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Dans le monde ces dernières heures

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Dans le monde, ces dernières heures…
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Un immense réservoir de carburant brule toujours en Libye | Aujourd'hui le  Maroc

LIBYE – Un réservoir de carburant a explosé dans la ville de Sebha, dans le sud de la Libye, tard mardi, blessant 17 personnes, a déclaré le ministère de la santé dans un communiqué.

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Le ministre de l’emploi annonce plus de 20 000 recrutements dans la fonction publique en 2026

L’incendie provoqué par l’explosion a été maîtrisé, selon des témoins.

L’explosion survient quelques semaines après l’explosion d’un camion-citerne dans une autre ville du sud de la Libye, qui a fait plusieurs morts et des dizaines de blessés.

SYRIE – La guerre en Syrie risque de s’intensifier, plusieurs lignes de front s’étant rouvertes ces derniers mois dans le pays, a averti l’Onu ce mercredi dans un rapport.

« La Syrie ne peut pas se permettre un retour à des combats à grande échelle, mais c’est vers cela qu’elle pourrait se diriger », a déclaré Paulo Sergio Pinheiro, président de la Commission d’enquête des Nations unies sur la Syrie.

Le rapport constate que les « graves violations des droits de l’homme fondamentaux et du droit humanitaire » ont augmenté dans tout le pays au cours des six derniers mois en dépit de l’apaisement de nombreux fronts actifs ces dernières années. Il s’agit notamment des combats dans le nord-est et le nord-ouest du pays, qui ont fait des dizaines de morts parmi les civils et limité l’accès à la nourriture et à l’eau, indique l’étude.

La Commission de l’Onu sur la Syrie a notamment constaté une augmentation des bombardements aériens russes sur les zones contrôlées par l’opposition au cours des trois derniers mois, a déclaré Hanny Megally, membre de la commission d’enquête.

« Nous avons eu l’idée à un moment donné que la guerre était complètement terminée en Syrie », a déclaré Paulo Pinheiro, ajoutant que les violations documentées dans le rapport prouvaient le contraire. 

SYRIE-FRANCE – La Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a condamné, ce mercredi 14 septembre, la France pour ne pas avoir étudié de manière appropriée les demandes de rapatriement de familles de djihadistes en Syrie, des requêtes que Paris va devoir réexaminer au plus vite. « En exécution de son arrêt, la Cour précise qu’il incombe au gouvernement français de reprendre l’examen des demandes des requérants dans les plus brefs délais en l’entourant des garanties appropriées contre l’arbitraire », a indiqué la Grande chambre de la CEDH, sa plus haute instance.La Cour avait été saisie par deux couples de Français qui avaient demandé en vain aux autorités françaises le rapatriement de leurs filles, deux jeunes femmes compagnes de djihadistes, et de leurs trois enfants. La France est condamnée à verser 31 200 euros aux familles pour frais et dépens.

D’autre part, on a appris ce mercredi que Kahina El H., la veuve de Samy Amimour, l’un des trois assaillants du Bataclan en novembre 2015, est l’une des seize femmes rapatriées de Syrie en France, début juillet. A leur arrivée sur le territoire français, elles ont toutes été mises en examen et placées en détention provisoire. Née en janvier 1997, la jeune femme est partie en Syrie en octobre 2014, deux mois avant les attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher et un an avant ceux du 13 novembre 2015. La jeune femme avait indiqué, dans un message envoyé à une amie, être fière des actions de son mari. 

Contrôler le port du voile par reconnaissance faciale ? Le projet qui fait  scandale en Iran

IRAN – Contrôler le port du voile par reconnaissance faciale et sanctionner par une amende toutes celles qui le transgresseraient ? Voilà l’inquiétant projet que semble nourrir l’Iran, à en croire différents médias nationaux. Et ce, au moyen de caméras installés dans les lieux publics et les transports en commun.

« Aujourd’hui, la technologie est tellement avancée qu’elle peut reconnaître les gens à partir de leurs images dans les caméras. Les caméras dans la ville, et le métro, prendront des photos des femmes, et une amende sera envoyée à leur domicile », a assuré Mohammad Saleh Hashemi Golpaygani, secrétaire de l’organisation de la promotion de la vertu et le rejet du vice, relate Courrier International.

Cette alarmante forme de répression a engendré une vive polémique dans le pays. Ce projet serait comparé aux mesures imposées par les talibans en Afghanistan. 

L’amende dont pourraient faire l’objet les femmes transgressant le port du voile s’élèverait à 300 000 tomans (environ 7 euros). En Iran, d’autres attitudes apparemment anodines pourraient également être sanctionnées très bientôt. Par exemple ? Porter un manteau court ou arborer « un maquillage trop appuyé », précise Courrier International.

Hélas, cette mesure n’est pas si étonnante au regard de l’actualité iranienne. Récemment encore, plus de 300 personnes se voyaient arrêtées par les autorités, accusées de militer contre le port du voile, obligatoire dans le pays. Des arrestations courantes : fin juin, au sud du pays, la police arrêtait déjà plusieurs jeunes filles ayant retiré leur voile lors d’un événement de skateboard. 

LIBAN – Le président de la République Michel Aoun s’en prend de nouveau au Premier ministre désigné Najib Mikati. Ce mercredi, c’est dans les colonnes du quotidien Al-Joumhouria que le chef de l’Etat a critiqué les voyages de Najib Mikati.  » Depuis sa désignation, il a séjourné en Sardaigne et sur son yacht. Et maintenant, il se prépare à participer aux funérailles de la reine Elisabeth II à Londres, puis il doit se rendre à New York pour l’Assemblée générale des Nations Unies  » , a précisé Michel Aoun, se demandant si  » c’est ainsi que se forme un nouveau gouvernement « .

Mardi c’était à travers le quotidien al-Akhbar que le président Aoun accusé le Premier ministre de ne pas vouloir s’entendre avec lui sur la formation du gouvernement, alors que le mandat présidentiel se termine le 31 octobre. Le président de la République avait déclaré au quotidien Al-Akhbar qu’il quittera le palais présidentiel le dernier jour de son mandat, si  » c’est un jour normal  » . Il avait également affirmé qu’il « ne restera pas les bras croisés  » s’il sent se préparer  » un complot, un coup d’État contre le régime, l’État, la présidence et la Constitution  » .

En parallèle, le camp aouniste menace d’escalade si un nouveau cabinet n’est pas formé avant la fin octobre. Le député aouniste de Jbeil, Simon Abi Ramia a affirmé ce matin sur les ondes de La Voix du Liban, que  » personne ne peut prévoir les circonstances du pays le 31 octobre, et en fonction, Michel Aoun prendra la décision  » de quitter ou pas le Palais présidentiel. Au cours de sa dernière conférence de presse, le gendre présidentiel et chef du CPL, Gebran Bassil avait déjà prévenu  » ne pas reconnaître la légitimité du gouvernement sortant après la fin du mandat du président Michel Aoun « . Et d’ajouter :  » Nous le considérerons illégal, illégitime, inconstitutionnel, même si tout le monde vient à l’accepter. Formez un gouvernement au plus vite, en dépit des conseils ou des instructions que vous recevez de l’étranger « .

Hier mardi, le Premier ministre, Najib Mikati, avait répondu aux critiques et appelé les forces politiques à coopérer  » pour résoudre le dossier gouvernemental  » et éviter  » les polémiques futiles et inutiles puisque la Constitution est claire « .

LIBAN – Une Libanaise a braqué une banque ce mercredi à Beyrouth et serait repartie avec plusieurs milliers de dollars, affirmant vouloir payer les soins de sa sœur atteinte d’un cancer, dans un pays qui s’enfonce dans une grave crise économique et financière.

Cet incident ainsi qu’un autre similaire qui a également eu lieu mercredi surviennent alors que de nombreux épargnants sont désespérés face à l’impossibilité de retirer leurs économies bloquées à la banque depuis trois ans. La livre libanaise a perdu plus de 90% de sa valeur et 80% de la population a plongé dans la pauvreté depuis 2019.

Dans des images du braquage qu’elle a diffusées en direct sur les réseaux sociaux, on entend Sali Hafez demander en criant aux employés d’une succursale de la Blom Bank de lui débloquer une somme d’argent.

Dans une interview accordée à un média local après le braquage, Sali Hafez assure avoir récupéré environ 13.000 des 20.000 euros déposés par sa famille dans la banque. Les soins de sa sœur coûtent 50.000 euros, précise-t-elle.

Également mercredi, un homme a braqué une banque dans la localité d’Aley, au nord-est de la capitale, selon l’Agence nationale d’information (Ani).

Il a été arrêté, a ajouté l’agence de presse officielle sans préciser s’il était parvenu à retirer de l’argent.

Le mois dernier, un épargnant a été acclamé par la foule après avoir fait irruption dans une banque à Beyrouth, réclamant, fusil à la main, ses plus de 200.000 euros d’économies, pour payer les frais d’hospitalisation de son père. La banque avait fini par lui donner près de 30.000 euros et il s’était rendu aux autorités. Il n’a pas été poursuivi.

Israël : Sara Netanyahu accusée d'influencer les choix ...

ISRAËL – Sara Netanyahou voulait des stars. L’épouse de l’ancien Premier ministre Benyamin Netanyahou aurait exigé du magnat d’Hollywood Arnon Milchan qu’il fasse venir des acteurs de cinéma hollywoodiens aux événements mondains auxquels elle prenait part. 

C’est ce qu’a déclaré Hadas Klein, une assistante de M. Milchan, dans un nouveau témoignage à la barre dans le cadre de l’affaire des cadeaux de luxe que l’ancien Premier ministre et sa famille auraient reçus du producteur israélo-américain, en échange de contreparties fournies par M. Netanyahou. 

Hadas Klein a ainsi affirmé que Sara Netanyahou avait formulé cette demande après qu’Arnon Milchan ait convié Brad Pitt à une soirée à laquelle elle n’avait pas pris part. 

Mme Klein n’a toutefois pas précisé si M. Milchan avait ensuite invité des stars d’Hollywood à des événements avec les Netanyahou. Ces derniers ont cependant déjà été photographiés avec plusieurs célébrités au domicile du magnat.

Plus tôt dans la journée de mardi, Hadas Klein avait été interrogée au sujet de l’envoi à Benyamin Netanyahou de cigares et de champagne comme cadeaux d’anniversaire de la part d’Arnon Milchan.

« Je n’envoie pas de champagne à M. Netanyahou. J’envoie du champagne à Mme Netanyahou pour l’anniversaire de M. Netanyahou », a déclaré Hadas Klein, soulignant que l’épouse du chef du Likoud demandait régulièrement de tels envois.

L’acte d’accusation dans l’affaire 1000 contre l’ancien Premier ministre mentionne que M. Netanyahou aurait violé les lois sur les conflits d’intérêts en fournissant notamment à M. Milchan une assistance pour le renouvellement de son visa de long séjour aux États-Unis. 

Cette aide, ainsi que la fourniture par M. Milchan de cigares, de champagne, de bijoux et d’autres articles de luxe d’une valeur estimée à 700 000 shekels (204 000 euros) à M. Netanyahou et à son épouse, constitue une fraude et un abus de confiance.

ISRAËL – Des parents d’élèves ont bloqué l’entrée aux employées arabes du jardin d’enfants Naamat à Holon mardi matin, et ont exigé leur expulsion.

Craignant pour la sécurité des maîtresses palestiniennes de Jérusalem-Est qui n’ont pas pu sortir de la navette qui les conduisait au jardin d’enfants, les autres maîtresses à l’intérieur du bâtiment ont été contraintes d’enclencher le bouton d’urgence permettant d’appeler la police directement.

En signe de protestation contre cette action jugée raciste, la directrice de Naamat, Hagit Par a décidé que la crèche n’ouvrirait pas mercredi, et que la classe de maternelle concernée serait fermée à partir de ce jeudi.

« Je n’ai pas l’intention de permettre une réalité où les employées ont peur de venir sur leur lieu de travail et de subir des attaques racistes. Nous ne permettrons pas que de jeunes enfants soient exposés à des messages haineux. Nous sommes responsables de la sécurité de nos employées, des femmes qui sont dévouées à l’éducation », a-t-elle déclaré.

« Le racisme et la discrimination de toute sorte ne sont pas recevables », a ajouté la directrice. « C’est incroyable que cela doive être clarifié dans l’État d’Israël en 2022. »

Une maman ayant participé à la protestation a déclaré que les parents n’avaient pas été informés au préalable du changement des équipes pédagogiques et de la venue de Palestiniennes pour s’occuper de leurs enfants. « La peur n’est pas du racisme, nous ne vivons pas en Suisse. Nous n’avons pas été informés qu’une nouvelle équipe était arrivée à la maternelle. »

CISJORDANIE – Deux Palestiniens et un officier israélien ont été tués ce mercredi lors d’échanges de tirs près du point de passage entre Israël et la ville palestinienne de Jénine en Cisjordanie occupée, ont indiqué le ministère palestinien de la Santé et l’armée israélienne.

L’armée a indiqué dans un communiqué qu’un officier avait été tué au cours d’échanges de tirs lorsque « deux suspects se sont approchés » du point de passage de Jalameh, près de Jénine, dans le nord de la Cisjordanie occupée.

Le ministère de la Santé palestinien à Ramallah a confirmé la mort de « deux jeunes hommes » lors de ces heurts.

Selon l’agence de presse palestinienne Wafa, il s’agit de Ahmed Ayman Ibrahim Abed, âgé de 23 ans, et de Abdel Rahman Hani Soubhi Abed, âgé de 22 ans.

Depuis une série d’attentats anti-israéliens en mars, dans laquelle 19 personnes ont été tuées, l’armée a multiplié ses opérations dans le nord de la Cisjordanie, territoire occupé depuis 1967 par l’Etat hébreu, notamment dans les régions de Naplouse et Jénine où des groupes armés palestiniens sont actifs.

Ces opérations, fréquemment émaillées de heurts, ont fait des dizaines de morts côté palestinien et mené à l’arrestation de plus de 1.500 personnes en Cisjordanie occupée d’après le chef de l’armée israélienne, Aviv Kohavi.

Iran: au moins six morts dans l'effondrement d'un immeuble en construction  | Arabnews fr

JORDANIE – Les services de secours jordaniens étaient engagés ce mercredi, dans une course contre-la-montre, pour tenter d’extraire dix personnes coincées sous les décombres d’un immeuble de quatre étages qui s’est effondré la veille à Amman.

«Selon nos informations, dix personnes sont toujours sous les décombres du bâtiment effondré, certaines parmi elles sont encore en vie», a déclaré le porte-parole du gouvernement, Faïsal Chboul, à la chaîne de télévision officielle Al Mamlaka. «Les opérations de recherche se poursuivent sur le site, le terrain est accidenté, les bâtiments sont proches les uns des autres et les couloirs sont étroits, ce qui rend les recherches difficiles», a précisé ce responsable. Selon un dernier bilan établi mardi soir, par les autorités, cinq personnes sont mortes et quatorze autres ont été blessées dans l’effondrement de cet immeuble résidentiel à Jabal Al-Weibdeh, dans le centre de la capitale jordanienne.

L’effondrement serait dû notamment au fait que l’immeuble est «vieux et délabré», a affirmé mardi le vice-Premier ministre et ministre de l’Administration locale, Taoufik Krichane.

Par ailleurs, Emmanuel Macron et Brigitte Macron ont reçu ce mercredi à l’Elysée le roi Abdallah II, et son épouse la reine Rania, venus accompagnés du prince héritier Hussein.

ETHIOPIE – autorités rebelles de la région du Tigré ont accusé l’armée éthiopienne d’avoir à nouveau bombardé, ce mercredi 14 septembre, leur capitale Mekele, pour la deuxième fois en deux jours, peu après qu’elles ont ouvert la porte à un cessez-le-feu et des négociations de paix.

C’est le directeur du centre hospitalier Ayder de Mekele qui donne ce bilan : 10 morts, 14 blessés, dans une double frappe de drone sur le quartier de Dagim Amsal, dit-il, situé au sud-ouest de la capitale tigréenne, non de loin du campus universitaire qui a été bombarbé mardi 13 septembre. Deux frappes, donc, contre un quartier résidentiel où, selon le docteur Kibrom Gebreselassie, deux femmes ont d’abord été blessées par un premier tir. Puis un second tir a été « dévastateur car, selon lui, il visait ceux qui secouraient les victimes. »

« Aucun acte désespéré et lâche ne peut inverser les pertes du régime sur le champ de bataille », a aussitôt réagi Getachew Reda, proche conseiller du président du gouvernement régional du Tigré. Les autorités tigréennes qui, du reste, se targuent d’avoir infligé une lourde défaite à l’armée fédérale et ses alliés dans l’ouest de la province, tout en ayant perdu la ville de Sheraro. Mais il est à ce stade impossible de vérifier ces allégations.

Comme les jours précédents, le gouvernement d’Addis Abeba de son côté n’a pas fait de commentaire et n’a pas répondu à la presse. 

KENYA – Le président kenyan William Ruto, qui a prêté serment mardi, prend le pouvoir à un moment où le pays compte le plus grand nombre d’élues de l’histoire – et celles-ci veulent qu’il tienne sa promesse de faire entrer davantage de femmes en politique.

« Un dividende important de notre processus électoral et démocratique est l’accomplissement formidable que nous avons réalisé en brisant le plafond de verre en améliorant la participation des femmes au leadership », a-t-il déclaré à une foule enthousiaste lors de son investiture.

Lors de sa campagne, Ruto a promis de faire respecter une clause constitutionnelle de 2010 qui stipule que pas plus de deux tiers de tout organe élu ne peut être composé d’un seul sexe, et a promis de s’assurer que les organes d’embauche du gouvernement respectent également cette règle. Cette clause n’a jamais été respectée et de nombreuses femmes politiques disent qu’elle doit l’être.

Un nombre record de femmes kenyanes ont été élues en août. Le nombre de femmes gouverneurs a plus que doublé, tandis que le nombre de femmes parlementaires a bondi de près d’un tiers.

« Nous regarderons en arrière et dirons que cette période a été vraiment historique », a déclaré l’avocate Susan Kihika, qui a été élue première femme gouverneur du comté populeux de Nakuru au Kenya lors des scrutins parlementaires, présidentiels et de comté d’août.

« Mais nous sommes loin d’être là où nous devons être », a déclaré Kihika, l’une des sept femmes gouverneurs sur un total de 47, soit environ 15%. Les femmes parlementaires représentent une proportion légèrement plus importante, soit environ 23 %.

Ruto était le seul des quatre candidats présidentiels à ne pas avoir de colistier féminin lors des élections d’août, bien qu’il ait promis de donner plus de pouvoir aux femmes en politique. « Nous attribuerons 50% de tous les postes ministériels aux femmes du Kenya », a-t-il déclaré lors d’un rassemblement de campagne en juin, sous les acclamations et les klaxons de vuvuzela de la foule.

Tanzanie: 20 personnes arrêtées pour "homosexualité" - BBC News Afrique

TANZANIE – Le gouvernement tanzanien a mis en garde contre la diffusion de messages en ligne et de courtes vidéos faisant la promotion des relations homosexuelles, ont rapporté lundi les médias internationaux.

Il a également prévenu qu’il prendrait des mesures contre les administrateurs de groupes de médias sociaux dont les membres partagent des messages pro-LGBT. Les contrevenants encourent trois ans de prison et plus de 8000 euros d’amende.

Le ministre de l’information, Nape Nnauye, a fait ces remarques lors d’une conférence de presse dimanche au siège de la Tanzania Communications Authority (TCRA) à Dar es Salaam.

Le ministre a, par ailleurs, déclaré que certaines personnes utilisaient des contenus liés aux dessins animés appréciés des enfants pour promouvoir les relations homosexuelles, ajoutant que le gouvernement ne tolérerait pas que quiconque popularise des actes qui vont à l’encontre des traditions établies en Tanzanie.

« Avant de commencer à enquêter et à arrêter les auteurs qui envoient, produisent et distribuent ce contenu, il est préférable maintenant que les Tanzaniens s’en abstiennent », a-t-il précisé.

En 2018, un haut fonctionnaire tanzanien, Paul Makonda, qui était un allié du défunt président John Magufuli, a été à l’origine d’une force de surveillance anti-gay.

Les actes homosexuels sont illégaux en Tanzanie et de nombreux gays, lesbiennes et transgenres sont donc contraints de cacher leur sexualité.  L’homosexualité est interdite par la loi.

Elle est considérée comme un crime et peut être punie de peines allant jusqu’à 30 ans de détention.

RDC – Au moins trente personnes ont été tuées dans la nuit de lundi à mardi dans de nouvelles violences impliquant deux communautés de l’ouest de la République démocratique du Congo (RDC), les Teke et les Yaka, qui se disputent des taxes et des terres, ont rapporté mardi des médias congolais, citant des sources locales. « Il y a eu affrontement entre les deux tribus Yaka et Teke, le bilan est de 31 morts parmi lesquels figure le chef du village de Fadiaka », a indiqué Martin Suta, le vice-président de la société civile de Kwamouth, une ville de la province de Mai-Ndombe située à environ 200 kilomètres au nord-est de la capitale, Kinshasa, au site d’information en ligne Actualité.cd et à la radio onusienne Okapi.

Le bilan des affrontements de cette nuit pourrait être plus lourd. Un député national élu de Kwamouth, Guy Musomo, a avancé le chiffre d’au moins 35 morts.

« Il y a eu beaucoup de morts à Fadiaka entre autres le chef coutumier qu’on a décapité, 35 personnes tuées. Ces gens-là sont venus des forêts environnantes, ils ont commis des massacres, il y a des enfants qu’on a tués, des femmes et on a saboté tout le village », a déclaré M. Musomo au même média.

Le conflit porte sur l’occupation des terres et les pouvoirs traditionnels. Les Teke menacent de vider les localités occupés par les Yaka. A l’origine des conflits, la surtaxation des Yaka par les autorités coutumières Teke.

ZAMBIE – Les autorités migratoires de Zambie ont expulsé 44 migrants clandestins à destination de leur pays d’origine, l’Ethiopie, a annoncé mardi Namati Nshinka, officier en charge des relations publiques du ministère zambien de l’Immigration.

Il a cependant indiqué que l’un des migrants était décédé lundi à l’aéroport international Kenneth Kaunda alors que le groupe se préparait à monter dans un avion éthiopien.

M. Nshinka a expliqué dans un communiqué que cet individu éthiopien, âgé de 20 ans, avait perdu connaissance avant que son décès ne soit prononcé par le personnel médical de l’aéroport.

« La cause du décès reste à déterminer. Les 43 autres migrants ont réussi à quitter le pays », a-t-il ajouté.

Selon M. Nshinka, cette expulsion porte à 107 le nombre total de migrants clandestins éthiopiens qui ont quitté la Zambie entre les 8 et 12 septembre.

Il s’est dit préoccupé par le fait que les migrants clandestins de la Corne de l’Afrique, assistés par des trafiquants et des passeurs, continuent d’entreprendre de dangereux voyages à la recherche d’une vie meilleure.

AFRIQUE DU SUD – Depuis quelques années, le Botswana a pris le leadership en matière de production de diamants sur le continent, mais l’Afrique du Sud demeure l’un des principaux producteurs. Petra Diamonds qui exploite trois mines dans le pays, joue un rôle important dans le maintien de cette position.

Ruée vers le diamant en Afrique du Sud : or, c'était du quartz !

La compagnie minière Petra Diamonds active sur trois mines de diamants en Afrique du Sud et une mine en Tanzanie, a publié le mardi 13 septembre ses résultats opérationnels et financiers pour l’exercice 2022, clôturé le 30 juin dernier. Elle annonce une production de 3 353 670 carats, contre 3,24 millions de carats pour l’exercice 2021.

La plus forte contribution provient de la mine sud-africaine Cullinan, surtout connue pour le plus gros diamant de qualité gemme de l’histoire, qui a livré 1,81 million de carats. Les deux autres mines de la société dans la nation arc-en-ciel, Finsch et Koffiefontein, ont produit respectivement 1,27 million de carats et 35 302 carats. La mine tanzanienne Williamson, restée en régime de maintenance et entretien au cours du précédent exercice, a tout de même livré 228 070 carats.

Les ventes de diamants ont généré 584,1 millions $, pour un chiffre d’affaires total de 585,2 millions $, en hausse de 44 % par rapport à l’exercice 2021. Cette augmentation est principalement portée par une amélioration moyenne de 41 % des prix du diamant, dans un contexte marqué par une forte demande, surtout aux Etats-Unis.

Pour l’exercice 2023 qui a débuté le 1er juillet dernier, Petra Diamonds vise une production de 3,3 à 3,6 millions de carats.

INSOLITE – Endormir un bébé qui pleure ne sera bientôt plus un calvaire. Dans une étude publiée dans la revue Current Biology, ce mardi 13 septembre, des scientifiques italo-japonais ont détaillé une procédure imparable pour calmer et endormir votre nouveau-né.

Même si les résultats n’impliquent que les mères, la technique est valable pour toute personne voulant « apporter une solution immédiate aux pleurs du nourrisson ».

L’équipe du professeur Kuroda préconise de marcher pendant cinq minutes avec le nourrisson en pleurs, puis de s’asseoir pendant cinq à huit minutes, en tenant le bébé, avant de le reposer dans son berceau. Pour une tenue sûre, les personnes doivent tenir fermement le corps du nourrisson et soutenir la tête de ce dernier.

La marche de cinq minutes doit se faire sur un passage plat et dégagé et à un rythme régulier, de préférence sans arrêts ni virages brusques. Cette méthode réduit fortement les pleurs, favorise le sommeil, et propose un protocole comportemental, selon les scientifiques. Grâce à cette technique, les bébés calquent leur rythme cardiaque sur la personne qui les porte, ce qui a comme conséquence de les bercer.

Les huit minutes en étant assis avec le bébé sont primordiales. Le reposer directement dans son lit a entraîné, chez un tiers des nourrissons, de nouveaux pleurs dans les 20 secondes.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs se sont servis de précédentes observations réalisées sur des mammifères altriciaux, ou nidicoles, c’est-à-dire dont les petits naissent incapables de se déplacer et de se nourrir seuls (comme le chien, la souris ou encore le singe).

 « En tant que mère de quatre enfants, j’ai été très surprise de voir ce résultat. Je pensais que le réveil des bébés pendant le coucher était lié à la façon dont ils étaient mis sur le lit, comme leur posture, ou la douceur du mouvement », explique Kumi Kuroda, qui a dirigé ces travaux.

« Environ 20 à 30 % des nourrissons pleurent excessivement et présentent des troubles du sommeil sans raison apparente, ce qui provoque un stress parental et peut même déclencher des actes impulsifs de maltraitance dans un petit nombre de cas”, pointe la chercheuse.  

Même si les résultats n’impliquent que les mères, la technique est valable pour toute personne voulant « apporter une solution immédiate aux pleurs du nourrisson ».

EUROPE – En pleine flambée des prix du gaz et de l’électricité, le Parlement européen a réclamé ce mercredi de relever les objectifs contraignants que va se fixer l’UE pour réduire sa consommation d’énergie à l’horizon 2030 et accélérer l’essor des renouvelables.

Dans son projet, Bruxelles fixait un objectif contraignant de 40% de renouvelables dans le bouquet énergétique européen d’ici à 2030, contre 22% actuellement. Si ce chiffre a été endossé fin juin par les Vingt-Sept, le texte voté par les eurodéputés (à 418 voix contre 109, et 111 abstentions) relève l’objectif à 45% d’ici la fin de la décennie.

La guerre en Ukraine, qui pousse l’UE à se défaire de sa dépendance au gaz russe, « rend nécessaires une réorientation plus large de notre politique énergétique et un essor accéléré des renouvelables, pour apporter plus d’indépendance et de sécurité », a observé Markus Pieper (PPE, droite), rapporteur du texte.

En particulier, chaque Etat serait tenu de réduire de 16% (contre 13% proposés par la Commission) les émissions de gaz à effet de serre dans les transports, grâce à l’usage accru des biocarburants et de l’hydrogène –dont l’UE veut justement doper le développement.

Par ailleurs, la Commission proposait en juillet 2021 de réduire de 36% la consommation d’énergie finale dans l’UE en 2030 par rapport à ce que prévoyait un « scénario de référence » élaboré en 2007 –et correspondant à une baisse de 9% par rapport à un autre scénario établi en 2020.  Le texte voté par les eurodéputés (à 469 voix contre 93, et 82 abstentions) réclame une réduction d’au moins 40% par rapport au scénario de 2007 (au moins 14,5% par rapport à celui de 2020), avec des contributions nationales contraignantes et non plus indicatives, assorties d’un objectif obligatoire d’économies d’énergies supérieur à ce que réclamait la Commission. Le Parlement veut contraindre les États à réduire la consommation de leur secteur public de 2% par an (contre 1,5% dans le projet de Bruxelles), imposer la rénovation d’au moins 3% de la surface totale des bâtiments publics chaque année, y compris les logements sociaux, et obliger les centres de données informatiques – très énergivores – à utiliser la chaleur qu’ils dégagent pour chauffer d’autres bâtiments.

création d'une banque publique de l'hydrogène, Ukraine… - Durabull

EUROPE – L’UE va mettre sur pied une nouvelle banque publique dédiée au développement de l’hydrogène, capable d’investir 3 milliards d’euros « pour construire le futur marché » de cette énergie en plein essor, a annoncé ce mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

« Nous devons passer du marché de niche au marché de masse (…) nous voulons produire dix millions de tonnes d’hydrogène renouvelable dans l’UE chaque année d’ici à 2030 », a-t-elle déclaré devant le Parlement européen à Strasbourg.

Cela nécessite « de combler le déficit d’investissement », a-t-elle indiqué, assurant que cette banque publique contribuera également à « garantir l’achat d’hydrogène ».

La Commission a présenté en mai son plan « RePower EU » prévoyant une accélération des énergies renouvelables en Europe pour s’affranchir le plus vite possible des importations de gaz russe, en réaction à la guerre en Ukraine.

AFGHANISTAN – Le régime taliban a dit « examiner » ce mercredi une vidéo diffusée sur les médias sociaux qui semble montrer leurs combattants exécutant sommairement des insurgés afghans après leur capture.

Le Front national de résistance (FNR), un groupe opérant dirigé par Ahmad Massoud, le fils du légendaire commandant Ahmad Shah Massoud, a indiqué que la vidéo montrait l’exécution de certains de ses combattants et a accusé les talibans de « crimes de guerre ».

La vidéo, largement partagée sur les réseaux sociaux, montre deux groupes d’hommes accroupis sur une colline, les mains attachées dans le dos, avant d’être abattus avec des fusils automatiques par des combattants talibans.

On peut entendre les combattants crier « Allahu Akbar » (Dieu est le plus grand), et un homme dire « Arrêtez, arrêtez » une fois que les captifs se sont affaissés, apparemment morts.

Une analyse du clip par le logiciel de vérification vidéo de l’AFP a montré que les premières versions de la séquence semblaient avoir été mises en ligne au cours des dernières 24 heures.

« Nous examinons la question pour savoir exactement quand ces vidéos ont été filmées et pour savoir si elles sont anciennes », a déclaré à l’AFP le porte-parole adjoint du gouvernement, Bilal Karimi.

La vidéo est devenue virale au lendemain de l’annonce par les talibans que leurs forces avaient tué au moins 40 combattants du FNR dans la vallée du Panchir, à 80 km au nord de Kaboul.

Le FNR a indiqué que les personnes exécutées dans la vidéo avait été capturées lors d’affrontements dans la vallée.

AVIATION – La compagnie Yemenia Airways a été condamnée mercredi à Paris à l’amende maximale de 225.000 euros après le crash en 2009 d’un A310 au large des Comores qui avait fait 152 morts, ne laissant qu’une seule survivante.

Le tribunal correctionnel a jugé la compagnie yéménite coupable d’homicides et blessures involontaires, lui imposant aussi de verser à deux associations plus d’un million d’euros en frais d’avocat et en dommages et intérêts.

L’avocat de la compagnie a immédiatement annoncé qu’elle ferait appel.

Dans la nuit du 29 au 30 juin 2009, alors qu’il s’apprêtait à atterrir à l’aéroport de Moroni, la capitale des Comores, le vol Yemenia 626 s’est abîmé dans l’océan Indien en emportant les vies de 141 passagers, dont 65 Français, et 11 membres d’équipage.

La seule survivante de la catastrophe, Bahia Bakari, alors âgée de 12 ans, était restée agrippée une dizaine d’heures dans les flots à un débris de l’avion avant d’être secourue. Les investigations, menées notamment sur les boîtes noires de l’appareil retrouvées au fond de l’océan fin août 2009, ont conclu que l’accident était dû à une série d’erreurs de pilotage.

A l’issue d’une longue instruction, la compagnie qui opérait le vol a été renvoyée devant la justice. Le procès s’est déroulé du 9 mai au 2 juin derniers et la décision a été mise en délibéré.

RUSSIE – La Russie a discrètement envoyé au moins 300 millions de dollars à des partis politiques et des candidats dans plus d’une vingtaine de pays depuis 2014 afin de tenter d’y influencer des élections, selon une estimation des renseignements américains rendue publique mardi.

Guerre en Ukraine, en direct : Vladimir Poutine dénonce les « ambitions  impérialistes » de l'OTAN

Les Etats-Unis « considèrent qu’il s’agit là d’estimations minimales, et que la Russie a probablement transféré secrètement davantage de fonds qui n’ont pas été repérés », a fait savoir un haut responsable américain.

« Nous pensons que ce n’est que la partie émergée de l’iceberg », a-t-il déclaré à des journalistes sous le couvert de l’anonymat.

Parmi les cas les plus frappants cités dans cette nouvelle analyse figure celui d’un ambassadeur russe en poste dans un pays asiatique, qui a donné des millions de dollars à un candidat à une élection présidentielle.

Les renseignements américains n’ont pas précisé les noms des pays concernés. Mais, selon une source proche du dossier dans l’administration Biden, la Russie a dépensé environ 500.000 dollars pour soutenir un candidat du Parti démocrate d’Albanie, de centre-droit, lors d’élections en 2017.

Moscou aurait également financé des partis ou candidats au Monténégro, en Bosnie ou à Madagascar, selon cette même source.

Cette personne, qui n’était pas autorisée à s’exprimer officiellement, a déclaré que Moscou utilisait Bruxelles comme centre depuis lequel de nombreuses fondations et structures soutenaient des candidats d’extrême droite.

L’ambassade russe en Equateur a également reçu « d’importantes sommes » d’argent entre 2014 et 2017, apparemment dans le but d’influencer le résultat d’élections, a ajouté cette source.

En Europe, Moscou a utilisé des contrats fictifs et des sociétés-écrans pour financer des partis politiques, tandis que les compagnies publiques russes ont acheminé des fonds jusqu’en Amérique centrale, en Asie, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, selon Washington.

CHARLES III – Selon le journal britannique « The Guardian », des dizaines d’employés de la couronne ont été informés de leur futur licenciement, seulement quelques jours après la mort d’Elizabeth II.

Pas de temps pour le deuil quand il s’agit de faire des plans sociaux. Alors que le nouveau roi Charles III devrait s’installer dans les prochains jours au palais de Buckingham, des dizaines d’employés de Clarence House, résidence jusque-là du nouveau monarque, vont être licenciés, a appris le Guardian. Selon le journal britannique de référence, jusqu’à 100 personnes ont été notifiées de leur futur licenciement ce lundi, et ce alors que la reine Elizabeth II n’a toujours pas été enterrée.

À Clarence House, beaucoup pensaient rejoindre avec le nouveau roi le palais de Buckingham, aucune indication n’ayant été donnée par Charles III avant la mort de sa mère.

« Tout le monde est absolument livide, y compris les secrétaires privés et l’équipe de direction. Tout le personnel a travaillé sans relâche depuis jeudi (date de la mort d’Elizabeth II) pour être confronté à ça », témoigne une source au journal.

Dans une lettre envoyée à l’ensemble des équipes de Clarence House, Sir Clive Alderton, secrétaire privé principal du roi Charles III et de son épouse Camilla, indique toutefois que certains postes en relation directe avec le couple seront maintenus.

MONARCHIE BRITANNIQUE – « Pas mon roi », « Abolition de la monarchie » et « Fin au féodalisme »… Certains Britanniques ont eu à faire à la police pour avoir manifesté leur opposition à la monarchie.

Les sujets du roi Charles III ont le droit de manifester, même contre la monarchie, a rappelé la police de Londres, alors que plusieurs vidéos virale ont montré, ces derniers jours, des protestataires arrêtés ou escortés par les forces de l’ordre.

Le décès de la souveraine de 96 ans, à l’immense popularité, a déclenché une forte vague d’émotion, avec des hommages d’une rare unanimité incluant les républicains nord-irlandais ou les indépendantistes écossais.

Mais quelques voix dissonantes se font fait entendre. Lundi, déjà, alors que le roi Charles III se rendait au Parlement de Londres recevoir les condoléances de deux chambres, deux manifestants ont brandi des papiers indiquant « Pas mon roi », « Abolition de la monarchie » et « Fin au féodalisme », sur le trottoir en face du palais de Westminster. L’une d’elle s’est ensuite approchée des grilles du Parlement, puis des agents de police l’ont raccompagnée à distance dans le calme, selon des images diffusées par Twitter par le journal Evening Standard qui ont été repartagées des milliers de fois.

Selon un sondage publié à l’occasion des 70 ans de règne en juin par l’institut YouGov, 62% des Britanniques pensent que le pays doit rester une monarchie, seuls 22% estimant qu’il faudrait un chef d’État élu.

TURQUIE-GRECE – Ils se trouvaient en mer Egée à bord de quatre embarcations. Six migrants, dont deux bébés, sont morts noyés après avoir été refoulés par la Grèce dans les eaux turques de la mer Egée, ont rapporté mardi les garde-côtes turcs. Mardi matin, les autorités turques ont également secouru 73 autres personnes qui tentaient de gagner l’Europe, au large de la province de Mugla (sud-ouest), ont précisé les garde-côtes dans un communiqué.

Grèce: nouveaux naufrages en Egée, 15 migrants morts dont 6 enfants -  L'Express

Leur nationalité n’a pas été immédiatement mentionnée, mais elles auraient embarqué depuis le port libanais de Tripoli samedi pour essayer de gagner l’Italie, ont-ils indiqué en citant le témoignage des personnes secourues. Elles ont finalement appelé les autorités grecques à l’aide après s’être trouvées lundi en panne de carburant au large de l’île grecque de Rhodes, selon la même source. « On nous a appris qu’après avoir été pris à bord d’un bateau des garde-côtes grecs et dépouillés de leurs biens de valeur, (les migrants) ont été placés à bord de quatre embarcations et abandonnés à la dérive à proximité des eaux territoriales turques », témoigne un garde-côte turc dans le communiqué.

Athènes et Ankara entretiennent des relations plus que tendues et s’accusent mutuellement de violer les droits des migrants​. La Grèce a reconnu dimanche avoir bloqué l’entrée de plus de 150.000 personnes sans papiers à ses frontières terrestres et maritimes depuis le début de l’année, dont 25.000 pour le seul mois d’août.

FRANCE – Ne dites pas « mensonges et imprécisions flattant la propagande russe » mais « vérités interdites ». Écartée de l’antenne de BFMTV en raison de ses propos controversés sur les crimes de guerre commis par la Russie en Ukraine, Ségolène Royal a déploré son éviction, ce mardi 13 septembre sur Twitter.

Selon elle, la décision prise par Marc-Olivier Fogiel relève d’un « autoritarisme bizarre » qui contrevient à la liberté d’expression. « Ainsi donc je suis censurée de BFMTV pour avoir dit des vérités interdites et, crime encore plus grave, avoir accepté une autre chaîne de télévision pour en parler », a jugé l’ancienne candidate à l’élection présidentielle, avant de remercier ses soutiens.

À noter que Ségolène Royal n’a pas exactement révélé « des vérités interdites » à l’antenne de BFMTV, mais a carrément remis en cause le bombardement de maternité de Marioupol par l’armée russe — pourtant largement documenté. « Vous pensez bien que s’il y avait la moindre victime, le moindre bébé avec du sang, à l’heure des téléphones portables on aurait eu [les images]… », avait-elle déclaré en plateau… avant de présenter ses excuses plus tard et d’admettre son erreur auprès de Libération.

PACIFIQUE NORD – Chaque jour, à chaque instant, des millions de déchets plastique rejoignent les océans, charriés par les rivières ou depuis les abords des villes côtières, et finissent par tapisser les fonds marins. Des chercheurs mettent en évidence la provenance des débris flottants de cette partie de l’océan Pacifique Nord qui ne représente qu’une infime partie de la pollution de l’océan mondial.

D’après une étude, 90 % des milliers de tonnes de déchets plastiques qui forment ce qu’on appelle communément le « continent du plastique du Pacifique », proviendraient en grande partie de produits de pêche originaires de cinq pays industrialisés. 

Les chercheurs sont parvenus à identifier un total de 232 objets en plastique ainsi que leur pays d’origine en se basant sur des éléments tels que la langue, le texte, le nom de l’entreprise ou le logo de la marque. Une part importante de ces déchets proviendrait du Japon (34 %), de Chine (32 %), de Corée (10 %), des États-Unis (7 %) et de Taïwan (6 %).

ARMENIE – AZERBAÏDJAN – Les deux pays se sont accusés mutuellement, ce mercredi 14 septembre, d’avoir mené de nouvelles attaques, au lendemain des pires violences entre les deux pays depuis la guerre de 2020 pour la région disputée du Haut-Karabakh. La Russie a annoncé un cessez-le-feu, mais les deux camps s’accusent déjà l’un l’autre de l’avoir violé.

Haut-Karabakh : cessez-le-feu fragile entre Azerbaïdjan et Arménie - Le  Point

Au moins 105 militaires arméniens sont morts, selon un nouveau bilan communiqué mercredi par le premier ministre arménien, Nikol Pachinian. Un précédent bilan faisait état de 49 morts au sein de l’armée arménienne. L’Azerbaïdjan, qui a annoncé 50 soldats tués dans ses rangs, a proposé de remettre à Erevan les corps de 100 militaires arméniens, tout en appelant à un cessez-le-feu.

Aussi, les forces azerbaïdjanaises ont « occupé » 10 kilomètres carrés de territoire arménien lors des affrontements frontaliers qui opposent Erevan à Bakou depuis mardi, a fait savoir mercredi après-midi le premier ministre arménien. « L’ennemi a occupé 40 kilomètres carrés de territoire arménien en mai et 10 kilomètres carrés supplémentaires » lors des affrontements en cours, a déclaré M. Pachinian devant le Parlement à Erevan. « Ils doivent quitter nos terres », a-t-il ajouté.

En visite au Kazakhstan, le pape François s’est dit « préoccupé » par les violences dans le Caucase et a appelé à « prier afin que dans ces territoires aussi la confrontation pacifique et la concorde prévalent sur les querelles ».

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