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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 3 ans
dans INTERNATIONAL, Les infos du jour, SLIDER
Dans le monde, ces dernières heures…
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MAROC – Le 20 octobre, la ministre marocaine de l’Économie et des Finances Nadia Fettah Alaoui présentait au Parlement le Projet de loi de finances (PLF) pour l’année 2023. Dont fait partie le budget consacré aux dépenses du roi Mohammed VI et de la cour royale. 

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Sur les 543,4 millions de dirhams (l’équivalent de 50 millions d’euros) alloués à « Sa Majesté le roi », 26,2 millions sont destinés au poste dit « personnel » (également appelé « les listes civiles du roi ») – qui correspond au salaire du monarque et des membres de sa proche famille, auxquels viennent s’ajouter les pensions destinées aux membres de la dynastie alaouite –, et 517 millions de dirhams consacrés au « matériel et dépenses diverses », qui couvrent aussi bien le parc automobile royal que les réceptions officielles organisées en l’honneur d’invités de marque (tels que monarques, princes, présidents…) ou encore les trophées et les grand prix portant le nom du souverain ou celui des membres de la famille royale.

« Ces sommes n’ont quasiment pas augmenté depuis plus de dix ans malgré l’agrandissement de la famille royale et l’inflation galopante, commente un économiste marocain pour Jeune Afrique.

2,2 milliards de dirhams figurant sous la rubrique « Cour royale », se répartissent en trois postes : 577 millions de dirhams pour les dépenses de « personnel » (ce qui correspond au salaire des conseillers royaux, ainsi que la rémunération de l’ensemble des personnes qui travaillent au cabinet royal et au ministère de la Maison royale), 1,5 milliard de dirhams pour le « matériel et dépenses diverses » (l’entretien des palais et les frais de fonctionnement des diverses institutions au cœur de la monarchie comme le cabinet royal) et 131 millions dirhams consacrés à l’investissement.

Un budget de 1,6 milliard de dirhams a par ailleurs été consacré au chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, soit l’équivalent de près de trois fois celui du roi Mohammed VI.

IRAN – Au moins neuf personnes ont été tuées ce mercredi à Chiraz, dans le sud de l’Iran, lors d’une attaque contre un lieu de culte chiite menée par des individus armés, a annoncé l’organe du pouvoir judiciaire.

«Neuf personnes sont tombées en martyr et dix autres ont été blessées après que trois terroristes ont attaqué le mausolée de Shahcheragh à Chiraz», a annoncé Mizan Online, l’agence de l’autorité judiciaire. Deux assaillants ont été arrêtés, selon la même source.

IRAN – NOUVELLE ZELANDE – Deux blogueurs de voyage originaires de Nouvelle-Zélande, dont la trace avait été perdue pendant quatre mois après leur arrivée en Iran, ont quitté le pays en sécurité à la suite de discussions secrètes entre les deux gouvernements, a annoncé mercredi 26 octobre Wellington.

Bridget Thackwray et son époux Topher Richwhite, fils d’un des hommes les plus riches de l’archipel, étaient arrivés début juillet en Iran depuis la Turquie. Très vite, les jeunes mariés sont devenus muets sur les réseaux sociaux qu’ils avaient pour habitude d’alimenter d’images de leurs voyages.

Pendant des mois, leurs quelque 30.000 fans, de plus en plus angoissés à leur sujet, leur ont envoyé des messages, restés lettre morte. Dans le même temps, le gouvernement néo-zélandais a préféré garder le silence à leur sujet. Mercredi, la première ministre de l’État insulaire Jacinda Ardern a annoncé que le gouvernement a «œuvré ardemment» au cours de cette période pour «garantir (le départ) en toute sécurité» du couple qui a traversé «une période difficile».

Les circonstances de leur séjour dans la République islamique demeurent floues. Les autorités iraniennes ont affirmé à l’AFP que le couple n’a été ni détenu ni arrêté et le gouvernement néo-zélandais a pris soin de ne pas sous-entendre une quelconque captivité.

IRAN-UE – L’Iran a annoncé ce mercredi des sanctions contre des institutions, des individus et des médias basés dans l’Union européenne, en riposte aux mesures punitives imposées récemment par l’UE contre des dirigeants iraniens accusés d’avoir réprimé les manifestations après la mort de Mahsa Amini.

Le 17 octobre, l’Union européenne a adopté des sanctions contre la police des mœurs et onze dirigeants iraniens dont le ministre des Télécommunications, les accusant d’être impliqués dans la répression.

En riposte, le ministère iranien des Affaires étrangères a annoncé dans un communiqué des sanctions contre huit institutions et douze individus basés en Europe pour avoir « soutenu des groupes terroristes », « incité à la violence » et « provoqué des émeutes, des violences et des actes terroristes » en Iran.

Sur la liste noire iranienne figurent notamment The International Committee in Search of Justice (ISJ), la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA), et les versions en persan de la Deutsche Welle et de Radio France international.

Des parlementaires et politiciens européens et français et deux responsables du journal allemand Bild sont parmi les personnes sanctionnées par le gouvernement iranien.

Les sanctions comprennent une interdiction de visa et la « saisie de leurs biens et avoirs sur le territoire sous la juridiction de l’Iran », selon le ministère.

Le 19 octobre, l’Iran avait annoncé avoir inscrit sur sa liste noire des entités et individus britanniques, quelques jours après que Londres a imposé des sanctions à la police des mœurs iranienne au sujet de la mort de Mahsa Amini.

LIBAN-SYRIE – Un premier groupe de réfugiés syriens est rentré mercredi matin en Syrie, à travers le poste-frontière de Masnaa, dans le cadre du plan gouvernemental qui envisage le retour « volontaire et sécurisé » de 15.000 réfugiés par mois. Près de 500.000 réfugiés se sont déjà inscrits dans l’un des 17 centres de la Sûreté générale prévus à cet effet sur l’ensemble du territoire.

Formé de trois familles de 12 personnes, ce groupe était venu de Nabatiyeh à bord d’un bus de la Sûreté générale. À Masnaa, un bus en provenance de Syrie les a ramenés dans leur pays.

À Hermel, près de 100 familles ont quitté Wadi Hmayed à travers le poste-frontière de Zamrani, dans la Bekaa.

Présent sur les lieux, le ministre sortant des Affaires sociales, Hector Hajjar, a déclaré que « cette journée est nationale ». Il a affirmé que « la décision politique pour un retour volontaire et sécurisé des réfugiés a été prise » et que d’autres groupes de réfugiés rentreront prochainement dans leur pays.

Selon les chiffres de la Sûreté générale, le Liban accueille 2.080.000 réfugiés syriens.

LIBAN – Le ministre sortant des Finances, Youssef Khalil, avait créé la surprise le 28 septembre, lors d’une interview à l’agence Reuters, en annonçant qu’à partir du 1ᵉʳ novembre, le taux de change officiel serait de 15.000 livres pour un dollar. Une mesure justifiée par « la nécessité d’une unification des taux de change, prévue dans le plan de redressement du gouvernement » et confirmée le lendemain dans un communiqué du ministère des Finances. Celui-ci avait demandé au gouvernement et aux secteurs concernés de prendre les mesures préparatoires à l’exécution de cette décision, prise suite au vote du Budget 2022 dans lequel le dollar douanier avait été fixé à 15.000 livres.

Depuis, plus rien. Jusqu’à lundi, lorsque le ministère a annoncé indirectement que le taux de change ne sera pas modifié, en répondant à « des informations erronées à ce sujet » qui circulaient sur les réseaux sociaux. S’agissait-il d’un coup de bluff pour inciter les Libanais à sortir des dollars frais au plus vite?

Il semble en fait que tout ne soit pas encore prêt pour une unification des taux de change. Une source autorisée au ministère des Finances explique laconiquement à Ici Beyrouth que le projet n’a pas été abandonné parce qu’il est important que le dollar du marché soit égal au dollar douanier. « Il faut qu’il y ait un équilibre et une unification du taux de change. Tout est en train d’être étudié et mis en place à cette fin, dont un réajustement des salaires », souligne-t-on de même source, sans cependant donner de date.

Pour Nassib Ghobril, économiste en chef de la Byblos Bank, la décision a été reportée jusqu’à nouvel ordre, principalement à cause du tollé qu’elle a provoqué. Un de ses farouches détracteurs a été le Hezbollah qui l’avait critiquée ouvertement. Aussi, après avoir craché le morceau, le ministre des Finances avait nuancé ses propos et affirmé que la mise en place du nouveau taux de change devait faire partie d’un plan de réforme global. « Nous attendons », commente l’économiste, avant de poursuivre: « le taux de change de 15.000 LL pour un dollar va être mis en vigueur pour quelques importations. C’est ce qu’on appelle le dollar douanier ».

ISRAËL – La députée Aida Touma-Suleiman du parti arabe Hadash-Ta’al a fait l’éloge de cinq terroristes palestiniens, éliminés dans des affrontements avec les troupes israéliennes, lors d’un raid dans un atelier d’explosifs à Naplouse pendant la nuit de lundi à mardi.

« Naplouse se sépare de nos martyrs aujourd’hui. Notre nation palestinienne fait ses adieux à ses martyrs », a-t-elle écrit dans un post Facebook, incluant une photo des funérailles des terroristes qui ont eu lieu ce mardi dans la ville du nord de la Cisjordanie.

« Plus l’occupation augmente ses crimes, plus la résistance s’intensifie. C’est une leçon importante dans l’histoire des nations », a ajouté la députée.

Ses propos ont été dénoncés par le ministre de la Défense, Benny Gantz.

« J’ai honte des représentants publics qui soutiennent les terroristes et sont prêts à les laisser continuer à faire couler le sang des citoyens israéliens », a tweeté Benny Gantz.

« La députée Aida Touma-Suleiman prouve,  une fois de plus,  que le parti Hadash-Ta’al ne peut pas être inclus dans un gouvernement », a-t-il ajouté. « La sécurité d’Israël passe avant la formation d’une coalition ».

CISJORDANIE – Les forces israéliennes ont annoncé ce mercredi 26 octobre avoir arrêté trois Palestiniens membres présumés du nouveau regroupement armé «Repaire des Lions» en Cisjordanie occupée, au lendemain d’un raid musclé contre ce groupe impliqué dans une série d’attaques anti-israéliennes.

Des milliers de Palestiniens avaient participé mardi aux funérailles de cinq Palestiniens tués le même jour dans un raid de l’armée israélienne visant le groupe Areen al-Oussoud («Repaire des Lions»), à Naplouse, une grande ville du nord de la Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967.

Au lendemain de ces événements en Une des médias israéliens et palestiniens, l’armée israélienne a avoir appréhendé «trois membres importants du groupe terroriste “Repaire des lions” dans la ville de Naplouse». Parmi les combattants présumés arrêtés figure Muhammad Al-Nabulsi, «soupçonné de posséder des armes, de fabriquer des engins explosifs», a précisé l’armée israélienne.

Mohammad Al-Nabulsi est le frère d’Ibrahim Al-Nabulsi, surnommé le «lion de Naplouse», un combattant qui galvanisait de nombreux jeunes Palestiniens avant d’être tué par les forces de sécurité israéliennes en août et qui sert de manière posthume d’inspiration au groupe armé «Repaire des lions».

SOUDAN – Un manifestant a été tué au soudan, mardi 25 octobre, alors que des milliers de personnes défilaient dans les rues de Khartoum pour dire « non au pouvoir militaire« , un an jour pour jour après le putsch qui a plongé le pays dans le chaos.

Les chancelleries occidentales avaient appelé le pouvoir militaire à ne pas tirer sur la foule, dans un contexte de répression sécuritaire accrue qui a fait 119 morts en un an.  

Mardi, face à une mobilisation d’une ampleur inédite depuis des mois, aucun tir n’a retenti mais un manifestant « a été tué, renversé par un véhicule militaire » dans la banlieue de Khartoum, ont indiqué des médecins pro-démocratie.

Toute la journée, malgré une coupure d’internet – finalement rétabli en fin de journée – les manifestants ont scandé « les militaires à la caserne », à Khartoum et dans ses banlieues, où en soirée encore de nombreuses routes étaient bloquées.

SOUDAN DU SUD – Le vice-président du Soudan du Sud, Riek Machar, a rejeté une tentative de l’expulser du parti au pouvoir, signe d’un regain de tensions politiques qui pourrait mettre la pression sur le processus de paix houleux du pays.

La plus jeune nation du monde a oscillé de crise en crise depuis qu’elle a proclamé son indépendance du Soudan en juillet 2011, et est maintenue par un fragile gouvernement d’unité entre les ennemis historiques du président Salva Kiir et de Machar.

Soulignant les frictions persistantes entre les deux hommes, une réunion présidée par Kiir la semaine dernière a évincé Machar du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM) au pouvoir.

Mais Machar a rejeté lundi la décision de le priver, ainsi que le secrétaire général du SPLM, Pagan Amu, de leur appartenance au parti, ainsi que de leurs rôles de dirigeant.

« Aucune faction ne peut renvoyer un membre des autres factions du SPLM », a déclaré l’aile du parti de Machar, le Mouvement populaire de libération du Soudan dans l’opposition (SPLM / A-IO), dans un communiqué.

Le SPLM a été fondé en tant qu’aile politique de l’Armée populaire de libération du Soudan (APLS), qui a mené la lutte pour l’indépendance du Soudan du Sud.

Mais il s’est scindé en différentes factions après l’éruption de la guerre civile en décembre 2013.

La tension entre Kiir et Machar a souvent dégénéré en violence meurtrière malgré les nombreuses promesses de faire taire leurs armes.

En avril, ils se sont mis d’accord sur la création d’un commandement unifié des forces armées, l’une des nombreuses questions dans lesquelles se trouve l’impasse qui retarde la mise en œuvre du pacte de 2018 visant à mettre fin au conflit qui dure depuis cinq ans dans le pays.

RDC – L’Association des correspondants de la presse internationale en République démocratique du Congo (ACPI) a fait part mardi de « ses vives préoccupations » après l’arrestation la veille au soir à Kinshasa d’un de ses membres, « porté disparu » depuis lors. Le journaliste congolais Steve Wembi, collaborateur du New York Times, a été visé par « une rafle (menée) par des agents présentés comme appartenant à l’Agence nationale des renseignements (ANR) », indique l’ACPI dans un communiqué.

Il « a été inquiété dans un hôtel du centre-ville, mais reste introuvable jusqu’à présent », ajoute l’association.

Un reporter a par ailleurs indiqué à l’AFP sous couvert d’anonymat avoir vu Steve Wembi être embarqué devant cet hôtel dans une jeep blanche par les hommes qui l’ont interpellé.

L’ACPI ajoute qu’un autre de ses membres, le journaliste Pascal Mulegwa, correspondant à Kinshasa de Radio France Internationale (RFI), « venu pour s’enquérir de la situation de son confrère, a été interpellé brutalement devant l’hôtel et dépossédé de ses effets personnels ».

Ses effets lui ont été restitués « après plus de deux heures de détention dans des conditions inhumaines dans les locaux de l’ANR », ajoute le communiqué. « Une somme importante lui a cependant été soutirée par des agents de l’ANR », poursuit l’ACPI.

La RDC occupe la 125e place (sur 180) au dernier classement mondial de la liberté de la presse établi par l’organisation de défense des journalistes Reporters sans frontières (RSF).

MOZAMBIQUE – La guerre en Ukraine et la réduction drastique des exportations russes ont donné un coup de fouet au travail d’extraction au large du Mozambique. Une plateforme flottante de la compagnie italienne ENI associée au géant britannique BP va commencer ses livraisons début novembre.

Le contrat porte sur 3 millions et demi de tonnes par an pendant 20 ans, de quoi calmer un peu la crise énergétique qui touche l’Europe.

Du côté de la française Total, les installations à terre ont pris du retard à cause de l’insécurité provoquée par la guérilla islamiste qui sévit dans la province de Cabo Delgado.

Le dispositif italo-britannique est mieux sécurisé car totalement isolé du rivage. Les navires gaziers peuvent l’accoster et effectuer le chargement sans avoir à s’approcher de la côte.

ZIMBABWE – Le Zimbabwe en passe de devenir le symbole de la résilience en Afrique de la pénurie de blé provoquée par la crise russo-ukrainienne. Harare annonce une récolte historique de 380 000 tonnes de blé loin des 300 000 récoltées l’année dernière. Une production excédentaire, les besoins du pays en la matière étant de 360 000 tonnes.

Pendant des année, le Zimbabwe s’est tourné vers les importations pour compenser les faiblesses de la production locale.

Les pays africains – qui ont importé 44% de leur blé de Russie et d’Ukraine entre 2018 et 2020, selon les chiffres de l’ONU – ont été durement touchés par les pénuries mondiales et les hausses de prix des céréales à la suite de la guerre. La Banque africaine de développement a signalé une augmentation de 45 % des prix du blé sur le continent.

AFRIQUE DU SUD – L’Afrique du Sud a fait état d’une amélioration de sa situation budgétaire lors d’un budget à mi-parcours mercredi, en signalant des déficits plus faibles au cours des trois prochaines années et une stabilisation de la dette à un niveau inférieur grâce à des recettes plus élevées que prévu.

Mais un plan gouvernemental visant à reprendre une partie de la dette de 400 milliards de rands (22 milliards de dollars) d’Eskom n’est pas prêt, malgré les assurances que le budget à moyen terme contiendrait plus de détails.

Le Trésor national a confirmé qu’il prendrait en charge une partie de la dette mais ne s’est pas engagé sur un montant spécifique ou un calendrier. Il a déclaré qu’il pourrait prendre en charge entre un tiers et deux tiers de la dette, mais qu’il devait encore consulter les détenteurs de la dette.

« L’Afrique du Sud rétablit la santé de ses finances publiques au moment même où l’économie mondiale prend un dangereux virage pour le pire », a déclaré le ministre des Finances Enoch Godongwana dans les commentaires accompagnant le budget à moyen terme.

« Les défis de l’Afrique du Sud sont importants, mais ses politiques macroéconomiques stables et ses efforts pour ramener les finances publiques à une position durable signifient que le pays est en meilleure position pour affronter les tempêtes qui s’annoncent. »

Le Trésor prévoit désormais un déficit budgétaire consolidé de 4,9 % du produit intérieur brut (PIB) pour l’exercice 2022/23 en cours, contre 6,0 % prévus dans le budget principal de février.

L’année prochaine, il prévoit un déficit de 4,1 % du PIB et l’année suivante de 3,9 % du PIB, en baisse par rapport aux 4,8 % et 4,2 % observés en février.

Il prévoit une stabilisation de la dette brute à 71,4 % du PIB en 2022/23, alors qu’en février, il prévoyait une stabilisation de la dette en 2024/25 à 75,1 % du PIB. (1 $ = 17,9941 rand)

INSOLITE – Dimanche 23 octobre, une femme de 54 ans, vivant dans la province de Jambi, sur l’île de Sumatra, est partie dans la plantation de son village récolter du caoutchouc. Inquiète de ne pas la voir revenir, la famille de cette jeune grand-maman est partie à sa recherche.

Son mari a d’abord découvert une sandale, un couteau, un foulard et une veste appartenant à sa femme, ainsi que ses outils et son matériel. Et à proximité, un python de 7 mètres, écrit DetikNews. Son corps était très rebondi, il venait donc d’avaler une proie.

Craignant le pire, les villageois ont tué le serpent et l’ont ouvert. À l’intérieur, ils ont trouvé le corps de la disparue, intact. Selon le chef du village, cité par le «Daily Mail», le python s’est sans doute enroulé autour de la malheureuse, pour lentement l’étouffer. Puis il s’est disloqué la mâchoire pour l’avaler entièrement, ce qui a dû lui prendre deux heures.

Après ce drame, qui a traumatisé le village, ses habitants sont d’autant plus inquiets que plusieurs autres pythons géants ont été vus dans les environs.

Bien que de tels incidents soient rares, ce n’est pas la première fois qu’une personne en Indonésie est tuée et mangée par un python. Deux décès similaires ont été signalés dans le pays entre 2017 et 2018.

TURQUIE – Une médecin turque qui avait réclamé une « enquête indépendante » sur l’emploi éventuel d’armes chimiques contre les rebelles kurdes du PKK dans le nord de l’Irak a été arrêtée ce mercredi, au lendemain d’un coup de filet visant onze journalistes de médias pro-kurdes.

« La présidente de l’Union des médecins de Turquie (…) a été arrêtée le 26/10/2022, accusée de faire la propagande d’une organisation terroriste », a indiqué le bureau du procureur général d’Ankara, réclamant son remplacement immédiat.

Des accusations de recours à des armes chimiques, relayées par des médias pro-kurdes et des membres de l’opposition turque, étaient apparues la semaine dernière, et les combattants kurdes avaient diffusé une liste de 17 noms, accompagnés de photos de « martyrs » présentés comme ayant été tués par des gaz toxiques dans le nord de l’Irak.

Ankara avait aussitôt dénoncé une campagne de « désinformation ».

La présidente de l’Union des médecins de Turquie (TTB), Sebnem Korur Fincanci, avait pour sa part dit avoir « regardé et examiné les images sur les réseaux sociaux » des victimes supposées de « gaz toxiques ».

La médecin avait appelé à une « enquête indépendante afin d’établir la responsabilité des Etats qui utilisent ce genre d’armes », toutes interdites, avait-elle rappelé.

Le bureau du procureur général d’Ankara avait aussitôt annoncé l’ouverture d’une enquête à son encontre.

Contactée par l’AFP, Mme Fincanci avait affirmé avoir simplement appelé à une « enquête véritable ». « A la place, ils ont ouvert une enquête à mon encontre. Ce n’est pas étonnant. A travers moi, ils intimident la société », avait-elle réagi.

A l’approche des élections présidentielle et législatives prévues en juin 2023, le parlement turc – dominé par le parti AKP du président Recep Tayyip Erdogan – vient d’adopter une loi sur la désinformation.

TAÏWAN – La Chine va redoubler d’efforts pour se rallier les derniers soutiens de Taïwan après que Xi Jinping a renforcé son pouvoir le week-end dernier, les responsables chinois voulant ainsi « montrer leur loyauté » au président, a estimé mercredi le ministre taïwanais des Affaires étrangères.

« Il est concevable que notre situation diplomatique s’assombrisse », a déclaré Joseph Wu devant le Parlement à Taipei, après que Xi Jinping a obtenu un troisième mandat à l’occasion du Congrès du Parti communiste (PCC), renforçant son statut de dirigeant chinois le plus influent depuis Mao Tsé-toung.

La Chine, selon laquelle Taïwan fait partie de son territoire, s’est engagée à en prendre le contrôle, par la force si nécessaire, et a passé des décennies à encourager les alliés de cette île à rompre leurs liens diplomatiques avec elle en faveur de Pékin.

Le ministre taïwanais des Affaires étrangères pense que les pressions chinoises vont s’intensifier sur les 14 pays qui ont toujours des relations diplomatiques avec Taipei, car les responsables chinois vont ainsi vouloir « montrer leur loyauté » à Xi Jinping.

« Nous avons vu des renseignements qui nous alertent (…). Nous espérons que nos relations diplomatiques ne seront pas influencées par la Chine », a dit M. Wu.

« Toutes nos ambassades et nos missions sont maintenant en régime de haute vigilance (…) Nous allons vérifier ces renseignements et prendre des mesures pour consolider les relations diplomatiques », a-t-il poursuivi.

ALLEMAGNE – Le gouvernement allemand a autorisé ce mercredi la participation controversée d’un groupe chinois dans l’exploitation d’un terminal portuaire à Hambourg, mais a limité la part cédée en invoquant la protection « de la sécurité et l’ordre public ».

Le groupe chinois Cosco ne pourra plus acquérir qu’une part « inférieure à 25% » dans ce terminal au lieu des 35% visés, « ce qui permettra d’empêcher une prise de participation stratégique », a indiqué le ministère de l’Economie dans un communiqué.

Selon les médias allemands, le chancelier Olaf Scholz, lui-même ancien maire de Hambourg, a refusé de bloquer cette transaction qui a fait l’objet d’un accord préliminaire avec Cosco il y a un an.

Ce faisant, il s’est attiré la foudre de six ministères de son gouvernement, dont ceux de l’Économie, de l’Intérieur et de la Défense, qui étaient opposés au projet.

Toute tentative du géant chinois d’augmenter sa participation au-delà du seuil de 25% sera soumis à un examen gouvernemental, précise le ministère de l’Economie.

Par ailleurs, l’acquéreur n’est pas autorisé à exercer de contrôle sur l’activité du terminal portuaire, en négociant par exemple « des droits de veto sur des décisions stratégique ou de personnel », ajoute-t-il.

ALLEMAGNE – Le gouvernement allemand s’est accordé ce mercredi sur un cadre de légalisation du cannabis à usage récréatif pour adultes, sous réserve de l’aval du droit européen, a annoncé le ministre de la Santé Karl Lauterbach.

Les grandes lignes du projet visent à placer la production et le commerce du cannabis sous « contrôle public » et autorisent notamment l’achat et la possession « d’une quantité maximum de 20 jusqu’à 30 grammes » pour la consommation personnelle, a détaillé le ministre lors d’une conférence de presse.

Le document prévoit « un contrôle public de la chaîne d’approvisionnement » en cannabis avec l’objectif de « garantir la protection sanitaire et d’enrayer la criminalité organisée ainsi que le marché noir ».

Il organise « la production, la livraison et le commerce de cannabis récréatif dans un cadre de licences contrôlées par l’Etat ».

L’usage par les moins de 18 ans continue d’être en revanche rigoureusement interdit.

Le ministre a justifié cette réforme, qui ferait de l’Allemagne l’un des pays les plus libéraux d’Europe, par la volonté « d’obtenir une meilleure protection des enfants et des jeunes » jugeant que la politique en la matière n’avait jusqu’ici « pas vraiment été efficace ».

« Si tout va bien, je pense que la légalisation pourrait intervenir en 2024 », a souligné le ministre social-démocrate.

Mais tout dépendra de l’examen de la Commission européenne.

UE POLLUTION – Durcissement des normes de qualité de l’eau et de l’air à horizon 2030, indemnisation des victimes de la pollution atmosphérique… Bruxelles a détaillé ce mercredi son plan visant à réduire à néant la pollution environnementale dans l’UE d’ici 2050.

La Commission européenne s’était fixé en mai 2021 des objectifs de réduction de la pollution de l’air, de l’eau et des sols d’ici la fin de la décennie, avec l’ambition d’atteindre en 2050 des niveaux qui ne soient « plus nocifs pour la santé humaine et les écosystèmes naturels ».

Elle dévoile désormais ses propositions pour y parvenir.

Ces dernières seront négociées entre les Etats membres et le Parlement européen, alors que les ONG environnementales s’inquiètent de modalités insuffisamment ambitieuses.

Le plan vise notamment à réduire de 75% d’ici 2030 le nombre de décès prématurés (actuellement 300.000 par an dans l’UE) causés par la pollution atmosphérique due aux particules de 2,5 microns (PM 2,5), principal polluant et le plus dangereux car pénétrant profondément dans les poumons.

Bruxelles entend sabrer de plus de moitié la limite annuelle tolérée de ces particules et aligner « plus étroitement » ses normes de qualité de l’air sur les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Surtout, le texte « garantira aux personnes dont la santé est affectée le droit d’être indemnisées en cas de violation (par les Etats) des règles européennes en matière de qualité de l’air ». Elles pourront notamment être représentées par des ONG dans le cadre d’« actions collectives » pour réclamer réparation en justice.

Si les Etats restent libres de décider des mesures spécifiques pour atteindre ces normes de qualité de l’air, Bruxelles propose un système renforcé de surveillance, avec des « sanctions efficaces » en cas de manquements.

La Commission vise par ailleurs « un traitement plus efficace et plus rentable des eaux urbaines résiduaires », en imposant la récupération les « nutriments » (azote, phosphate, composants chimiques…) et en étendant l’obligation de traitement des eaux aux petites communes de 1.000 habitants (contre 2.000 habitants actuellement).

Enfin, Bruxelles veut ajouter aux listes de polluants de l’eau à « contrôler plus strictement », via des seuils contraignants, 24 substances « problématiques » pour la nature et la santé humaine, dont le bisphénol A, les PFAS (groupe de composants polluants persistants, présents dans les ustensiles de cuisine, vêtements et meubles) et plusieurs pesticides, dont le glyphosate, mais aussi certains antibiotiques.

BIDEN – « Où allons-nous ? », a demandé le président dans les jardins de la Maison-Blanche, sous l’œil attentif des caméras. Ce lundi, Joe Biden a planté un arbre avec sa femme, Jill, derrière leur lieu de résidence présidentiel, en l’honneur des 50 ans du travail du jardinier de la Maison-Blanche. Après cet acte symbolique, le président des Etats-Unis à commencer à partir, mais a semblé perdu, l’espace d’un instant.

Il s’est ensuite tourné vers ses collaborateurs avec cette question : « Où allons-nous ? » suivi de « Et si je voulais aller par-là ? » Son staff l’a ensuite redirigé en direction de ses appartements privés. A presque 80 ans (en novembre), le 46e président des Etats-Unis semble régulièrement confus, alimentant les accusations sur sa santé mentale. La semaine dernière, Joe Biden a aussi semblé particulièrement perdu après un discours à Pittsburgh. Il a tourné en rond avant de quitter précipitamment la scène.

L’occupant de la Maison-Blanche le plus âgé de l’histoire du pays est régulièrement moqué par les Républicains – notamment Donald Trump – qui l’accusent d’être sénile.

HAÏTI – Haïti a enregistré en quelques jours un quasi doublement du nombre de cas de choléra, avec désormais près de 2.000 cas suspects, et 41 décès, selon les chiffres du ministère de la Santé du pays.

« Jusqu’à il y a quelques jours, l’augmentation des cas de choléra était progressive, mais nous voyons désormais une croissance nette et inquiétante », a écrit dans un blog publié mardi la coordinatrice humanitaire de l’ONU dans le pays, Ulrika Richardson.

La maladie, bien que mortelle, est « évitable et traitable », alors « il faut agir sans tarder », a-t-elle ajouté, saluant la réponse « rapide et décisive » des autorités et des ONG malgré le chaos provoqué par le blocage du principal terminal pétrolier par les gangs depuis un mois.

Selon le ministère haïtien de la Santé, au 23 octobre, Haïti enregistrait 1.972 cas suspects de choléra et 41 décès — contre 964 cas et 33 décès au 19 octobre.

La vaste majorité des cas recensés se trouvaient dans le département de l’Ouest, notamment la capitale Port-au-Prince (plus de 880 cas), et la commune de Cité Soleil dans sa grande agglomération.

« Selon l’Unicef, les enfants de moins de 14 ans représentent près de la moitié de ces cas suspects », a déclaré lors d’un point presse Stéphane Dujarric, porte-parole du secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.

Il a souligné que les pénuries de carburant rendaient le travail des humanitaires « beaucoup plus difficile ».

PAPE – Le pape François a salué ce mercredi 26 octobre au cours de son audience générale le frère de la journaliste américano-palestinienne Shireen Abu Akleh, de la chaîne Al Jazeera, tuée le 11 mai en Cisjordanie occupée, a indiqué l’Osservatore Romano.

«Au cours de l’audience générale le souverain pontife a salué Anton Abu Akleh, frère de Shireen Abu Akleh, tuée le 11 mai dernier dans le camp de réfugiés de Jénine», écrit le quotidien du Vatican

Le journal précise que la famille Abu Akleh appartient à l’Église grecque catholique melkite et qu’Anton était accompagné de sa femme et de ses deux filles. La journaliste vedette d’Al Jazeera avait été tuée d’une balle dans la tête alors qu’elle couvrait un raid militaire israélien dans le camp de réfugiés de Jénine en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967.

FRANCE – Le nombre de chômeurs (catégorie A, sans activité) est resté stable en France (hors Mayotte) au troisième trimestre par rapport au deuxième, à 3,164 millions d’inscrits (-1.700), selon les chiffres publiés ce mercredi par le ministère du Travail.

Sur un an, la baisse en catégorie A est de 10,9%, soit 388.800 personnes en moins. En incluant l’activité réduite (catégories B et C de Pôle emploi), le nombre de demandeurs d’emploi est également stable au troisième trimestre (-7,1% sur un an) à 5,436 millions (-1.000 personnes), selon la Direction des statistiques du ministère du Travail (Dares).

Ce plateau intervient après une baisse déjà faible de 0,8% au deuxième trimestre, loin des fortes baisses de 5% enregistrées au premier trimestre 2022 et au dernier trimestre 2021.

En catégorie A, pour la seule France métropolitaine, le nombre de demandeurs d’emploi est en hausse de 1,5% au troisième trimestre pour les moins de 25 ans (-16,1% sur un an). Il reste stable pour les 25-49 ans (-11,1% sur un an) et recule de 0,7% les 50 ans et plus (-9% sur un an).

Sur le front du chômage longue durée, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits depuis un an ou plus diminue de 2,2% au troisième trimestre (-14,4% sur un an) à 2,369 millions (catégories A, B et C). La part des demandeurs d’emploi inscrits depuis un an ou plus atteint 46,3% (-3,8 points sur un an).

FRANCE-ALLEMGNE – La rencontre ce mercredi à Paris entre le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz s’est traduite par un dialogue « amical » et « constructif », ont annoncé les deux parties, au moment où la relation entre les deux pays est plombée par une multiplication de désaccords.

Cette rencontre, qui a duré trois heures et s’est terminée par un tête-à-tête entre MM. Macron et Scholz, a permis d’évoquer « les perspectives vers lesquelles l’Europe veut et doit aller » et devrait conduire ces prochaines semaines à « une très bonne et très intensive coopération », a fait savoir une source diplomatique allemande.

De son côté, la présidence française a également salué un échange « très constructif », durant lequel les deux dirigeants « évoqué la relation franco-allemande dans un esprit de travail très étroit à moyen et long terme ».

Lors de cet entretien, les deux dirigeants sont notamment tombés d’accord sur le fait que l’Union européenne est confrontée à « l’une des plus importantes crises de son histoire », ce qui les a conduit à évoquer – entre autres – les questions de « sécurité et de défense », la question « énergétique avec un regard sur les prix élevés de l’énergie et l’approvisionnement » ou encore l’innovation, a encore souligné la source diplomatique allemande.

Ces trois thèmes sont des sources de tensions entre les deux capitales, Paris et Berlin n’ayant pas les mêmes idées sur les moyens de lutter contre la flambée des prix de l’énergie par exemple.

« Sur ces trois thèmes ont été mis en place des groupes de travail de réflexion qui vont amener les deux gouvernements à travailler étroitement dans les jours qui viennent en vue des prochaines étapes », a précisé l’Élysée.

Les deux dirigeants ont également convenus d’échanger « avant et après » une visite prochainement en Chine du chancelier allemand et un déplacement aux États-Unis pour le président français.

Pour autant, la rencontre n’a donné lieu à aucune déclaration commune des dirigeants, qui ne se sont pas affichés longuement devant les objectifs dans la cour de l’Elysée.

DECES – On le croyait un peu immortel ce peintre qui avait fêté ses cent ans au musée du Louvre, ce géant vêtu de sombre que le poids des ans courbait à peine. On le pensait éternel cet artiste muséifié de son vivant, exposé dans les plus grandes collections du monde, valeur refuge du marché de l’art. Au retour des hommages et rétrospectives, il ne pensait qu’à retrouver son cher atelier. Créatif jusqu’à son dernier souffle, Pierre Soulages s’en est allé ce mercredi 26 octobre 2022 à l’âge 102 ans.
Le créateur de l’outre-noir fait de lumière infiniment réfléchie par le noir, aimait raconter cette anecdote : « Enfant, on m’avait interrogé sur un dessin à l’encre que j’avais décrit comme un paysage de neige. Ce qui avait fait rire tout le monde. En fait, pour faire ressortir le blanc, je mettais du noir. J’ai donc toujours aimé le noir ».

En mai 2014, le musée Soulages ouvrait à Rodez, présentant plus de 500 œuvres et documents donnés par l’artiste. Pierre Soulages travaillait encore et vivait à Sète aux côtés de sa femme, Colette, 101 ans, originaire de la ville, qu’il avait rencontrée lors de ses études aux Beaux-Arts de Montpellier. Ils venaient de fêter leurs 80 ans de mariage. 

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