L’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens pourrait cesser ses activités dès mercredi faute de carburant dans la bande de Gaza, assiégée et de nouveau pilonnée pendant la nuit par l’armée israélienne en riposte à l’attaque sanglante du Hamas.
L’aide internationale a commencé à arriver au compte-gouttes dans le petit territoire où vivent 2,4 millions de Palestiniens dans des conditions humanitaires catastrophiques.
Six hôpitaux de la bande de Gaza ont déjà dû fermer en raison du manque de carburant, selon l’Organisation mondiale de la santé.
L’ONU réclame d’urgence la livraison de carburant, notamment pour faire fonctionner les générateurs dans les hôpitaux, purifier l’eau et permettre aux camions de circuler pour livrer les cargaisons.