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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 3 ans
dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Dans le monde, ces dernières heures…
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MAROC – Interpellé au parlement, au lendemain du discours du roi Mohammed VI sur l’investissement privé, le ministre délégué chargé de l’Investissement, Mohcine Jazouli, a fait un état des lieux de la contribution des MRE dans le volet investissement au Maroc.

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Selon les chiffres, plus de 5,8 millions de MRE sont installés en dehors du Maroc, soit 16 % du total de la population. Sur les 93 milliards de dirhams transférés en 2021, 10 % seulement sont à inscrire dans la rubrique investissement et 2 % seulement est partie pour les investissements productifs. Un tableau peu reluisant que le ministre a promis corriger.

Pour y parvenir, le ministre a annoncé le renforcement du Fonds MDM Invest au niveau de l’Agence marocaine de promotion des investissements (AMDI), afin d’encourager les investissements. De plus, quatre mécanismes ont été mis en place pour promouvoir l’investissement privé dans toutes les régions, grâce à la nouvelle Charte de l’investissement actuellement en cours d’élaboration.

IRAK – Après une impasse qui aura duré plus d’un an à cause des tractations et luttes de pouvoir opposant les principaux partis, l’Irak s’est finalement doté d’un nouveau président et d’un nouveau Premier ministre, les barons de la politique cherchant à accélérer le calendrier politique.

Réunis mardi dans le bureau du président du Parlement, Mohamed al-Halboussi, les représentants de la «Coalition pour l’administration de l’État» ont discuté «de la nécessité d’accélérer la formation du gouvernement», selon un communiqué. Cette coalition — apparue ces derniers mois au sein d’un Parlement où les alliances se font et se défont au gré d’intérêts changeants — rassemble les grands partis qui dominent le paysage politique irakien.

Il y a les influents partis chiites pro Iran du Cadre de coordination, premier bloc de l’Assemblée avec 138 députés sur 329. Mais aussi la coalition sunnite emmenée par Mohamed Halboussi, ainsi que les deux partis kurdes historiques, le Parti démocratique du Kurdistan (PDK) et l’Union patriotique du Kurdistan (UPK).

«La coalition a annoncé son intention d’inviter le Parlement à se réunir samedi pour un vote (de confiance) au gouvernement», ajoute le communiqué. Le grand adversaire du Cadre de coordination, l’imprévisible et influent leader religieux chiite Moqtada Sadr, a annoncé qu’il ne prendrait pas part au prochain gouvernement.

IRAN – Au moins 23 enfants ont été tués en Iran lors des manifestations de protestation contre la mort d’une jeune femme, Mahsa Amini, aux mains de la police des moeurs à Téhéran le 16 septembre, a déclaré mardi un porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme.

Ces décès sont dus à des tirs à balles réelles ou de plombs et des passages à tabac, a-t-il déclaré lors d’un point de presse.

L’Onu ajoute que des enfants ont été arrêtés dans des écoles et que certains ont été envoyés dans des centres pour y recevoir un « traitement psychologique ». 

D’autre part, après avoir participé à une compétition à Séoul sans voile, la grimpeuse iranienne Elnaz Rekabi a disparu. Selon la BBC, sa famille est sans nouvelle de l’athlète, qui a participé aux championnats asiatiques d’escalade, à Séoul, les cheveux découverts. Le service international du média britannique avait rapporté lundi que la jeune femme avait quitté Séoul (Corée du Sud), où est organisée la compétition, et était rentrée à Téhéran « deux jours avant la date prévue », mentionnant « des inquiétudes concernant sa sécurité. » 

Dans un communiqué cité par le média britannique, l’ambassade d’Iran à Séoul « nie catégoriquement les fausses informations et les mensonges ».

LIBAN – plus des deux tiers des employées de maison immigrées ont subi du harcèlement sexuel, selon une nouvelle étude publiée cette semaine par l’Université libano-américaine.

Fruit d’une collaboration entre l’Institut pour les études migratoires de l’université et Egna Legna Besidet (organisation pour les droits des migrants gérée par des employées de maison immigrées), cette étude conclut que la grande majorité des auteurs de harcèlement sexuel sont leurs employeurs et que les faits se déroulent au sein du domicile.

Pour les travailleuses immigrées confinées au domicile de leurs employeurs, les attouchements, baisers et autres contacts déplacés et non sollicités sont réguliers, d’après l’étude. En outre, celle-ci note des cas d’enlèvement, de viol, et d’exhibitionnisme de la part de chauffeurs de taxi.

« [L’étude] met clairement en lumière que les violences sexuelles subies par les employées de maison immigrées au Liban sont normalisées et sont très répandues », indique à Middle East Eye Tarikwa Abebe, qui supervise les efforts humanitaires à Egna Legna Besidet. « Cela a énormément empiré avec la crise économique. »

Depuis les années 1980, des femmes de pays plus pauvres d’Afrique et d’Asie affluent au Moyen-Orient à la recherche d’emplois à domicile, et le Liban faisait partie des principales destinations.

Le ministère du Travail estime qu’il y a 250 000 employées de maison immigrées au Liban, dont près de 80 % sont Éthiopiennes. Néanmoins, ces chiffres ne prennent pas en compte les travailleuses sans papiers.

LIBAN – Le chef du Courant patriotique libre Gebran Bassil appuierait, révèle Ici Beyrouth, la candidature de Ziyad_Baroud, ancien ministre de l’Intérieur, à la présidence de la République. Il estimerait ainsi que M. Baroud, dont la candidature serait appuyée par les députés du Changement, est un candidat consensuel, appuyé par les pays étrangers et qu’il pourrait par conséquent être élu avant la fin du mandat de Michel Aoun, le 30 octobre.

De fait, d’après les milieux aounistes, MM. Bassil et Baroud se seraient rencontrés loin des feux de la rampe, avec à l’ordre du jour la présidentielle, mais aussi des dossiers tels que les nominations administratives, les nominations diplomatiques, le décret de la naturalisation et le limogeage de certains «symboles haririens» des administrations et qui sont accusés de couvrir le système politique corrompu. Il s’agit de dossiers que le Premier ministre sortant Najib Mikati a rejeté, selon les mêmes milieux, ce qui a empêché la formation du gouvernement et le renflouement du gouvernement actuel.

Dans les mêmes milieux, on assure que M. Baroud n’a pas fait d’objection. De son côté, M. Bassil a assuré de promouvoir la candidature de M. Baroud auprès du Hezb et des forces du 8 Mars, face à celle de Michel Moawad, député de Zghorta, dont la candidature est appuyée par les forces de l’opposition. 

SOUDAN – La principale coalition politique du Soudan, la coalition des Forces de la liberté et du changement (FFC),  a présenté ce lundi sa vision d’une autorité entièrement dirigée par des civils pour mener une transition vers des élections, suite à l’intensification des efforts pour mettre fin à une impasse vieille de 11 mois entre les militaires au pouvoir et les forces pro-démocratiques.

Près d’un an après leur prise de pouvoir, les militaires n’ont pas encore réussi à nommer un premier ministre. Cependant, cet été, les dirigeants militaires ont déclaré qu’ils avaient l’intention de se retirer de la vie politique. Les dirigeants du FFC ont déclaré qu’ils avaient été informés que les militaires avaient accepté un projet de constitution diffusé par l’Association du barreau soudanais qui permettrait un régime civil.

Dans une déclaration, le FFC a présenté sa vision de ce que la coalition rechercherait dans tout accord futur avec les dirigeants militaires du pays.

Dans une proposition susceptible d’attirer les critiques des groupes de protestation, l’autorité de transition inclurait la participation des groupes rebelles qui sont restés au gouvernement après le coup d’État, des partis politiques extérieurs au FFC qui ont participé à la rédaction d’un projet de constitution, et des groupes syndicaux et de protestation.

Les comités de résistance qui ont mené la campagne d’un an contre le régime militaire s’opposent aux négociations ou au partage du pouvoir avec les militaires et ont rejeté la participation des groupes ou partis rebelles qui s’étaient alignés sur le Parti du Congrès national (PCN) de l’ancien président Omar el-Béchir.

Selon la vision du FFC, les militaires quitteraient la politique et le cabinet du pays, tandis que le Conseil souverain du Soudan, qui a servi de chef d’État collectif du Soudan, serait entièrement civil et choisi par les « forces révolutionnaires ».

Un parlement de transition inclurait tous les partis et groupes à l’exclusion du NCP, et l’arrangement se poursuivrait jusqu’à deux ans avant les élections, selon le document.

L’accord permettrait également de réformer le secteur de la sécurité et de mettre en place un « Conseil de sécurité et de défense » dirigé par des civils, dirigé par le Premier ministre et comprenant des représentants de l’armée et d’autres éléments du secteur de la sécurité, selon le FFC.

ETHIOPIE – “Les hostilités au Tigré doivent cesser maintenant“, a lancé Antonio Guterres, lundi 17 octobre, devant la presse à New York. Car la situation en Éthiopie devient “incontrôlable“, s’est alarmé le secrétaire général de l’ONU, le gouvernement éthiopien ayant affirmé plus tôt vouloir poursuivre ses opérations dans la région septentrionale du Tigré au lendemain d’un appel de l’Union africaine (UA) à cesser le feu. “La violence et la destruction atteignent des niveaux alarmants“, a ajouté le chef des Nations unies, soulignant le “prix terrible payé par les civils” et le “cauchemar” vécu par la population éthiopienne. Il a également réclamé “le retrait immédiat et le désengagement d’Éthiopie des forces armées érythréennes” qui épaulent les troupes fédérales éthiopiennes au Tigré et demandé à “toutes les parties” de permettre le passage de l’aide humanitaire, dont l’ONU a suspendu l’acheminement depuis la reprise des combats fin août.

Face à une récente intensification des combats au Tigré, les États-Unis et l’Union européenne (UE) ont lancé des appels similaires à une trêve, une semaine après l’annonce de pourparlers de paix, finalement avortés, en Afrique du Sud. Dimanche, le président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, avait appelé à “un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel“, se disant “gravement inquiet des informations sur l’intensification des combats” au Tigré. Les rebelles tigréens avaient répondu dimanche soir être “prêts à respecter une cessation immédiate des hostilités“. Sans répondre directement à l’appel de l’UA au cessez-le-feu, le gouvernement fédéral éthiopien du Premier ministre Abiy Ahmed, prix Nobel de la paix 2019, a lui justifié, lundi 17 octobre, sa volonté de poursuivre ses opérations militaires au Tigré. Dans un communiqué, il s’est dit “contraint de prendre des mesures défensives pour protéger la souveraineté et l’intégrité territoriale du pays” face “aux attaques répétées” des autorités rebelles du Tigré, en “collusion active” avec des “puissances étrangères hostiles“. L’armée fédérale éthiopienne « a pris le contrôle des villes de Shire, d’Alamata et de Korem sans combats urbains », a indiqué le gouvernement ce mardi dans un communiqué. L’armée érythréenne épaule à nouveau les forces éthiopiennes depuis la reprise des combats.

OUGANDA – Le président Yoweri Museveni, a déclaré que son fils ne tweeterait plus sur les affaires du pays, lundi 17 octobre, après une série de tweets polémiques, au début du mois, dans laquelle il avait notamment menacé d’envahir le Kenya. Les propos peu amènes du général Muhoozi Kainerugaba, 48 ans, fils aîné du chef de l’Etat, avaient offensé le voisin kényan. Il avait notamment suggéré qu’il ne lui faudrait, à lui et son armée, pas « deux semaines » pour s’emparer de la capitale kényane, Nairobi.

« Il va quitter Twitter. Nous avons eu cette discussion », a déclaré, dans une interview accordée à une chaîne de télévision locale, celui qui dirige l’Ouganda d’une main de fer depuis 1986. « Parler d’autres pays et de la politique de l’Ouganda est quelque chose qu’il ne devrait pas faire et qu’il ne fera pas », a ajouté M. Museveni. Muhoozi Kainerugaba pourra toujours s’exprimer sur les réseaux sociaux, a précisé le président, à condition de se limiter à des commentaires sur le sport, par exemple.

Dans l’interview, le président de 78 ans a néanmoins défendu son fils, le qualifiant de « très bon général » malgré le fait qu’il ait été privé de son rôle de commandant des forces terrestres.

MOZAMBIQUE – L’Union européenne (UE) envisage d’apporter un soutien financier aux troupes rwandaises qui luttent contre une insurrection islamiste dans la province de Cabo Delgado abritant d’immenses réserves de gaz naturel dans le nord-est du Mozambique, a rapporté l’agence Bloomberg ce lundi 17 octobre, citant des hauts fonctionnaires de l’UE.

« L’Union européenne discute de la fourniture d’un soutien aux troupes rwandaises déployées au Mozambique », a déclaré Nabila Massrali, porte-parole de l’UE pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité.

Deux fonctionnaires de l’UE qui ont préféré garder l’anonymat ont confié à Bloomberg que les pourparlers entre les Etats membres du groupe des vingt-sept sont à un stade avancé, indiquant que la proposition reçoit un fort soutien de la France, de l’Allemagne et de l’Italie.

« La raison d’être de la proposition se trouve dans la volonté de l’Union européenne d’aider le continent à trouver des solutions africaines aux problèmes africains, tout en préservant la paix et la sécurité et en sécurisant d’énormes réserves de gaz au large des côtes mozambicaines », ont-ils précisé.

L’UE avait approuvé, début septembre, l’octroi d’un soutien financier de 15 millions d’euros (15 millions $) à la mission de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) au Mozambique. 

Le Mozambique est, depuis fin 2017, aux prises avec une insurrection menée dans la province septentrionale de Cabo Delgado par le groupe djihadiste « Ahlu Sunna Wal Jamaa ». L’insurrection a fait plusieurs milliers de morts, depuis son déclenchement, et a perturbé le développement de projets gaziers, dont un projet majeur de construction d’un complexe de gaz naturel liquéfié pour un investissement de 20 milliards de dollars annoncé par le groupe français TotalEnergies.

A la demande de Maputo, le Rwanda avait déployé, en juillet 2021, un millier de soldats pour soutenir les forces armées mozambicaines qui luttent pour reconquérir le Cabo Delgado. Les forces rwandaises avaient revendiqué plusieurs succès depuis leur déploiement, dont la reprise de la ville portuaire de Mocimboa da Praia aux rebelles islamistes. Cible de la première attaque djihadiste au Mozambique en octobre 2017, cette ville était considérée comme étant le quartier général des djihadistes locaux.

MADAGASCAR – Richard Randriamandranto vient d’être limogé par le président de la République de Madagascar. Il est reproché au ministre des Affaires étrangères d’avoir pris, seul, la décision de voter en faveur de la résolution condamnant « les annexions illégales de la Russie sur l’Ukraine », Madagascar ayant jusqu’alors toujours marqué sa neutralité en s’abstenant, lors des votes précédents. Contacté par RFI, le désormais ex-MAE confirme l’information et ajoute « avoir pris cette décision en [son] âme et conscience ». « Je ne pense pas avoir mis en danger l’intérêt de la nation en votant ainsi. L’histoire jugera la suite », a-t-il conclu.

BOTSWANA – Le Botswana a repris ses exportations de bœuf vers l’Union européenne deux mois après avoir suspendu ses ventes en raison d’une épidémie de fièvre aphteuse.

En août, le Botswana a suspendu toutes les exportations de bovins vivants et de viande bovine suite à une épidémie de fièvre aphteuse dans le nord-est du pays d’Afrique australe.

L’interdiction a été partiellement levée en septembre, autorisant les exportations à partir de zones déclarées indemnes de la maladie, mais les ventes vers l’Europe, qui a des restrictions d’importation plus strictes, sont restées suspendues, les responsables gouvernementaux ayant déclaré que des négociations avec le bloc étaient en cours.

« Les agriculteurs et les parties prenantes sont informés que les exportations de bœuf vers l’UE ont repris et il leur est rappelé les exigences habituelles à respecter », peut-on lire dans une déclaration de Kefentse Motshegwa, directeur par intérim des services vétérinaires du ministère de l’agriculture.

Seuls les bovins provenant de sept des 19 zones de contrôle des maladies désignées du pays seront autorisés, et les animaux devront être placés dans des exploitations bovines agréées pour les exportations vers l’UE pendant une période de 40 jours avant l’abattage.

Avec l’Afrique du Sud et la Namibie, le Botswana est l’un des principaux exportateurs de viande bovine vers l’UE, où il bénéficie d’un accès en franchise de droits et de quotas.

Le Botswana exporte également du bœuf et des bovins vivants vers la Zambie, le Zimbabwe, la Namibie et l’Afrique du Sud.

AFRIQUE DU SUD – La compagnie publique de transport sud-africaine Transnet a annoncé lundi la conclusion d’un accord avec les syndicats permettant de mettre fin à la grève qui entravait les exportations de l’Afrique du Sud. Le Syndicat uni des transports nationaux (UNTU), majoritaire, a renoncé à sa demande d’une hausse des salaires de près de 8% et accepté l’offre faite par la direction d’une augmentation de 6%, indique un communiqué de la société, qui assure l’exploitation du réseau de fret ferroviaire et de tous les ports de l’économie la plus industrialisée d’Afrique.

«Dans l’immédiat, la priorité de la compagnie est d’éliminer les retards accumulés dans les ports et le système ferroviaire», ajoute le texte. La grève avait été lancée le 6 octobre pour demander des hausses de salaire face à la forte inflation qui rogne le pouvoir d’achat des employés. Jeudi, alors que les négociations restaient infructueuses, le gouvernement avait dit être «extrêmement inquiet des conséquences négatives (de cette grève) sur l’économie de l’Afrique du Sud» et avait appelé à la reprise des exportations des produits agricoles, miniers et autres «aussi vite que possible».

QATAR – Le Qatar, l’un des plus grands producteurs de gaz naturel liquéfié au monde, a inauguré mardi sa première centrale solaire en partenariat notamment avec TotalEnergies, pour un investissement de 1,7 milliard de riyals qataris (environ 475 millions d’euros).

Située à Al Kharsaah, à l’ouest de Doha, cette ferme solaire de plus 1,8 million de panneaux solaires s’étend sur 10 km2, ce qui en fait l’une « des plus grandes de la région », selon le ministre de l’Energie et président de Qatar Energy, Saad Sherida al-Kaabi.

D’une capacité de 800 mégawatts, le projet lancé en 2016 et opérationnel depuis juin vise à couvrir 10% de la consommation du pays en électricité.

D’après les organisateurs du Mondial-2022 au Qatar, qui promettent un tournoi neutre en carbone, la centrale alimentera les stades en électricité. Lors d’une conférence de presse, M. Al-Kaabi a toutefois indiqué ne pas disposer d’information sur ce point.

Outre TotalEnergies (19,6%), l’entreprise japonaise Marubeni (20,4%) est partenaire de la centrale d’Al Kharsaah.

Le géant gazier et pétrolier français a par ailleurs signé cette année deux importants contrats avec le Qatar pour le développement du plus grand champ de gaz naturel au monde, le North Field. Le Qatar, qui vise une capacité de 5 gigawatts d’énergie solaire d’ici 2035, a annoncé fin août deux autres grands projets de centrales photovoltaïques devant lui permettre de plus que doubler sa production d’ici deux ans.

L’émirat est toutefois en retard sur ses voisins du Golfe. L’Arabie saoudite a annoncé cette année son intention de dépasser le seuil des 5 GW d’ici 2030, et des centrales solaires existent aux Emirats arabes unis depuis près d’une décennie.

MIGRANTS – Le Parlement européen a refusé mardi de valider les comptes 2020 de l’agence de surveillance des frontières Frontex, en signe de désaveu de cette organisation, accusée d’avoir dissimulé des refoulements de migrants en mer Egée.

Après avoir reporté leur décision en mai, les eurodéputés ont décidé, à l’issue d’un vote serré à Strasbourg, de ne pas octroyer la décharge du budget de l’agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes pour 2020.

La décharge budgétaire est une procédure par laquelle le Parlement européen clôture un exercice budgétaire et contrôle la dépense de fonds publics.

Ce vote n’a pas de conséquences sur l’activité de l’agence, mais est une manière pour le Parlement européen de manifester son désaccord avec l’activité passée de Frontex.

L’agence a été mise en cause dès 2020, dans plusieurs enquêtes journalistiques et dans un rapport de l’Office européen de la lutte contre la fraude (Olaf), pour son rôle dans des renvois illégaux de migrants par les garde-côtes grecs.

« Cela ne change pas le passé, mais cela envoie un signal clair en faveur d’action et de changements », a résumé l’eurodéputé écologiste belge Philippe Lamberts, réclamant à la Commission européenne « une action déterminée pour mettre un terme définitif à ces traitements inhumains » de migrants.

Le patron contesté de l’agence, le Français Fabrice Leggeri, a démissionné fin avril, à la suite de l’enquête de l’Olaf qui le visait particulièrement ainsi que deux autres membres du conseil exécutif.

Ce rapport confidentiel, qui vient d’être dévoilé en totalité mais anonymisé par le magazine allemand Der Spiegel en collaboration avec des sites internet d’investigation, relève des « fautes graves et autres irrégularités » de la direction de Frontex de l’époque.

SUEDE – Au pays de Greta Thunberg, le nouveau gouvernement suédois présenté mardi inclut une ministre du Climat de 26 ans, la plus jeune titulaire d’un ministère dans l’histoire du pays nordique.

Au lendemain de son élection par le Parlement, le nouveau Premier ministre conservateur Ulf Kristersson, dont le gouvernement de droite s’appuie pour la première fois sur une majorité incluant l’extrême-droite, a présenté son équipe de 24 membres.

Sans expérience notable des questions climatiques, Romina Pourmokhtari, née en novembre 1995, est membre du parti Libéral de centre droit dont elle dirigeait jusqu’à récemment la branche de jeunesse.

Elle s’était distinguée en critiquant régulièrement les rapprochements de la droite avec les nationalistes des Démocrates de Suède (SD), avant l’alliance nouée pour les législatives victorieuses du 11 septembre.

« Ulf Kristersson sans les SD – absolument. Ulf Kristersson avec les SD – non merci », avait-elle ainsi twitté il y a deux ans.

Née dans une famille d’origine iranienne en banlieue de Stockholm, la jeune femme hérite du portefeuille du Climat et de l’Environnement, et efface le précédent record de précocité pour un ministre en Suède (27 ans).

Egérie du mouvement des jeunes en grève pour le climat, la militante suédoise Greta Thunberg, 19 ans, reproche souvent à Stockholm de ne plus être en pointe sur les questions climatiques.

Principale innovation du nouveau gouvernement, dans un contexte de vives tensions avec la Russie: la création d’un ministère de la « défense civile », en plus du traditionnel portefeuille de la Défense.

INDONESIE – Le stade de football indonésien où plus de 130 personnes sont mortes lors d’une bousculade début octobre sera démoli et reconstruit, a déclaré mardi le président du pays d’Asie du Sud-Est.

« Pour le stade Kanjuruhan à Malang, nous allons le démolir et le reconstruire selon les normes de la Fifa, avec des installations appropriées qui peuvent assurer la sécurité des joueurs et des supporters », a déclaré Joko Widodo à la presse après avoir rencontré le président de la Fifa, Gianni Infantino en visite à Jakarta.

Le responsable de la Fifa s’est engagé à aider à la transformation du football indonésien pour améliorer la sécurité mardi après des entretiens au palais présidentiel.

« Nous allons réformer et transformer le football dans le pays », a déclaré Gianni Infantino alors que l’Indonésie doit accueillir l’an prochain la Coupe du Monde des moins de 20 ans U-20.

Le bilan de la catastrophe a été porté mardi à 133 morts, après le décès d’un homme de 33 ans qui a succombé à ses blessures reçues dans le stade de Kanjuruhan.

Plus d’une quarantaine d’enfants ont aussi péri dans la tragédie qui s’est produite dans la ville de Malang (Java Est) lors du drame décrit par Gianni Infonatino comme « l’un des jours les plus sombres pour le football ».

La bousculade meurtrière provoquée par des tirs de gaz lacrymogènes vers des gradins s’est produite le 1er octobre après un match entre l’équipe locale Arema FC et Persebaya Surabaya.

SALVADOR – Des organisations humanitaires du Salvador et des proches de victimes ont salué lundi la décision d’un juge de lancer un mandat d’arrêt à l’encontre de trois militaires à la retraite pour leur lien présumé avec la mort de quatre journalistes néerlandais il y a 40 ans dans le pays.

« La décision du juge est un pas très important dans la lutte contre l’impunité » pour ce crime, a déclaré à l’AFP Miguel Montenegro, coordinateur de la Commission salvadorienne des droits de l’homme (CDHES).

Vendredi, un juge de Dulce Nombre de Maria, au nord du Salvador, a ordonné l’arrestation de trois militaires à la retraite pour leur lien présumé avec la mort le 17 mars 1982 des quatre journalistes.

Les trois militaires visés par le mandat d’arrêt sont le général José Guillermo Garcia, ancien ministre de la Défense (1979-1983), le colonel Mario Adalberto Reyes Mena, ancien commandant de la 4e brigade d’infanterie de Chalatenango, qui vit aux Etats-Unis, et l’ancien directeur de la police du Trésor, le colonel Francisco Antonio Moran.

Le parquet et la police n’ont fourni aucune information sur d’éventuelles arrestations.

Bien qu’ils soient décédés, le mandat d’arrêt concerne également l’ancien chef d’état-major interarmées, le général Rafael Flores Lima, et le sergent Mario Canizales.

Les proches des victimes ont également salué la décision du juge. « Nous avons attendu ce moment pendant quarante ans », a déclaré Gert Kuiper, frère de Jan Kuiper, l’une des victimes, lors d’une vidéoconférence depuis les Pays-Bas.

L’avocat de l’Association salvadorienne des droits de l’homme (ASDEHU), Pedro Cruz, qui représente les proches des quatre journalistes, a estimé que la décision du juge « clôt la phase initiale de l’enquête ».

Les journalistes Koos Jacobus Andries Koster, Jan Corenlius Kuiper Joop, Hans Lodewijk ter Laag et Johannes Jan Willemsen, couvraient la guerre civile au Salvador lorsqu’ils ont été tués.

ALLEMAGNE – L’Allemagne va prolonger le fonctionnement de ses trois dernières centrales nucléaires, a annoncé, lundi 17 octobre, le chancelier Olaf Scholz. « Les bases légales seront créées pour permettre le fonctionnement des centrales nucléaires Isar 2, Neckarwestheim 2 et Emsland au-delà du 31 décembre 2022 et jusqu’au 15 avril 2023 », précise une lettre du chancelier au gouvernement que l’Agence France-Presse (AFP) a pu consulter.

Entre impératifs énergétiques et considérations politiques, Berlin n’avait auparavant annoncé que le maintien de deux des trois centrales au-delà de fin 2022.

Le ministre de la justice, Marco Buschmann (FDP), a salué sur Twitter la décision du chancelier. « Le bon sens prévaut… Cela renforce notre pays car cela garantit une plus grande stabilité du réseau et une baisse des prix de l’électricité », s’est-il réjoui, alors que le nucléaire représente actuellement 6 % de la production nette d’électricité en Allemagne.

Mais cette décision est un nouveau coup dur pour le ministre allemand de l’économie, l’écologiste Robert Habeck, dont les frictions avec son collègue des finances, le libéral Christian Lindner, sont de plus en plus patentes. 

TURQUIE – Les autorités turques ont annoncé les arrestations ce mardi 18 octobre de plus de 500 personnes soupçonnées d’être liées au prédicateur Fethullah Gülen, bête noire du président Recep Tayyip Erdogan qui l’accuse d’avoir orchestré une tentative de putsch en 2016. «704 mandats d’arrêt ont été délivrés et 543 personnes ont été arrêtées», a indiqué le ministre turc de l’Intérieur Süleyman Soylu.

L’opération, menée dans 59 des 81 provinces turques, visait la structure financière de l’«organisation terroriste FETO», acronyme utilisé par Ankara pour désigner le mouvement guléniste. Les suspects interpellés mardi sont accusés d’avoir perçu ou redistribué de l’argent envoyé depuis l’étranger par des partisans du prédicateur, lui-même installé aux États-Unis d’où il continue d’échapper aux griffes du président turc.

AFGHANISTAN – Des vidéos vérifiées par « Le Monde » et son partenaire, le Centre for Information Resilience, prouvent que des talibans se sont rendus coupables d’exécutions sommaires de résistants, en septembre, dans la province afghane du Panchir.

La scène se déroule sur une crête rocheuse, surplombant une vallée du Panchir, dans l’est de l’Afghanistan. Cinq hommes patientent à genoux, les mains attachées dans le dos, certains ont les yeux bandés. A quelques mètres, un groupe d’hommes les tient en joue. D’autres observent la scène. Des dizaines de coups retentissent : les prisonniers s’écroulent au milieu des cailloux.

Cette vidéo prouve-t-elle que des talibans ont mené des exécutions sommaires, comme les en accusent plusieurs ONG internationales ? Interrogé par l’Agence France-Presse le 14 septembre 2022, Bilal Karimi, porte-parole du gouvernement taliban, a esquivé la question, expliquant « ne connaître ni le lieu, ni le moment où ont été prises ces vidéos, ni qui sont les personnes qui y figurent ».

Un mois après les faits, les images amateurs authentifiées et géolocalisées par la mission « Afghan Witness » du Centre for Information Resilience (CIR), et confirmées par Le Monde, éclairent ces homicides ainsi qu’au moins trois autres exécutions sommaires commises dans le Panchir ces dernières semaines. Au moins trois autres exécutions sommaires liées au même groupe de talibans sont documentées.

FRANCE – L’approvisionnement des stations-service en carburants s’est encore amélioré mardi avec «moins de 25%» d’entre elles en difficulté ce mardi à midi, contre plus 28,1% la veille au soir, a annoncé la première ministre devant l’Assemblée nationale.

Cette amélioration repose sur les réquisitions décidées il y a une semaine par le gouvernement. «Grâce à la sortie du conflit chez Esson-ExxonMobil, grâce à l’ensemble des mesures que nous avons prises, nous connaissons aujourd’hui une amélioration sensible de la situation», a déclaré Elisabeth Borne lors de la séance des questions au gouvernement à l’Assemblée. Toutefois, aucune réquisition n’était prévue pour mardi dans les deux régions concernées jusqu’à maintenant, d’après une information confirmée par les préfectures des Hauts-de-France et d’Auvergne-Rhône-Alpes au Figaro.

«Je mesure pleinement les difficultés de millions de Français qui, aujourd’hui encore, sont pénalisés par les mouvements de grève dans les dépôts pétroliers et les raffineries», a affirmé la première ministre.

FRANCE 49.3 – « Pour trouver un compromis, il faut être deux. » Élisabeth Borne a assuré mardi devant les députés Renaissance que, sur l’examen du budget, « le blocage ne vient pas de nous ». Le gouvernement devrait dégainer l’article 49.3 de la Constitution « probablement » mercredi, selon son porte-parole. « Les présidents de groupe (d’opposition) ont dit dès le début qu’ils ne voteraient pas le projet de loi de finances. Le blocage ne vient pas de nous, et vous l’avez bien montré », a déclaré la Première ministre, selon des propos rapportés par un participant.

Cependant, « il faut donner sa chance au débat, d’autant plus que les Français n’aiment pas beaucoup le 49.3. Ces outils, comme la réquisition [dans les raffineries en grève], doivent être utilisés avec précaution », a-t-elle ajouté.

Le recours au 49.3 sera « probablement pour demain », mercredi, dernier jour d’examen de la partie recettes du projet de budget pour 2023 par l’Assemblée, en vertu « du délai constitutionnel » prévu, a indiqué pour sa part le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, sur France 2. « Maintenant, on verra comment les débats évoluent dans la journée » de ce mardi, a-t-il prévenu. L’article 49.3 de la Constitution permet à l’exécutif de faire passer un texte sans vote, à moins qu’une motion de censure ne soit adoptée. « On ne peut pas dire que le 49.3 soit un passage en force : une motion de censure donne lieu à un débat et à un vote

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