« Notre inclusion à venir dans les accords d’Abraham constitue une continuation naturelle et logique de la trajectoire de la politique étrangère du Kazakhstan, fondée sur le dialogue, le respect mutuel et la stabilité régionale », a expliqué le gouvernement de ce pays d’Asie centrale dans un communiqué diffusé par son ambassade aux Etats-Unis.
Ce pays, qui participait jeudi avec d’autres Etats d’Asie centrale à un sommet avec Donald Trump, a déjà des relations diplomatiques avec Israël.
Ce processus d’accords, lancé par le président américain pendant son premier mandat, a normalisé les relations entre l’Etat hébreu et plusieurs pays arabes : les Emirats arabes unis, Bahreïn, le Maroc et le Soudan. Mais nombre d’Etats ont jusqu’ici refusé de se joindre à ce processus qui est une priorité pour le président américain, en particulier l’Arabie saoudite, ainsi que la Syrie et le Liban, voisins d’Israël.
En fin de journée, l’émissaire spécial américain Steve Witkoff avait déclaré, lors d’une table ronde à Miami, qu’un nouveau pays allait rejoindre les accords d’Abraham tout en refusant de dire de quel pays il s’agissait.
