Intervenant, ce vendredi 8 octobre, sur les ondes de Jawhara fm, le professeurs de droit constitutionnel, Sadok Belaïd a fait savoir que le président de la République, Kais Saied, veut ouvrir la porte au dialogue sur les révisions et le changement du système politique.
Sadok Belaïd a toutefois indiqué que le président de la République compte exclure de ce dialogue les partis et acteurs politiques corrompus ou ceux qui ont commis des crimes contre le pays.
Il a ajouté, dans sa déclaration, qu’on ne pouvait pas qualifier le Chef de l’Etat de dictateur tant que rien ne le montre dans ses actes rappelant que « l’accusé ne doit pas être jugé avant d’avoir commis son crime ».
