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En Ukraine ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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En Ukraine ces dernières heures

A Ukrainian service member with a dog observes in the industrial area of the city of Sievierodonetsk, as Russia's attack on Ukraine continues, Ukraine June 20, 2022. Picture taken June 20, 2022. REUTERS/Oleksandr Ratushniak TPX IMAGES OF THE DAY

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La Russie a déclaré ce dimanche avoir frappé trois centres d’entraînement militaires dans le nord et l’ouest de l’Ukraine, dont un situé à proximité de la frontière polonaise, quelques jours avant un sommet de l’OTAN dont Varsovie est membre.

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Ces bombardements ont été effectués avec des « armes de haute précision des forces aérospatiales russes et des missiles (de croisière) Kalibr », a indiqué dans un communiqué le porte-parole du ministère de la défense russe, Igor Konachenkov. Parmi les cibles visées figure un centre d’entraînement militaire des forces ukrainiennes dans le district de Starytchi, dans la région de Lviv, à une trentaine de kilomètres de la frontière polonaise. Les deux autres centres d’entraînement ukrainiens visés se trouvent dans la région de Jytomyr (centre-ouest) et dans la région de Tcherniguiv (nord).

M. Konachenkov n’a pas précisé d’où ni quand ces missiles avaient été tirés, mais l’Ukraine a annoncé samedi que la Russie avait effectué ce jour-là des frappes depuis la Biélorussie, frontalier au nord. Moscou ne s’est pas exprimé à ce sujet. Après ces frappes, plusieurs brigades ukrainiennes « ont entièrement perdu leurs capacités de combat » et les « plans visant à les déployer dans des zones de combat ont été contrecarrés », a affirmé M. Konachenkov.

Kiev s’est de nouveau réveillée à l’aube avec des bombardements. Quatre explosions ont été entendues dans la ville tôt ce dimanche matin, touchant un complexe résidentiel proche du centre-ville et provoquant un incendie et le dégagement d’un important nuage de fumée grise. «À la suite d’un bombardement ennemi, un incendie s’est déclaré dans un immeuble de neuf étages», a indiqué sur la messagerie Telegram le service d’État pour les situations d’urgence. Une personne a été tuée et six autres blessées. Pour Joe Biden, ces bombardements constituent un acte de « barbarie ». La Russie a affirmé avoir frappé une usine de production de missiles et qualifie de « fake » les affirmations selon lesquelles elle avait touché une zone résidentielle de la capitale ukrainienne.

C’est l’usine d’armement Artiom qui, « en tant qu’infrastructure militaire, était la cible », a déclaré le ministère russe de la Défense dans un communiqué, affirmant que les dégâts causés à un immeuble résidentiel voisin étaient dus à un missile ukrainien de défense antiaérienne.

Avec ces bombardements, la Russie rappelle une nouvelle fois qu’elle est capable d’atteindre n’importe quel point du territoire ukrainien, même si l’essentiel des opérations se déroulent désormais dans l’est et le sud de ce pays.

A ces menaces, « le sommet du G7 doit répondre par plus de sanctions contre la Russie et plus d’armes lourdes pour l’Ukraine », a exhorté sur Twitter Dmytro Kouleba, le chef de la diplomatie ukrainienne, appelant à « vaincre l’impérialisme malade » russe

                               Boris Johnson : pas de négociations

Lors d’une rencontre en marge d’un sommet du G7 en Allemagne, Boris Johnson et Emmanuel Macron « sont convenus qu’il s’agissait d’un moment critique pour l’évolution du conflit et qu’il était possible de renverser le cours de la guerre », a rapporté dimanche un porte-parole du gouvernement britannique, précisant qu’ils s’étaient accordés pour « renforcer » le soutien militaire à Kiev. « Le premier ministre [britannique] a souligné que toute tentative de régler le conflit maintenant ne ferait que causer une instabilité durable et donner à Poutine le droit de manipuler les pays souverains et les marchés internationaux à perpétuité », a-t-il ajouté.

Contrairement à Emmanuel Macron, Boris Johnson refuse tout dialogue avec Vladimir Poutine, qu’il a qualifié de « dictateur », depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine fin février. Dans une interview aux médias britanniques, Boris Johnson a estimé que les Occidentaux devaient avoir lors du sommet du G7, suivi d’un sommet de l’OTAN à Madrid, « des discussions vraiment, vraiment franches » au sujet des implications de la guerre et des sanctions en termes d’inflation notamment, afin de « protéger l’unité » affichée jusqu’à présent. « Il va y avoir, de manière réaliste, une certaine fatigue au sein des populations et des classes politiques », a-t-il estimé, reconnaissant une « certaine anxiété » à ce sujet.

                                       Pas d’or russe

Le Royaume-Uni, les Etats-Unis, le Canada et le Japon vont interdire les importations d’or russe pour de nouvelles sanctions imposées en réponse à l’invasion de l’Ukraine, a annoncé Downing Street au premier jour du sommet du G7. « Ces mesures frapperont directement les oligarques russes et s’attaqueront au cœur de la machine de guerre de Poutine », a déclaré le premier ministre britannique, Boris Johnson qui a ajouté, cité dans un communiqué : « Poutine dilapide ses ressources en baisse dans cette guerre inutile et barbare. Il nourrit son ego aux dépens des peuples ukrainien et russe. Nous devons assécher les financements du régime de Poutine. C’est ce que nous faisons avec nos alliés ».

La Russie est un important pays producteur d’or, dont les exportations ont représenté près de 15 milliards d’euros en 2021, selon Downing Street. Bannir l’or russe des marchés londoniens, un important centre financier pour les échanges de matières premières, va donc avoir « un impact énorme sur la capacité de Poutine à lever des fonds », a insisté le gouvernement britannique.

                                        G7 et OTAN « ensemble » 

Le G7, réuni en sommet en Bavière, et l’OTAN doivent « rester ensemble » contre l’agression russe de l’Ukraine, a déclaré Joe Biden avant un entretien avec le chancelier allemand, Olaf Scholz. Le président russe, Vladimir Poutine, espérait « que, d’une manière ou d’une autre, l’OTAN et le G7 se divisent », a déclaré M. Biden. « Mais nous ne l’avons pas fait et nous ne le ferons pas. »

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