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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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ALGERIE – Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a salué le vendredi 21 octobre, à la veille de la célébration de la Journée nationale de la presse, le niveau de prise de conscience nationale des médias qui font face aux plans de diffusion des fake-news.

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« La célébration de cette journée m’offre l’agréable opportunité de saluer le niveau de prise de conscience dont font preuve les médias qui font face, avec un haut sens de professionnalisme, aux plans de diffusion de fake-news et de propagande systémique, tendant à divertir sur les réalisations de notre pays et sur sa capacité à relever les défis et à remporter les acquis », a affirmé M. Tebboune, cité par le site algérien aps.dz.

Il a également salué les efforts des médias « visant à contrecarrer la guerre cybernétique enragée que mènent les artisans du mensonge, pour leur propre compte ou par procuration, par haine envers l’Algérie qui a retrouvé son leadership au double plan régional et international et dans une tentative de perturber le processus d’édification nationale dans laquelle nous nous sommes engagés pour asseoir les bases de la relance économique et du développement national, dans la stabilité et la quiétude ».

IRAK – La séance parlementaire attendue ce samedi pour accorder la confiance à un nouveau gouvernement a été reportée, les partis poursuivant les tractations sur la répartition des ministères.

La «Coalition pour l’administration de l’État», qui regroupe plusieurs formations influentes dominant le Parlement, avait annoncé plus tôt cette semaine «son intention» de réunir l’Assemblée samedi pour voter la confiance au gouvernement que cherche à former le premier ministre désigné Mohamed Chia al-Soudani.

Mais ce dernier, porté par les partis pro Iran du Cadre de coordination -premier bloc de l’Assemblée avec 138 députés sur 329- poursuit ses négociations avec les différentes factions pour finaliser la répartition des portefeuilles.

«La séance a été reportée, M. Soudani n’a pas réussi à se mettre d’accord avec les blocs politiques sur la nomination des ministres», a expliqué à l’AFP Sherwan Dubardany, du Parti démocratique du Kurdistan (PDK). «Nous espérons que, dans les jours à venir, les blocs politiques arriveront à s’entendre afin qu’une séance puisse être fixée», a-t-il ajouté.

IRAN – « Le peuple a le droit de critiquer les dirigeants de la société musulmane, que la critique soit justifiée ou non », a indiqué l’ayatollah Javad Alavi-Boroujerdi. Ce dignitaire âgé de 68 ans est le petit-fils du grand ayatollah Hossein Boroujerdi, principale figure du clergé chiite au XXe siècle.

 « Certaines personnes ont été arrêtées et sont en prison, traitez-les avec bienveillance » demande l’ayatollah Alavi-Boroujerdi.

Le 26 septembre, le grand ayatollah Hossein Nouri Hamédani, important religieux conservateur et ardent défenseur du guide suprême Ali Khamenei, avait lui aussi appelé les autorités à « écouter les demandes du peuple ».

Malgré la répression des autorités, les manifestations se poursuivent dans plusieurs villes du pays, comme Zahedan, dans le sud-est, particulièrement touchée par plusieurs jours de violences.

Les médias proches du pouvoir iranien ont pour leur part décrit les affrontements de Zahedan comme un « incident terroriste » ayant conduit à la mort de cinq membres des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique.

LIBAN – Des analyses des eaux usées effectuées à Ain el-Mreisseh à Beyrouth, à la station de Ghadir et à Bourj Hammoud au Mont-Liban ont confirmé la présence de traces de choléra, a annoncé l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour l’OMS, cela indique que le choléra s’est propagé à deux autres régions du pays situées loin des premiers cas confirmés dans le Akkar, au Liban-Nord.

Pour sa part, le directeur de l’Office des eaux de Beyrouth et du Mont-Liban, Jean Gebran, a démenti ce samedi les rumeurs sur une contamination de l’eau de robinet dans la capitale, les qualifiant de « complètement fausses ». « Tout est encore sous contrôle », a-t-il assuré dans une déclaration à la chaine Al-Jadeed, notant que l’office procède à des analyses hebdomadaires de l’eau et que rien de suspicieux n’a été décelé.

M. Gebran a précisé que l’établissement ajoute du chlore à son eau, ce qui tue le choléra, sans toutefois mentionner de rapport concernant l’analyse des eaux d’égout. M. Gebran n’était pas joignable dans l’immédiat pour commenter davantage cette question. Des experts avaient précédemment indiqué à L’Orient Today que le risque de propagation du choléra dans les infrastructures publiques d’eau au Liban est « faible ».

Dans un rapport publié vendredi, le ministère libanais de la Santé a recensé sept nouveaux cas au cours des dernières 48 heures, portant le nombre total de contaminations à 227. Deux nouveaux décès ont été signalés, faisant passer à le bilan à sept.

ISRAËL -De nombreux internautes sur les réseaux sociaux ont appelé ce vendredi au boycott de la marque de vêtements de mode « Zara », après avoir appris que le directeur des boutiques en Israël, Joey Schwebel, avait organisé une conférence politique avec des membres et le chef du parti d’extrême droite « Force juive » (Otzma Yehudit) Itamar Ben Gvir à son domicile à Raanana, en vue des élections pour la 25e Knesset.

« La laideur de ‘Zara ben Gvir Israel' », a dénoncé Ahmad Tibi, membre du parti arabe de la Knesset, provoquant de nombreuses réactions.

« Ne vous approchez plus des boutiques de la chaîne en Israël », a écrit l’un d’eux, et un autre a ajouté : « Bye bye Zara ». « Zara, les beaux vêtements, les beaux Israéliens », a répliqué Ben Gvir.

Jeudi, des images de la rencontre du groupe avaient été diffusées sur la Douzième chaîne. Une rencontre qui a eu lieu chez Joey Schwebel, le directeur des boutiques en Israël.  

Raja Zaatara, président de la faction arabe ‘Hadash’ à Haïfa, a déclaré que « de nombreux jeunes Arabes n’entreront plus dans les boutiques Zara, et je pense que de nombreux Juifs sains d’esprit feront de même ».

SOUDAN – Des milliers de Soudanais ont manifesté vendredi 21 octobre dans les rues des grandes villes du pays contre le coup d’État du général Abdel Fattah al-Burhan mené il y a presque un an, le 25 octobre dernier. Et ce 21 octobre marquait une date importante : elle commémore la première révolution de l’histoire du Soudan qui a fait tomber le général Abboud en 1964 et a permis le retour à un gouvernement civil.

Depuis un an, le pays est plongé dans le marasme avec des manifestations hebdomadaires et une économie au bord du gouffre. Les militaires affirment vouloir rendre le pouvoir au civil, des négociations sont en cours, mais aucun accord n’a encore été trouvé.

Dans les rues, les slogans n’ont pas changé, les manifestants demandent le départ des militaires de la scène politique. Dans une atmosphère de fête et de chansons révolutionnaires, on retrouvait ce vendredi dans les rues de nombreux militants âgés, des parents, des grands-parents. Preuve que la contestation transcende toutes les générations.

Les cortèges ont été une fois encore violemment réprimés par les forces de l’ordre. Gaz lacrymogènes, mais aussi tirs à balles réelles dans la ville d’Omdurman. Une grande mobilisation est prévue mardi. 

ETHIOPIE – Les autorités rebelles de la région du Tigré, dans le nord de l’Éthiopie, ont annoncé vendredi 21 octobre qu’elles participeront aux pourparlers de paix avec le gouvernement fédéral d’Addis-Abeba. Ces négociations doivent s’ouvrir lundi 24 octobre en Afrique du Sud sous l’égide de l’Union africaine.

L’objectif de ces négociations sera de tenter de mettre un terme au conflit meurtrier qui oppose, depuis novembre 2020, les forces rebelles tigréennes à l’armée fédérale éthiopienne, appuyée par l’armée érythréenne. « Notre délégation sera présente », lundi en Afrique du Sud », a déclaré, vendredi 21 octobre, l’un des porte-parole des rebelles tigréens, Kindeya Gebrehiwot.

De son côté, le gouvernement fédéral éthiopien du Premier ministre, Abiy Ahmed, a annoncé sa propre participation à ces pourparlers de paix qui suscitent beaucoup d’espoir à l’international. Dernière personnalité à s’être publiquement exprimée sur le sujet, vendredi 21 octobre, à l’issue d’une réunion à huis-clos du Conseil de sécurité des Nations unies, l’Américaine Linda Thomas-Greenfield, représentante des États-Unis à l’ONU. « La situation en Éthiopie devient incontrôlable. L’ampleur de ces combats et le nombre de morts rivalisent avec ce que nous voyons actuellement en Ukraine. Des civils innocents sont pris entre deux feux. En deux ans de conflit, jusqu’à un demi-million de personnes sont mortes. Les États-Unis sont profondément préoccupés par de possibles nouvelles atrocités de masse », alerte-t-elle.

OUGANDA – Un tribunal ougandais a condamné à la prison à perpétuité un trafiquant arrêté en possession de près de 10 kg d’ivoire, la plus lourde peine jamais prononcée dans ce genre d’affaire, a annoncé l’agence nationale de protection de la nature.

Dans un communiqué publié vendredi, le directeur exécutif de l’Autorité ougandaise de la faune sauvage (UWA) Sam Mwandha a salué cette décision « historique dans la lutte contre le commerce illégal d’espèces sauvages ».

L’accusé, Pascal Ochimba, avait été arrêté le 18 janvier dans la capitale Kampala en possession de deux morceaux d’ivoire d’éléphant pesant 9,55 kg.

La juge du Tribunal des normes, services publics et de la faune, Gladys Kamasanyu, a relevé qu’il « était un récidiviste, ayant été inculpé en 2017 de deux chefs d’accusation de possession illégale d’espèces protégées et condamné par le même tribunal », souligne l’UWA.

Il avait purgé 18 mois de prison pour avoir détenu illégalement quatre morceaux d’ivoire et une peau sèche d’okapi.

Il y a 50 ans, environ 1,5 million d’éléphants vivaient sur le continent africain mais le plus récent recensement de ces grands mammifères en 2016 n’en dénombrait plus que 415.000.

KENYA – Le Kenya demandera à la Chine d’allonger la durée de remboursement d’un prêt de 5 milliards $ qui a servi à financer la construction de la ligne ferroviaire reliant la capitale Nairobi au port de Mombasa, a annoncé le ministre kényan des Transports, Kipchumba Murkomen, mercredi 19 octobre.

« Le remboursement du prêt, dont l’échéance est de 15 à 20 ans, à la China Exim Bank étouffe l’économie », a-t-il déclaré devant les députés. Et d’ajouter : « Si nous pouvons réussir à renégocier une échéance à 50 ans, alors cela allégera le fardeau et permettra au gouvernement d’affecter des fonds à d’autres besoins ».

M.Murkomen a également indiqué que l’utilisation de prêts à court terme pour financer des projets d’infrastructures, qui ne peuvent être rentables qu’à long terme, tels que les lignes ferroviaires, entraîne un décalage de financement.

« Le chemin de fer Nairobi-Mombasa n’a pas encore atteint le seuil de rentabilité. Il est impossible de rembourser ce prêt grâce aux revenus provenant de l’exploitation de l’infrastructure », a-t-il expliqué.

Le ministre s’est également engagé à rendre public le contrat de prêt relatif à ce projet, qui n’a jamais été divulgué malgré les recours introduits auprès des tribunaux par des activistes et des ONG anti-corruption.

Le chemin de fer Nairobi-Mombasa, qui s’inscrit dans l’initiative chinoise des nouvelles routes de la soie, est le projet d’infrastructure le plus coûteux au Kenya depuis l’indépendance du pays en 1963.

La réduction de la dette publique, qui représente 67,8% du PIB du Kenya, constitue l’une des réformes économiques soutenues par un programme de financement de 2,3 milliards de dollars sur 38 mois approuvé par le Fonds monétaire international (FMI) en avril 2021.  

RDC – Les affrontements entre Teke et Yaka ont déjà fait plus de 180 morts, selon les autorités. Suite à sa mission dans la province du Mai-Ndombe, le cardinal archevêque de Kinshasa, lors d’une conférence de presse, vendredi 21 octobre, a fait état d’un conflit complexe qui risque de s’étendre jusqu’à Kinshasa si le gouvernement ne trouve pas une solution pour faire régner la paix.

 « La réalité est beaucoup plus complexe qu’on ne le croit. Plusieurs groupes ethniques de la RD Congo sont impliqués dans ce conflit : il y a des Bangala, des Batetela, des Baluba, des Bambala, des Yanzi. Même si les Yaka sont majoritaires, dans cette contrée, ce n’est pas un conflit ethnique, c’est un conflit autour de la gestion des fermes et des plantations que les autres ont acheté aux Teke ou qu’ils sont en train de louer aux Teke », explique-t-il avant d’ajouter que « si on n’y prend pas garde et si on ne traite pas bien ce conflit qui sévit, ce conflit finira par atteindre Kinshasa. Kwamouth n’est pas loin, c’est juste ici. Quand vous êtes ici, à partir de l’aéroport de Ndjili, toutes les terres qui sont là, au-delà, ce sont les terres des Bateke. Vers le centre-ville, ce sont les terres des Humbus qui sont aussi les cousins des Teke. Vous risquez d’avoir les répercussions de ce qui se passe à Kwamouth demain, ici, dans la ville de Kinshasa », tient-il à souligner.

MADAGASCAR – Les autorités malgaches ont prolongé indéfiniment l’interdiction faite aux compagnies aériennes sud-africaines d’opérer des vols entre les deux pays, a annoncé Sisa Ngombane, l’ambassadeur d’Afrique du Sud à Madagascar.

Rodger Foster, PDG d’Airlink, seule compagnie sud-africaine ayant opéré sur cette ligne jusqu’à début mars 2022, a aussi déclaré la semaine dernière que ses agents à Madagascar ont reçu une notification des autorités de l’aviation civile du pays, laquelle réaffirme le maintien de l’interdiction pour une période non spécifiée.

Airlink estime que l’interdiction provient d’une querelle entre les deux pays, liée au refus de l’Afrique du Sud de restituer 73,5 kg de lingots d’or et 20 000 USD en espèces confisqués à trois ressortissants malgaches qui ont atterri le 31 décembre 2020 à bord d’un vol charter à Fireblade Aviation, un terminal privé situé à côté de l’aéroport international OR Tambo de Johannesburg.

Après l’isolement prolongé de Madagascar en raison de la Covid-19, l’île avait annoncé le 5 mars 2022 la réouverture de son espace aérien aux vols commerciaux internationaux, excepté ceux opérés par les transporteurs sud-africains. Pour Airlink, le maintien de la mesure complique la liaison par voie aérienne des deux pays.

« Nous appelons les gouvernements des deux pays à résoudre rapidement tous les problèmes et différends qui ont pu conduire à cette situation, afin que les relations puissent être normalisées et que nous puissions rétablir nos services aériens habituels reliant les deux marchés » a déclaré Mr. Foster.

AFRIQUE DU SUD – L’ancien président sud-africain Jacob Zuma, forcé à la démission en 2018 pour des faits de corruption, a accusé ce samedi son successeur Cyril Ramaphosa d’être « corrompu ».

« Le président est corrompu » et « il a commis une trahison », a-t-il déclaré dans sa première réaction à des allégations selon lesquelles M. Ramaphosa serait impliqué dans une obscure affaire de cambriolage.

M. Ramaphosa est accusé d’avoir dissimulé à la police et au fisc un cambriolage datant de 2020 dans une de ses propriétés, au cours duquel d’importantes sommes en espèces ont été trouvées, cachées dans du mobilier.

Une enquête a été ouverte après une plainte déposée en juin par l’ancien chef du renseignement sud-africain, Arthur Fraser. Selon ce dernier, des cambrioleurs se sont introduits dans une ferme appartenant au président à Phala Phala, dans le nord-est du pays.

La plainte accuse M. Ramaphosa d’avoir dissimulé le cambriolage à la police et l’argent trouvé sur place au fisc, ainsi que d’avoir organisé l’enlèvement et l’interrogatoire des voleurs, puis de les avoir soudoyés pour qu’ils gardent le silence.

M. Ramaphosa dénonce une manœuvre politique, nie les allégations d’enlèvement et de corruption et soutient que l’argent provenait de la vente de bétail.

L’affaire met le président dans la tourmente quelques mois avant que l’ANC ne décide de le présenter ou non comme candidat pour un second mandat à la présidentielle de 2024.

VATICAN-CHINE – « Le Saint-Siège et la République populaire de Chine, après des consultations et des évaluations appropriées, ont convenu de prolonger de deux ans la validité de l’accord provisoire sur la nomination des évêques, signé le 22 septembre 2018 » et renouvelé une première fois en 2020, a annoncé le Vatican dans un communiqué.

Cet accord « provisoire » visait à rassembler des catholiques scindés entre les Eglises officielle et clandestine, tout en donnant le dernier mot au pape pour nommer les évêques chinois. Au total, six prélats ont été ainsi choisis depuis l’entrée en vigueur de l’accord.

Le Vatican « entend poursuivre le dialogue respectueux et constructif avec la Chine, pour une mise en œuvre fructueuse de l’accord et pour un développement ultérieur des relations bilatérales, en vue de promouvoir la mission de l’Église catholique et le bien-être du peuple chinois ».

Au vu des « nombreuses situations de déchirement dans lesquelles les communautés catholiques se sont parfois retrouvées au cours des dernières décennies », il a « semblé prudent et judicieux de tenir compte à la fois des besoins exprimés par les autorités du pays et des besoins des communautés catholiques », a expliqué le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat et N.2 du Saint-Siège, dans une interview aux médias officiels du Vatican.

Après la rupture entre la Chine et le Vatican dans les années 1950, les quelque 10 millions de catholiques chinois se sont divisés entre une Eglise officielle, contrôlée par Pékin, et une Eglise clandestine.

Aux termes de l’accord annoncé en 2018, le pape François avait accepté de reconnaître la nomination de sept évêques désignés par le gouvernement chinois sans son accord.

Selon des fidèles, la répression engagée contre l’Eglise clandestine n’a pas diminué depuis le rapprochement Chine-Vatican, alors que le régime du président Xi Jinping semble accroître sa surveillance de l’ensemble des cultes.

Ces dernières années, des églises ont été détruites, des croix enlevées des clochers et des crèches religieuses fermées.

ITALIE – La nouvelle Première ministre Giorgia Meloni et ses ministres, qui forment le gouvernement le plus à droite et le plus eurosceptique d’Italie depuis 1946, ont prêté serment samedi matin au palais présidentiel du Quirinal à Rome.

La cérémonie sous les ors de ce palais dominant Rome, résidence des papes et des rois d’Italie avant de devenir le siège de la présidence de la République, s’est déroulée en présence du chef de l’Etat, le président Sergio Mattarella.

Mme Meloni, vêtue d’un très sobre tailleur noir, a été la première à prêter serment, suivie de ses deux vice-Premiers ministres issus des deux partis partenaires de sa coalition, Matteo Salvini, le chef de la Ligue anti migrants, et Antonio Tajani, haut responsable du parti Forza Italia de Silvio Berlusconi.

Tous se sont succédé devant Sergio Mattarella pour prononcer, debout, le serment traditionnel: « Je jure d’être fidèle à la République, de respecter loyalement la Constitution et les lois, et d’exercer mes fonctions dans l’intérêt exclusif de la nation ».

La liste des ministres choisis par Mme Meloni, qui avec son parti post-fasciste Fratelli d’Italia a remporté une victoire historique aux législatives du 25 septembre avec 26% des voix, reflète son désir de rassurer les partenaires de Rome, inquiets face à l’arrivée au pouvoir en Italie d’un chef de gouvernement d’extrême droite.

La nomination aux Affaires étrangères, avec le titre de vice-Premier ministre, de l’ex-président du Parlement européen Antonio Tajani, a ainsi été aussitôt saluée vendredi soir par le président du Parti populaire européen, l’Allemand Manfred Weber, comme « une garantie d’une Italie pro-européenne et atlantiste ».

Autre gage donné à Bruxelles, Giancarlo Giorgetti, un représentant de l’aile modérée de la Ligue, déjà ministre dans le gouvernement sortant de Mario Draghi, qui hérite du portefeuille crucial de l’Economie.

Le populiste Matteo Salvini doit se contenter du portefeuille des Infrastructures et Transports alors qu’il convoitait celui plus prestigieux de l’Intérieur, qui échoit à un technocrate.

Sur les 24 ministres figurent seulement six femmes, cantonnées à des portefeuilles mineurs.

ETATS-UNIS – Le président américain Joe Biden, qui aura 80 ans en novembre, a affirmé vendredi qu’il avait l’« intention » de se présenter pour un nouveau mandat en 2024, mais qu’il n’en avait pas encore pris la décision formelle.

Interrogé à ce sujet sur la chaîne MSNBC, le démocrate a dit que s’il ne se décidait pas dans l’immédiat, c’est parce qu’aussitôt l’annonce faite, « toute une série de règles s’enclenchent » et « je devrai me comporter en candidat ».

« Je n’ai pas encore formellement pris la décision, mais c’est mon intention. Mon intention (est) de me présenter de nouveau et nous avons le temps de prendre cette décision », a-t-il déclaré.

A la question de savoir si son épouse, Jill Biden, était favorable à ce qu’il se lance de nouveau dans la course, il a sous-entendu qu’elle l’était.

« Ma femme pense que nous sommes en train de faire quelque chose de très important et que je ne devrais pas m’en détourner », a-t-il affirmé après avoir marqué une pause.

M. Biden avait déjà fait part de son « intention » de se représenter en septembre, tout en restant évasif.

Plus vieux président jamais élu aux Etats-Unis, Joe Biden fêtera ses 80 ans le 20 novembre. Il aurait 82 ans au début d’un éventuel second mandat, et 86 ans à la fin.

Son âge alimente régulièrement les spéculations sur la réalité d’une nouvelle candidature.

M. Biden et son parti s’apprêtent à passer le test des élections parlementaires de mi-mandat le 8 novembre, traditionnellement difficiles pour le président en exercice.

GUINEE – La junte au pouvoir en Guinée a accepté de rendre le pouvoir aux civils au bout de deux ans, renonçant sous la menace de sanctions imminentes à diriger le pays pendant trois années, indique un document de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao).

« Dans un compromis dynamique, les experts de la Cédéao et de la Guinée ont conjointement développé un chronogramme (calendrier) consolidé de la transition étalé sur 24 mois », dit ce document transmis vendredi à un correspondant de l’AFP et publié sur les réseaux sociaux par la junte.

Le document ne précise pas quand commence cette période de 24 mois.

Le colonel Mamady Doumbouya a pris le pouvoir par la force le 5 septembre 2021 en renversant avec ses hommes le président civil Alpha Condé. Il s’est fait investir président depuis.

Il s’est engagé à céder la place à des civils après des élections. La junte avait jusqu’alors affirmé son intention de gouverner pendant trois ans, le temps pour elle d’organiser des élections crédibles et de mener à bien d’importantes réformes nécessaires à ce qu’elle appelle une « refondation » de l’Etat guinéen.

IMAM IQUIOUSSEN – Un tribunal belge a refusé vendredi d’exécuter le mandat d’arrêt européen ciblant l’imam marocain Hassan Iquioussen, réclamé par la justice française pour s’être soustrait à une mesure d’éloignement cet été, a annoncé à l’AFP son avocat belge Nicolas Cohen.

Son avocat a notamment plaidé qu’il risquait « un procès inéquitable » en France, « à cause de l’ampleur de la polémique », a-t-il expliqué.

Hassan Iquioussen, actuellement incarcéré dans une prison belge, a comparu vendredi lors d’une audience à huis clos devant la chambre du conseil du tribunal de Tournai (ouest), chargée de statuer sur le mandat d’arrêt (MAE).

Selon Me Cohen, le parquet s’est prononcé en faveur de l’exécution du MAE, ce qui laisse envisager un recours de sa part devant la cour d’appel.

Fin juillet, le ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin avait annoncé l’expulsion de ce prédicateur du Nord, fiché S (pour sûreté de l’Etat) par les services de renseignement « depuis dix-huit mois », selon lui.

L’arrêté d’expulsion lui reprochait « un discours prosélyte émaillé de propos incitant à la haine et à la discrimination et porteur d’une vision de l’islam contraires aux valeurs de la République ».

Son avocate française, Me Lucie Simon, a jugé qu’il avait « respecté purement et simplement la loi française en quittant l’Hexagone pour la Wallonie ».

Conséquence logique, Me Simon a fustigé l’émission d’un MAE et contesté sa validité, estimant qu’il se fonde « sur une infraction » qui n’est, selon elle, « pas constituée ». « Pourquoi le rechercher ? Pourquoi vouloir le faire revenir ? », s’était-elle interrogée début septembre.

L’argument a de nouveau été brandi vendredi par Me Simon et Me Cohen.

La « soustraction à l’exécution d’une mesure d’éloignement » reprochée à l’imam par un juge de Valenciennes (nord de la France) « n’est pas une infraction en droit belge », a soutenu Me Cohen.

Or une des conditions de l’extradition est que « les deux pays incriminent le même comportement », a-t-il ajouté.

HAÏTI – Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté vendredi à l’unanimité une résolution prévoyant un régime de sanctions contre des bandes criminelles haïtiennes et pour tenter de résoudre la terrible crise sécuritaire et humanitaire en Haïti.

Le texte, préparé par les Etats-Unis et le Mexique et voté par les 15 membres du Conseil, vise notamment les gangs qui sèment le chaos dans ce pays pauvre des Caraïbes et dont il « exige une cessation immédiate de la violence, des activités criminelles et des atteintes aux droits humains ».

Le Conseil de sécurité débat depuis des semaines de deux projets de résolution sur Haïti, aux prises avec une crise multidimensionnelle: économique, sécuritaire, politique et humanitaire.

Lundi, le Conseil avait discuté du possible envoi d’une force internationale pour permettre à la population de sortir du « cauchemar », mais sans prendre de décision sur cette option qui ne fait pas l’unanimité.

« La situation est absolument dramatique. Le port est bloqué par les gangs qui ne laissent pas sortir le carburant (…) Sans carburant, il n’y a pas d’eau. Et il y a le choléra », dont le traitement nécessite un bon approvisionnement en eau potable, avait déclaré le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.

Cette deuxième résolution, adoptée vendredi, prévoit la mise en place d’un régime de sanctions (interdiction de voyage, gel des avoirs, embargo ciblé sur les armes) contre les gangs et leurs meneurs.

Le seul dirigeant mentionné par le texte onusien est Jimmy Cherizier, surnommé « Barbecue », « l’un des chefs de gangs les plus influents, qui dirige une alliance de bandes haïtiennes surnommée « la famille G9 » et ses alliés ». Cherizier bloque le terminal de Varreux et ses actions « ont directement contribué à la paralysie économique et à la crise humanitaire en Haïti », selon l’ONU.

GRANDE BRETAGNE – L’ex-Premier ministre Boris Johnson a atterri ce samedi matin à Londres, de retour de vacances aux Caraïbes, renforçant l’hypothèse de sa candidature dans la course à Downing Street, pour laquelle Rishi Sunak est en tête, ayant dépassé les 100 parrainages nécessaires.

Après la démission de Liz Truss, restée seulement 44 jours au pouvoir, trois noms ont émergé dans cette campagne éclair au sein du parti conservateur : l’actuelle ministre des Relations avec le Parlement Penny Mordaunt, qui a officialisé sa candidature vendredi, Rishi Sunak, l’ancien ministre des Finances qui avait perdu début septembre face à Liz Truss, et l’ex-premier ministre Boris Johnson, qui a démissionné en juillet après une succession de scandales.

Son combat avec Rishi Sunak domine les Unes de la presse samedi. «Johnson et Sunak mènent la course alors que les espoirs d’unité s’évanouissent», titre The Independent. «Les tribus conservatrices partent en guerre», écrit The Guardian. Vendredi soir, un allié de Boris Johnson au Parlement, James Duddridge, avait rapporté un échange avec son «boss». «Il a dit : «Nous allons le faire, je suis prêt».

TRUMP – Il n’est pas convoqué chez le proviseur mais devant le Congrès. La commission d’enquête parlementaire sur l’assaut du Capitole a cité vendredi l’ancien président républicain Donald Trump à comparaître « le ou autour du 14 novembre » juste après les élections de mi-mandat.

Dans un courrier rendu public, elle l’a par ailleurs assigné à produire avant le 4 novembre, soit quatre jours avant le scrutin, toute une série de documents, dont un compte-rendu de toutes ses communications le 6 janvier 2021.

« Nous admettons qu’assigner un ancien président est une action importante et historique et nous ne la prenons pas avec légèreté », écrivent les élus démocrates Bennie Thompson et républicain Liz Cheney, qui chapeautent cette commission. Le panel, composé de sept élus démocrates et deux républicains, avait voté à l’unanimité le 13 octobre pour convoquer l’ancien président.

Publiquement, Donald Trump a assuré qu’il n’écartait pas de venir témoigner, à condition de pouvoir le faire en direct et devant les caméras. Il avait toutefois tenu le même refrain lors de ses deux procès en impeachment sans jamais venir devant le Congrès. Steve Bannon, son ancien conseiller, a été condamné vendredi à quatre mois de prison pour avoir refusé de se plier à des assignations de la commission.

D’autre part, le Washington Post rapporte que des documents saisis en août dans la résidence de Floride de Donald Trump comprenaient des informations hautement sensibles sur l’Iran et la Chine qui auraient pu révéler au grand jour des méthodes d’espionnage américaines

INDONESIE – Le nombre d’enfants morts d’insuffisance rénale aiguë en Indonésie s’élève à 133, a annoncé le ministre de la Santé, qui a attribué cette hausse à des substances nocives contenues dans des sirops médicaux.

« Nous avons identifié 241 cas d’insuffisance rénale aiguë dans 22 provinces, avec 133 décès », a déclaré le ministre de la Santé indonésien Budi Gunadi Sadikin.

Les autorités sanitaires ont ouvert une enquête et ont découvert des traces de substances chimiques nocives chez les enfants soignés pour insuffisance rénale aiguë. « Sept enfants sur onze avaient les substances nocives suivantes : l’éthylène glycol, le diethylène glycol et l’ether butylique d’éthylène glycol ».

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé début octobre avoir trouvé « des quantités inacceptables » de diéthylène glycol et d’éthylène glycol dans quatre sirops indiens pour la toux impliqués dans la mort de près de 70 enfants en Gambie des suites d’insuffisance rénale aiguë.

Les autorités indonésiennes ont découvert des traces de substances similaires dans 102 sirops au domicile d’enfants malades, a précisé M. Budi. L’interdiction des prescriptions et de la vente des sirops sera élargie à ces 102 produits.

La plupart des cas sont des enfants âgés de moins de cinq ans.

COLOMBIE – La Colombie a battu un nouveau record historique de cultures de drogues, avec 204.000 hectares de feuilles de coca semées en 2021, selon un rapport annuel de l’ONU publié jeudi. Le plus grand producteur de cocaïne au monde «fait état d’une augmentation de 43% de la superficie de coca plantée dans le pays, passant de 143.000 hectares en 2020 à 204.000 en 2021», a déclaré l’Office des Nations Unies contre la drogue et la criminalité (ONUDC).

Ce chiffre est le plus haut jamais enregistré par l’ONU depuis qu’elle a commencé le suivi de la production de cocaïne, en 2001. Parallèlement à sa culture, la fabrication de la cocaïne qui est convoyée de Colombie vers les États-Unis et l’Europe a aussi augmenté, passant de 1.010 tonnes à 1.400 tonnes.

La publication des données de l’ONU conforte le point de vue du nouveau chef de l’État colombien, Gustavo Petro, premier président de gauche de l’histoire du pays. Il est temps d’arrêter la « guerre contre les drogues » qui « a échoué », avait-il déclaré dès son discours d’investiture, dimanche 7 août. Gustavo Petro souhaite passer à une « politique forte de prévention de la consommation » dans les pays développés, grâce à « une nouvelle convention internationale ».

Le 20 septembre, il a réitéré ses propos à l’Assemblée générale des Nations unies, réclamant « la fin de la guerre irrationnelle contre la drogue ». Une guerre qui fait des ravages dans les pays producteurs, avec « un million de morts » en Amérique latine, selon Gustavo Petro, et qui coûte très cher – les États-Unis ont consacré 10 milliards de dollars à l’éradication de la coca en Colombie entre 2000 et 2020. …

MEXIQUE – Quinze maisons d’un quartier d’Aguascalientes, dans le nord du Mexique, ont été détruites et 300 familles ont dû être évacuées après l’explosion d’un camion-citerne à la suite d’une collision avec un train, ont indiqué vendredi 21 octobre 2022 les autorités.

La collision s’est produite jeudi « entre un train et un camion-citerne transportant du carburant », avait indiqué dans la soirée la gouverneure de l’État d’Aguascalientes, Maria Teresa Jiménez, assurant que l’accident n’avait fait ni blessé ni mort. 

« Les pompiers sont arrivés très rapidement sur les lieux et ont réussi à évacuer environ 300 maisons de Colonia Mexico », dont 120 ont été endommagées, selon elle.

Certains habitants de ce quartier populaire d’Aguascalientes ont été relogés dans des hôtels, selon la même source. Des abris temporaires ont également été ouverts.

Les autorités n’ont pas encore fourni d’informations sur les raisons de l’accident.

Par ailleurs, l’ouragan Rosyln s’est renforcé en passant en catégorie 3 ce samedi, devenant une tempête majeure alors qu’il s’approchait de la côte pacifique du Mexique, ont annoncé les services météorologiques américains.

PAKISTAN – Dans une interview accordée à l’hebdomadaire Le Point, la ministre des Affaires étrangères du Pakistan,  Hina Rabbani Khar, déclare que « Notre pays rejette le nouvel ordre mondial binaire selon lequel il n’y a que des bons et des méchants. Au contraire, le multilatéralisme est enrichi par notre propre expérience individuelle, qui nous apprend que les conflits devraient immédiatement aboutir à une cessation des hostilités. C’est ce que nous souhaitions souligner dans la résolution, sans référence aux précédents textes qui ont été adoptés sur la guerre en Ukraine. Pour préciser notre pensée, nous ne considérons d’aucune manière que ces référendums sont illégaux. Nous avons en revanche indiqué que nous étions d’accord avec l’esprit de la résolution ».  Relevant un climat général d’islamophobie dans le monde, elle note : « Regardez le lien fait avec le terrorisme par exemple. Dans beaucoup de pays, si une attaque a lieu contre une école, on ne parle de terrorisme que si l’auteur est musulman. Ceci est une réalité ».

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