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Les républicains derrière Trump. Jusqu’à quand ?

F Farès par F Farès
depuis 2 ans
dans Editoriaux, INTERNATIONAL
Les républicains derrière Trump. Jusqu’à quand ?
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En décembre dernier, les recommandations de la commission d’enquête de poursuivre pénalement Donald Trump pour l’assaut du Capitole le 6 janvier 2020 n’avaient pas provoqué de fortes réactions de la part des Républicains. De nombreux élus commençaient à douter de l’ancien président d’autant que quelques-uns de ses protégés avaient été battus aux élections de midterm. Sur son réseau social, Truth Social, Donald Trump fanfaronnait: « Ces gens ne saisissent pas que, lorsqu’ils s’en prennent à moi, ceux qui aiment la liberté se regroupent autour de moi. Cela me renforce. Ce qui ne me tue pas me rend plus fort. »

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Cette fois, le retournement est total. Candidat déclaré au scrutin présidentiel du 5 novembre 2024, favori des primaires républicaines, le 45eme président a reconquis sa base électorale et les dirigeants du Great Old Party sont bien obligés de le suivre, de le soutenir. Leur réélection peut dépendre de lui…. Alors, si pour les démocrates,  l’inculpation est une bonne nouvelle, elle sonne comme un « abus de pouvoir » chez les républicains. Donald Trump commente sur son ton habituel de victime :  « persécution politique », « ingérence dans l’élection », « chasse aux sorcières”  qui se retournera contre Biden.

« Soyons clairs les gars. C’est un truc digne des communistes. C’est un truc qui ferait rougir Mao, Staline, Pol Pot »,  tempête son fils aîné Donald Jr dans son émission en streaming. « Je pense que nous sommes en plein dans une bataille pour l’avenir de notre pays. Pour notre existence même ». « Un acte digne du tiers monde » renchérit son frère Eric… « Le peuple américain ne tolérera pas cette injustice » s’emporte Kevin McCarthy, le président de la Chambre des représentants.

Injustice ? Non, mais les juristes sont d’accord pour dire que cette inculpation inimaginable et historique, repose sur des bases fragiles. Donald Trump n’est pas inculpé pour avoir fait remettre, avant l’élection présidentielle de 2016, 130 000 dollars à l’ex-star de film X Stormy Daniels afin qu’elle ne révèle pas leur liaison datant de 2006, mais pour l’avoir fait passer pour des frais juridiques, non enregistrés dans ses comptes de campagne d’où un manquement possible aux lois électorales de l’Etat de New York.

Mardi, Donald Trump est convoqué à New York pour se voir notifier son inculpation. Il y aurait 34 chefs d’accusation qui vont bien plus loin que les paiements à Stormy », affirme son ancien avocat, et accusateur, Michaël Cohen. C’est lui qui a versé l’argent et a été condamné après avoir plaidé coupable. Lui, qui, naguère, « aurait pris une balle pour le président », se réjouit et le charge : « il veut donner l’impression qu’il est solide. Il ne l’est pas, il est très fragile ».

Si mardi, l’ancien président candidat ne se présente pas, il pourrait faire l’objet d’une demande d’extradition. Son rival Ron DeSantis, gouverneur de la Floride, a fait savoir qu’il refuserait de livrer le résident de Mar-a-Lago. Le parti républicain fait bloc derrière lui et, dans les deux camps plus divisés que jamais, certains évoquent le risque de guerre civile.

Que l’inculpation soit maintenue ou non, Donald Trump n’en n’a pas fini avec la justice : l’assaut du Capitole, les pressions faites en Géorgie pour lui donner des voix, les documents classifiés qu’il a conservés, des fraudes fiscales peuvent lui valoir des procès. 

Si la justice le rattrape, les républicains seront moins empressés autour de lui… Même condamné, il pourrait se présenter mais n’aurait pas le droit de voter en Floride.

F Farès

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