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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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IRAK – Quatre roquettes ont été tirées ce jeudi depuis l’est de Bagdad vers la Zone verte de la capitale irakienne, où se trouvent des bâtiments gouvernementaux et des missions étrangères, a rapporté la police, alors que les troubles politiques s’intensifient.

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Aucune victime n’a été signalée dans l’immédiat et la responsabilité des tirs n’a pas été revendiquée, ont déclaré deux officiers de police.

Mercredi, une attaque similaire a blessé sept membres des forces de sécurité irakiennes dans la même zone de la ville.

Les tirs de roquettes sur la Zone verte sont réguliers depuis quelques années, mais ils sont généralement dirigés contre des cibles occidentales par des milices soutenues par l’Iran.

L’attaque de mercredi s’est produite alors que le Parlement tenait un vote pour renouveler sa confiance à son président. L’Irak est sans gouvernement depuis les législatives d’octobre 2021, faute d’accord entre les factions chiites.

La crise politique oppose le puissant imam chiite Moqtada Sadr à un ensemble de groupes politiques et militants, pour la plupart alignés sur l’Iran.

Le parti de Moqtada al Sadr est arrivé en tête des élections législatives, mais il a retiré en juin dernier ses 74 députés du Parlement faute d’avoir réussi à former un gouvernement excluant ses rivaux chiites.

L’impasse a dégénéré en affrontements de rue qui ont fait des dizaines de morts dans le centre de Bagdad en août. De nombreux Irakiens craignent que la même chose ne se reproduise.

IRAN – L’Iran a menacé de «s’en prendre» à ses célébrités qui ont soutenu ces derniers jours les manifestations déclenchées par la mort pendant sa garde à vue de Mahsa Amini, une jeune femme kurde arrêtée par la police des mœurs.

«Nous allons nous en prendre aux célébrités qui ont soufflé sur les braises» des «émeutes», a déclaré jeudi le gouverneur de la province de Téhéran, Mohsen Mansouri, cité jeudi par l’agence de presse ISNA. Plusieurs sportifs iraniens réputés ainsi que des acteurs et cinéastes ont soutenu ouvertement le mouvement de contestation, demandant aux autorités d’écouter les revendications de la population.

Le réalisateur iranien Asghar Farhadi, deux fois oscarisé, a ainsi exhorté dimanche les peuples du monde entier à «être solidaires» avec les manifestants. «J’invite tous les artistes, cinéastes, intellectuels, militants des droits civiques du monde entier (…) tous ceux qui croient en la dignité et la liberté humaine, à exprimer leur solidarité avec les femmes et les hommes puissants et courageux d’Iran en faisant des vidéos, en écrivant ou de n’importe quelle autre façon», a-t-il dit dans un nouveau message vidéo sur Instagram.

Mercredi, le président Raïssi a jugé «inacceptable» le «chaos» engendré par la vague de manifestations et dénoncé « l’hypocrisie » de l’Occident. Berlin a demandé à l’UE de prendre des sanctions contre Téhéran.

LIBAN – Comme prévu, les députés libanais ne sont pas parvenus à élire ce jeudi le président de la République appelé à succéder à Michel Aoun à l’issue de son mandat le 31 octobre.

Le président du Parlement, Nabih Berri, a indiqué qu’il n’organiserait un nouveau vote que lorsqu’un candidat de consensus aurait émergé.

La majorité des suffrages exprimés jeudi étaient blancs (63), tandis que Michel Moawad, un chrétien maronite comme Michel Aoun, conformément à l’accord de partage du pouvoir entre communautés au Liban, a recueilli 36 voix sur un total de 122 députés présents. Le résultat du vote est le suivant : Michel Moawad 36 voix, Sélim Eddé 11 voix, Bulletins blancs 63 et Bulletins invalides, avec les mentions Liban, Nahj Rachid Karamé et Mahsa Amini 12

Si le Hezbollah chiite pro-iranien et ses alliés, dont fait partie Michel Aoun, ne s’entendent pas avec leurs adversaires politiques sunnites et chrétiens, le poste de chef de l’Etat pourrait rester vacant à partir du 1er novembre, comme cela s’est produit à plusieurs reprises depuis la fin de la guerre civile en 1990.

Dans cette perspective, les tractations visant à permettre la formation d’un nouveau gouvernement dirigé par le Premier ministre sunnite Najib Mikati – qui assure actuellement cette fonction par intérim – se sont accélérées.

LIBAN – «Le ministère des Finances et la Banque centrale se sont entendus sur l’adoption du taux de 15.000 livres libanaises pour un dollar», a annoncé le ministère dans un communiqué. Une information confirmée à l’AFP par une source au sein de la Banque centrale. «Cette mesure entrera en vigueur à partir du 1er novembre 2022» et constituera «un premier pas» vers l’unification des multiples taux de change en vigueur au Liban, selon le ministère. La monnaie nationale, valait officiellement 1507 livres pour un dollar depuis 1997. Elle a perdu depuis 2019 environ 95% de sa valeur.

Le dollar s’échangeait toutefois ce jeudi aux alentours de 38.400 livres sur le marché noir. Le 19 septembre, la livre libanaise avait enregistré un nouveau plus bas face au dollar américain, s’échangeant à 38.500 pour un billet vert. 

ISRAËL – Bien que le nombre d’étudiants Arabes israéliens en high-tech ait plus que doublé au cours des sept dernières années, ils ne représentaient que 1,8 % de l’écosystème high-tech du pays en 2021, selon une nouvelle recherche rédigée par le Start-Up Nation Policy Institute (SNPI) en collaboration avec l’Autorité israélienne de l’innovation et Hasoub, une ONG qui se consacre à la promotion des entrepreneurs arabes. 

Depuis 2018, il y a eu très peu de croissance de l’emploi arabe dans la high-tech en général. Après avoir atteint 2.2% en 2018, la part des employés arabes dans la haute technologie a diminué à 1,8 % en 2021 et seulement 0,8 % des PDG de ce secteur sont Arabes israéliens.

Les Arabes représentaient 21,1 % de la population israélienne en 2020, selon l’Institut israélien pour la démocratie, avec une petite majorité (51,6 %) résidant dans les régions du nord du pays.

Assaf Patir, l’économiste en chef du SNPI qui a dirigé le rapport, a déclaré à The Media Line que l’institut ne pouvait pas encore déterminer précisément pourquoi le nombre d’Arabes entrant dans le secteur technologique était si faible.

« Nous pensons que le principal obstacle se situe au niveau de l’enseignement primaire et secondaire. Seuls 15 % des étudiants qui passent les [plus hautes épreuves de mathématiques] d’Israël sont arabes », a-t-il déclaré.

En outre, « la plupart des hautes technologies d’Israël sont concentrées dans la région de Tel Aviv », a affirmé Uri Gabai, PDG du SNPI, qui estime que les barrières géographiques et culturelles sont les principaux facteurs qui empêchent un plus grand nombre d’Arabes d’entrer dans l’écosystème technologique.

Une centaine de start-ups ont été fondées par des entrepreneurs technologiques arabes au cours de la dernière décennie, dont près de la moitié dans des villes arabes. En d’autres termes, seules 10 nouvelles entreprises sont créées en moyenne chaque année dans la société arabe.

CISJORDANIE – L’Autorité palestinienne (AP) fait l’objet de pressions croissantes pour qu’elle coupe tous ses liens avec Israël et mette fin à la répression sécuritaire de ses rivaux politiques en Cisjordanie, après l’opération menée mercredi par les forces de Tsahal à Jénine.

Quatre Palestiniens armés ont été tués et 44 autres blessés au cours de l’opération militaire, qui a été suivie d’une grève générale dans toutes les villes de Cisjordanie.

Après l’opération, plusieurs groupes palestiniens ont réitéré leur demande à l’AP de mettre fin à la coordination sécuritaire avec Israël. Ils ont exhorté les Palestiniens de Cisjordanie à intensifier les attaques de « résistance » contre les soldats et les habitants des implantations juives.

L’AP n’a pas commenté les appels à rompre ses liens avec Israël. De hauts responsables ont toutefois lancé une attaque cinglante contre l’Etat hébreu et l’ont accusé de commettre des « massacres » contre les Palestiniens.

« L’occupation israélienne continue à altérer la sécurité et la stabilité », a déclaré le porte-parole présidentiel de l’AP, Nabil Abu Rudaineh. « Israël et les États-Unis ont perdu leur crédibilité ».

En réponse aux opérations antiterroristes israéliennes, le Hamas a demandé à l’AP de mettre immédiatement fin à la coordination sécuritaire avec Israël.  Le Fatah, le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), le Front démocratique pour la libération de la Palestine (FDLP), le Jihad islamique palestinien et un certain nombre de groupes armés de la bande de Gaza se sont joints aux appels lancés à l’AP pour qu’elle coupe tous les liens avec Israël.

SOUDAN DU SUD – Des accusations d’abus sexuels commis par des travailleurs humanitaires dans un camp de protection des civils géré par l’ONU ont resurgi, faisant suite à de précédentes allégations en 2015. Une enquête conjointe de “The New Humanitarian” et d’“Al-Jazeera” fait état d’une impunité inouïe.

Au camp de réfugiés de Malakal, au Soudan du Sud, les récits d’abus sexuels s’accumulent. “Peu de temps après” l’ouverture du camp, en 2013, les signalements commencent, révèle une enquête menée par The New Humanitarian et Al-Jazeera.

Dans ce camp abritant environ 37 000 personnes déplacées par la guerre civile, l’exploitation sexuelle est principalement le fait de “travailleurs humanitaires”. Les auteurs présumés dépendent notamment de “l’Organisation internationale pour les migrations [OIM] et de Médecins sans frontières [MSF]”, précise l’enquête.

Depuis 2019, un total de “28 allégations” a été enregistré dans tout le Soudan du Sud, dont 8 à Malakal. Cependant, force est de constater que l’ampleur réelle des abus est bien plus grande, indique le travail d’investigation. En effet, en l’espace d’une seule semaine, The New Humanitarian et Al-Jazeera ont pu identifier “sept victimes” à Malakal.

De son côté, l’OIM a bien affirmé avoir pris connaissance d’un nombre de “11 allégations d’abus et d’exploitation sexuels” contre ses travailleurs depuis 2017, dont deux qui revendiquaient une “reconnaissance de paternité”, note l’enquête.

SOUDAN – L’ambassadeur américain au Soudan a mis en garde contre les conséquences qu’entraîneraient l’installation d’une base militaire russe sur la côte de la mer Rouge.

John Godfrey a tenu à mettre la pression sur les dirigeants soudanais.

L’ambassadeur des Etats-Unis à Khartoum a déclaré que le déploiement envisagé d’une base militaire russe dans le pays isolerait le Soudan de la communauté internationale et saperait les intérêts du pays.

« Tous les pays ont le droit souverain de décider avec quels autres pays coopérer, mais ces choix ont bien sûr des conséquences », a indiqué M. Godfrey.

En juillet 2022, la base militaire au Soudan a été inclue dans la nouvelle doctrine navale russe.

Selon les accords préliminaires, elle devra compter 300 employés au maximum et abriter jusqu’à 4 navires de guerre.

La Russie protégera la zone avec ses forces de défense aérienne. Les accords porteront sur une durée de 25 ans et pourront être automatiquement renouvelés pour des périodes de 10 ans.

Le chef du Conseil de souveraineté soudanais Abdel Fattah Al-Bourhan a déclaré dans une interview en marge de l’Assemblée générale des Nations unies que l’accord en question était toujours en discussion.

RDC-OUGANDA – Au moins 22 soldats sont morts dans un double crash d’hélicoptères de l’armée ougandaise lundi et mardi, dans l’Est de la République démocratique du Congo et en Ouganda, a rapporté ce jeudi un porte-parole de l’armée congolaise.

Le premier crash s’est produit près du village de Boga, dans la province de l’Ituri en RDC et l’autre dans la zone frontalière de Kabarole, en Ouganda, a déclaré le porte-parole congolais précisant que « 19 soldats ougandais sont morts et trois autres soldats congolais ».

Les deux hélicoptères « étaient en opérations offensives contre les terroristes des forces démocratiques alliés (ADF) », a précisé la même source.

Les deux armées n’ont pas communiqué sur les circonstances de ces crashs, ni sur les raisons. L’armée ougandaise est en opération dans le Nord – est de la république démocratique du Congo depuis fin novembre de l’an dernier aux côtés des troupes congolaises contre les ADF, une rébellion d’origine ougandaise. Daech pressente l’ADF comme sa branche en « Afrique centrale » depuis 2019 et revendique certaines de ces attaques.

MADAGASCAR – Un sondage mené par l’institut indépendant « Afrobaromètre » révèle que plus de 80% des parents à Madagascar considèrent que les châtiments corporels sont justifiés. Ils ne sont que 20% à dire qu’il ne faut pas frapper son enfant. Le fouet ou la fessée sont plus fréquents à la campagne qu’en ville, et plus on descend dans l’échelle sociale, plus on considère que frapper son enfant est normal.

L’autre enseignement de cette enquête menée sur un échantillon de 1200 personnes est que les mamans sont encore plus motivées que les papas pour discipliner ainsi leurs enfants : elles sont 85% à partager l’opinion que le châtiment corporel se justifie. Mais les mêmes personnes interrogées disent qu’elles ne le pratiquent pas beaucoup. Paradoxalement, la majorité dit approuver la politique du gouvernement dans la protection et la promotion du bien-être des enfants.

Les paradoxes ne manquent pas dans cette enquête sociologique, sur un autre sujet: l’emploi des femmes. Une majorité de malgaches des deux sexes trouve normal que l’on donne la priorité de l’emploi aux hommes ; et en même temps approuve massivement la politique officielle en faveur de l’emploi des femmes.

COREES – La Corée du Nord a tiré un missile balistique non identifié en mer, le troisième en moins d’une semaine, a annoncé jeudi l’armée sud-coréenne, quelques heures après le départ de Corée du Sud de la vice-présidente américaine Kamala Harris.

« La Corée du Nord a tiré un missile balistique non identifié en mer de l’Est », plus connue sous le nom de mer du Japon, a indiqué le chef d’état-major sud-coréen dans un communiqué.

Le ministère de la Défense japonais, cité par les garde-côtes de ce pays, a également fait état d’un possible missile balistique par la Corée du Nord.

Durant sa visite Mme Harris s’est rendue à la frontière fortement militarisée avec la Corée du Nord, dans le cadre d’un voyage destiné à renforcer les engagements en matière de défense entre Washington et Séoul.

La Corée du Nord avait procédé à deux tirs de missiles balistiques dans les jours précédant la venue de la dirigeante américaine, poursuivant une série record de tests d’armes depuis le début de l’année.

L’engagement des États-Unis pour la défense de la Corée du Sud est « inébranlable », a déclaré Mme Harris, assurant que Washington et Séoul étaient « alignés » dans leur réponse à la menace croissante des programmes d’armement du Nord.

Les Etats-Unis ont quelque 28.500 soldats en Corée du Sud pour aider ce pays face à la menace d’une attaque de son voisin du Nord. 

Séoul a annoncé jeudi sa participation à des manœuvres anti-sous-marins avec le Japon et les Etats-Unis, pour la première fois depuis 2017.

ALLEMAGNE – Le chancelier Olaf Scholz a annoncé le déblocage de 200 milliards d’euros pour plafonner les prix de l’énergie et soulager les consommateurs face à l’inflation qui ne cesse d’augmenter depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

« Les prix doivent baisser (…), le gouvernement allemand va tout faire pour les faire baisser » aussi bien pour les ménages que pour les entreprises, a-t-il dit, lors d’une conférence de presse à Berlin, au terme de négociations gouvernementales sur la mise en place d’un nouveau plan de soutien au pouvoir d’achat. Ce nouveau dispositif s’ajoute à de précédentes mesures de soutien totalisant déjà environ 100 milliards d’euros.

L’inflation en Allemagne a bondi à 10,0% sur un an en septembre, la valeur la plus élevée enregistrée depuis décembre 1951.

« Nous nous trouvons dans une guerre de l’énergie pour la prospérité et la liberté », a ajouté le ministre des Finances, Christian Lindner, soulignant que la situation s’était aggravée « après le sabotage par des auteurs inconnus » des gazoducs Nord Stream en mer Baltique.

« Cette guerre de l’énergie a pour but de détruire une grande partie de ce que les gens ont personnellement construit pendant des décennies, de ce qui a été construit pendant des décennies dans la classe moyenne, l’artisanat et l’industrie », a déclaré le ministre.

« Nous ne pouvons pas accepter cela et nous nous défendons », a-t-il ajouté, présentant les nouvelles mesures d’aide comme « une réponse claire à Poutine ».

L’Allemagne paie au prix fort sa dépendance au gaz russe, qui représentait 55% de ses importations gazières avant la guerre en Ukraine. La première économie européenne doit désormais trouver d’autres sources d’approvisionnement sur le marché comptant où les prix ont explosé.

GRANDE BRETAGNE – La BBC, engagée ces dernières années dans un plan d’économies drastiques, a annoncé ce jeudi son intention de supprimer 382 postes dans son service international, afin d’accélérer sa mutation vers le numérique.

Ce projet au sein du BBC World Service va se traduire par la fermeture des radios en arabe, en perse et en chinois, ainsi que l’arrêt de certains programmes TV en Afrique ou Asie, a précisé dans un communiqué le groupe audiovisuel public britannique.

La BBC assure qu’aucun des 41 services en langue étrangère ne sera complètement fermé mais presque la moitié d’entre eux ne seront plus disponibles qu’en ligne.

« L’évolution des habitudes du public dans le monde, avec un nombre croissant de personnes accédant aux informations par voie numérique, s’accompagne d’un climat financier difficile », a rappelé le groupe.

A l’approche de son centenaire le mois prochain, la BBC était déjà sous pression financière considérable: outre le vieillissement de ses audiences, le gouvernement conservateur a gelé la redevance pour deux ans, créant un trou béant dans ses comptes vu le niveau élevé de l’inflation. Le contexte s’est encore dégradé ces derniers mois avec l’envolée des prix et donc de ses coûts, poussant la BBC à « des choix difficiles »

Le BBC World Service touche une audience estimée à 365 millions de personnes dans le monde chaque semaine et ses programmes sont particulièrement importants dans des pays où la liberté de la presse est limitée.

EUROPE ENERGIE – Les prix élevés du gaz et de l’électricité font peser un « risque imminent » de « pertes de production » et « d’arrêts de milliers d’entreprises européennes », a averti ce jeudi BusinessEurope, une organisation représentant le patronat européen.

Dans une lettre adressée à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, l’association patronale réclame notamment un assouplissement du cadre des aides d’Etat aux entreprises en difficulté, un découplage d’urgence des prix de l’électricité de ceux du gaz ainsi que la mobilisation de tous les moyens de production d’électricité disponibles.

« Il est urgent de trouver des moyens au niveau de l’UE d’atténuer l’impact des prix de l’énergie qui paralysent les entreprises européennes, c’est une question de survie », affirme le lobby des entreprises qui regroupe des organisations comme le Medef en France ou le BDA en Allemagne, à la veille d’une réunion des Etats membres à Bruxelles sur la crise énergétique.

L’exécutif européen et les Vingt-Sept peinent jusqu’à présent à esquisser des solutions, tant les mix énergétiques et les intérêts des différents pays sont divergents.

Quelque « 70% de la production européenne d’engrais a été arrêtée ou ralentie, tandis que 50% de la capacité totale de production d’aluminium a été perdue. Il existe un réel danger que les entreprises, et en particulier les industries à forte intensité énergétique, se délocalisent définitivement en dehors de l’Europe », s’inquiète BusinessEurope.

« Pour éviter de nouvelles pertes de production, le cadre communautaire des aides d’État doit être encore ajusté afin de permettre temporairement aux États membres d’accorder les aides dont les entreprises touchées ont tant besoin », a-t-elle réclamé.

« De nombreuses entreprises étant au bord de l’effondrement, il convient d’envisager toutes les options pour faciliter la production d’énergie, y compris des adaptations législatives temporaires ou des moratoires », demande l’organisation, au moment où des réacteurs nucléaires sont mis à l’arrêt en Belgique et en Allemagne.

ONU – L’Américaine Doreen Bogdan-Martin est devenue ce jeudi la première femme élue à la tête de l’agence des télécoms de l’ONU, remportant le scrutin haut la main face à son adversaire russe. Avec 139 voix en sa faveur, contre 25 pour le Russe, elle prendra la succession, l’an prochain, du Chinois Houlin Zhao à la tête de l’Union internationale des télécommunications (UIT), selon le résultat de l’élection qui s’est déroulée à Bucarest.

Fondée à Paris en 1865 sous le nom d’Union télégraphique internationale, l’organisation – intégrée au giron des Nations unies depuis 1949 – porte son nom actuel depuis 1932.

« Aujourd’hui, nous avons écrit l’histoire. Après 157 ans, nous avons brisé le plafond de verre », a lancé Mme Bogdan-Martin, devant les représentants des Etats membres.

L’UIT établit les normes mondiales aussi bien pour les téléphones mobiles que la télévision ou internet.

L’élection s’est tenue à bulletins secrets. Jusque-là directrice du développement des télécommunications de l’UIT, la candidate de Washington était donnée favorite.

Pendant la campagne, elle a mis en avant sa volonté de parvenir à la connectivité universelle. Son rival, l’ancien vice-ministre russe des Télécommunications, Rashid Ismailov, avait lui fait valoir son souhait d’humaniser le développement technologique, plutôt que de se concentrer uniquement sur son expansion. Après son élection, l’Américaine a tenu un discours d’unité.

AFGHANISTAN – Les talibans ont tiré en l’air ce jeudi pour disperser un rassemblement de femmes organisé devant l’ambassade d’Iran à Kaboul en soutien aux Iraniennes qui manifestent dans leur pays depuis plusieurs jours, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Aux cris de « Femme, vie, Liberté », quelque 25 femmes ont manifesté pendant une quinzaine de minutes sur la route en face de l’ambassade iranienne, avant d’être dispersées par des coups de feu tirés en l’air par les talibans postés devant le bâtiment. Ils ont également tenté de frapper les manifestantes à coup de crosse.

« L’Iran se soulève, maintenant c’est à notre tour », « De Kaboul à l’Iran, dites non à la dictature ! », ont également scandé les manifestantes, derrière des banderoles que les talibans leur ont arrachées des mains.

Les femmes, dont certaines avaient dissimulé leur visage derrière des lunettes de soleil et des masques chirurgicaux, ont ramassé les débris de leurs bannières pour en faire des boules de papier et les jeter sur les talibans qui leur faisaient face.

Les talibans ont également ordonné à des journalistes d’effacer les vidéos et les photos de la manifestation.

Des manifestations ont lieu tous les soirs en Iran depuis le 16 septembre, date à laquelle la jeune Mahsa Amini est morte à l’hôpital.

BIRMANIE – La junte birmane a condamné ce jeudi Aung San Suu Kyi à trois ans de prison pour violation de la loi sur les secrets officiels, a déclaré à l’AFP une source proche du dossier.

Le tribunal a également condamné son ex-conseiller, l’économiste australien Sean Turnell, ainsi que trois autres prévenus, à la même peine, selon la même source.

« Sean Turnell,  Aung San Suu Kyi et les trois autres ont été condamnés à trois ans de prison chacun en vertu de la loi sur le secret d’Etat », a déclaré cette source à l’AFP sous couvert d’anonymat, ajoutant que Suu Kyi ferait appel de son verdict.

L’ancienne cheffe du gouvernement civil, renversé par les militaires en février 2021, fait l’objet d’un procès fleuve dénoncé comme politique par la communauté internationale.

Cette nouvelle condamnation vient s’ajouter aux 20 ans de prison déjà prononcés contre elle pour différents motifs, dont la fraude électorale et la corruption. Elle risque en tout plus de 120 ans de prison.

Arrêtée au moment du putsch, qui a mis fin à une décennie de transition démocratique en Birmanie, Aung San Suu Kyi a été placée à l’isolement dans une prison de Naypyidaw fin juin.

C’est dans cet établissement pénitentiaire de la capitale birmane que se poursuit son procès, qui a débuté il y a plus d’un an, à huis clos, ses avocats ayant interdiction de parler à la presse et aux organisations internationales.

M. Turnell, professeur d’économie australien, travaillait en tant que conseiller d’Aung San Suu Kyi lorsqu’il a été arrêté quelques jours après le coup d’État militaire.

La source a ajouté qu’une accusation distincte contre lui, en vertu de la loi sur l’immigration, était en cours.

Son arrestation a suscité l’indignation des diplomates australiens, qui ont fait pression sur les pays voisins de la Birmanie pour qu’ils apportent leur aide dans cette affaire.

NICARAGUA – Le président Daniel Ortega a qualifié mercredi soir l’Eglise catholique de « dictature parfaite, de tyrannie parfaite » deux semaines après que le pape François a assuré qu’« il y a un dialogue » avec Managua.

« Qui élit les curés ? Qui élit les cardinaux ? Qui élit le pape ? (…) c’est une dictature parfaite, une tyrannie parfaite ! » s’est exclamé M. Ortega dans un discours à l’occasion du 43e anniversaire de la fondation de la police nicaraguayenne.

Le pape François a insisté le 15 septembre sur la nécessité de « ne jamais arrêter le dialogue » avec le Nicaragua, où les tensions croissent entre l’Etat et l’Eglise catholique.

« Il y a un dialogue. On a parlé avec le gouvernement. Il y a un dialogue. Ça ne veut pas dire que l’on approuve tout ce que fait le gouvernement. Ou que l’on désapprouve tout », a dit le pape argentin.

En mars, le Nicaragua avait expulsé l’ambassadeur du Vatican. Et en août, Mgr Rolando Alvarez, critique du régime, a été arrêté et « assigné à résidence », selon la police qui a invoqué des activités « déstabilisantes et provocatrices » de l’évêque.

Faisant fi de la main tendue du pape, le président Ortega a attaqué violemment l’Eglise catholique.

« Moi, je dirais à sa Sainteté le pape, bien respectueusement, aux autorités catholiques -je suis catholique- comme chrétien, je ne me sens pas représenté », a-t-il dit en évoquant « l’histoire terrible » de l’Eglise, citant pêle-mêle l’inquisition et les abus contre les enfants autochtones au Canada.

« Nous les entendons parler de démocratie », a-t-il ironisé, en recommandant que tous les ecclésiastiques – des prêtres au pape, en passant par les cardinaux – soient élus par les fidèles.

JAMES BOND – Une réplique d’Aston Martin DB5, qui a servi pour les cascades du James Bond « No Time To Die » (« Mourir peut attendre »), a été vendue mercredi près de trois millions de livres sterling aux enchères, lors d’une vente de charité qui a permis de recueillir plus de six millions de livres.

Les fruits de cette vente, organisée par la maison Christie’s pour célébrer soixante ans de James Bond au cinéma, ont atteint 6.103.500 livres sterling (6.827.000 euros) pour 25 lots, selon le compte Twitter officiel James Bond @007.

Les fonds recueillis sont destinés à 45 associations, parmi lesquelles la fondation du prince Charles- avant qu’il ne devienne roi avec la mort de la reine Elizabeth II le 8 septembre – ou Médecins Sans Frontières.

Vendue pour 2,922 millions de livres sterling (3,26 millions d’euros), la réplique de DB5, modèle emblématique de 007, est l’un des huit exemplaires spécialement conçus et fabriqués pour le tournage du long-métrage réalisé en 2021 et la seule voiture de cascades à ce jour mise en vente par Aston Martin et EON productions, selon Christie’s.

Une autre Aston Martin, un modèle V8 du début des années 1980 apparaissant également dans « Mourir peut attendre », a été vendue 630.000 livres (plus de 700.000 euros), une troisième, une récente DBS Superleggera, pour 403.000 livres (plus de 450.000 euros).

LA BARBADE – L’île de la Barbade, récemment indépendante, sera le premier pays à bénéficier d’un prêt dans le cadre du nouvel instrument du Fonds monétaire international (FMI), destiné à aider les pays pauvres ou vulnérables, notamment à s’adapter au changement climatique, a annoncé mercredi l’institution.

Le FMI a donné son accord, soumis à l’approbation du conseil d’administration, pour une aide à cette toute jeune république des Caraïbes, d’un montant total de près de 300 millions de dollars, à travers deux programmes différents.

La Barbade sera ainsi le premier pays à bénéficier du nouveau fonds fiduciaire pour la résilience et la durabilité (RST), entré en vigueur en mai dernier, pour aider les pays pauvres ou vulnérables à faire face à des difficultés à long terme comme le changement climatique ou les pandémies.

Le pays aura ainsi accès, dans le cadre de ce RST, à 141,75 millions de DTS (droits de tirages spéciaux, ou SDR en anglais, unité de compte du FMI, qui repose sur un panier de cinq grandes monnaies internationales), correspondant à environ 183 millions de dollars.

Cela « fournira un financement pour soutenir les efforts d’adaptation et d’atténuation du changement climatique, et soutenir l’objectif ambitieux de la Barbade, de transition vers une économie entièrement basée sur les énergies renouvelables d’ici 2030 », a indiqué dans le communiqué Bert van Selm, responsable de l’équipe du FMI qui s’est rendu sur place du 20 au 28 septembre.

ETATS-UNIS – PACIFIQUE– Les Etats-Unis ont accueilli mercredi un sommet « sans précédent » pour les îles du Pacifique, une région où ils sont en concurrence frontale avec la Chine, promettant plus d’aide et une implication accrue.

Ouvrant le sommet au siège du département d’Etat en présence d’une douzaine de dirigeants et représentants des îles, le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a assuré à ces partenaires qu’ils « pouvaient compter sur les Etats-Unis ».

Dans une allusion à peine voilée à la Chine, il a insisté sur le fait qu’il s’agissait de garantir une « région indo-pacifique » qui soit « libre et ouverte et où tous les pays — qu’ils soient très gros ou tout petits — ont le droit de choisir leur voie ».

Le porte-parole du département d’Etat, Ned Price, a souligné mercredi qu’il y avait eu lors d’un déjeuner un accord général sur « une vision partagée pour la région », en attendant l’adoption d’une déclaration finale sans doute jeudi.

Joe Biden a annoncé ce jeudi« de nouvelles initiatives substantielles » et de « nouveaux investissements » dans des domaines variés dont un fonds de 810 millions de dollars pour aider dans les domaines de l’environnement, de la santé ou de la lutte contre la pêche illégale.

CENTRAFRIQUE – Le Français arrêté il y a 16 mois en possession d’armes de guerre en Centrafrique, où il est accusé d’espionnage, a été remis mercredi en liberté provisoire dans l’attente d’un procès, a annoncé à l’AFP l’ambassadeur de France à Bangui.

Juan Rémy Quignolot, un ancien militaire, avait été interpellé le 10 mai 2021 à Bangui, puis accusé d’« atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat », « complot » et « espionnage », dans un contexte de tensions persistantes entre la France et son ancienne colonie.

« M. Quignolot, affaibli par une grève de la faim depuis quinze jours, a été relâché en liberté provisoire sous caution judiciaire cet-après midi », a annoncé à l’AFP Jean-Marc Grosgurin, l’ambassadeur de France. « Notre priorité était de le faire sortir avant son procès, mais aussi qu’il soit en mesure de recevoir des soins », a ajouté le diplomate.

« J’ai demandé sa remise en liberté, compte tenu des délais dépassés de sa détention provisoire, à la chambre d’accusation » de la Cour d’appel de Bangui, « qui a accepté de le relâcher jusqu’à son procès supposé se dérouler fin octobre », expliqué à l’AFP son avocate Arlette Sombo Dibelé, en rappelant que son client « bénéficie de la présomption d’innocence ».

IAN – Certaines villes de Floride, comme Cape Coral ou Fort Myers, ont été « vraiment dévastées » par le passage du puissant ouragan Ian, a déclaré ce jeudi le gouverneur de l’Etat.

« Certaines de ces zones, Cape Coral, la ville de Fort Myers, ont été vraiment inondées et vraiment dévastées par cette tempête », a affirmé Ron DeSantis. Ian, depuis rétrogradé en tempête tropicale, a touché terre dans le sud-ouest de la Floride mercredi. Quelque 2,6 millions de foyers ou commerces étaient toujours privés d’électricité ce jeudi matin, sur un total de 11 millions, principalement autour de la trajectoire de l’ouragan, selon le site spécialisé PowerOutage.

De son côté, le Centre national des ouragans américain a indiqué que l’ouragan est à l’origine « d’inondations catastrophiques » dans le centre-est de la Floride. Avant de préciser : « On prévoit des inondations potentiellement mortelles, des ondes de tempête et des vents violents dans certaines parties de la Floride, de la Géorgie et des Carolines ». L’ouragan a été rétrogradé en tempête tropicale.

A Cuba, où Ian a fait deux morts et de gros dégâts, l’électricité revenait dès mercredi soir.

ELIZABETH II – La reine, qui s’est éteinte à l’âge de 96 ans, le 8 septembre dernier entourée de sa famille à Balmoral, est bel et bien morte de « vieillesse », indique son certificat de décès.

Le certificat, publié par les Archives nationales d’Ecosse ce jeudi, et relayé par les médias britanniques a été signé par la princesse Anne, fille de la reine. La souveraine est morte à 15h10, heure britannique.

Le monde n’a appris la mort de la reine que plusieurs heures plus tard, à 18h30 (19h30 en France), après de nombreuses spéculations, et un premier communiqué de Buckingham, jugé très alarmants par les commentateurs royaux.

« La reine est morte paisiblement à Balmoral, cet après-midi », stipulait le communiqué publié par Buckingham pour annoncer le décès de la monarque, après 70 ans de règne.

Dans la case « profession » du certificat figure la mention : « Sa Majesté la reine ». Et le château de Windsor, en périphérie ouest de Londres, y apparait comme son adresse « usuelle » : elle y passait la plupart du temps depuis le début de la pandémie de Covid-19, alors que le palais de Buckingham, dans la capitale, est habituellement la résidence principale des monarques britanniques.

FRANCE – Le président Emmanuel Macron, qui a réuni les responsables de la majorité mercredi soir sur l’épineuse question des retraites, n’exclut pas de dissoudre l’Assemblée nationale en cas de vote d’une motion de censure contre le gouvernement, a rapporté le ministre du Travail Olivier Dussopt.

« Si toutes les oppositions se coalisaient pour adopter une motion de censure et faire tomber le gouvernement, il (le président de la République, NDLR) s’en remettrait aux Français et les Français trancheraient et diraient quelle est la nouvelle majorité qu’ils veulent », a affirmé sur LCI M. Dussopt, chargé d’engager de nouvelles concertations sur les retraites à partir de la semaine prochaine.

« Et évidemment (…) nous serions en campagne pour que le président soit conforté », a ajouté le ministre.

L’exécutif a décidé de temporiser sur sa réforme critiquée des retraites, en rouvrant un nouveau cycle de concertations avec partenaires sociaux et forces politiques en vue d’une adoption d’un projet de loi global « avant la fin de l’hiver », a annoncé ce jeudi Elisabeth Borne à l’AFP.

Elle a rappelé que la réforme des retraites devait entrer en vigueur « à l’été 2023 ».

Un projet de loi dédié présente cependant un risque pour l’exécutif, qui ne dispose que d’une majorité relative à l’Assemblée.

Il pourrait l’obliger à dégainer l’article 49.3 de la Constitution, qui permet l’adoption d’un texte sans vote sauf motion de censure, mais n’est utilisable qu’une fois par session parlementaire.

En revanche le gouvernement peut utiliser cette arme du 49.3 à volonté sur des textes budgétaires.

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