 2019 avec des partenaires « pour stériliser, vacciner et identifier les chiens errants ».

MAURITANIE – Alors que ses propos sur Tindouf et la Mauritanie ont suscité une vague de commentaires et de réactions, Ahmed Raissouni a rompu le silence. Sur son site internet, le président de l’Union internationale des oulémas musulmans (UIOM) a expliqué que son discours était spontané. «Il était parfois bref et incomplet, ce qui a ouvert la porte à des soupçons, des explications et des interprétations auxquelles je n’avais pas pensé, intentionnellement ou non», a-t-il ajouté.

Pour justifier ses propos, Ahmed Raissouni a déclaré que «tous les pays de la région du Maghreb souffrent des répercussions du problème du Sahara marocain». Il a ajouté avoir appelé «à permettre aux érudits et prédicateurs marocains, et à tous les Marocains, de traverser vers la ville de Tindouf et ses camps, pour communiquer et dialoguer avec leurs frères sahraouis marocains qui y sont détenus, autour de l’unité et la fraternité qui les unissent et sur l’absurdité du projet séparatiste, pour lequel se bat le Front Polisario, soutenu et dirigé par l’armée algérienne»

Le président de l’UIOM a souligné qu’il croit, «comme tous les enfants de la région, que les cinq pays du Maghreb ont un besoin urgent de surmonter ce problème, qui entrave les efforts d’unité et de développement, et menace la paix et la stabilité dans la région».

IRAK – Les principaux responsables politiques en Irak se sont engagés mercredi à œuvrer à « une feuille de route » pour tenter de sortir le pays de l’impasse, lors d’une réunion boudée par l’incontournable leader chiite Moqtada Sadr.

Dans un communiqué publié à l’issue de cette réunion convoquée à l’initiative du Premier ministre, ils ont d’ailleurs invité le Courant sadriste à « s’engager dans le dialogue national », qu’ils se sont accordés à « poursuivre », afin d’élaborer « une feuille de route constitutionnelle pour remédier à la crise actuelle », sans donner de plus amples détails.

Les participants ont également évoqué l’idée de législatives anticipées, jugeant qu’elles « ne constituaient pas un évènement exceptionnel dans l’histoire des expériences démocratiques, quand les crises politiques conduisent à des impasses », sans toutefois les appeler explicitement de leurs vœux.

Dix mois après les dernières législatives d’octobre 2021, l’Irak attend toujours la désignation d’un nouveau chef de gouvernement et d’un nouveau président.

Depuis fin juillet la tension est montée d’un cran entre les deux grands pôles du chiisme politique et les tentatives de médiation n’ont pas abouti.

D’un côté, Moqtada Sadr veut dissoudre le Parlement et organiser des législatives anticipées. De l’autre, ses adversaires du Cadre de coordination composé d’influentes factions chiites majoritairement pro-Iran, exigent la formation d’un gouvernement avant de discuter d’élections anticipées.

SYRIE – Le gouvernement syrien a démenti mercredi détenir le journaliste américain Austin Tice enlevé près de Damas il y a dix ans, après de nouvelles accusations des Etats-Unis selon lesquelles le reporter est aux mains du régime de Bachar al-Assad.

Le journaliste indépendant, qui travaillait notamment pour McClatchy News, le Washington Post et l’Agence France-Presse (AFP) et couvrait la guerre en Syrie, a été enlevé en août 2012 à Daraya, une banlieue de Damas, où l’armée avait mené une opération de ratissage.

Alors âgé de 31 ans, il est apparu dans une vidéo en septembre 2012, les yeux bandés. Mais l’identité de ses ravisseurs reste inconnue à ce jour et peu d’informations ont été rendues publiques depuis son enlèvement.

Le 10 août dernier, M. Biden a affirmé que les Etats-Unis avaient la « certitude » que le journaliste était « détenu par le régime syrien ». « Nous avons demandé à plusieurs reprises au gouvernement de Syrie de travailler avec nous pour que nous ramenions Austin à la maison », a-t-il ajouté.

Dans un communiqué, le ministère syrien des Affaires étrangères a rejeté les « déclarations trompeuses, absurdes et fausses » de M. Biden accusant « le gouvernement syrien d’enlèvement ou d’arrestation de citoyens américains, dont Austin Tice ».

Ce jeudi,  le porte-parole de la diplomatie américaine Ned Price, a réaffirmé que « «Nous pensons encore qu’à ce jour la Syrie a toujours en son pouvoir de libérer Austin Tice».

SYRIE-LIBAN – La Syrie n’est pas encore sécuritaire pour que des millions de réfugiés commencent à rentrer chez eux, a averti un ministre canadien lors d’une visite au Liban mercredi. Le ministre canadien du Développement international, Harjit Sajjan, a tenu ces propos quelques jours après que les autorités libanaises ont annoncé un plan pour commencer à renvoyer 15 000 réfugiés syriens chaque mois dans leur pays déchiré par la guerre.

Les remarques de M. Sajjan ont suivi sa tournée dans la région qui l’a également conduit en Jordanie, où il a rendu visite à des réfugiés syriens vivant dans des camps de tentes.

Plus de cinq millions de Syriens ont fui leur pays lorsque le conflit a éclaté il y a 11 ans, la plupart d’entre eux vivant désormais dans les pays voisins, la Turquie, le Liban et la Jordanie. Le Liban, qui a accueilli un million de Syriens, est aux prises avec un effondrement économique et une crise financière sans précédent – et a hâte de voir les réfugiés retourner en Syrie.

Lundi, le ministre syrien de l’Administration locale, Hussein Makhlouf, a déclaré que les réfugiés syriens au Liban pouvaient commencer à rentrer chez eux, s’engageant à obtenir toute l’aide dont ils ont besoin de la part des autorités.

Cependant, l’agence des Nations unies pour les réfugiés et les groupes de défense des droits s’opposent au rapatriement involontaire vers la Syrie, affirmant que cette pratique risque de mettre en danger les réfugiés de retour. Des groupes de défense des droits de l’homme ont déclaré que certains réfugiés syriens qui sont rentrés chez eux ont été détenus.

LIBAN – Les autorités libanaises sont revenues mercredi 17 août sur la décision prise en avril 2022 de démolir entièrement les silos du port de Beyrouth, gravement endommagés lors de l’explosion du 4 août 2020. Cette mesure avait provoqué l’indignation d’une partie de l’opinion publique et des familles des victimes de cette catastrophe, qui avait fait 220 morts et 6 500 blessés. Un accord conclu ce mercredi par le Premier ministre Najib Mikati et deux députés proches des familles des victimes et de la contestation porte sur la démolition de la partie nord des silos, qui menace de s’effondrer en raison d’un incendie qui sévit depuis début juillet. La démolition de la partie nord, dont l’inclinaison par rapport au reste de la structure est bien visible, permettra de dégager les décombres et d’éteindre l’incendie de centaines de tonnes de céréales pourries, dû à la chaleur et à la fermentation.

La partie sud des silos pourra ensuite être consolidée pour devenir un « témoin silencieux » du drame du 4 août 2020, comme le souhaitent les proches des victimes.

LIBAN – La tendance à la baisse de la valeur de la livre devra se maintenir dans les semaines à venir avec la levée graduelle des subventions de la BDL à l’essence, explique une économiste à Ici Beyrouth. Cette mesure en particulier devra plonger le marché dans une spirale d’hyperinflation. L’orientation des importateurs d’essence vers le marché parallèle augmentera continuellement le taux de change, ce qui, à son tour, augmentera le coût de l’essence lorsqu’il est tarifé en livres sur le marché, et ainsi de suite. Depuis mardi les importateurs de pétrole sont en train d’assurer 30% de leur financement en dollars sur le marché parallèle, contre 30% à partir de la plateforme de la BDL, Sayrafa, cette proportion étant précédemment de 15%/85%. Déjà, le Liban a enregistré la plus forte augmentation des prix de l’alimentaire dans le monde sur le premier semestre de 2022 avec un taux d’inflation de 322%, se classant devant le Zimbabwe (255%), le Venezuela (155%) et la Turquie (94%), selon le Fonds monétaire international. Quant aux pays importateurs de pétrole, l’inflation des prix des produits à la consommation a tourné autour d’une moyenne de 7,7% en avril 2022 par rapport à la même période un an auparavant. Mais pour le pays du cèdre, ce taux a été de 200% en raison de la combinaison de plusieurs facteurs dont la dévaluation de sa monnaie nationale, la crise économico-financière et l’échec de sa classe politique à mettre en œuvre un plan de sauvetage.

ISRAËL – Pour la première fois dans l’histoire du Mossad, les services secrets israéliens, deux femmes ont été nommées à des postes clés: l’une comme cheffe de la question iranienne, l’autre comme cheffe de la direction du renseignement. 

A. a « grandi » dans les rangs du Mossad et travaille au cœur du renseignement depuis environ 20 ans. Chargée de la formation de l’image et du renseignement stratégique sur le nucléaire iranien, le terrorisme mondial et la normalisation avec le monde arabe, elle est aussi responsable du renseignement pour toutes les opérations du Mossad et gère plusieurs centaines d’employés dans les domaines de la collecte, de l’analyse et de la recherche d’informations.

K. est responsable de la stratégie du Mossad face à la menace iranienne. Elle est chargée de diriger la campagne d’opérations de technologie et de renseignement au Mossad, en collaboration avec Tsahal et toutes les branches de la sécurité israélienne. Elle occupe ainsi l’un des postes les plus élevés et les plus influents de l’institution.

A. et K travailleront ensemble dans le service dédié à l’Iran, le principal service du Mossad.

« A partir du moment où les employés franchissent nos portes, il n’existe aucune différence de traitement entre les femmes et les hommes. De nombreuses femmes ont des postes importants et elles s’intègrent dans le noyau de travail opérationnel et de renseignement avec talent, professionnalisme et débrouillardise », a déclaré le chef du Mossad, David Barnea.

CISJORDANIE – Les forces de sécurité israéliennes ont perquisitionné, ce jeudi, les bureaux de plusieurs ONG que Jérusalem qualifie d' »organisations terroristes » à Ramallah, en Cisjordanie.

Selon la déclaration de l’organisation Al-Haq, un groupe palestinien indépendant de défense des droits de l’homme basé à Ramallah, les forces israéliennes ont fait irruption dans leurs bureaux tôt le matin et « ont confisqué des objets et fermé l’entrée principale avec des chaînes en fer, laissant derrière elles un ordre militaire déclarant l’organisation illégale. »   Al-Haq a également déclaré que les bureaux d’autres ONG palestiniennes, telles qu’Addameer, Bisan Center for Research and Development, et l’Union des comités de femmes palestiniennes ont été perquisitionnés. 

L’armée israélienne a ensuite publié une déclaration officielle indiquant qu' »elle a mené des activités antiterroristes en Cisjordanie pendant la nuit ».

« Les soldats de Tsahal et les forces de la police des frontières israéliennes ont opéré cette nuit pour fermer des institutions utilisées par l’organisation terroriste du Front populaire de libération de la Palestine. Les soldats ont ainsi fermé sept institutions et confisqué des biens appartenant à l’organisation terroriste », indique le communiqué. 

Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a condamné la fermeture des ONG la qualifiant d' »agression flagrante »: « Nous nous tenons aux côtés de ces institutions nationales, dont le devoir est d’exposer au monde les crimes de l’occupation », a déclaré M. Abbas.

Il a demandé à la communauté internationale d’intervenir et de mettre fin à « ces actes d’agression qui auront de graves conséquences. »

ETHIOPIE – L’OMS a lancé mercredi 17 août un cri d’alarme concernant la situation humanitaire au Tigré, « la pire catastrophe dans le monde », reprochant aux dirigeants des pays développés d’avoir négligé la crise dans cette région d’Ethiopie théâtre d’un conflit meurtrier entre gouvernement et rebelles.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a dénoncé une « cruauté inimaginable » infligée aux six millions de personnes vivant dans cette région du nord de l’Ethiopie dont les autorités sont en conflit avec le gouvernement fédéral.

Le conflit a débuté en novembre 2020 quand le premier ministre éthiopien Abiy Ahmed a lancé une opération militaire dans la région pour renverser les autorités rebelles du Tigré issues du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF), les accusant d’avoir attaqué des camps de l’armée fédérale.

Depuis le début du conflit, la région a subi des pénuries de produits alimentaires et l’accès à des services essentiels comme l’électricité, les télécommunications et les banques a été drastiquement réduit.

« Résultat : la population du Tigré est confrontée à de multiples épidémies de malaria, anthrax, choléra, diarrhées et autres » maladies, a déploré M. Tedros, lui-même originaire du Tigré, lors d’une conférence de presse à Genève.

Cette situation d’une « cruauté inimaginable doit prendre fin. La seule solution est la paix », a souligné le chef de l’OMS, appelant le gouvernement éthiopien à résoudre le conflit « d’une manière pacifique ». Selon M. Tedros, les produits alimentaires et les médicaments n’arrivent dans la région qu’au compte-goutte.

Le gouvernement éthiopien accuse les Tigréens de biaiser pour camoufler leur refus de négocier la paix.

RDC – Les dépenses de la Présidence de la République démocratique du Congo continuent la montée en flèche. Selon le rapport d’exécution de la loi de finances 2022 à fin juillet, publié par le ministère du budget, il s’observe que l’institution a dépensé 463 milliards FC (231,1 millions Usd), contre les prévisions linéaires de 333 milliards FC (166,1 millions Usd), soit 139,0%.

Comparé aux prévisions annuelles de 284,8 millions Usd, il se dégage un taux d’exécution globale de 81,1% en sept mois d’exercice budgétaire. De ce fait, ce budget pourrait s’épuiser en Août au regard des statistiques du Ministère du Budget. Car, il ne reste que 53,7 millions Usd à utiliser d’ici décembre 2022.

La même source souligne que certaines dépenses effectuées sont largement au-delà des prévisions. Il s’agit entre autres du fonctionnement 282 milliards Fc (141,0 millions Usd) sur 153 milliard FC (76,4 millions Usd), soit 184,5%. Les rémunérations par contre sont à hauteur de 127 milliards FC (63,6 millions Usd) sur les prévisions de 142 milliards FC (70,9 millions Usd, soit 89,7%.

Par ailleurs, le plan d’engagement de la Présidence prévoit le volume des dépenses de la période à hauteur de 1 016,40 milliards Fc (507,1 millions Usd), alors que son budget annuel est de 570 milliards Fc (284,8 millions Usd), soit une plus-value de 445 milliards FC (222,2 millions Usd) . Pourtant la loi relative aux finances publiques interdit aux gestionnaires d’engager des crédits au-delà des prévisions votées par le parlement.

RDC-RWANDA – Félix Tshisekedi a pris, mercredi 17 août, la tête de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC). Le président congolais a succédé à Lazarus McCarthy Chakwera, le président du Malawi, au cours du 42e sommet ordinaire des chefs d’États et de gouvernement de la SADC, à Kinshasa. Au cours de l’événement, les dissensions entre la RDC et le Rwanda sont à nouveau apparues. Kinshasa accuse toujours Kigali de soutenir le M23.

Devant la dizaine de chefs d’États qui avaient fait le déplacement à Kinshasa mercredi 17 août, Félix Tshisekedi, le nouveau président de la SADC, a eu des mots durs à l’égard du Rwanda : « Permettez-moi de remercier notre communauté, la SADC, pour sa solidarité avec le peuple congolais au moment où notre pays est victime d’une agression lâche et barbare de la part de son voisin le Rwanda. »

Alors que les contours de la force régionale promise par la Communauté des États de l’Afrique de l’Est ne sont pas encore clairement définis, le président congolais a rendu hommage aux militaires des pays membres de la SADC, qui font partie de la « brigade d’intervention » de la Monusco, déployés dans l’Est congolais. Devant la dizaine de chefs d’États qui avaient fait le déplacement à Kinshasa mercredi 17 août, Félix Tshisekedi, le nouveau président de la SADC, a eu des mots durs à l’égard du Rwanda : « Permettez-moi de remercier notre communauté, la SADC, pour sa solidarité avec le peuple congolais au moment où notre pays est victime d’une agression lâche et barbare de la part de son voisin le Rwanda. »

Alors que les contours de la force régionale promise par la Communauté des États de l’Afrique de l’Est ne sont pas encore clairement définis, le président congolais a rendu hommage aux militaires des pays membres de la SADC, qui font partie de la « brigade d’intervention » de la Monusco, déployés dans l’Est congolais, soit l’Afrique du Sud, la Tanzanie et le Malawi.

TANZANIE – Un service internet haut débit a été installé sur les pentes du Kilimandjaro par le gouvernement de Tanzanie. L’objectif: permettre à toute personne équipée d’un smartphone d’utiliser les réseaux sociaux pour partager son ascension du point culminant du continent africain.

Ce mardi, le réseau a été installé à 3720 mètres d’altitude, rapporte The Guardian. Lors de l’inauguration de l’événement qu’il a qualifié « d’historique », le ministre de l’Information tanzanien, Nape Nnauye, a annoncé que le sommet de la montagne, à 5895 mètres, serait connecté à Internet d’ici la fin de l’année.

« Auparavant, c’était un peu dangereux pour les visiteurs et les porteurs qui devaient faire sans Internet », a-t-il lancé.

L’an dernier, le gouvernement tanzanien avait annoncé qu’il prévoyait de construire un téléphérique sur le versant sud du Kilimandjaro. Une déclaration qui avait provoqué un tollé parmi les alpinistes et les écologistes.

Chaque année, ce sont environ 35.000 personnes qui tentent l’ascension du plus haut sommet d’Afrique. Une attraction touristique qui représente une source importante de revenus pour la Tanzanie et pour le Kenya voisin.

Sur le mont Everest, le plus haut du monde, les alpinistes bénéficient déjà d’un accès à Internet, à la fois pour pouvoir contacter les secours et pour partager leur aventure sur les réseaux sociaux.

BOTSWANA – Cheetah Cement Botswana, une entreprise de construction à capitaux chinois basée dans la périphérie de Francistown, la deuxième plus grande ville du Botswana, s’est engagée à déployer des efforts cruciaux pour aider le pays à réduire ses importations de ciment à zéro.

Le Botswana a besoin de 620.000 tonnes de ciment par an. Ce pays d’Afrique australe dépendait cependant en grande partie du ciment importé avant la création de la société chinoise, a indiqué mardi aux journalistes Hui Ming, directeur général de la société.

« Nous prévoyons de faire passer notre production annuelle à 900.000 tonnes de ciment à partir de juin prochain », a déclaré M. Hui lors d’une visite médiatique de l’usine organisée par le Centre des investissements et du commerce du Botswana (BITC), l’autorité botswanaise de promotion des investissements et du commerce.

Avec un investissement de 40 millions de dollars américains, l’entreprise Cheetah Cement Botswana a commencé sa production en février de cette année. Sa production actuelle est de 3.000 tonnes de ciment par mois, selon M. Hui.

M. Hui a déclaré que l’entreprise espérait à terme produire plus que ce dont le Botswana a besoin afin de pouvoir exporter du ciment vers d’autres marchés, comme par exemple le Zimbabwe, le voisin nord-est du Botswana.

ILE MAURICE -L’ archéologue Krish Seetah, spécialiste des recherches sur « l’engagisme » à l’île Maurice partage ses découvertes après 14 ans de fouilles aux abords des usines sucrières, dans les cimetières et les temples situés à proximités. 

A la fin de l’esclavage et même un peu avant, les « engagés » hindous espéraient trouver de meilleures conditions de vie. En embarquant, ils ne savaient pas que ce voyage serait un aller simple vers l’enfer. Le voyage à fond de cale n’était pas gratuit. Ils devaient le rembourser en travaillant au moins pendant cinq ans sur une propriété.

Les squelettes d’esclaves et d’engagés étudiés par l’archéologue révèlent une souffrance physique, une malnutrition et parfois des suicides. La dentition, les ossements, les fractures peu ou pas consolidées…
L’alcool, le zamal étaient les seules distractions. Ces conditions de survie étaient si difficiles qu’ils étaient nombreux à renoncer. Un rapport de 1870 montre : « En Angleterre, pour chaque million d’habitants, il y avait 70 suicides. À Maurice, parmi la population générale, il y avait 67 suicides par million d’habitants. Alors que parmi les travailleurs engagés, le chiffre était de quatre fois plus, soit de 280 par million.

« L’engagisme » a pris fin officiellement en 1933 à Maurice et à La Réunion. Il y aurait eu au moins deux millions d’engagés.

AFRIQUE DU SUD – le coût de la violence sexiste s’élevait à 36 milliards de rands en 2019, soit 2,16 milliards d’euros. C’est ce qu’indique le récent rapport The Costly Impact of Gender based violence’ (L’impact dispendieux de la violence basée sur le genre) du Shared Value Initiative – plateforme qui promeut des solutions commerciales comme réponses aux défis sociaux.

Soins médicaux et frais judiciaires sont les principales charges additionnées pour établir cette facture onéreuse. À cela s’ajoutent “les dommages ou les pertes causés aux personnes ou aux sociétés, y compris les coûts sociaux et les dommages psychologiques”, que le rapport qualifie de “perte de capital humain”, note le média Daily Maverick.

Malgré son ampleur, le bilan de 36 milliards de rands serait tout de même une estimation “prudente” signale le journal sud-africain Mail & Guardian. En effet, “les frais médicaux à la charge des victimes de violence sexiste s’élevaient à près de 10 milliards de rands [600 000 millions d’euros], la perte de capital humain s’établit à 26 milliards de rands [1,5 milliard d’euros] et les frais judiciaires étaient de 104 millions de rands [6 millions d’euros]”.

En outre, le rapport déplore les retombés de la violence sexiste sur l’état de santé des individus. C’est tout le bien-être physique, psychologique et social des victimes qui en est altéré.

Selon un rapport du Forum économique mondial sur la question publié en 2022 et cité par le quotidien Mail & Guardian, 132 ans séparent la gent féminine d’une égalité parfaite avec leurs homologues masculins.

RUSSIE – Un léger brouillard et une odeur de brûlé ont recouvert ce jeudi des quartiers de Moscou, conséquence d’importants feux de forêt dans une région voisine de la capitale russe, en pleine vague de chaleur.

Selon l’Agence fédérale des forêts (Rosleskhoz), 850 personnes et 300 engins, notamment trois avions et des hélicoptères, ont été déployés pour éteindre ces incendies dans la région de Riazan, à environ 250 kilomètres au sud-est de Moscou.

D’après l’ONG Greenpeace, s’appuyant sur des images satellite, ces feux ont touché ces derniers jours une zone de plus de 3.300 hectares. Sur Telegram, le gouverneur par intérim de la région, Pavel Malkov, a, quant à lui, déclaré mercredi soir qu’au moins 800 hectares avaient été traversés par les flammes.

Jeudi matin, il a affirmé que trois incendies étaient toujours en cours sur une surface de 181 hectares, notamment dans la réserve naturelle d’Oka et le parc national Mechtchiorski, de vastes zones marécageuses.

Dans un communiqué, l’agence Rosleskhoz a accusé les autorités forestières locales d’avoir « caché l’étendue réelle » des incendies, ce qui « a empêché de mobiliser à temps des forces fédérales ».

ALLEMAGNE – Le gouvernement allemand a décidé d’abaisser temporairement la TVA sur le gaz, de 19% à 7%, pour aider les consommateurs face à la flambée des prix déclenchée par la guerre en Ukraine, a annoncé ce jeudi le chancelier Olaf Scholz.

Le taux réduit restera en vigueur au moins jusqu’à fin mars 2024 et « nous nous attendons à ce que les entreprises répercutent à 100% cette baisse sur les clients », a ajouté M. Scholz.

La hausse des prix « est un poids important pour beaucoup de personnes », a admis le chef du gouvernement lors d’une brève déclaration à la presse.

Alors que les prix progressent déjà rapidement, les factures vont encore sensiblement augmenter à partir du 1er octobre, quand les distributeurs de gaz pourront — grâce à une nouvelle loi — répercuter la hausse des prix d’achat sur les clients.

Les entreprises pourront demander un prélèvement exceptionnel supplémentaire de 2,4 centimes par kilowattheure (KWh) de gaz aux particuliers et entreprises. TVA incluse, cela représente quelque 5 à 600 euros de plus par an pour un foyer moyen avec deux enfants et une consommation de 20.000 KWh.

Le gouvernement de coalition cherchait à exempter entièrement ce prélèvement de la TVA, une mesure refusée par la Commission européenne. Berlin a donc décidé d’abaisser la taxe sur l’ensemble de la consommation, ce qui « décharge les consommateurs davantage » que ce que coûte le prélèvement exceptionnel, a assuré M. Scholz.

TCHAD – Un important chef rebelle tchadien, en exil depuis des années après avoir tenté de renverser l’ancien président Idriss Déby Itno, est rentré ce jeudi à N’Djamena, à deux jours d’un dialogue national entre l’opposition civile et armée et la junte au pouvoir, a constaté un journaliste de l’AFP.

Timan Erdimi, le chef de l’Union des forces de la résistance (UFR), dont les colonnes qui fondaient sur la capitale en 2019 ont été stoppées grâce aux bombardements d’avions de l’armée française, a atterri à l’aéroport de N’Djamena où l’attendait une cinquantaine de proches à 08H10 (07H10 GMT).

M. Erdimi doit participer, à partir de samedi, à un grand dialogue national inclusif, qui doit déboucher sur des élections « libres et démocratiques » et le transfert des pouvoirs aux civils.

Le chef de l’UFR, qui vivait en exil depuis une dizaine d’années au Qatar, est membre de l’ethnie zaghawa comme son oncle Idriss Déby, qui a dirigé le Tchad d’une main de fer pendant 30 ans avant d’être tué en se rendant au front contre des rebelles en avril 2021.

En 2019, après son offensive ratée, la justice tchadienne avait condamné Timan Erdimi par contumace à une peine d’emprisonnement à perpétuité.

Le 8 août, l’UFR de Timan Erdimi, au côté d’une quarantaine d’autres groupes rebelles, a signé un accord au Qatar avec la junte au pouvoir, prévoyant notamment un « cessez le feu ». Les groupes signataires sont invités à participer à un dialogue national inclusif, qui doit s’ouvrir le 20 août, pour une durée de trois semaines, à N’Djamena. Ce dialogue doit aboutir à des élections « libres et démocratiques » et le transfert du pouvoir aux civils.

NOUVELLE ZELANDE – Les restes de deux enfants, en âge d’être à l’école primaire, ont été découverts dans des valises achetées aux enchères dans un entrepôt d’Auckland, a confirmé ce jeudi la police néo-zélandaise.

Selon l’inspecteur Tofilau Faamanuia Vaaelua, les corps étaient probablement conservés depuis plusieurs années et les victimes auraient entre cinq et dix ans.

Les corps reposaient dans deux valises de taille identique, a-t-il précisé.

« La nature de la découverte rend l’enquête complexe, en raison, notamment, du temps écoulé entre la mort et la découverte », a ajouté M. Vaaelua.

Il a fallu, pour cette macabre découverte, qu’une famille achète une remorque chargée d’objets vendus en vrac dans un entrepôt.

La famille en question n’est pas liée à la mort, mais est « naturellement bouleversée par la découverte » et a demandé le respect de sa vie privée, a insisté M. Vaaelua.

La police, qui a aussi fait appel à Interpol, se penche sur les autres objets, ménagers ou personnels, contenus dans la remorque pour identifier les victimes.

GUINEE – Deux jeunes Guinéens de 17 et 19 ans ont été tués par balle mercredi 17 août lors d’une journée de contestation qui a donné lieu à des affrontements et des manifestations sporadiques contre la junte au pouvoir depuis un an, a-t-on appris auprès de proches et du collectif organisateur.

Le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC), qui avait appelé à manifester, a accusé sur les réseaux sociaux la garde du chef de la junte et président dit de transition, le colonel Mamady Doumbouya, d’avoir abattu les deux jeunes hommes alors que son convoi traversait la banlieue de la capitale Conakry, haut lieu de contestation.

Interrogé au moment où le premier décès était rapporté dans l’après-midi, le porte-parole de la police, le colonel Mory Kaba, a dit ne pas en avoir connaissance alors qu’il était sur les lieux quand le chef de la junte est passé.

Ibrahima Baldé a été tué par un projectile tiré par un membre des forces de sécurité à Wanidara, un quartier de la banlieue de Conakry théâtre de heurts, a dit à un correspondant de l’AFP son père Mohamed Chérif. Un proche du jeune homme s’exprimant sous le couvert de l’anonymat en raison de la sensibilité de l’information a déclaré qu’il avait été atteint par la balle d’un soldat alors que le cortège du chef de la junte traversait le quartier.

Oumar Barry, lycéen de 17 ans, a succombé plus tard non loin de là dans le quartier de Koloma. « Ils lui ont tiré dans le ventre à Koloma, il était 18H50 » (locales et GMT), a dit un voisin, Pathé Diallo.

AFGHANISTAN – La violence a une nouvelle fois endeuillé la capitale de l’Afghanistan. Au moins 21 personnes ont été tuées mercredi dans une explosion qui a frappé une mosquée à Kaboul, selon des sources hospitalière et policière.

« Hier [mercredi], une explosion s’est produite dans une mosquée (…) pendant la prière du soir. En conséquence, 21 de nos citoyens sont morts en martyrs et 33 ont été blessés », a déclaré dans un communiqué Khalid Zadran, porte-parole de la police de Kaboul, précisant que des « explosifs » avaient été placés dans la mosquée.

« La plupart des patients que nous avons reçus à la suite de l’explosion souffrent de blessures causées par des éclats de bombe et des brûlures », avait indiqué à l’AFP mercredi soir l’ONG italienne Emergency, qui opère dans un hôpital de Kaboul, en précisant avoir reçu de son côté 27 victimes, dont trois étaient décédées. Plus tard dans un tweet, l’ONG a ajouté que cinq enfants figuraient parmi les personnes soignées, dont un âgé de sept ans.

Le porte-parole des talibans, Zabihullah Mujahid a condamné l’explosion et demandé de « prier pour les martyrs », en promettant que les « meurtriers » seraient « bientôt punis ». Cette attaque intervient près d’une semaine après la mort d’un dignitaire religieux taliban et de son frère, tués dans un attentat suicide dans une école coranique à Kaboul, et revendiqué par l’organisation Etat islamique (EI).

ROYAUME UNI – Cheminots, postiers, dockers : le Royaume-Uni connaît ses pires grèves depuis des décennies avec une nouvelle salve qui démarre cette semaine pour de meilleurs salaires face à l’inflation qui flambe et le pouvoir d’achat qui fond. Jeudi et samedi, des dizaines de milliers d’employés des chemins de fer britanniques sont appelés à cesser le travail par les syndicats RMT, TSSA et Unite, nouvel épisode de la plus grosse grève en 30 ans dans le secteur, entamée fin juin.

En cette période de vacances scolaires, Network Rail, le gestionnaire public du réseau, a prévenu que seul un train sur cinq circulerait, appelant les Britanniques à ne voyager «que si cela est absolument nécessaire». Vendredi, l’ensemble du réseau de transport de Londres sera quasi paralysé, et restera très perturbé pendant tout le week-end.

Dimanche, les dockers du port de Felixstowe (est de l’Angleterre) – le plus gros pour le fret dans le pays – démarrent une grève de huit jours, menaçant de mettre à l’arrêt une grande partie du trafic de marchandises du pays.

Partout le mot d’ordre est le même : les employés réclament des hausses de salaires en phase avec l’inflation, qui a atteint en juillet 10,1% sur un an au Royaume-Uni et pourrait dépasser 13% en octobre, selon les prévisions de la Banque d’Angleterre.  Autre motif de colère syndicale : le gouvernement vient de modifier la loi afin de permettre le recours à des intérimaires pour remplacer les grévistes.

AVORTEMENT – Des élues américaines ont fustigé mercredi une « guerre faite aux femmes » après qu’une cour d’appel de Floride a maintenu une décision statuant qu’une adolescente de 16 ans aux parents décédés n’était « pas assez mature » pour avorter.

« Dans quel monde une personne de 16 ans est trop immature pour se faire avorter mais assez mature pour porter et élever un enfant? », a questionné sur Twitter l’élue démocrate de l’Ohio Joyce Beatty, appuyée par ses collègues Bonnie Watson Coleman du New Jersey et Katherine Clark du Massachussetts.

« C’est un exemple dangereux et terrifiant de la guerre faite aux femmes par la Floride », a tancé l’élue démocrate de cet Etat du sud-est des Etats-Unis, Lois Frankel, qui a jugé la décision « inacceptable » et a appelé à « combattre pour la santé, la sécurité et la liberté des femmes ».

En Louisiane,  Nancy Davis, dont le fœtus présente une malformation crânienne mortelle qui condamne son bébé à naître, ne peut avorter car l’Etat l’interdit sauf dans les cas où la vie de la mère est en danger ou dans certains cas où le fœtus n’est pas viable. Sauf que la loi n’inclut aucune exception pour l’acrânie, malformation rare qui limite la formation osseuse d’une partie du crâne, dont souffre son fœtus. Nancy Davis doit poursuivre sa grossesse en sachant pertinemment que son bébé ne vivra que quelque minutes ou quelques heures tout au plus. Si elle veut se faire avorter, rappelle le média américain, elle devra rapidement voyager hors de l’État jusqu’en Floride qui a interdit l’avortement après 15 semaines de grossesse.

TAÏWAN – L’île a présenté mercredi 17 août son avion de combat le plus avancé, le F-16V de fabrication américaine et équipé de missiles, au cours d’une rare démonstration nocturne, après les manœuvres militaires sans précédent que la Chine vient d’effectuer au large de ses côtes.

 Mercredi, un chasseur F-16V, – une version améliorée et beaucoup plus sophistiquée des autres F-16, qui datent des années 1990 – a été chargé avec un missile antinavire de fabrication américaine dans le cadre d’un exercice de «préparation au combat» sur une base aérienne du comté de Hualien, dans l’est de son territoire.

Six F-16V, dont deux armés de missiles, ont par la suite décollé pour des missions de reconnaissance de nuit et d’entraînement, selon l’armée de l’air taïwanaise. «Face à la menace des récents exercices militaires des forces communistes chinoises, nous sommes restés vigilants tout en établissant le concept de “champs de bataille en tout lieu et d’entraînement à tout moment” (…) pour assurer la sécurité nationale», a-t-elle expliqué dans un communiqué.

CORSE – Après les violentes intempéries de la matinée qui ont fait au moins cinq morts, un nouvel épisode orageux était attendu ce soir en Corse. Les départements de Haute-Corse et de Corse-du-Sud ont de nouveau été placés en vigilance orange aux orages, à partir de 21 heures. L’alerte a également été déclenchée pour des risques de pluies et d’inondations. « Des orages formés en mer vont affecter une grande partie de la façade occidentale corse durant toute la nuit de jeudi à vendredi », a prévenu Météo France dans son bulletin de 16 heures.  

 Un pêcheur est mort à Girolata (Corse-du-Sud) et une kayakiste a péri à Erbalunga (Haute-Corse), annonce la préfecture maritime. En fin de matinée, la préfecture de Corse-du-Sud avait déjà annoncé la mort d’une jeune fille de 13 ans après la chute d’un arbre au camping de Sagone et d’une femme de 72 ans sur la plage du Liamone, à Coggia, après la chute du toit d’une paillotte sur son véhicule. Un homme de 46 ans est mort dans un camping à Calvi et une Italienne de 23 ans se trouve en urgence absolue. Des rafales des vent ont été enregistrés jusqu’à 224 km/h. Ce jeudi à la mi-journée, 115 opérations de sauvetage en mer avaient déjà eu lieu.

 « Au regard de la situation en Corse », la Première ministre a annoncé l’ouverture d’une cellule interministérielle de crise. « Nous suivons de près les opérations qui ont lieu sur terre et en mer », ajoute Elisabeth Borne sur Twitter. Tous les campings du sud de l’île ont dû être évacués dans la soirée.

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