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En Ukraine ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
depuis 3 ans
dans INTERNATIONAL, Les infos du jour, SLIDER
En Ukraine ces dernières heures
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 Un nouveau bombardement sur Kharkiv, jeudi, peu avant l’aube, a fait six morts et vingt blessés, a annoncé le gouverneur régional, Oleh Synehoubov, sur Telegram. « Autour de 4 h 30 [3 h 30, à Paris], l’ennemi a lancé huit missiles de la ville de Belgorod (en Russie) vers Kharkiv », a-t-il écrit, précisant que ces missiles s’étaient abattus sur plusieurs quartiers de la ville.

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Quelques heures auparavant, mercredi, sept personnes étaient mortes et dix-sept autres avaient été blessées à cause d’un missile ayant touché un immeuble résidentiel de la ville.

Située à une quarantaine de kilomètres de la frontière avec la Russie dans le nord-est de l’Ukraine, Kharkiv, deuxième ville d’Ukraine, est régulièrement pilonnée par l’armée russe depuis le début de l’invasion à la fin de février, mais les troupes de Moscou n’ont jamais réussi à prendre la ville.

                                              Pas d’arme lourde à Zaporijia

Guerre en Ukraine, en direct : la Russie avertit d'une possible mise à  l'arrêt de la centrale nucléaire de Zaporijia

L’armée russe a assuré jeudi ne pas avoir déployé d’ « armes lourdes » dans la centrale nucléaire de Zaporijia ou autour, zone sous contrôle russe, dans le sud de l’Ukraine et touchée récemment par des frappes.

« Nous soulignons que les troupes russes n’ont pas d’armes lourdes dans l’enceinte de la centrale et dans les zones avoisinantes. Seules des unités assurant la sécurité se trouvent là-bas », a fait savoir le ministère de la défense russe dans un communiqué. « Les forces armées russes prennent toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité de la centrale nucléaire de Zaporijia », a poursuivi le ministère.

Il accuse également Kiev de vouloir préparer jeudi « une provocation retentissante » sur place à l’occasion de la visite en Ukraine du secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, Antonio Guterres. Selon Moscou, des unités d’artillerie ukrainiennes prévoient de tirer sur la centrale, pour ensuite accuser la Russie d’avoir causé un accident nucléaire.

Une « évolution négative de la situation liée au bombardement de la centrale » pourrait déclencher, selon un message du ministère de la défense russe publié jeudi sur Telegram, « la mise en réserve froide [de] groupes électrogènes (…), ce qui conduira à l’arrêt de la centrale nucléaire ».

A Lviv où il le recevait, Volodymyr Zelensky a demandé au secrétaire général Antonio Guterres que l’ONU assure la sécurité de la centrale. Il a, par ailleurs, dénoncé sur Telegram la « terreur délibérée » provoquée par la Russie, qui « peut avoir des conséquences catastrophiques majeures pour le monde entier ». « L’ONU doit donc assurer la sécurité de ce site stratégique, sa démilitarisation et sa libération complète des troupes russes ».

                                            De Wagner à Mozart

Ainsi nommée par opposition au groupe de mercenaires russes Wagner, une société militaire privée américaine a pris ses quartiers dans le Donbass. Ses membres, des vétérans de troupes d’élite, se donnent pour mission de former les Ukrainiens au combat, sans y participer eux-mêmes.

Guerre en Ukraine : le Groupe Mozart, société militaire privée américaine  venue former, mais pas combattre, dans le Donbass

 « Ici, nous faisons le travail que Washington ne peut pas faire. Le Pentagone se dédouane en disant qu’il n’a rien à voir avec nous. Il a d’ailleurs raison : c’est la stricte vérité », explique Andy Milburn, colonel américain à la retraite après trente et un ans de service chez les marines et fondateur du groupe. Depuis 2001 surtout, les sociétés militaires privées se sont multipliées dans les pays à risques, de l’Irak au Mali, mais, en Ukraine, le jeu de Mozart pourrait cette fois se révéler encore plus risqué. Anglo-saxons pour la plupart, les « Mozart » ont entre 30 et 45 ans. 

Milburn, qui est né à Hong-Kong, a grandi au Royaume-Uni et a dirigé une force d’opérations spéciales pendant la guerre contre l’organisation de l’« État islamique », semble maintenant regretter cette appellation de « Mozart ». Il le dit sans détour dans Newsweek : « Je me demande maintenant si ce n’était pas une erreur, parce que nous ne sommes pas des mercenaires comme le groupe Wagner de Russie. »

Il affirme que ni lui ni les vétérans ne se trouvent sur la ligne de front. « J’ai compris que nous pouvions vraiment aider, sans fournir des mercenaires, des gars pour aller sur la ligne de front, vous savez, des tireurs de gâchette. La façon de les soutenir était de renforcer leurs capacités, de mettre l’équipement entre les mains de ceux qui en avaient besoin », a-t-il souligné sur les ondes de Wusf. Si Milburn dément tout financement officiel des États-Unis ou d’autres pays, il révèle néanmoins que le groupe Mozart reçoit des dons. « Je dis à mon équipe : “Je vais prendre soin de vous du mieux que je peux, personne ne va partir plus pauvre, mais je promets que personne ne va partir plus riche”, parce que nous n’obtenons aucun argent du gouvernement américain. Nous ne faisons que survivre grâce aux dons. Et les gens ont été généreux, vous savez, jusqu’à présent. J’ai réalisé que ma plus grande préoccupation en avançant était que nous n’élevions pas les attentes parce que nous ne serions pas en mesure d’y donner suite. »

                                     Missiles hypersoniques à Kaliningrad

L’armée russe a annoncé avoir déployé ce jeudi des avions équipés de missiles hypersoniques dernier cri à Kaliningrad, dans un contexte de vives tensions autour de cette enclave russe entourée de pays de l’OTAN.

« Dans le cadre de la mise en place de mesures stratégiques de dissuasion supplémentaire, trois MiG-31 avec des missiles hypersoniques Kinjal ont été redéployés sur l’aérodrome de Tchkalovsk, dans la région de Kaliningrad », a déclaré le ministère russe de la défense dans un message posté sur Telegram. Les appareils formeront une unité de combat « opérationnelle vingt-quatre heures sur vingt-quatre », a-t-il ajouté.

Les missiles balistiques hypersoniques Kinjal (« poignard », en russe) et ceux de croisière Zircon appartiennent à une famille de nouvelles armes mises au point par la Russie, que son président, Vladimir Poutine, qualifie d’« invincibles », car censées pouvoir échapper aux systèmes de défense adverses. 

                                         Dès octobre

Six mois avant le début de l’invasion russe en Ukraine, le président des Etats-Unis, Joe Biden, avait alerté les autorités ukrainiennes, françaises et allemandes sur les intentions de Vladimir Poutine, affirme le quotidien américain «The Washington Post» mercredi 17 août.

Crise en Ukraine : face à Moscou, les États-Unis en pleine guerre de l'information  - Le Parisien

Des révélations aujourd’hui et des avertissements qui, à l’époque, n’ont pas été écoutés. Alors que l’invasion russe en Ukraine se poursuit, les renseignements américains avaient tenté, dès le mois d’octobre 2021, de prévenir leurs alliés sur les risques de cette guerre.

D’après le quotidien américain, les Etats-Unis étaient ainsi au courant, dès l’automne de l’année dernière, du plan de Vladimir Poutine. Des affirmations qui s’appuient notamment sur des communications interceptées en Russie et sur des images satellite.

Dans ce contexte, une réunion urgente s’était tenue dès le mois d’octobre 2021 à la Maison Blanche entre Joe Biden et ses conseillers militaires et diplomatiques. Cela avant un déplacement du président américain à Rome quelques jours plus tard.

«Chargés par Jack Sullivan de dresser un tableau complet des intentions de la Russie, ils (les renseignements américains) ont déclaré à Joe Biden que les enquêtes sur les plans opérationnels de Vladimir Poutine, ajoutés aux déploiements en cours le long de la frontière avec l’Ukraine, montraient que toutes les pièces étaient désormais en place pour un assaut massif», explique le journal.

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