• Qui sommes-nous ?
  • Contact
  • S'identifier
mardi, 13 mai, 2025
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
عربي
TUNISIE DIRECT
  • NATIONAL
    • Politique
    • Nos Régions
  • INTERNATIONAL
  • SANTÉ
    • Infos Covid
  • ÉCONOMIE
  • CULTURE
  • SOCIÉTÉ
  • SPORT
    • foot
  • FEMME
  • IDÉES & DÉBATS
    • Editoriaux
    • soit dit en passant
    • Entretien
  • SCIENCES ET ENVIRONNEMENT
    • High-tec
    • animaux
  • NATIONAL
    • Politique
    • Nos Régions
  • INTERNATIONAL
  • SANTÉ
    • Infos Covid
  • ÉCONOMIE
  • CULTURE
  • SOCIÉTÉ
  • SPORT
    • foot
  • FEMME
  • IDÉES & DÉBATS
    • Editoriaux
    • soit dit en passant
    • Entretien
  • SCIENCES ET ENVIRONNEMENT
    • High-tec
    • animaux
TUNISIE DIRECT
Pas de résultat
Afficher tous les résultats
Page d'accueil INTERNATIONAL

Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 2 ans
dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Dans le monde, ces dernières heures…
Share on FacebookShare on Twitter

IRAN-IRAK – Téhéran a salué ce lundi la décision du gouvernement irakien de déployer des forces dans une zone frontalière du Kurdistan irakien, région autonome où sont basés des opposants kurdes iraniens.

Lire aussi

Le ministre de l’emploi annonce plus de 20 000 recrutements dans la fonction publique en 2026

Pour lutter contre le stress hydrique, la Tunisie provoque sa première pluie artificielle

L’Iran dénonce notamment des attaques contre son territoire menées selon lui par des groupes infiltrés à partir de l’Irak. «Nous avons appris que le gouvernement irakien a décidé de déployer ses forces sur la frontière commune avec la région du Kurdistan irakien et nous espérons que cela se produira (…) Nous saluons cette décision», a indiqué le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Nasser Kanani, dans sa conférence de presse hebdomadaire.

L’Irak avait annoncé le 23 novembre travailler à un «redéploiement» de forces irakiennes le long de la frontière avec l’Iran, après des bombardements répétés de Téhéran contre des groupes armés d’opposition kurdes iraniens au Kurdistan irakien. 

Selon Nasser Kanani, le déploiement prochain des forces irakiennes s’inscrit dans le cadre des «promesses de Bagdad de sécuriser les frontières communes» avec l’Iran.

LIBAN-SYRIE- L’Observatoire syrien des droits de l’homme a souligné lundi que les corps trouvés par des habitants du village de Kherbet Awad, dans les abords de Soueïda, en Syrie, à proximité de la frontière syro-jordanienne, sont ceux de trafiquants de drogue qui travaillaient pour le compte du Hezbollah et de la quatrième brigade (Syrie). D’après l’Observatoire syrien, ils ont retrouvé la mort lors d’échanges de tirs entre les deux parties, samedi, alors qu’ils essayaient de passer en contrebande de la drogue en Jordanie.

Cinq personnes ont été tuées et sept autres blessées, selon l’observatoire. Elles ont été transportées dans un hôpital à Soueïda, où elles reçoivent les soins nécessaires, sachant que deux d’entre elles se trouvent dans un état critique. Tous les tués sont des membres du clan al-Ghayath, actif dans le trafic de drogue en Jordanie.

ISRAËL – Le parti « Judaïsme de la Torah » a exigé, dans le cadre de ses accords de coalition, l’installation d’une ligne de métro qui passe par Bnei Brak, et pas seulement à la périphérie de la ville qui se trouve en banlieue de Tel Aviv, comme cela est déjà prévu. Le parti veut améliorer l’accès des habitants de la ville, qui sont en grande partie des juifs ultra-orthodoxes, aux transports publics.

Mais Channel 12 a cité des sources au sein de la planification et de l’ingénierie du métro de la région de Tel Aviv, selon lesquelles il est impossible que les travaux de construction du métro s’arrêtent pendant le shabbat, soulignant qu’une telle décision retarderait considérablement l’ensemble du projet. « Les machines qui creusent les tunnels géants doivent fonctionner en permanence, 24 heures sur 24, sept jours sur sept », a déclaré une source.

Le parti Judaïsme de la Torah a répondu : « Nous ne permettrons pas, de quelque manière que ce soit, que des travaux aient lieu le shabbat, ce qui violerait le statu quo. » La question de savoir si la construction peut avoir lieu pendant shabbat a déjà été évoquée auprès les responsables de la mairie de Bnei Brak, qui tente de trouver un accord avec les autorités religieuses.

D’autre part, Avi Maoz, ultranationaliste, suprémaciste, homophobe et misogyne devrait être nommé vice- ministre chargé d l’identité juive, un poste créé pour lui.

ISRAËL – Près de 52% des Israéliens ne croient pas que le Premier ministre désigné Benjamin Netanyahou et son gouvernement de coalition trouveront une solution au terrorisme, selon un nouveau sondage réalisé dimanche par Manu Geva et iPanel. Seules 31 % des personnes interrogées pensent que le bloc de Benjamin Netanyahou et le leader du parti d’extrême droite Force juive, Itamar Ben Gvir, pourront combattre la vague de terrorisme qui a augmenté ces derniers mois. Parmi les partisans de Benjamin Netanyahou, ce chiffre atteint les 55%.

Près de la moitié des personnes interrogées soutiennent toutefois la nomination d’Itamar Ben Gvir au poste de ministre de la Sécurité nationale, tandis que 46 % s’y opposent.

Le coût de la vie est un autre dossier brûlant au sujet duquel les Israéliens ne semblent pas faire confiance au nouveau gouvernement de coalition.

EGYPTE – Récemment, des archéologues ont découvert plusieurs momies dans la nécropole de Quweisna (également orthographié Quesna) près du fleuve du Nil. Certains cadavres avaient quelque chose de spécial placé dans la bouche, entre les deux rangées de dents : une amulette en feuille d’or en forme de langue. D’autres avaient des os recouverts d’or. La découverte a été partagée sur la page Facebook du ministère égyptien du Tourisme et des Antiquités.

Ce n’est pas la première fois que des chercheurs tombent sur des langues d’or dans les mâchoires des squelettes. En février 2021, une équipe avait fait la même trouvaille sur un site vieux de 2 000 ans en Égypte. En décembre, rebelote chez trois momies : un homme, une femme et un enfant.

Selon le ministère égyptien du Tourisme et des Antiquités, il est possible que ces langues d’or aient été placées par les embaumeurs de l’époque pour s’assurer que les morts puissent plaire à Osiris, roi de l’au-delà et dieu des morts. Selon la légende, ce dieu détestait le bruit. La langue coupée des morts pourrait être une manière d’attirer les faveurs d’Osiris pour passer de l’autre côté. Mais pour l’heure, tout cela n’est qu’hypothèse. Le mystère demeure.

EGYPTE – L’Egyptian Natural Gas Holding Company a attribué deux blocs d’exploration en mer Méditerranée, au large de l’Égypte à la compagnie britannique BP. La zone offshore du nord-ouest d’Abu Qir – dans laquelle BP détient 82,75 % et Wintershall-Dea détient 17,25 % – est située à l’ouest du bloc North King Mariout et au nord du champ Raven. Il couvre une superficie d’environ 1038 kilomètres carrés avec des profondeurs d’eau comprises entre 600 mètres et 1600 mètres.

Le bloc Bellatrix-Seti East – dans lequel BP et Eni détiennent chacun une part de 50% – est situé à l’ouest du champ Atoll et des blocs North Tabya. Il couvre une superficie d’environ 3440 kilomètres carrés avec des profondeurs d’eau comprises entre 100 mètres et 1200 mètres
Anja-Isabel Dotzenrath, responsable des énergies à faible teneur en carbone et du gaz naturel pour BP, a déclaré :  » l’Égypte est importante pour BP avec près de 60 ans de partenariat fructueux et plus de 35 milliards de dollars investis. Nous attendons maintenant avec impatience un avenir encore plus prospère, en continuant à aider à répondre aux besoins énergétiques croissants de l’Égypte en fournissant des approvisionnements en gaz à des prix compétitifs et en soutenant l’Égypte tout au long de la transition énergétique en explorant les opportunités de croissance dans l’hydrogène, par exemple « .

Les exportations égyptiennes de gaz naturel liquéfié (GNL) atteindront 8 millions de tonnes à l’issue de l’année 2022. Ce volume représente une hausse de 14 % par rapport à 2021.

SOUDAN DU SUD – Quatre enfants du Soudan du Sud s’apprêtent à être transportés à Tel Aviv pour y subir une opération cardiaque vitale. L’organisation IsraAID, basée à Tel Aviv, prévoit depuis près de trois ans de faire venir ces quatre enfants – Gai, 8 ans, Habiba, 6 ans, Phillip, 5 ans, et Joel, 5 ans – en Israël pour qu’ils y se fassent soignés.

Les enfants recevront un traitement au centre médical Wolfson de Holon, près de Tel Aviv, dans le cadre d’une initiative conjointe entre IsraAID et Save a Child’s Heart. Ces deux organisations basées en Israël travaillent respectivement dans le domaine des secours en cas de catastrophe et des soins médicaux.

Ces quatre enfants pourraient être les premiers d’une longue série. En effet, une centaine d’autres jeunes ayant besoin de soin similaires ont été identifiés par IsraAID et Save a Child’s Heart. Les enfants qui voyagent cette semaine ont été repérés en mars 2019 lors d’une mission de Save a Child’s Heart au Soudan du Sud.

ETHIOPIE – Le Front populaire de libération du Tigré (TPLF) accuse l’armée érythréenne de « continuer à sévir » malgré l’accord de cessation des hostilités signé entre le gouvernement éthiopien et le groupe pour mettre fin au conflit de novembre 2020 dans la région du nord du Tigré.

« Alors que nos forces font de leur mieux pour respecter les accords de Pretoria et de Nairobi, les forces érythréennes continuent de se déchaîner, tuant des enfants et des femmes à volonté, pillant et détruisant des biens », a déclaré le porte-parole du groupe, Getachew Reda.

Il a déclaré dans une série de messages sur son compte Twitter que les troupes érythréennes avaient « exécuté sommairement des centaines de femmes et d’enfants à May Abay la semaine dernière », avant de souligner qu' »il est évident que les Érythréens n’ont aucun appétit pour un règlement pacifique entre le gouvernement central et le Tigré ».

M. Getachew a déclaré que le gouvernement érythréen « maintiendra le cap de ses plans néfastes pour la Corne de l’Afrique » et a souligné que « la question est de savoir si les partenaires de paix à Addis-Abeba respecteront leur part du marché pour protéger les civils et convaincre les forces extérieures de quitter le Tigré ».

SOMALIE – Au moins huit civils ont été tués dans le siège de l’hôtel attaqué dimanche soir par des jihadistes shebab dans la capitale somalienne Mogadiscio, a annoncé ce lundi le porte-parole de la police, affirmant que l’opération des forces de sécurité était « terminée ».

« L’opération de ratissage à l’hôtel Villa Rose est terminée », a déclaré à la presse Sadik Dudishe, porte-parole de la police.

Les shebab « ont tué 8 civils qui étaient dans l’hôtel et les forces de sécurité ont réussi à en secourir environ 60, et aucun n’a été blessé », a poursuivi M. Dudishe.

Le porte-parole de la police somalienne a annoncé que l’attaque avait été menée pendant presque 21 heures par six personnes et « cinq ont été abattues et un s’est fait exploser ».

Sur son site internet, le Villa Rose y est décrit comme « l’hébergement le plus sûr de Mogadiscio », avec détecteurs de métaux et un haut mur d’enceinte.

Selon l’ONU, au moins 613 civils ont déjà été tués et 948 blessés dans des violences cette année en Somalie, principalement causées par des engins explosifs artisanaux (EEI) attribués aux shebab. Les chiffres les plus élevés depuis 2017, en hausse de plus de 30% par rapport à 2021.

Le groupe islamiste somalien Al Shebab, milice djihadiste affiliée à Al Qaïda, cherche à renverser le gouvernement depuis de nombreuses années pour imposer une interprétation stricte de la charia, la loi coranique et mène régulièrement des attaques à travers la Somalie et dans la capitale.

TANZANIE – Améliorer l’assainissement à Mwanza, c’est le but d’un accord financement trouvé récemment en Tanzanie. Le « Projet de modernisation du réseau d’égouts de Mwanza » (MSNUP) bénéficie ainsi de 12,7 milliards de dollars de l’Union européenne (UE) et de la Kreditanstaltfür Wiederaufbau (KfW), l’agence allemande de développement. Les fonds sont alloués à l’Autorité d’approvisionnement en eau et de l’assainissement de Mwanza (Mwawasa) et la Commission du bassin du lac Victoria (LVBC) qui mettent en œuvre le MSNUP.

Le chantier portera sur la construction d’égouts intercalaires de 14,4 km. Les effluents collectés seront acheminés vers une nouvelle station d’épuration à Ilemela dans le nord de la ville de Mwanza. L’objectif de ce projet initié par la Communauté d’Afrique de l’Est (CAE) est de réduire la quantité de déchets liquides rejetés dans le lac Victoria, à partir des villes côtières à l’instar de Mwanza. Les effluents de la ville contribuent significativement à la pollution du plus grand lac d’eau douce d’Afrique, entraînant la perte de sa biodiversité aquatique.

À Mwanza, les travaux du projet « MSNUP » seront réalisés à Igogo, Kitangiri, Kirumba, Pasiansi et Nyamanoro. Outre l’amélioration de l’assainissement, l’initiative rapprochera le gouvernement tanzanien de son objectif de réduire la pollution de 30 % dans le pays, à travers l’extension des réseaux d’égouts et d’assainissement d’ici à 2025.

ZIMBABWE – L’autorité du fleuve Zambèze a ordonné dimanche la suspension jusqu’en janvier de la production d’électricité au barrage de Kariba, le plus grand d’Afrique australe,qui alimente le service public zimbabwéen, en raison de pénuries d’eau.

Le stockage de l’eau au barrage est à 4,6 % de sa capacité, ce qui est inférieur aux niveaux nécessaires pour assurer les opérations de production d’électricité à la centrale de Kariba South Bank, a déclaré la ZRA, qui gère le barrage au nom de la Zambie et du Zimbabwe, dans une lettre rapportée par Bloomberg.

La ZRA avait, au début du mois, tiré la sonnette d’alarme sur la forte baisse des niveaux de stockage, et ne s’attendait pas à une amélioration avant le premier trimestre 2023, lorsque les flux commenceront à recevoir l’eau accumulée des pluies de ces mois pour remplir le Kariba, rapportait alors le site Internet de Bulawayo.

Le Zimbabwe produit 1 050 mégawatts d’électricité à partir de la centrale de Kariba, soit la moitié de sa capacité installée de 2 100 mégawatts.

Washington Mareya, directeur général par intérim de Zimbabwe Power, n’a pas fait de commentaires à Bloomberg, si ce n’est pour dire que les autorités travaillent sur la question.

COMORES – L’ex-président Ahmed Abdallah Sambi et 11 co-accusés ont été condamnés ce lundi matin par la Cour de sûreté de l’État. Une juridiction spéciale dont les décisions ne peuvent pas faire l’objet d’appel. Les peines vont de deux ans de prison avec sursis à la perpétuité, pour l’ancien président, reconnu coupable de « haute trahison ».

Le verdict a été rendu en l’absence de l’ancien président Sambi et de ses avocats, qui n’ont participé qu’à la première audience lundi dernier, avant de ne plus apparaître devant la Cour pour dénoncer un tribunal selon eux partial et illégitime. Les 12 co-accusés étaient poursuivis pour l’affaire dite de la « citoyenneté économique », soit le détournement allégué d’importantes sommes d’argents de la vente de passeports comoriens à des étrangers. Le procureur avait avancé la somme d’1,8 milliard d’euros détournés, soit plus que le PIB de l’archipel.

Mais selon les avocats d’Ahmed Abdallah Sambi, aucune trace de cet argent n’a été découverte et les faits avaient d’ailleurs été requalifiés de « corruption » à « haute trahison ». Une incrimination qui n’existe pas en droit pénal comorien. Selon la défense, celle-ci n’a pas été surprise par le verdict : « La suite logique d’un procès inique visant à se débarrasser de toute opposition » a commenté ce lundi Me Mahamadou Ahamada, joint par téléphone.

Ahmed Abdallah Sambi a 64 ans, sa détention préventive depuis août 2018 a été jugée « arbitraire »par les Nations unies, et sa famille dénonce une séquestration. Autre condamné: l’ancien vice-président et candidat à la présidentielle de 2016, Mohamed Ali Soilihi, actuellement en France pour raisons médicales. Il écope de 20 ans de prison.

NAMIBIE – Le parti au pouvoir en Namibie, la SWAPO, a élu le vice-premier ministre Netumbo Nandi-Ndaitwah au poste de vice-président du parti, faisant d’elle la favorite pour succéder au président Hage Geingob, ce qui pourrit également faire d’elle la première femme présidente de ce pays d’Afrique du Sud-Ouest.

Nandi-Ndaitwah a devancé le Premier ministre Saara Kuugongelwa-Amadhila et le ministre de l’Environnement et du Tourisme Pohamba Shifeta dans la course pour devenir le « numéro deux » de la SWAPO, l’Organisation du peuple du Sud-Ouest africain, et donc un candidat potentiel pour les élections de 2024.

Le vote au sein du parti est intervenu après que le président Geingob a refusé de nommer un successeur, comme l’avaient fait ses prédécesseurs, rapporte Bloomberg.

« Nous avons fait l’histoire en élisant la première femme présidente en 2024 », a célébré Geingob tôt ce lundi, avertissant Nandi-Ndaitwah que le poste pour lequel elle est censée se présenter est « une lourde tâche ».

La SWAPO dirige la Namibie depuis l’indépendance en 1990 et, bien qu’elle reste le plus grand parti politique du pays, sa popularité a diminué ces dernières années, comme le montrent les résultats des dernières élections générales de 2019, au cours desquelles elle a perdu sa majorité des deux tiers à l’Assemblée nationale La situation économique est difficile avec des niveaux de chômage élevés et les cas de corruption ont été signalés au sein même du gouvernement.

AFRIQUE DU SUD – Habituellement, les deux chiens sont attachés et en cage, mais le dimanche 20 novembre, ils étaient en liberté à Phomolong, dans la province de Gauteng. Alors que Keketso et ses amis étaient en train de jouer, les deux pitbulls ont bondi sur le garçon de trois ans, l’ont mordu, traîné et griffé, sous le regard impuissant des voisins et de sa famille. Un riverain est intervenu en lançant de l’eau chaude sur les animaux, mais il était déjà trop tard. “Une partie de son visage avait complètement disparu et on pouvait voir son cerveau”, se souvient la tante du garçon.

Les témoins en colère ont attrapé l’un des chiens et l’ont immolé, avant que la police n’arrive et arrête le propriétaire des pitbulls, un homme de 21 ans, pour détention d’animaux dangereux. Il encourt une amende ou une peine de prison allant jusqu’à deux ans. Le second chien a également été attrapé puis euthanasié.

D’autres attaques de pitbulls ont été recensées en Afrique du Sud ces dernières semaines. Quelques jours avant l’attaque sur Keketso, un garçon de huit ans est décédé à Bloemfontein. Le 20 novembre, soit le même jour que la mort de Keketso, une fille a été attaquée par trois pitbulls au Cap, dans le sud-ouest du pays. La fille a été emmenée à l’hôpital, où elle a survécu. Trois jours après l’attaque de Phomolong, un enfant de quinze mois est décédé à l’hôpital après qu’un pitbull lui a sauté dessus.

Selon la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA), sur les 18 dernières années, 37 personnes sont décédées, attaquées par des pitbulls, en Afrique du Sud. Huit des victimes sont des enfants, et cinq d’entre eux ont été tués cette année, faisant de 2022 l’année la plus meurtrière.

CHINE – La plus grande alliance de médias de service public dans le monde, l’Union européenne de Radio-Télévision (UER), a condamné ce lundi les « agressions » contre les journalistes qui couvrent en Chine les manifestations contre les restrictions sanitaires.

Dans un communiqué, cette organisation, dont le siège est à Genève, « condamne avec la plus grande fermeté les intimidations et les agressions intolérables dont sont victimes les journalistes et les équipes de production des membres de l’UER en Chine ».

L’UER souligne que la situation en Chine devient « de plus en plus volatile » suite aux manifestations d’opposants à la stratégie de tolérance zéro contre le Covid-19.

Selon la BBC, un de ses journalistes qui couvrait ces manifestations historiques à Shanghai a été arrêté et battu pendant sa détention. Et un journaliste de la radio-télévision suisse RTS « a été harcelé alors qu’il était en direct », a indiqué l’UER, soulignant que d’autres journalistes ont également été menacés tandis que certains ont été empêchés de passer à l’antenne ou de filmer.

« L’agression et l’intimidation des journalistes par la police et d’autres autorités en Chine sont inacceptables et ces derniers incidents marquent un nouveau coup bas », a déclaré la directrice adjointe Médias et Cheffe des actualités, Liz Corbin, dans le communiqué.

« Nous appelons de toute urgence les autorités chinoises à respecter les droits des journalistes des Membres de l’UER qui vivent et travaillent en Chine pour aider le public des pays étrangers à mieux comprendre ce qui s’y passe », a-t-elle indiqué.

L’UER est la plus grande alliance de médias de service public dans le monde. Elle compte 112 organismes membres dans 56 pays, ainsi que 31 affiliés en Asie, en Afrique et sur le continent américain.

PAKISTAN – Les talibans pakistanais ont annoncé ce lundi la fin du cessez-le-feu qu’ils avaient déclaré en juin mais qui n’était que très partiellement respecté, et ordonné à leurs combattants de mener des attaques dans tout le Pakistan.

« Comme les opérations militaires se poursuivent contre les moudjahidines dans différentes zones (…) il est impératif que vous meniez des attaques partout où c’est possible dans le pays », a demandé le Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP) à ses hommes, selon un communiqué.

Le TTP avait prolongé indéfiniment en juin une trêve en cours depuis quelques semaines, en raison de « progrès » dans les négociations de paix avec des représentants de l’Etat pakistanais entamées en mai dans la capitale afghane, Kaboul, sous la médiation des talibans afghans.

Mais ce cessez-le-feu n’a jamais été vraiment respecté, ni par le TTP qui a continué ses attaques, dirigées non plus contre les civils comme auparavant mais essentiellement contre les forces de sécurité, ni par l’armée pakistanaise qui a continué à pourchasser ses combattants.

Le TTP est un groupe distinct des talibans afghans. Mais il partage avec eux une même idéologie et une longue histoire commune, et a été revigoré par leur retour au pouvoir en Afghanistan en août 2021, avec le retrait des forces américaines après deux décennies de guerre.

Né dans les zones tribales du nord-ouest du Pakistan, à la frontière avec l’Afghanistan, le TTP a tué en moins d’une décennie des dizaines de milliers de civils pakistanais et de membres des forces de sécurité.

Affaibli à partir de 2014 par d’intenses opérations de l’armée, il est revenu en force depuis l’été 2020 et plus encore depuis l’arrivée des talibans afghans au pouvoir.

Le Pakistan reproche à ces derniers de laisser le TTP planifier à partir du sol afghan ses attaques, ce que Kaboul n’a cessé de nier.

OTAN – Le chef de la diplomatie turque Mevlut Cavusoglu a annoncé qu’il rencontrera ce mardi à Bucarest ses homologues suédois et finnois au sujet de leur demande d’adhésion à l’Otan, ont rapporté lundi les médias turcs.

« Nous aurons une rencontre trilatérale avec les ministres des Affaires étrangères de la Suède et de la Finlande demain à Bucarest », en marge de la réunion des chefs de la diplomatie de l’Otan, a affirmé M. Cavusoglu cité par la chaîne privée turque NTV.

« Le processus avance de manière positive, mais il reste encore des pas à effectuer », a ajouté le ministre.

Selon M. Cavusoglu, certaines attentes de la Turquie n’ont pas été respectées par les deux pays nordiques, candidats à l’Otan, en particulier dans le domaine des demandes d’extradition formulées par Ankara et des changements législatifs.

La Turquie accuse la Suède et la Finlande de mansuétude envers le Parti des travailleurs kurdes (PKK) et ses alliés comme les Unités de protection du peuple (YPG).

Ankara bloque depuis mai l’entrée des deux pays nordiques dans l’Alliance atlantique, et a signé avec eux un mémorandum d’accord en juin liant leur adhésion à leur lutte contre les mouvements kurdes et leurs partisans sur leur sol.

En visite début novembre à Ankara, le Premier ministre suédois Ulf Kristersson a promis de répondre aux inquiétudes exprimées par la Turquie dans sa lutte contre le terrorisme, afin de lever tout obstacle à son entrée dans l’Otan.

« Les soucis concernant la Finlande ne sont pas très importants. (…) Le pays qui devrait faire le plus de pas est la Suède », a estimé M. Cavusoglu.

NIGERIA – La Commission électorale nigériane (Inec) a indiqué qu’un de ses bureaux a été incendié dimanche dans l’Etat d’Ebonyi (sud-est), à trois mois des élections présidentielle et législatives dans le pays le plus peuplé d’Afrique.

« Notre bureau du gouvernement local d’Izzi, situé à Iboko, a été incendié », a déclaré dimanche un porte-parole de l’Inec Festus Okoye dans un communiqué.

Cette attaque commise par des hommes « non identifiés » n’a fait aucune victime mais tout le matériel a été détruit dont de nombreuses cartes d’électeurs, a-t-il ajouté.

Il s’agit du troisième incident de ce genre en novembre après l’attaque de deux bureaux de l’Inec dans le sud-ouest, région habituellement épargnée par ces violences.

Le 25 février, les Nigérians éliront un successeur au président Muhammadu Buhari, qui ne se représente pas après deux mandats et un bilan jugé catastrophique tant du point de vue de l’économie que de la sécurité, deux enjeux majeurs du scrutin.

L’Inec a récemment mis en garde contre la menace d’une intensification des violences pendant la campagne électorale, ajoutant qu’elle avait recensé au moins 50 attaques depuis le début de l’exercice il y a près de deux mois.

Bien qu’aucun groupe n’ait revendiqué l’attaque de dimanche, le sud-est du Nigeria a été le théâtre d’un grand nombre d’attaques attribuées au Mouvement indépendantiste pour les peuples indigènes du Biafra (Ipob).

L’Ipob, qui cherche une renaissance d’un Etat séparé pour l’ethnie igbo, a nié à plusieurs reprises toute responsabilité dans ces violences.

Selon les médias locaux, plus de 100 policiers et autres agents de sécurité ont été tués depuis le début de l’année dernière dans des attaques ciblées.

DROGUE – Des policiers ont démantelé un « super-cartel » de la drogue qui contrôlait environ un tiers du trafic de cocaïne en Europe et arrêté 49 suspects dans divers pays dont six d’importance à Dubaï, a annoncé ce lundi Europol.

Cette vaste opération internationale a permis la saisie de 30 tonnes de cocaïne, avec des arrestations en France, en Espagne, en Belgique et aux Pays-Bas, a ajouté dans un communiqué l’Office européen de police, dont le siège est aux Pays-Bas.

« Les barons de la drogue, considérés comme des cibles de grand intérêt par Europol, s’étaient alliés pour constituer ce qui était connu comme un « super cartel » qui contrôlait environ un tiers du commerce de la cocaïne en Europe », selon Europol.

« L’ampleur de l’importation de cocaïne en Europe sous le contrôle et le commandement des suspects était massive. Et plus de 30 tonnes de drogues ont été saisies par les forces de l’ordre durant les investigations », précise l’agence européenne.

Dubaï a arrêté deux suspects offrant un « grand intérêt », liés aux Pays-Bas, deux autres liés à l’Espagne et deux liés à la France.

« L’un des suspects néerlandais est un  »extrêmement gros poisson« , a dit à l’AFP une source d’Europol sous condition de l’anonymat.

Outre les six arrestations à Dubaï, treize personnes ont été arrêtées en Espagne, six en France et dix en Belgique. Parallèlement, quatorze personnes avaient été arrêtées en 2021 aux Pays-Bas dans le cadre de la même opération, selon cette source.

Le parquet néerlandais a indiqué qu’il comptait demander auprès des Emirats arabes unis l’extradition des deux suspects liés aux Pays-Bas arrêtés à Dubaï.

ESPAGNE – Frais non déclarés et dépassement du plafond autorisé : La Cour des Comptes espagnole a infligé une amende de 276.698 euros pour irrégularités dans les dépenses de campagne aux municipales de Barcelone de 2019 de l’ancien Premier ministre français Manuel Valls.

Le Tribunal des Comptes (équivalent de la Cour des Comptes en France) a actualisé sa section « Transparence » et a ajouté un document lundi dans lequel elle liste les « procédures avec sanction concernant la comptabilité des élections locales de 2019 ».

« Barcelona pel Canvi-Ciudadanos » (Barcelone pour le changement), l’ex-groupe politique de Manuel Valls au sein du conseil municipal a écopé d’une amende de 251.698 euros à laquelle s’ajoute une peine de 25.000 euros pour dépassement du plafond de la limite maximale de dépenses en publicité extérieure.

En mai 2019, Manuel Valls était arrivé quatrième aux municipales dans sa ville natale avec le soutien du parti libéral anti-indépendantiste Ciudadanos, après l’échec de ses ambitions présidentielles en 2017 en France.

Le Tribunal des Comptes avait relevé dans un rapport, en mars 2021, des dépenses de campagne non déclarées d’une valeur totale de 189.497 euros.

Ces fonds provenaient, pour leur plus grande partie, de l’« Association Barcelona Capital Europea », la plateforme sur laquelle Manuel Valls avait présenté sa candidature avant de former une coalition avec des indépendants et des membres de Ciudadanos.

Utilisé au profit de la campagne électorale, cet argent aurait dû provenir de la coalition et non de l’association, considérée comme « une tierce personne », soulignait le rapport.

Par ailleurs, le Tribunal des Comptes avait aussi observé un dépassement du plafond limite autorisé de dépenses, avec 126.819 euros de plus que le montant autorisé, soit un excès de 71,15%.

ROYAUME-UNI – Le Brexit a aggravé la pénurie de médecins au Royaume-Uni, en entraînant un manque estimé à 4.000 médecins issus de l’Union européenne dans quatre spécialités majeures, selon une étude publiée dimanche d’un centre de réflexion spécialisé dans la santé.

Cette étude, réalisée à l’initiative du quotidien The Guardian, est publiée alors que le système public de santé (NHS) souffre de nombreuses difficultés après des années d’austérité, avec des listes d’attente record dans les hôpitaux dues à la pandémie de Covid-19, mais aussi aux pénuries de médecins et d’infirmières.

Le Nuffield Trust s’est penché sur quatre spécialités – anesthésie, pédiatrie, chirurgie cardio-thoracique et psychiatrie – dans lesquelles les médecins européens étaient particulièrement représentés avant la sortie du Royaume-Uni de l’UE.

Dans ces quatre spécialités, connaissant déjà des tensions dans leur recrutement, « la progression des effectifs issus de l’UE ou de pays de l’Association européenne de libre-échange (AELE, à savoir Norvège, Islande, Suisse et Liechtenstein) a ralenti », montre l’étude.

Si la tendance observée avant le Brexit s’était poursuivie, il aurait dû y avoir plus de 41.000 médecins issus de l’UE et de l’AELE enregistrés en 2021, soit au moins 4.000 de plus que les chiffres effectivement constatés.

Pour le Nuffield Trust, « la campagne et le résultat du référendum (de 2016 sur la sortie de l’UE) est la raison évidente de ce changement de tendance ».

CAMEROUN – Au moins 11 personnes ont péri dimanche dans un affaissement de terrain lors d’une réunion en hommage à des défunts dans un quartier populaire de Yaoundé, la capitale du Cameroun, a annoncé le gouverneur de la région à la radio publique CRTV.

Quatre corps recouverts de draps blancs ont été évacués en début de soirée par la police dans le quartier populaire de Damas, en périphérie est de Yaoundé, rapporte un journaliste de l’AFP qui se trouve au milieu de centaines de résidents affolés à la recherche de proches, et des secours qui tentent de se frayer un chemin vers les lieux du drame.

De nombreuses familles s’étaient installées sous plusieurs grandes tentes sur un terrain vague au sommet d’une colline quand le sol s’est affaissé sous une partie de l’assistance, ont raconté à l’AFP plusieurs résidents sur place.

« Pour le moment nous avons 11 corps, les recherches se poursuivent pour trouver d’autres corps sous la terre », a expliqué sur les ondes de la CRTV Naseri Paul Bea, le gouverneur de la région Centre, dont Yaoundé est le chef-lieu. « C’est une réunion de gens qui voulaient pleurer des membres » de leurs familles « qui sont partis avant eux. Certains étaient assis sous une tente où il y a eu un glissement de terrain en début de soirée », a-t-il poursuivi.

TAÏWAN – Chiang Wan-an, 43 ans, a été élu maire de la capitale taïwanaise hier. Son parti, le Kuomintang, a remporté les élections locales obligeant la présidente du pays, Tsai Ing-wen, à démissionner de la direction du Parti démocrate progressiste.

La victoire de cet arrière-petit-fils de Tchang Kaï-chek, une ascendance apprise tardivement de la bouche de son père, fils illégitime du dictateur, serait davantage due à un vote protestataire contre la gestion de la pandémie par le Parti démocrate progressiste (DPP) au pouvoir. Il n’empêche. Moderne sur les questions sociétales, il soutient le mariage pour tous et le droit de vote à partir de 18 ans. Il a su aussi se montrer plus prudent sur les relations avec la Chine continentale. Parce que si la vieille génération des sympathisants du KMT revendique une relation plus harmonieuse avec Pékin, l’héritier lointain de Tchang Kaï-chek a préféré se placer plus centralement dans la politique de statu quo avec le grand voisin. Un positionnement qui a su convaincre une partie de la population effrayée par la rhétorique plus frontale du DPP vis-à-vis de la Chine . 

INDONESIE – Les sauveteurs sont toujours sur le terrain. Le bilan du tremblement de terre qui a frappé lundi l’île de Java, en Indonésie, est monté à 321 morts, a annoncé dimanche 27 novembre l’agence nationale de gestion des catastrophes.

Le séisme a détruit ou endommagé plus de 60 000 maisons et 73 000 déplacés sont pour le moment hébergés dans plus de 300 abris, a-t-il ajouté. Située sur la « ceinture de feu » du Pacifique où les plaques tectoniques se rencontrent, l’Indonésie est régulièrement confrontée à des tremblements de terre ou des éruptions volcaniques. Ce séisme est le plus meurtrier en Indonésie depuis 2018, quand la région de Palu (île de Célèbes) avait été frappée par un tremblement de terre et un tsunami qui avaient causé la mort de plus de 4 000 personnes.

ETATS-UNIS – Un enfant de 12 ans est décédé dans la ville de Jackson, dans l’État du Mississippi aux États-Unis alors qu’il jouait à la roulette russe avec ses amis. 

Markell Noah, le défunt âgé de 12 ans, a été retrouvé sans vie dans une maison abandonnée vendredi 25 novembre, selon les informations d’une source policière locale relayées par la chaîne d’information américaine WLBT. Auparavant, la disparition du mineur avait été signalée.

Le département de police de Jackson a arrêté deux mineurs et un adulte de 21 ans ce même vendredi. Les deux premiers ont été inculpés de meurtre et l’adulte est accusé d’être complice du crime. 

Le chef adjoint du département de police de Jackson, Deric Hearn, a indiqué que le jeu de la roulette russe est la cause du décès. La roulette russe est un « jeu » de hasard consistant à mettre une balle dans le barillet d’un révolver, à tourner ce dernier de manière aléatoire, puis à pointer le revolver sur sa tempe avant d’actionner la détente.

BIELORUSSIE – Le co-lauréat du Prix Nobel de la Paix, Ales Beliatski, défenseur de longue date des droits humains au Bélarus, encourt jusqu’à 12 ans de prison dans une affaire de « contrebande » d’espèces, a annoncé ce lundi son ONG Viasna.

M. Beliatski, déjà emprisonné depuis juillet 2021 au Bélarus, figure dans cette affaire aux côtés de deux autres collaborateurs arrêtés et d’un troisième en exil à l’étranger, selon Viasna.

« Ils encourent de 7 à 12 ans de prison », a-t-elle indiqué dans un communiqué.

M. Beliatski et ses collaborateurs sont accusés d’avoir fait transiter par la frontière bélarusse « une grande quantité d’espèces en groupe organisé » et d’avoir « financé des actions collectives portant gravement atteinte à l’ordre public ».

Selon Viasna, la date du procès n’a pas encore été fixée.

Cette affaire est largement perçue comme une vengeance du président bélarusse Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 1994, un allié de Moscou qui musèle toute forme de critique, notamment depuis un vaste mouvement de contestation post-électoral à l’été 2020.

Ales Beliatski a remporté cette année le Prix Nobel de la Paix grâce à son combat en faveur des droits de l’homme, aux côtés du centre russe Memorial et de l’ONG Centre ukrainien pour les libertés civiles.

Le Bélarus avait dénoncé ce prix comme une « décision politisée ».

Fondée en 1996 lors de manifestations massives pro-démocratie au Bélarus, Viasna a commencé son travail en apportant une aide aux personnes incarcérées et à leurs proches.

Son travail s’est ensuite étendu à la défense des droits humains en général, dans un pays où les abus sont généralisés en la matière.

Tunisie Direct

Tunisie Direct

  • Qui sommes-nous ?
  • Advertise
  • Contact
  • S’identifier

© 2021 TUNISIE DIRECT.

Pas de résultat
Afficher tous les résultats
  • Home
  • NATIONAL
  • INTERNATIONAL
  • SANTÉ
  • ÉCONOMIE
  • CULTURE
  • SOCIÉTÉ
  • SPORT
  • FEMME
  • SCIENCES ET ENVIRONNEMENT
  • النسخة العربية
  • S'identifier

© 2021 TUNISIE DIRECT.

Bienvenue

Connectez-vous à votre compte ci-dessous

Mot de passe oublié?

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre adresse e-mail pour réinitialiser votre mot de passe.

S'identifier

Add New Playlist

Tunisie Direct et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Vous pouvez consentir à l’utilisation de ces technologies en cliquant sur « accepter »