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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Dans le monde, ces dernières heures…
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SYRIE – Des missiles israéliens ont frappé dimanche une importante base aérienne dans la province syrienne de Homs, tuant deux militaires et en blessant trois autres, a déclaré l’armée syrienne via l’agence de presse nationale SANA. Selon des sources militaires, la base aérienne de Shayrat était récemment utilisée par l’armée de l’air iranienne.

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Les médias d’État syriens ont diffusé une courte vidéo de l' »agression » et ont indiqué qu’il y avait des dégâts matériels, sans donner plus de détails.

Une source de l’armée syrienne, qui n’était pas autorisée à s’exprimer publiquement, a déclaré que les frappes visaient la base aérienne de Shayrat, un complexe militaire situé au sud-est de la ville de Homs.

Interrogé sur la frappe, un porte-parole de l’armée israélienne a déclaré qu’elle ne commentait pas les déclarations des autres pays.

La piste et les installations souterraines de Shayrat ont fait l’objet d’une expansion majeure par l’armée russe au cours des trois dernières années, selon la source militaire.

La Russie, qui maintient une importante présence militaire en Syrie, dispose de forces stationnées près de la base aérienne de Shayrat, qui a également été utilisée récemment par l’armée de l’air iranienne, a déclaré à Reuters une autre source de sécurité sous couvert d’anonymat.

Selon des sources régionales et des services de renseignement, Israël a intensifié ces derniers mois ses frappes sur les aéroports et les bases aériennes syriennes afin de perturber l’utilisation croissante par l’Iran des lignes aériennes d’approvisionnement pour livrer des armes à ses alliés en Syrie et au Liban, notamment au Hezbollah libanais soutenu par l’Iran.

L’Observatoire syrien des droits de l’homme basé au Royaume-Uni, qui surveille ces événements, a déclaré qu’un entrepôt destiné aux milices iraniennes et au Hezbollah, situé sur la base aérienne de Shayrat, avait été détruit lors de la frappe de dimanche.

Selon des sources militaires de l’opposition, les milices iraniennes ont la mainmise sur de vastes étendues de la province occidentale de Homs, près de la frontière libanaise, ainsi qu’à l’est, où elles disposent d’une série de bases.

IRAN-IRAK – Au moins une personne a été tuée et huit ont été blessées ce lundi 14 novembre dans une série de frappes de l’Iran contre des groupes d’opposition kurdes iraniens basés au Kurdistan d’Irak, qui dénoncent la répression des manifestations en République islamique. L’Iran a confirmé des frappes «aux drones et aux missiles» contre des factions armées de longue date dans la ligne de mire de Téhéran.

«Cinq missiles iraniens ont visé un bâtiment du Parti démocratique du Kurdistan d’Iran (PDKI)», a indiqué à l’AFP Tariq al-Haidari, maire de Koysanjaq, ville située à l’est de Erbil, capitale de la région autonome du Kurdistan irakien (nord), limitrophe de l’Iran. C’est dans cette localité que se trouvait une antenne du PDKI, farouchement opposé au pouvoir iranien. «Il y a un mort et huit blessés. Il s’agit de Kurdes iraniens», a détaillé le ministère de la Santé de la région autonome du Kurdistan d’Irak. Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux ont montré des panaches de fumée noire s’élever dans le ciel, peu après les frappes.

u même moment, «quatre frappes de drones» ont visé des bases du Parti communiste iranien et du groupe nationaliste kurde iranien Komala dans la région de Zrgoiz, également au Kurdistan d’Irak, a expliqué Atta Seqzi, un des chefs de Komala, joint par l’AFP. D’après lui, les militants ont été «prévenus de l’imminence des frappes» et ont évacué les installations. «Il n’y a ni mort, ni blessé.»

La région autonome du Kurdistan d’Irak, dont les autorités entretiennent des relations très tendues avec le gouvernement central de Bagdad, est aussi régulièrement le théâtre de bombardements turcs. Dans les zones frontalières de la Turquie, Ankara vise les bases arrière du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), un groupe armé kurde turc que la Turquie et ses alliés occidentaux considèrent comme «terroriste».

IRAN – C’est une première depuis le début de la contestation pour les droits des femmes. L’Iran a condamné à mort dimanche 13 novembre une personne accusée d’avoir participé aux « émeutes » (terme employé par les autorités) qui secouent le pays depuis deux mois, a annoncé l’autorité judiciaire.

Aucune information n’a été donnée sur son identité ni sur son âge.

Selon le verdict rendu par un tribunal de Téhéran, cette personne est jugée coupable « d’avoir incendié un bâtiment gouvernemental, de trouble à l’ordre public, de rassemblement et conspiration en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale, d’être un ennemi de Dieu et de corruption sur terre », a précisé Mizan online, l’agence de l’autorité judiciaire.

Un autre tribunal de la capitale a condamné cinq personnes à des peines de cinq à 10 ans de prison pour « rassemblement et conspiration en vue de commettre des crimes contre la sécurité nationale et trouble à l’ordre public ». Il s’agit de tribunaux de première instance et les condamnés peuvent donc faire appel, a indiqué Mizan online.

Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a annoncé ce lundi qu’il tiendrait une session d’urgence le 24 novembre sur la situation en Iran.

IRAN-FRANCE – Emmanuel Macron s’est déclaré, ce lundi 14 novembre sur France Inter, « favorable » à « une réaction diplomatique forte » face à l’Iran, qu’il a accusé de mener une « répression inédite » depuis le début de « la révolution » enclenchée il y a deux mois.

« Je suis favorable à ce que nous ayons une réaction diplomatique forte et des sanctions sur les personnalités du régime qui ont une responsabilité dans la répression de cette révolution », a déclaré le président, dans un entretien réalisé vendredi à l’Élysée après sa rencontre avec quatre militantes iraniennes.

« Nous n’écartons aucune option », a-t-il ajouté, en rappelant que le régime iranien était déjà soumis à de nombreuses sanctions.

Les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne (UE) devaient discuter ce lundi à Bruxelles de nouvelles sanctions, avec l’ajout probable d’une trentaine de noms aux personnes ou entités déjà ciblées par l’UE, qui a imposé des sanctions mi-octobre contre la « police des mœurs » iranienne et 11 hauts fonctionnaires.

Le président français entend parler « dans les semaines à venir » avec le président Ebrahim Raïssi, après une première rencontre fin septembre en marge de l’Assemblée générale de l’ONU à New York, qui avait été critiquée par des opposants iraniens. « La diplomatie, c’est de parler avec des gens avec lesquels on n’est pas d’accord et d’essayer de faire œuvre utile », a-t-il expliqué.

Il a en outre jugé que la perspective de relancer l’accord sur le nucléaire iranien était « très fragilisée par la situation intérieure en Iran ». Faute de « nouvelles progressions » attendues, « il nous faut construire un nouveau cadre », selon lui.

EGYPTE – Le détenu politique égypto-britannique Alaa Abdel Fattah, en grève de la faim depuis sept mois, a écrit à sa famille qu’il allait bien et buvait de nouveau depuis samedi, « une preuve de vie, enfin » selon sa sœur.

Le blogueur prodémocratie n’a avalé pendant sept mois que 100 calories par jour. Le 6 novembre, à l’ouverture de la COP27 en Egypte, il a décidé de ne plus manger ni boire du tout.

Depuis, sa famille réclamait une preuve de vie.

Son avocat Khaled Ali s’est rendu à trois reprises à la prison de Wadi Natroun, à 100 kilomètres au nord-ouest du Caire, pour le voir. Reparti deux fois bredouille, il est revenu à la charge lundi matin.

Là, Laila Soueif, la mère d’Alaa Abdel Fattah qui l’accompagnait, a obtenu une lettre « datée du 12 novembre dans laquelle il dit qu’il va bien, qu’il est sous surveillance médicale et qu’il a recommencé à boire » samedi, a écrit sur Facebook Me Ali.

Sa soeur Sanaa Seif, qui a mené sans relâche campagne pour les 60.000 détenus politiques d’Egypte selon les ONG, et son frère en particulier à la COP27, s’est aussitôt exclamée sur Twitter: « Alaa est vivant ».

« C’est clairement son écriture, c’est une preuve de vie, enfin, pourquoi ont-ils gardé deux jours (la lettre) sans nous la donner ? », a-t-elle écrit. « Alaa dit qu’il en dira plus quand il pourra. »

SOUDAN DU SUD – Près de la capitale sud-soudanaise, des violences perpétrées par des éleveurs de bétail à l’encontre de cultivateurs autochtones ont fait cinq morts vendredi 11 novembre. Un incident de plus dans une crise qui semble bien loin de se résoudre, et qui a fait des centaines de victimes depuis le début de l’année. 

Les images ont circulé sur les réseaux sociaux, montrant les corps des cinq hommes, victimes de la dernière attaque en date. Elle a eu lieu dans le village de Nyerjebe, dans la zone de Lokiliri, une partie du comté de Juba dévastée par les conflits agro-pastoraux.

Un acte « inacceptable » et « inhumain », qui risque de « déclencher des violences intercommunautaires » selon Edmond Yakani, figure de la société civile sud-soudanaise et directeur de l’organisation Cepo. Il en appelle aux autorités des États d’Equatoria Centrale et du Jonglei d’intervenir pour que les auteurs soient appréhendés : « Les éleveurs de bétail Dinka doivent abolir la pratique consistant à tuer les civils innocents avec lesquels ils entrent en contact lors de leurs mouvements migratoires dans les forêts. »

Le gouvernement de l’État d’Equatoria Centrale a condamné, le 12 novembre, les actions des pasteurs et affirmé « poursuivre les auteurs ». Il leur a lancé un ultimatum de 72 heures pour qu’ils « retournent inconditionnellement dans leur région », sans quoi ils seront « expulsés de force ». Des appels similaires sont toutefois restés lettre morte à maintes reprises par le passé.

SOMALIE – Le Haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme Volker Türk a dénoncé ce lundi 14 novembre la hausse des victimes civiles des violences en Somalie, résultant notamment des activités du groupe jihadiste des shebab. Au moins 613 civils ont été tués et 948 blessés jusqu’à présent en 2022, selon les derniers chiffres de l’ONU. Il s’agit du bilan le plus élevé depuis 2017 et une hausse de plus de 30% rapport à 2021.

Selon l’ONU, la plupart des victimes – 315 tués et 686 blessés – ont été causées par des engins explosifs improvisés, dont au moins 94% ont été attribués au mouvement des shebab, lié à al-Qaida. Les autres victimes ont été attribuées aux forces de sécurité de l’État, aux milices claniques et à d’autres acteurs non identifiés.

«Cette année a marqué un coup d’arrêt brutal à une baisse générale des décès et des blessures documentés depuis 2017», a déclaré Volker Türk, qui a officiellement pris ses fonctions de haut-commissaire aux droits de l’homme le 17 octobre. «Je suis profondément préoccupé par le fait que davantage de Somaliens continuent de perdre la vie au quotidien», a-t-il affirmé dans un communiqué.

Les Etats-Unis ont augmenté jusqu’à 10 millions de dollars la récompense permettant d’identifier trois chefs islamistes radicaux shebab en Somalie, théâtre d’une recrudescence d’attaques ces dernières semaines, a annoncé ce lundi l’ambassade américaine au Kenya dans un communiqué.

ZAMBIE – Une coentreprise détenue à 45 % par Ningbo Yunsheng (SHA:600366) a acquis des droits d’exploitation de terres rares en Zambie dans le cadre d’une transaction d’une valeur de 5 millions de dollars, selon un dépôt effectué samedi.

Zhongyun Mining Development, une coentreprise entre Yunsheng et China Mining Resources Group, a acheté 100% de China Mining Hong Kong Rare Earth Resources à Sinomine International Exploration (Hong Kong) Holdings.

Le principal actif de la société cible est le droit de prospection d’une mine de terres rares à Nkombwa, en Zambie.

Une fois la transaction conclue, Zhongyun Mining continuera à développer la mine de terres rares de Nkombwa, en accélérant son exploration et son utilisation, a déclaré Yunsheng.

AFRIQUE DU SUD – Le parti au pouvoir, le Congrès national africain (ANC), a rassemblé les membres de son organe exécutif ces trois derniers jours, pour des débats houleux sur l’avenir de la formation. Alors qu’un scrutin interne aura bientôt lieu, à la mi-décembre, pour déterminer qui conduira le parti lors les élections nationales de 2024, le président en exercice, Cyril Ramaphosa, est de plus en plus contesté, suite à sa mise en cause dans l’affaire de Phala-Phala, du nom de sa ferme où a été dérobé de l’argent liquide.

Le président n’en a pas soufflé mot dans son discours de clôture, dimanche soir, mais le scandale de Phala-Phala était sur toutes les lèvres lors de cette grande réunion de l’ANC. Les plus ardents opposants de Cyril Ramaphosa ont réclamé sa mise en retrait, alors que la commission d’intégrité du parti n’a pas encore rendu ses conclusions sur cette affaire.

Le chef de l’État, chantre de la lutte anticorruption, est jusqu’à présent resté très silencieux sur la plainte déposée en juin 2022 par l’ancien chef des services de renseignements, qui l’accuse d’avoir caché en 2020 un cambriolage et un vol dans sa ferme de plusieurs millions de dollars en liquide.

Cependant, Cyril Ramaphosa n’est pas le seul à être visé par une enquête de son parti: l’un de ses principaux concurrents, l’ancien ministre de la Santé, Zweli Mkhize, pourrait aussi être mis en difficulté, suite à des soupçons de corruption en lien avec la lutte contre le Covid-19.

Malgré ces dossiers et leur sort encore en suspens, les deux hommes restent pour l’instant favoris, face aux deux autres candidates déclarées, Lindiwe Sisulu et Nkosazana Dlamini-Zuma.

RUSSIE – Le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, est en bonne santé après avoir subi deux examens médicaux dans un hôpital de Bali, a indiqué ce lundi un responsable du ministère de la Santé indonésien, après que la Russie a démenti son hospitalisation.

La Russie avait plus tôt, vidéo à l’appui, démenti des informations publiées sur l’hospitalisation du chef de la diplomatie russe à son arrivée au G20 à Bali, en Indonésie.

« C’est du fake du plus haut niveau », avait affirmé sur Telegram la porte-parole du ministre, Maria Zakharova.

Elle avait ensuite publié une vidéo du ministre, assis en short sur une terrasse, dans laquelle il balayait les rumeurs sur sa santé et conseillait aux journalistes occidentaux « d’écrire plus souvent la vérité ».

Selon un responsable indonésien, le chef de la diplomatie russe est « en bonne santé »: « Il est venu à l’hôpital à son arrivée à Bali (dimanche soir) pour subir des examens », a indiqué un représentant du ministère indonésien de la Santé, Sunarto, qui comme de nombreux indonésiens ne porte qu’un nom.

« Il est revenu plus tôt (lundi) pour un nouvel examen et grâce à dieu il se porte bien », a-t-il ajouté, interrogé par l’AFP.

Un porte-parole de l’hôpital Sanglah à Denpasar, la capitale de Bali, a indiqué qu’une délégation étrangère avait rendu visite à l’établissement, sans autre précision.

Chef de la diplomatie russe depuis 2004, Sergueï Lavrov, 72 ans, réputé fumeur invétéré et amateur de whisky, représente le président Vladimir Poutine au sommet du G20.

ETATS-UNIS – La police recherchait activement ce lundi un suspect après une fusillade qui a fait trois morts et deux blessés dimanche soir sur un campus universitaire dans l’État de Virginie (est des États-Unis), ont annoncé les autorités.

Le principal campus de l’Université de Virginie à Charlottesville a été bouclé pendant que des hélicoptères et des policiers étaient à la recherche d’un homme considéré comme «armé et dangereux», a tweeté le bureau de la gestion des urgences de l’UVA.

Il s’agit d’un étudiant de l’université, suspecté d’être l’auteur de la fusillade, a précisé le président de l’Université, Jim Ryan, dans un communiqué. «Il s’agit d’un incident traumatisant pour chacun dans notre communauté et nous avons annulé les cours pour aujourd’hui», a ajouté Jim Ryan. Un soutien psychologique sera proposé aux étudiants, selon lui.

Parallèlement, dans l’État de l’Idaho (Ouest), la police a annoncé enquêter sur un incident séparé après la découverte des corps de quatre étudiants dans une maison de la ville de Moscow près du campus de l’Université de l’Idaho, apparemment «victimes d’homicide».

CHINE – Pékin a dévoilé des mesures pour relancer l’immobilier, un secteur crucial pour sa croissance mais rendu exsangue par un durcissement des règles de financement et par la pandémie, qui ont placé nombre de promoteurs au bord de la faillite.

L’immobilier est en Chine un secteur-clé de l’économie, qui pèse avec celui de la construction, environ un quart du PIB, et fait vivre une armée de travailleurs peu qualifiés.

Dans ce contexte, les autorités ont établi vendredi seize mesures de soutien, censées offrir une bouffée d’oxygène au secteur. 

La banque centrale et le régulateur des banques et des assurances n’ont pas rendu publiques ces nouvelles directives, mais les grandes lignes en ont été dévoilées ce lundi par la presse économique chinoise. Les mesures prévoient le prolongement des échéances pour les promoteurs criblés de dettes, encouragent les banques à prêter davantage aux groupes sains financièrement et assurent des liquidités pour achever des chantiers en cours.

Faute de liquidités, certains groupes immobiliers ont mis fin à leurs travaux ces derniers mois. Et un nombre croissant de propriétaires furieux ont refusé d’honorer leurs mensualités, au risque d’aggraver la crise et les défauts de paiement.

Les mesures dévoilées par Pékin « garantissent » la remise des biens et ordonnent aux banques d’accorder des « prêts spéciaux » pour parvenir à cette fin, selon une directive circulant en ligne et citée par les médias chinois. 

Cette décision traduit un « tournant » pris par les autorités depuis leur décision en 2020 de durcir l’accès au crédit des promoteurs immobiliers, estime l’économiste Ting Lu de la banque Nomura.

GHANA – Le président ghanéen Nana Akufo-Addo a annoncé ce lundi le limogeage du secrétaire d’Etat aux Finances visé par des accusations de corruption dans un documentaire sur l’exploitation illégale d’or.

Le président a « mis fin à la nomination du secrétaire d’État au ministère des Finances, M. Charles Adu Boahen, avec effet immédiat », selon un communiqué de la présidence.

M. Akufo-Addo a pris sa décision après avoir été « mis au courant des accusations » contre M. Boahen dans le documentaire « Galamsey Economy » dont la diffusion est prévue lundi et pour deux jours à Accra, la capitale.

Il a été réalisé par le célèbre journaliste d’investigation Anas Aremeyaw Anas, qui a fait éclater par le passé plusieurs scandales de corruption, notamment dans le football ou la justice.

Quelques extraits ont déjà fuité et l’un d’entre eux en particulier a provoqué la polémique. Selon le documentaire, M. Adu Boahen réclame près de 200.000 dollars à des investisseurs pour les remettre au vice-président.

Au Ghana, les « Galamsey » sont des mineurs d’or illégaux qui revendent leurs butins à des intermédiaires qui se tournent ensuite vers l’exportation.

Pour l’heure, M. Boahen n’a fait aucun commentaire.

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