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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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IRAN – Les autorités ont annoncé ce lundi l’arrestation de 26 ressortissants étrangers impliqués dans l’attentat meurtrier revendiqué par le groupe djihadiste État islamique (EI), qui a visé le 26 octobre un sanctuaire chiite à Chiraz, dans le sud de l’Iran. Au moins 13 personnes dont une femme et deux enfants ont été tuées dans une l’attaque perpétrée dans le mausolée de Shahcheragh, principal sanctuaire musulman chiite du sud de l’Iran.

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«Le ministère des Renseignements a identifié et arrêté tous les agents impliqués dans l’opération terroriste à Chiraz», a indiqué le ministère dans un communiqué publié sur son site. «Ainsi, 26 terroristes takfiris (originaires) d’Azerbaïdjan, du Tadjikistan et de l’Afghanistan» ont été arrêtés, a-t-il ajouté. Le terme takfiri désigne en Iran et dans plusieurs pays les groupes djihadistes ou islamistes radicaux sunnites 

«Ces terroristes ont été arrêtés dans les provinces de Fars, Téhéran, Alborz, Kerman, Qom et Khorassan Razavi» et «aux frontières orientales» d’Iran, toujours selon le texte. Le 31 octobre, le ministère avait annoncé l’arrestation de plusieurs «éléments» impliqués dans l’attentat, parmi lesquels un «élément de soutien opérationnel» identifié lundi comme étant Mohammed Ramez Rashidi, un ressortissant afghan. L’auteur principal de l’attaque, que les médias locaux ont identifié comme étant Hamed Badakhshan, a succombé à des blessures reçues lors de son arrestation.

Dimanche, 227 des 290 députés iraniens ont réclamé à la justice l’appliquer la loi du talion contre les  » ennemis de Dieu  » en références aux auteurs des  » émeutes  » qui secouent le pays depuis plusieurs semaines.

 » Comme le groupe Etat islamique, ils ont porté atteinte à la vie et aux biens des gens avec des armes blanches et des armes à feu « , ont ajouté ces parlementaires dans un texte publié par l’Icana, l’agence du Parlement iranien.

JORDANIE-ISRAËL – Des responsables jordaniens ont averti que les relations bilatérales avec Israël pourraient se détériorer si le nouveau gouvernement de Jérusalem tentait de modifier l’accord de statu quo sur le Mont du Temple (esplanade des Mosquées pour les musulmans), à Jérusalem.

L’avertissement d’Amman, rapporté dimanche par le radiodiffuseur public Kan, souligne les pièges diplomatiques potentiels qui attendent le leader du Likoud Benjamin Netanyahou, qui devrait redevenir Premier ministre après la victoire de son bloc aux dernières élections.

Les relations entre Israël et la Jordanie, gardienne de ce site ultrasensible où se trouve la mosquée Al-Aqsa, sont déjà particulièrement tendues, et la situation pourrait encore se détériorer alors que plusieurs députés de la prochaine coalition de Netanyahou font pression pour que l’Etat hébreu y affirme sa souveraineté et y autorise une plus grande liberté de culte pour les Juifs.

« Toute tentative de modifier le statu quo sur le Mont du Temple nuira définitivement aux liens entre la Jordanie et Israël », a déclaré Kan citant une source jordanienne.

Cette source visait plus particulièrement Itamar Ben Gvir, le chef du parti extrémiste Otzma Yehudit, qui devrait faire partie de la prochaine coalition au pouvoir, et qui a régulièrement visité le site pendant les récentes périodes de tensions.

Le fait que Ben Gvir se rende sur le site et y fasse de la « provocation » serait une toute autre histoire s’il le fait en tant que ministre du gouvernement, a souligné la source jordanienne.

ETHIOPIE – Des responsables du gouvernement fédéral éthiopien et des autorités rebelles de la région du Tigré discutaient ce lundi à Nairobi des modalités du désarmement des troupes rebelles, prévu par l’accord de paix signé le 2 novembre, selon des journalistes de l’AFP.

Cet «Accord pour une paix durable via une cessation permanente des hostilités» est censé mettre fin à la guerre qui oppose depuis novembre 2020 dans le nord de l’Éthiopie les rebelles tigréens à l’armée fédérale éthiopienne et ses alliées: l’armée de l’Erythrée voisine et des forces et milices des régions frontalières du Tigré 

Comme le prévoit l’accord, les «commandants en chef» doivent «discuter et élaborer les modalités détaillées de sa mise en œuvre, notamment les questions du désarmement», a rappelé dans un communiqué l’Union africaine (UA), médiateur des pourparlers tenus à Pretoria pendant neuf jours. La réunion débouchera aussi sur une «feuille de route pour un accès immédiat de l’aide humanitaire et le rétablissement des services dans la région du Tigré», poursuit l’UA.

Le maréchal Berhanu Jula, chef d’état-major des Forces armées éthiopiennes (ENDF), et le général Tadesse Worede, commandant en chef des forces rebelles du Tigré, mèneront les discussions, ont indiqué les négociateurs en chef des deux camps lors d’une conférence de presse à Nairobi. «Les dirigeants politiques ont signé l’accord, mais nos chefs militaires vont ouvrir la voie à une mise en œuvre rapide», a assuré à la presse Redwan Hussein, conseiller à la Sécurité nationale du Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed.

RDC – Le parlement de la République démocratique du Congo examine en ce moment le projet de loi de finances qui prévoit jusqu’à 1 milliard de dollars pour l’armée en 2023.

Le projet prévoit un budget global équivalent à 14,6 milliards de dollars américains, en hausse de 32 % par rapport au budget de l’année en cours évalué à 11 milliards.

« Le gouvernement a alloué 10,4% du budget global au secteur de la défense et de la sécurité ce qui représente un accroissement de plus de 300% comparé au budget précédent », souligne le compte-rendu de la réunion du conseil des ministres tenu le week-end sous la présidence du chef de l’Etat Félix Tshisekedi.

Ce budget devrait permettre « la mise en œuvre de la loi de programmation militaire en vue de la montée en puissance des forces armées ainsi que de la redynamisation de l’industrie militaire », explique le compte-rendu gouvernemental. Pour son armement, la RDC s’approvisionne notamment en Russie.

L’armée congolaise a déployé dimanche au moins deux avions d’attaque au sol de type Sukhoi Su-25 à l’aéroport de Goma (est de la République démocratique du Congo) pour affronter la rébellion du M23 (Mouvement du 23 Mars), ont rapporté, images à l’appui, des médiaux locaux.

Ce lundi, le Rwanda a accusé la RDC d’avoir violé son espace aérien avec un de ces Sukhoi.

ANGOLA – Un gisement d’hydrocarbures a été découvert en Angola sur un site offshore exploité par ExxonMobil, au large des côtes de la capitale Luanda, a annoncé ce lundi l’Agence nationale du pétrole et du gaz (ANPG).Le puits a été découvert en eaux profondes à environ 365 km des côtes angolaises grâce à un forage de 1.100 mètres de profondeur, précise l’ANPG dans un communiqué. Ce nouveau réservoir possédant des propriétés physiques « de haute qualité » la major pétrolière américaine ExxonMobil envisage une capacité de production de 40.000 barils par jour. 

L’Angola, parmi les deux premiers producteurs de pétrole en Afrique avec le Nigeria, produit environ 1,2 million de barils au total par jour, selon le ministère du Pétrole interrogé par l’AFP.

ZAMBIE – Paratus multiplie les investissements dans son infrastructure de réseau pour répondre à la demande en connectivité à haut débit qui s’accélère en Afrique. La semaine dernière la société a signé un partenariat avec OneWeb pour construire un téléport à Luanda en Angola. 

Paratus Zambia, filiale du groupe panafricain Paratus spécialisé dans la fourniture de connectivité à haut débit, a annoncé avoir signé un accord avec la société technologique américaine Meta pour la construction d’un réseau de fibre optique métropolitain à accès ouvert de 900 kilomètres à travers dix villes de Zambie. Le projet vise notamment à améliorer la qualité de la connectivité Internet à haut débit dans les villes concernées.

Le projet sera réalisé en deux phases, apprend-on. La première apportera la fibre optique à six villes d’ici janvier 2023, tandis que la deuxième devrait permettre de connecter les quatre villes restantes avant la fin de l’année 2023. Le réseau sera basé sur l’infrastructure de fibre optique existante de Paratus en Zambie. Il sera également connecté au centre de données neutre de Paratus à Lusaka.

Ce projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie de Paratus, qui consiste à « transformer l’Afrique grâce à des infrastructures numériques et un service client exceptionnels ». Il intervient dans un contexte où l’utilisation de l’Internet reste faible en Zambie malgré la demande croissante et l’accélération de la transformation numérique. Selon les statistiques du régulateur pour le compte du deuxième trimestre 2022, environ 10 millions de Zambiens sont connectés à Internet, soit une pénétration d’environ 53 %.

SEYCHELLES – Une pénurie d’eau potable menace les Seychelles. La saison sèche s’allonge et les bassins de retenue collinaire ont des niveaux très bas. Le rationnement guette, comme dans beaucoup d’autres îles de l’Océan Indien.

L’accès à l’eau est un problème pour tout le monde dans la grande région. Les robinets des Comores sont à sec, à Mayotte ils coulent un peu en alternance, Maurice surveille les niveaux, sans parler de Madagascar où la situation du sud est la pire de toutes.

Aux Seychelles on n’était pas confronté à ce problème jusqu’à présent. La population est peu nombreuse, 100 000 habitants, mais on envisage de passer au rationnement. La principale retenue du pays sur l’île de Mahé n’est remplie qu’aux deux tiers, les autres sont presque vides.

Les Seychellois ont creusé une nouvelle réserve d’un million et demi de mètres cubes, mais elle ne sera opérationnelle que dans le courant de l’année prochaine.

Il y a un autre signe de cette sécheresse persistante : les Seychelles font face à un incendie de forêt à Pointe au Sel vers le sud de Mahé. C’est un événement rare dans cet archipel généralement bien arrosé.

BOTSWANA – Le Botswana a remporté sa candidature pour accueillir le secrétariat permanent du Processus de Kimberley (PK), le groupement qui certifie que les diamants ne sont pas utilisés pour financer des groupes rebelles, mais ses membres restent divisés sur l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Le PK, une coalition de gouvernements, de l’industrie du diamant et de représentants de la société civile, a déclaré ce lundi dans un communiqué qu’il avait élu à l’unanimité le Botswana pour accueillir le secrétariat, qui devrait être opérationnel d’ici 2024.

L’organisme définit les diamants de la guerre comme des pierres précieuses utilisées pour financer des mouvements rebelles cherchant à saper les gouvernements légitimes.

Cinq membres du PK avaient initialement exprimé leur intérêt pour l’accueillir avant que la liste ne soit ramenée à trois, le Botswana, la Chine et l’Autriche étant en lice.

L’organisme composé de 85 nations a été créé en 2003 pour éliminer le commerce des diamants de la guerre. Bien qu’il affirme avoir fait des progrès dans l’arrêt de ce commerce, les organisations de la société civile liées à l’industrie ont exigé des réformes.

Après avoir envahi son voisin en février, la Russie s’est attirée de vives critiques de la part de la société civile, qui fait pression pour élargir la définition des diamants de la guerre du PK afin d’inclure les acteurs étatiques utilisant les pierres pour financer des actes d’agression.

AFRIQUE DU SUD – L’ex-président sud-africain Jacob Zuma, dans une nouvelle attaque contre son successeur Cyril Ramaphosa à un peu plus d’un mois d’une échéance cruciale en vue de la présidentielle, a accusé dimanche ce dernier d’avoir « acheté » son poste de président du parti au pouvoir, l’ANC.

Le Congrès national africain (ANC) doit se réunir mi-décembre pour choisir ou non d’investir M. Ramaphosa candidat à un second mandat lors de l’élection présidentielle de 2024, en le réélisant président du parti.

« Cyril Ramaphosa a été clairement accusé d’avoir dépensé beaucoup d’argent pour acheter son poste de président de l’ANC », a lancé Jacob Zuma devant de nombreux soutiens à Durban (sud-est). Dansant sur scène et scandant « Amandla ! » (« Pouvoir ! »), il a accusé l’actuel chef d’Etat d’avoir « manipulé le processus démocratique ».

Le financement de la campagne de M. Ramaphosa pour la direction de l’ANC en 2017 avait suscité la controverse. Il avait notamment été accusé d’avoir menti au Parlement sur une donation de 500 000 rands (environ 28 000 euros) d’un groupe industriel.

M. Ramaphosa, 69 ans, avait finalement été blanchi par la Cour constitutionnelle et avait pris les rênes du pays après la démission en 2018 de Jacob Zuma, englué dans les scandales. Condamné à 15 mois de prison ferme pour avoir obstinément refusé de répondre à une commission anti-corruption, M. Zuma, 80 ans, a fini de purger sa peine le mois dernier. Il était en liberté conditionnelle pour raison de santé.

Son incarcération en juillet 2021 avait déclenché une vague de violences meurtrières et des pillages dans un contexte socio-économique difficile.

INSOLITE – Une scène rare s’est déroulée au poste de police de Makutano dans le comté d’Embu, au Kenya, après que deux hommes ont rendu une vache qu’ils auraient volée.

Les deux suspects, couverts d’un essaim d’abeilles, sont entrés dans le commissariat le samedi 5 novembre 2022 et ont avoué leur vol. Les suspects, qui ont depuis été identifiés comme étant Phillip Wekesa, 32 ans, et Mwamba Ili, 25 ans, ne pouvaient s’empêcher de crier de douleur alors que les abeilles les piquaient. La police a immédiatement contacté Lilian Waithera, qui avait le 3 novembre dernier signalé au poste que sa vache avait disparu.

Après son arrivée à la station, Waithera a positivement identifié la vache comme étant la sienne. Elle a avoué avoir sollicité les services d’un sorcier pour l’aider à retrouver la vache

« On m’a dit que les suspects avaient essayé de vendre la vache au marché de Makutano, mais n’avaient pas trouvé d’acheteur. C’était avant que les abeilles ne les conduisent au commissariat où ils ont rendu la vache« , a-t-elle déclaré.

Lors de l’incident, on aurait demandé au sorcier d’inverser le sortilège qu’il avait jeté sur les « voleurs » et de placer les insectes dans un sac qu’il portait. Après avoir exécuté sa «magie», le sorcier est sorti du poste de police avec désinvolture, laissant les personnes présentes sidérées.

Le vol de bétail a augmenté à Kirinyaga; le chef adjoint de la région, M. Daniel Kiama Maina, a exhorté les habitants à ne pas recourir à la sorcellerie pour résoudre la menace.

Dans un autre village, on raconte que deux voleurs ayant dérobé un téléviseur et une cuisinière à gaz ont été forcés de revenir avec après qu’un sorcier engagé par la propriétaire leur aient envoyé un essaim d’abeilles.

D’après les photos, on peut voir qu’un essaim d’abeilles a assailli les mains de l’un des voleurs tandis qu’un autre aurait eu le téléviseur collé sur ses mains alors qu’ils rapportaient les objets volés à l’endroit où ils avaient été pris .

Mme Rashida Joweila, celle qui s’est fait dépouiller, a déclaré qu’elle avait décidé de faire appel aux services d’un sorcier du village plutôt que de se présenter à la police.

Je n’avais jamais vu d’abeilles arrêter des voleurs comme cela s’est produit aujourd’hui ; elles ont formé ce qui ressemblait à de véritables menottes à l’un des suspects , tandis que l’autre avait un téléviseur collé sur les mains, a indiqué un habitant.

RUSSIE-ETATS-UNIS – L’ homme d’affaires russe proche du Kremlin, Evguéni Prigojine, a admis ce lundi des « ingérences » dans les élections américaines, à la veille d’un important scrutin de mi-mandat aux Etats-Unis qui, depuis des années, accusent Moscou d’interférences.

« Nous nous sommes ingérés, nous le faisons et nous allons continuer de le faire. Avec précaution, précision, de façon chirurgicale, d’une manière qui nous est propre », a déclaré M. Prigojine, cité dans une publication sur les réseaux sociaux de son entreprise Concord.

Ces propos étaient une réponse à une question sur les accusations d’ingérence russe dans les élections de mi-mandat qui se tiendront mardi aux Etats-Unis, un scrutin suivi de près à Moscou dans le contexte de la crise qui l’oppose à Washington depuis le début de son offensive en Ukraine.

M. Prigojine, qui fait l’objet de sanctions américaines et européennes, est depuis plusieurs années accusé d’ingérences dans des élections américaines, notamment lors de la présidentielle de 2016.

Il est notamment accusé d’avoir créé une « ferme de trolls », de faux profils opérant sur les réseaux sociaux pour tenter d’influencer les électeurs, par exemple en dénigrant des candidats ou en relayant de fausses informations.

L’homme d’affaires, qui se faisait autrefois discret, s’affirme de plus en plus comme une figure publique en Russie, multipliant les apparitions en soutien à l’offensive de Moscou en Ukraine.

Fin septembre, M. Prigojine a notamment reconnu avoir fondé en 2014 le groupe paramilitaire Wagner pour combattre en Ukraine, admettant sa présence notamment en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique latine.

Ce groupe paramilitaire est soupçonné depuis des années de mener dans l’ombre les basses œuvres du Kremlin sur différents théâtres d’opérations, ce que Moscou et M. Prigojine ont toujours démenti.

Réputé proche de Vladimir Poutine, M. Prigojine, ancien condamné de droit commun, a été un temps l’un des fournisseurs des cuisines du Kremlin, ce qui lui vaut le surnom de « cuisinier de Poutine ».

CHINE – La Chine a rapporté ce lundi son plus important nombre de nouveaux cas de Covid-19 en six mois, malgré de multiples confinements qui perturbent l’économie et la vie quotidienne.

Ce week-end, les autorités sanitaires ont douché les espoirs d’un assouplissement de la politique zéro Covid, en soulignant qu’elle continuera à être appliquée « indéfectiblement ».

Cette stratégie consiste à confiner des quartiers ou des villes entières dès l’apparition de cas, à réaliser des dépistages massifs ou encore à placer en quarantaine les personnes testées positives et les voyageurs arrivant de l’étranger.

Mais ces restrictions s’accompagnent parfois d’un mauvais accès à la nourriture ou aux soins médicaux et de la difficulté à se déplacer en Chine et à l’étranger, suscitant l’exaspération d’un nombre croissant de Chinois.

Le ministère de la Santé a annoncé lundi près de 5.500 nouveaux cas positifs locaux, dont une grande partie dans la province côtière du Guangdong (sud), un important centre manufacturier.

A Pékin, près de 60 nouveaux cas ont été rapportés lundi, entraînant la fermeture d’écoles dans le district très peuplé de Chaoyang, siège notamment du quartier d’affaires et de nombreuses ambassades.

Le lycée français, qui accueille de la maternelle à la terminale plusieurs centaines d’élèves, a également reçu l’ordre de fermer.

« La commission éducative de Chaoyang a décidé du passage des cours en distanciel » de mardi à vendredi, a indiqué l’établissement dans un courriel envoyé aux parents.

Des entreprises, relayant les injonctions du district, ont également demandé à leurs employés de passer au télétravail et d’effectuer un test PCR quotidien durant trois jours.

ARMENIE – AZERBAÏDJAN – L’Arménie et l’Azerbaïdjan se sont mutuellement accusés lundi de nouveaux bombardements frontaliers, avant des discussions à Washington visant à mettre fin à un conflit qui a fait des centaines de morts ces derniers mois.

Les ministres des Affaires étrangères de ces deux pays rivaux du Caucase doivent en effet se rendre aux Etats-Unis pour des pourparlers lundi sous l’égide du secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken.

Il y a une semaine à peine, le Premier ministre arménien Nikol Pachinian et le président azerbaïdjanais Ilham Aliev s’étaient engagés à « ne pas recourir à la force », lors d’un sommet en Russie avec le président russe Vladimir Poutine.

Mais, dans la nuit de dimanche à lundi, « des unités des forces armées azerbaïdjanaises ont ouvert le feu (…) sur des positions arméniennes situées dans le secteur oriental de la frontière », a déclaré le ministère arménien de la Défense dans un communiqué, ajoutant qu’il n’y avait « aucune victime ».

De son côté, le ministère azerbaïdjanais de la Défense a accusé les forces arméniennes d’avoir tiré « avec des armes légères de différents calibres » sur les positions de Bakou, sans faire état non plus de pertes.

Le Kremlin, qui joue traditionnellement le rôle d’arbitre dans cette région, a appelé Erevan et Bakou à « se garder de toute action qui pourrait conduire à une escalade des tensions ».

PHILIPPINES – La police philippine a accusé ce lundi le directeur des prisons du pays d’avoir ordonné le meurtre d’un éminent journaliste de radio, dont la mort a suscité l’inquiétude de la communauté internationale.

Percival Mabasa, 63 ans, qui se faisait appeler « Percy Lapid » dans son émission, a été abattu dans la banlieue de Manille le 3 octobre alors qu’il se rendait à son studio.

La police a porté plainte pour meurtre contre le directeur général de l’administration pénitentiaire, Gerald Bantag, actuellement suspendu de ses fonctions, et son adjoint à la sécurité, Ricardo Zulueta.

Le tireur présumé, Joel Escorial, s’est rendu aux autorités le mois dernier, craignant pour sa sécurité après que la police a diffusé son visage à partir d’images de vidéosurveillance, ont indiqué des responsables.

« Il (M. Bantag) sera probablement le plus haut fonctionnaire de ce pays jamais inculpé dans une affaire de cette gravité », a souligné le secrétaire à la justice Crispin Remulla.

M. Bantag aurait ordonné le meurtre de M. Mabasa suite à « l’exposition continue par ce dernier des problèmes contre le premier dans son émission », a fait savoir Eugene Javier du Bureau national d’enquête aux journalistes, lisant un communiqué.

ETATS-UNIS – UE – Les subventions massives des Etats-Unis à leur économie appellent une réponse « coordonnée, unie et forte » des Européens, a estimé le ministre des Finances Bruno Le Maire dans une interview lundi, le commissaire européen Thierry Breton agitant de son côté la menace de saisir l’OMC.

La « course aux subventions » des Etats-Unis est « contraire à toutes les règles du commerce international », a estimé M. Le Maire dans une interview publiée lundi par quatre journaux européens, Les Echos, Handelsblatt, El Mundo et Corriere della Sera.

Il fait référence à la loi américaine sur la réduction de l’inflation, ainsi nommée pour coller à l’actualité mais qui est en réalité un programme de réformes environnementales et sociales. Il s’agit d’un plan de plusieurs centaines de milliards de dollars d’investissements.

En conséquence, « certaines grandes entreprises étrangères qui voulaient s’installer en Europe hésitent désormais entre des sites européens et des sites américains », a dit Bruno Le Maire.

« Dans certains cas, le montant des subventions que l’administration Biden propose est quatre à dix fois le montant maximal autorisé par la Commission européenne », a poursuivi le ministre. « En France, nos premières estimations indiquent que ce sont 10 milliards d’investissements et des milliers d’emplois industriels qui sont en jeu ».

Le ministre français a réclamé une « réponse coordonnée, unie et forte de l’Union européenne vis à vis de nos alliés américains. Seule la fermeté nous permettra d’obtenir des résultats ».

Interrogé lundi sur BFM Business, le commissaire européen chargé du marché intérieur Thierry Breton a lui agité la menace de « mesures de rétorsion » contre les Américains car ces subventions sont « contraires aux règles de l’Organisation mondiale du commerce ».

Si les Américains ne répondent pas aux différents points soulevés par l’Europe, alors l’UE pourrait « aller devant l’OMC » afin de faire valoir les arguments, a prévenu M. Breton.

SENEGAL – Un journaliste directeur d’un site d’informations critique du pouvoir au Sénégal a été placé en garde à vue dimanche à Dakar par la police, qui lui reproche la diffusion d’une « information de nature à nuire » à la sécurité, a indiqué son avocat à l’AFP.

Pape Alé Niang, qui dirige le site d’informations privé Dakar Matin, est célèbre au Sénégal pour ses chroniques régulières sur l’actualité.

Il a été arrêté puis placé en garde à vue dimanche à 14H00 (locales et GMT) au commissariat central de Dakar pour trois « infractions », a déclaré à l’AFP son avocat Ciré Clédor Ly.

La police lui reproche d’« avoir porté à la connaissance du public une information dont la divulgation est de nature à nuire à la défense nationale et des actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique et à occasionner des troubles ».

La troisième infraction est relative à « une violation du secret professionnel », selon Me Ly qui a dénoncé « une montagne d’hérésies, des intimidations et une tentative de museler la presse ».

La Coordination des associations de presse (CAP), qui regroupe des organisations de la presse locale, a affirmé qu’elle allait « apporter toute l’assistance requise » au journaliste, dans un communiqué.

Selon la presse locale, l’arrestation survient après des publications du journaliste ces derniers jours sur les accusations de viols visant le principal opposant sénégalais Ousmane Sonko.

GUINEE – Plus de 24 personnes sont mortes dimanche dans l’ouest de la Guinée dans une collision entre un car transportant des étudiants et un camion, a annoncé le gouvernement guinéen dans un nouveau bilan.

L’accident est survenu à Sougueta, un village près de Kindia, une ville à 130 km à l’est de la capitale Conakry que le car avait quitté pour aller à Faranah (sud-ouest), une localité qui abrite plusieurs établissements scolaires et universitaire, a indiqué le gouvernement dans un communiqué dimanche soir.

Le « drame a fait plus de 24 morts et des blessés », selon la même source. L’accident résulte d’une « collision entre un minibus transportant plusieurs étudiants et un camion », dont le chargement n’a pas été précisé, a-t-elle ajouté.

Un responsable local, Kabinet Kaké, et un responsable de la gendarmerie avaient auparavant indiqué à l’AFP que 21 personnes avaient été tuées.

Quinze personnes avaient été tuées mi-septembre en Guinée dans l’accident nocturne d’un minibus.

Des accidents de la route meurtriers surviennent régulièrement en Guinée et sont généralement dus au mauvais état des routes et des véhicules, ainsi qu’à l’imprudence des conducteurs.

CAMEROUN – Plusieurs milliers de partisans du président camerounais Paul Biya ont célébré dimanche à Yaoundé, en l’absence de l’intéressé, ses 40 ans à la tête de ce pays d’Afrique centrale, a constaté un journaliste de l’AFP.

A bientôt 90 ans, le « sphinx » est le deuxième chef d’Etat au monde encore vivant à la plus grande longévité au pouvoir –monarchies exceptées–, derrière son voisin Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, président de la Guinée équatoriale depuis plus de 43 ans.

Mais, après une réélection très contestée pour un septième mandat en 2018, et alors que ses apparitions publiques se font extrêmement rares tant il est apparu affaibli physiquement ces dernières années, il a lancé ces derniers temps ses forces de l’ordre dans une répression encore plus implacable de toute opposition.

Sur l’esplanade de l’Hôtel de Ville de la capitale, à l’appel de son tout puissant Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), plusieurs milliers de partisans ont crié et dansé au rythme d’une sono diffusant des chansons en l’honneur du chef de l’Etat.

AFGHANISTAN – Les talibans ont révélé dimanche en Afghanistan la sépulture du fondateur de leur mouvement, le mollah Omar, dont la mort en 2013 et le lieu d’inhumation ont été gardés secrets pendant des années.

En fuite après la chute du premier régime des talibans fin 2001, renversé par une coalition militaire menée par les Etats-Unis, le mollah Omar est mort en 2013 dans la clandestinité sans que les détails soient connus – une disparition que les islamistes ont longtemps cachée, ne l’annonçant officiellement qu’en 2015.

De hauts dirigeants du mouvement ont assisté dimanche à une cérémonie sur sa tombe dans la ville d’Omarzo, située dans la province de Zabul (est), a indiqué à l’AFP le porte-parole des talibans Zabihullah Mujahid.

« Comme beaucoup d’ennemis étaient présents et que le pays était occupé, pour éviter d’endommager la tombe, elle a été gardée secrète », a déclaré Zabihullah Mujahid. « Seuls les membres de la famille proche connaissaient l’endroit ».

Les photos publiées par les autorités montrent des dirigeants talibans réunis autour d’une simple tombe blanche protégée par une cage en fer verte.

« Maintenant que la décision a été prise (…) il n’y a plus de problème pour que les gens visitent la tombe », a déclaré le porte-parole.

Le mollah Omar, mort à environ 55 ans, avait fondé en 1993 les talibans, qui en s’emparant du pouvoir en 1996, après plusieurs années de guerre civile, avaient instauré un régime fondé sur une interprétation stricte de la charia.

Cette cérémonie intervient au lendemain d’informations sur les médias sociaux rapportant que la tombe du héros de la résistance afghane Ahmad Shah Massoud (1953-2001) aurait été vandalisée. Des responsables talibans locaux ont démenti.

QATAR – À deux semaines du Mondial, une énième polémique vient secouer le Qatar, pays organisateur de la Coupe du monde 2022. Selon une enquête publiée dimanche 6 novembre dans le quotidien britannique The Sunday Times, des journalistes, avocats, ou encore l’ancien président de l’UEFA Michel Platini ainsi qu’une sénatrice française ont été la cible de hackers embauchés pour protéger la réputation du Qatar. Visés notamment pour leurs travaux ou leurs prises de positions critiques sur l’attribution et l’organisation de la Coupe du monde de football. 

Le journaliste du Sunday Times, Jonathan Calvert, a été une des cibles du groupe des hackers basé en Inde. Il avait enquêté sur les manœuvres de corruption supposés ayant mené à l’attribution de la compétition au Qatar en 2010. La sénatrice française, Nathalie Goulet, elle aussi espionnée par le Qatar, avait accusé le pays du Golfe de financer “le terrorisme islamique” quant à l’avocat américano-hongrois Mark Somos, il avait déposé plainte contre la famille princière Al Thani devant le Haut conseil des Nations Unies pour les droits de l’homme. 

Parmi les personnalités ciblées par les espions du Qatar, on trouve également Michel Platini. L’ancien président de l’UEFA, qui avait pourtant encouragé la candidature du Qatar pour organiser le Mondial, se dit “surpris et profondément choqué” dans un communiqué transmis à l’AFP. Toujours selon les données du Sunday Times, les opérations de piratages des boîtes mails auraient débuté en 2019. Les journalistes anglais évoquent également une prise de contrôle à distance des micros et caméras des ordinateurs des personnes ciblées. Elles seraient une cinquantaine à avoir été visées. 

Le Qatar a rapidement répondu à ces accusations “manifestement fausses et sans fondement” d’après un responsable qatari. Il ajoute : “ces attaques reposent sur une source unique qui prétend que son client était le Qatar, sans apporter la moindre preuve.” Il conclut en affirmant que “le Qatar ne restera pas les bras croisés. »

QATAR-FRANCE – Le groupe français de BTP Vinci a annoncé ce lundi dans un communiqué la convocation par la justice française, mercredi, de sa filiale Vinci Constructions Grands Projets « en vue d’une éventuelle mise en examen », dans le cadre d’une enquête sur les conditions de travail sur des chantiers au Qatar.

Le groupe écrit regretter que « sa filiale fasse l’objet d’une mise en examen », en anticipant une décision qui appartient au juge mercredi.

L’entreprise française dit réfuter les accusations, notamment de « travail forcé » et de « traite d’êtres humains », à deux semaines de l’ouverture du Mondial-2022.

L’instruction avait été ouverte en novembre 2019, après des plaintes émanant des associations Sherpa et Comité contre l’esclavage moderne (CCEM), ainsi que de sept ex-employés indiens et népalais de ces chantiers.

Les plaignants accusent Vinci, Vinci Construction Grands Projets (VCGP), sa filiale Qatari Diar Vinci Construction (QDVC) et leurs représentants, de « réduction en servitude, traite des êtres humains, travail incompatible avec la dignité humaine, mise en danger délibérée, blessures involontaires et recel » notamment, selon la plainte consultée par l’AFP à ce moment.

Vinci « n’a cessé de réfuter vigoureusement les allégations portées à son encontre concernant des chantiers au Qatar menés par l’entreprise QDVC » et « continuera de collaborer avec la justice », explique le groupe dans son communiqué.

Selon les témoignages recueillis à l’époque par l’ONG Sherpa, les employés immigrés de Vinci qui travaillaient sur les chantiers de la Coupe du monde travaillaient, passeport confisqué, entre 66 et 77 heures par semaine. Et ils auraient été entassés dans des chambres exiguës aux sanitaires insuffisants, percevant des rémunérations sans rapport avec le travail fourni, menacés de licenciement ou de renvoi dans leur pays en cas de revendications.

« Aucun des projets attribués à QDVC n’est lié à la Coupe du Monde de football 2022 au Qatar » et ils ont été « attribués (…) avant que l’organisation de cette compétition ait été attribuée » à ce riche émirat du Golfe, affirme de son côté Vinci. Il rappelle que les projets ont porté « à l’essentiel sur des infrastructures de transport ».

FRANCE RELIGION – Onze évêques ou anciens évêques ont été « mis en cause » devant la justice civile ou la justice de l’Eglise pour des violences sexuelles, a annoncé lundi à la presse le président de la Conférence des évêques de France (CEF).

« Il y a aujourd’hui six cas d’évêques qui ont été mis en cause devant la justice de notre pays ou devant la justice canonique (droit de l’Eglise, ndlr) », a déclaré le président de la CEF Eric de Moulins-Beaufort à Lourdes (sud-ouest).

« Deux autres, qui ne sont plus en fonctions, font l’objet d’enquêtes aujourd’hui de la part de la justice de notre pays après des signalements faits par un évêque et d’une procédure canonique; un troisième fait l’objet d’un signalement au procureur auquel aucune réponse n’a été donnée à ce jour et a reçu du Saint-Siège des mesures de restriction de son ministère », a-t-il encore souligné.

Il a indiqué que le cardinal (Jean-Pierre) Ricard, ancien évêque de Bordeaux, était aussi concerné. Ce dernier a reconnu une conduite « répréhensible » sur une mineure de 14 ans, il y a 35 ans, a ajouté le président de la CEF, lisant un message de ce dernier.

S’ajoute enfin Mgr Michel Santier, sanctionné en 2021 par les autorités du Vatican pour des « abus spirituels ayant mené à du voyeurisme sur deux hommes majeurs » dans les années 1990 et dont le silence autour de sa sanction a provoqué ces dernières semaines une vive colère chez les catholiques et les collectifs de victimes.

Sans entrer dans les détails, Eric de Moulins-Beaufort a insisté « sur la grande diversité des situations, des faits commis ou reprochés ».

Les 120 membres de la Conférence des évêques de France sont réunis depuis jeudi à Lourdes pour leur assemblée plénière d’automne. Ils ont pour objectif, entre autres, de travailler à des « propositions concrètes » afin d’améliorer la communication et la transparence dans les mesures canoniques (du droit de l’Eglise) prises à l’encontre de clercs mis en cause dans des affaires de violences sexuelles.

FRANCE – Les étudiants en situation de précarité pourront prétendre à un repas à un euro jusqu’à Noël en France même s’ils ne sont pas boursiers, a promis lundi le gouvernement français, en plein débat sur la précarité étudiante dans le pays.

« Il ne faut pas qu’ils restent isolés, avec leurs difficultés », a déclaré la ministre de l’Enseignement supérieur Sylvie Retailleau à la radio, évoquant un dispositif accessible « pour tous les étudiants en précarité ».

Les étudiants qui n’ont pas les moyens de manger pourront prétendre à ce repas jusqu’à Noël sans critères de revenu. Ensuite, leur dossier sera « étudié » au cas par cas pour savoir si ce tarif pourra continuer à leur être proposé.

L’Etat compense totalement le repas à un euro pour financer l’écart de prix: « Ça lui coûte 50 millions d’euros en 2023 », a dit la ministre.

Interrogée sur la diminution des quantités des repas de certains restaurants universitaires, dont se sont plaints des étudiants, à Rennes notamment, dans l’ouest de la France, la ministre a assuré qu’il n’était « pas question de rogner sur les portions ».

« Il n’est pas question d’avoir des étudiants qui vont en cours l’estomac vide », a-t-elle assuré.

La rentrée universitaire 2022 a été touchée par la réalité de la précarité étudiante. La Fédération des associations générales étudiantes (FAGE) a dénoncé une « véritable flambée » des frais de rentrée, avec une augmentation de plus de 13%, pour un coût moyen de plus de 1.300 euros.

BELGIQUE – L’imam marocain Hassan Iquioussen, réclamé par la justice française pour s’être soustrait à un arrêté d’expulsion et interpellé en Belgique il y a un mois, a été libéré lundi 7 novembre au matin et placé sous surveillance électronique par un juge belge. Une telle décision ne peut faire l’objet d’un appel en Belgique.

L’imam conteste sa remise à la France en vertu d’un mandat d’arrêt européen (MAE). Le placement sous bracelet électronique, décidé le 27 octobre dernier par une juge d’instruction de Tournai, lui impose de résider dans «un lieu précis, déterminé par l’ordonnance» de libération, avait indiqué un porte-parole du parquet. Selon BFMTV, l’imam de 58 ans devrait désormais séjourner chez un ami, en Belgique.

«La détention sous bracelet a été accordée», avait simplement réagi lors de la décision l’avocat belge du suspect, Me Nicolas Cohen. Hassan Iquioussen, arrêté le 30 septembre dans la région de Mons, en Belgique francophone, a été au cœur d’un feuilleton politico-juridique cet été en France. Fin juillet, le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, avait annoncé l’expulsion de ce prédicateur du Nord, fiché S (pour sûreté de l’État) par les services de renseignement. L’arrêté lui reproche «un discours prosélyte émaillé de propos incitant à la haine et à la discrimination et porteur d’une vision de l’islam contraire aux valeurs de la République».

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