L’observatoire social tunisien a indiqué, dans son rapport publié lundi, que 117 cas de violence ont été enregistrés au cours du quatrième trimestre de l’année 2024, dévoilant que le quart des actes de violence recensés (31 cas) ont entrainé la mort.
Les cas de violence meurtriers ont été enregistrés dans le gouvernorat du Kef, (5) le gouvernorat de Tunis (5) puis à Gabès et Béja (3) selon le même rapport.
L’observatoire a recensé également des cas d’agression (21 cas) de braquage (11 cas) et d’agression contre des fonctionnaires et d’agents (10 cas) de violence faites aux femmes (9 cas), de harcèlement sexuel (4 cas) de vol (3 cas) de cyberviolence (5 cas) et de violence conjugale.
La violence individuelle représente 53% des cas de violence enregistrées au cours des trois derniers mois de 2024, alors que la violence collective a atteint environ 47%.
Selon le même rapport, la violence collective inclue les agressions, les vols pour des raisons économiques, les protestations et les représailles alors que la violence entre les individus englobe les actes d’agression sexuelle et d’homicide.