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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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ALGERIE – Des organisations de défense des droits de l’homme, des personnalités, des avocats et des chefs de partis d’opposition interpellent les autorités algériennes sur « les violations des libertés fondamentales » . Ils ont signé, ce jeudi, un long document dressant un tableau sombre de la situation des libertés dans le pays. « Cette année encore, nous célébrons la journée mondiale des droits humains coïncidant avec le 73e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme de l’ONU acceptée par l’Algérie au lendemain de son indépendance, dans un climat de répression et de restrictions des droits fondamentaux des Algériennes et des Algériens », lit-on dans cette déclaration qui dénonce aussi « une année sombre pour les droits de l’homme en Algérie ». Selon les signataires, contrairement “aux espoirs suscités » par le Hirak pacifique du 22 février 2019, « l’action des autorités se caractérise par une volonté affichée d’étouffer tous les espaces civiques autonomes et de criminaliser l’action politique des voix critiques » . « Tandis que l’ensemble de la société est confronté à une crise sociale , économique et sanitaire aiguë, plus de 500 personnes ont été mises en détention et plus de 7000 mille personnes été interpellées dans la seule année de 2021 juste pour le fait d’avoir exercé leurs droits fondamentaux d’opinion, d’expression et de manifestations pacifiques pourtant garantis par la loi. Le nombre de personnes qui sont en poursuites judiciaires dépasse les 2500 », déplorent les auteurs de cette déclaration.

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SAHARA – Le chef du Front Polisario, Brahim Ghali, a condamné les « crimes atroces » que subiraient les militants sahraouis de la part du Maroc, et dénoncé le silence « injustifié » et persistant de l’ONU face à ce qu’il qualifie de « règne de la terreur » des autorités marocaines. Dans une lettre adressée au secrétaire général de l’ONU, António Guterres, Brahim Ghali a exprimé son inquiétude quant aux mesures de pression exercées contre la militante Sultana Jaya, victime d’agressions à plusieurs reprises par les forces marocaines, ajoutant que la dernière en date a été enregistrée dimanche dernier à Boujdour. « Sultana, sa sœur El Waara et sa mère ont été sauvagement battues, harcelées sexuellement et violées », dénonce Ghali. Face à ces « crimes atroces » dont il accuse les forces armées marocaines, le leader du Front Polisario demande l’intervention « urgente » de l’ONU, fait savoir le journal espagnol La Razon. « Ne pas agir contre eux fermera la porte à la solution pacifique souhaitée de décolonisation du Sahara occidental », prévient-il, assurant qu’il n’engagerait aucun dialogue tant que l’organisation continuera à s’emmurer dans un « silence assourdissant et injustifié ».

EGYPTE-ISRAËL – Le Caire poursuit ses efforts pour réaliser la paix globale et équitable dans le Moyen-Orient, en fonction de la solution à deux Etats et des résolutions de la légitimité internationale, favorisant le rétablissement de la paix et de la sécurité et ouvrant, à tous les peuples de la région, des perspectives de coopération et de développement, a affirmé le Président Abdel Fattah Al-Sissi qui a reçu ce jeudi le ministre israélien des Affaires étrangères Yair Lapid. L’Egypte a fait des efforts dans la reconstruction de la Bande de Gaza et intervient entre Palestiniens et Israéliens en vue de prévenir toute tension, a-t-il également déclaré. De son côté, Yaïr Lapid a indiqué que « l’Egypte est un partenaire stratégique particulièrement important d’Israël ».  Selon le ministre, la réunion avec le dirigeant égyptien a été chaleureuse, et les deux hommes ont discuté « d’un certain nombre de questions clés », notamment l’Iran, la situation dans la bande de Gaza et la question des prisonniers et des personnes disparues.  « Yaïr Lapid a indiqué apprécier le rôle spécial et central que joue l’Egypte dans ce dossier », a déclaré le ministère des Affaires étrangères.

SOUDAN – Le général Abdel Fattah al-Burhane a ouvertement pointé du doigt des missions diplomatiques, les accusant de semer le trouble dans le pays en encourageant les populations à se révolter contre l’armée. Lors d’un discours prononcé à l’issue de manœuvres effectuées par l’armée soudanaise au nord du pays, Le général al-Burhan, a mis en garde contre toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures et n’as pas hésité à brandir des menaces de sanction. « Nous voyons des missions diplomatiques circuler librement à Khartoum, où certaines sont en train d’attiser la sédition contre l’armée. Suite à quoi, nous tenons à les prévenir, car nous prendrons les mesures nécessaires à leur encontre », a mis en garde Abdel Fattah al-Burhane, promettant par ailleurs de respecter l’accord avec le chef du gouvernement soudanais, Abdallah Hamdok. « Nous avons signé un accord avec Hamdok, et nous nous y engageons jusqu’à ce que nous parvenions à un gouvernement élu et collaborerons avec lui, afin de maintenir la paix et préparer le pays aux élections… Nous disons ainsi à Hamdok, allez de l’avant ! Nous vous accompagnerons pour traverser cette crise », a tenté de rassurer Abdel Fattah al-Burhane.

SOUDAN DU SUD – Les civils ont subi des «violences inimaginables» depuis le début de l’année au Soudan du Sud, lors des affrontements entre les groupes armés pro-gouvernement et les forces d’opposition, qui pourraient être assimilées à des «crimes de guerre», a déclaré Amnesty International ce jeudi. Selon les informations recueillies par l’ONG, des civils ont été indistinctement tués et mutilés, des villages entiers rasés entre juin et octobre, alors que les combats faisaient rage dans la région de l’Équatoria occidental (sud-ouest). Des affrontements interethniques ont notamment eu lieu autour de la ville de Tambura, attisés par des hommes politiques locaux qui ont encouragé les jeunes à prendre les armes, affirme Amnesty dans un nouveau rapport. Mais «les morts, les destructions et les divisions» qui ont suivi impliquent des combattants affiliés à des factions politiques rivales à Juba, la capitale, laissant penser qu’elles ont pu être orchestrées au plus haut niveau, selon le rapport. 

SYRIE – Le chef d’Etat-major des forces armées russes, Valery Gerasimov, a affirmé que la présence illégale de forces étrangères en Syrie y réduit l’efficacité de la lutte contre les réseaux terroristes. Cité par le site Web « Russia Today », Gerasimov a dit, dans une déclaration devant les attachés militaires de pays étrangers, que la présence militaire illégale des États-Unis et d’un certain nombre de pays en Syrie aide les réseaux terroristes qui s’y déploient à étendre leur influence. Gerasimov a précisé que son pays continue à lutter contre le terrorisme et à fournir toute aide pour le retour des réfugiés et la restauration des infrastructures afin de préserver l’intégrité et l’unité du territoire syrien. Concernant la zone de désescalade à Idlib, Gerasimov a indiqué qu’une action est en cours avec la partie turque pour mettre en œuvre les accords existants et arrêter les hostilités.

IRAK – « Nous annonçons officiellement la fin de la mission de combat des forces de la coalition« , a écrit ce jeudi sur Twitter le conseiller à la sécurité nationale irakienne, Qassem al-Aaraji. « La relation avec la coalition internationale se poursuit dans les domaines de la formation, du conseil et du renforcement des capacités » des forces irakiennes, a-t-il ajouté. Ce changement de mission de la coalition internationale engagée contre le groupe Etat islamique (EI) avait été évoquée pour la première fois en juillet par Joe Biden.  Le président américain avait promis la fin d’ici le 31 décembre 2021 de toute « mission de combat » des troupes américaines, à l’occasion d’une visite du Premier ministre irakien Moustafa al-Kazimi. L’annonce ne changera rien, mais elle est cruciale pour l’exécutif irakien face aux menaces virulentes des puissantes factions pro-Iran, qui réclament le départ pur et simple de toutes les forces américaines en Irak. Dans les faits, les quelque 2.500 militaires américains et le millier de soldats de la coalition déployés en Irak vont y rester. Ces troupes jouent déjà un rôle de conseillers et de formateurs depuis l’été 2020. 

Par ailleurs, trois soldats turcs ont été tués ce jeudi dans une attaque attribuée aux rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) dans le nord de l’Irak, a annoncé Ankara. En réponse, six combattants du PKK ont été « neutralisés » dans des frappes aériennes, a ajouté le ministère turc de la Défense dans un communiqué.

IRAN – ETATS-UNIS – Téhéran a décidé ce jeudi d’imposer des sanctions contre des individus et institutions américains, en représailles à celles annoncées mardi par Washington contre une douzaine d’entités et de responsables iraniens pour «violations flagrantes des droits humains», en pleine reprise de négociations cruciales sur le nucléaire. Reprenant mot pour mot les motifs choisis par le Trésor américain pour sanctionner deux entités ainsi que des personnalités iraniennes, le chef adjoint du pouvoir judiciaire Kazem Gharbabadi a annoncé une «nouvelle liste d’individus et d’institutions américains impliqués dans de graves violations des droits de l’Homme sanctionnées par l’Iran et qui sera bientôt publiée». Ces sanctions interviennent alors que les négociations indirectes entre Téhéran et Washington à Vienne pour tenter de sauver l’accord international sur le nucléaire iranien ont repris ce jeudi à Vienne.

ISRAËL-IRAN – L’ancien ambassadeur des Etats-Unis en Israël David Friedman a déclaré mercredi dans un entretien accordé à la chaîne israélienne Channel12, que l’Etat hébreu ne doit pas dépendre de l’administration américaine actuelle en ce qui concerne l’Iran. « Je pense qu’Israël ne doit pas s’attendre à ce que le gouvernement américain actuel soit sur la même longueur d’onde sur la question iranienne. En politique, il ne faut faire confiance qu’à soi-même », a affirmé l’ancien ambassadeur. M. Friedman a ajouté que D. Trump n’avait pas souhaité une guerre avec l’Iran, mais que « sa stratégie contre le régime islamique avait été de l’étouffer à coup de sanctions. » Selon l’ancien ambassadeur, la stratégie de l’Iran en 2019 avait consisté à attendre les élections américaines de 2020 en espérant la victoire de Joe Biden, plus enclin au dialogue que son prédécesseurs. « Ils ont fait pari. Malheureusement ils l’ont gagné » a-t-il poursuivi. M. Friedman a refusé de dire si l’administration Trump avait envisagé la possibilité d’une action militaire contre l’Iran. « Toutes les options ont été évaluées, et je n’en dirai pas plus » a-t-il dit. 

CISJORDANIE – Le service de sécurité intérieure du Shin Bet a démantelé une cellule du Hamas dans le village de Tzurif, près d’Hébron, en Cisjordanie.  Selon le radiodiffuseur public Kan, les membres de la cellule, qui avait planifié des fusillades contre des Israéliens, ont été arrêtés ces dernières semaines. La cellule était dirigée depuis la Turquie par Abdel-Rahman Ghneimat, un ancien prisonnier palestinien libéré en 2011 lors de l’accord visant à libérer le soldat israélien Gilad Shalit. Un fusil d’assaut M16 ainsi que 17.000 shekels en liquide (4.800 euros) envoyés depuis la Turquie par Abdel-Rahman Ghneimat ont été trouvés en possession des terroristes. Ces arrestations interviennent alors que des attaques contre des Israéliens en Cisjordanie et à Jérusalem se sont multipliées ces dernières semaines. Mercredi matin, une jeune Israélienne de 26 ans a été poignardée dans le dos alors qu’elle accompagnait ses enfants à l’école à Jérusalem, dans le quartier de Sheikh Jarrah.

AFRIQUE – Invité de RFI et de France 24, le président sénégalais Macky Sall a reconnu que « le continent est aujourd’hui métastasé, d’abord dans le Sahel, dans le Bassin du Lac Tchad, Boko Haram, dans la corne de l’Afrique, en Centrafrique et même au Mozambique, et plus grave aujourd’hui, la lutte du Sahel est en train d’atteindre la côte océanique. Alors si l’on considère donc les conflits intérieurs, les coups d’Etat en Afrique de l’Ouest, nous avons deux pays qui ont été frappés, le Mali, la Guinée, en plus ce qui se passe au Soudan, la crise en Ethiopie, on voit qu’il y a quand même un tableau assez préoccupant ». Interrogé sur le Mali, il a répondu : « nous ne pouvons pas accepter que dans cette partie de l’Afrique des militaires prennent le pouvoir par les armes, ça ce n’est pas acceptable ». A propos de la possible arrivée du groupe Wagner, le président sénégalais a dit son inquiétude : « il est clair que l’apparition d’une société privée va compliquer la situation du Mali. Le risque c’est de voir partir les forces françaises déjà, les forces européennes, c’est de voir aussi peut-être d’autres mesures prises, ce qui va entrainer nécessairement une dégradation très grave de la situation dans le Sahel ».

BURKINA – Poussé vers la sortie par le président Roch Marc Christian Kaboré, le Premier ministre Christophe Dabiré a démissionné mercredi soir entraînant automatiquement celle de l’ensemble du gouvernement. Il n’a pas résisté à la poussée de colère qui monte au Burkina Faso depuis plusieurs semaines, pour dénoncer notamment « l’incapacité » du pouvoir à contrer la violence jihadiste. « Ont-ils été emportés par la houle de mécontentement généralisé des populations excédées de porter le deuil des nombreux militaires et civils, tués au quotidien par des groupes reconnus de jihadistes? Oui! », estimait le quotidien en ligne Wakat Sera. Ce jeudi, rapporte l’AFP,  la société civile qui réclamait un tel changement, intimait au président Kaboré de nommer rapidement un nouveau gouvernement. « Le pays n’a pas besoin d’un temps de flottement et de naviguer avec des ministres devenus intérimaires et qui expédient des affaires courantes », a déclaré Issouf Sawadogo, membre du cadre de concertation des organisations de la société civile. « Nous sommes en guerre et il faut un gouvernement de combat pour reprendre la situation en main », a-t-il ajouté, espérant connaître le nom du futur Premier ministre « sous 24h ».

CHINE – Après plusieurs mois d’enquête, un groupe d’avocats et d’experts des droits humains réunis à Londres a estimé ce jeudi 9 décembre dans son rapport final que la façon dont la Chine traite la minorité musulmane ouïghoure relève d’un génocide et de crimes contre l’humanité. Les neuf membres du «Tribunal ouïghour», ainsi nommé malgré l’absence de toute autorité judiciaire et dénoncé par Pékin comme une «machine à mensonges», ont écouté de nombreux témoignages et examiné des preuves apportées par des chercheurs indépendants et des associations sur le traitement qui leur est infligé par l’État chinois. Dans leur rapport de 63 pages, les experts ont indiqué qu’il n’y avait aucune preuve de massacre des Ouïghours, mais que «les éléments d’un génocide intentionnel» tels que définis par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de l’ONU étaient pourtant «établis». «La République Populaire de Chine (RPC) a commis un génocide en imposant des mesures de prévention des naissances destinées à détruire une partie importante des Ouïghours du Xinjiang», ont précisé les experts, estimant que le président chinois Xi Jinping et d’autres hauts cadres en «portent la responsabilité première». 

CHINE – Deux promoteurs chinois, dont le géant Evergrande, ont fait défaut sur des emprunts totalisant 1,6 milliard de dollars, a estimé jeudi l’agence de notation Fitch, dernier rebondissement de la crise de l’immobilier dans la deuxième économie mondiale. L’immobilier et la construction pèsent plus du quart du PIB de la Chine et servent de locomotive à bien d’autres secteurs, comme l’acier ou l’ameublement. Evergrande est étranglé par une dette abyssale d’environ 260 milliards d’euros. Et il se débat depuis plusieurs mois pour honorer ses paiements d’intérêts et ses livraisons d’appartements. Le 6 novembre, le groupe aurait dû s’acquitter d’un remboursement sur des intérêts représentant 82,5 millions de dollars (73,1 millions d’euros). Il disposait d’un délai de grâce d’un mois, qui a pris fin mardi. Evergrande dit employer 200.000 personnes et influer indirectement sur 3,8 millions d’emplois en Chine.

Toute faillite aurait des conséquences catastrophiques pour l’économie chinoise mais également sur le plan social, avec un risque d’agitation. Le promoteur chinois Kaisa, bien moins important en taille qu’Evergrande mais l’un des plus endettés de Chine, a également fait « défaut » sur un remboursement, selon Fitch. Kaisa, 17 000 employés, aurait dû s’acquitter mardi d’un remboursement de 353 millions d’euros sur des intérêts d’emprunt. Le groupe, 27e de Chine en termes de chiffre d’affaires, avait averti dès la semaine dernière qu’il risquait de se retrouver en défaut de paiement.

DÉMOCRATIE – Le « sommet pour la démocratie », promesse de campagne du président américain Joe Biden, réunit virtuellement ce jeudi et demain vendredi quelque 110 pays et territoires, dont les alliés occidentaux des États-Unis, mais aussi le Brésil dirigé par un président d’extrême droite. En revanche, les principaux rivaux de Washington, dont la Russie et la Chine, n’y figurent pas. L‘événement, organisé virtuellement à Washington pour cause de pandémie de Covid-19, se veut selon la Maison Blanche révélateur du combat entre les démocraties et les dictatures et régimes autocratiques, au centre de la politique étrangère de Biden. La démocratie dans le monde est confrontée à « des défis importants et inquiétants », a martelé le président américain en ouvrant les débats. Joe Biden a, en outre, reconnu que les États-Unis eux-mêmes devaient « combattre sans relâche pour être à la hauteur de leurs idéaux démocratiques », dans une allocution prononcée depuis la Maison Blanche. Trois thèmes principaux sont débattus : « la défense contre l’autoritarisme, la lutte contre la corruption et la promotion du respect des droits humains ».

La Chine et la Russie ont dénoncé leur exclusion. Pékin contre-attaque en expliquant que les Etats-Unis sont en fait une ploutocratie où « le pouvoir est au service du capital », avec une classe moyenne qui tend à disparaître. Pour Pékin, la Chine est une démocratie plus réelle que les Etats-Unis et ce sont des Chinois qui, il y a cinq mille ans, ont inventé le concept.

NOUVELLE ZÉLANDE – La ministre de la Santé Ayesha Verrall a annoncé ce jeudi un plan visant à élever progressivement l’âge auquel le tabac peut être acheté. Cette formule vise à long terme à interdire la vente de tabac. Actuellement, la réglementation en vigueur interdit aux Néo-Zélandais de moins de 18 ans d’acheter du tabac. Or, à compter de 2027, cet âge limite augmentera d’un an tous les ans, a indiqué la ministre. « Nous voulons nous assurer que les gens ne commencent jamais à fumer… en vieillissant, eux et les générations futures ne pourront jamais acheter légalement du tabac« , a-t-elle déclaré. La ministre a précisé que le gouvernement adoptera une loi visant également à restreindre le nombre de lieux pouvant vendre du tabac et n’autoriser que les produits contenant un faible taux de nicotine, afin de diminuer le risque de dépendance. Un seul pays a interdit la vente de tabac, le Bhoutan.

TENNIS – Amélie Mauresmo a été nommée, ce jeudi matin, directrice du tournoi de la Porte d’Auteuil. Elle succède à son ami Guy Forget qui n’a pas été reconduit dans ses fonctions après avoir refusé une proposition – très fortement au rabais – de la Fédération. C’est la première fois qu’une femme s’installe dans le fauteuil de boss de Roland-Garros. Plus qu’une femme, c’est un grand personnage du tennis français que Gilles Moretton, le président de la FFT, a souhaité installer à la tête du joyau de la porte d’Auteuil. Double lauréate en Grand Chelem, ancienne numéro un mondiale, Amélie Mauresmo, 42 ans, a marqué de son empreinte le tennis tricolore, comme aucun autre joueur ou joueuse depuis Yannick Noah. A l’heure de tourner la page Guy Forget, le choix de Mauresmo s’est donc assez vite avéré évident. « C’est une femme de caractère, qui aime challenger et être challengée. Elle a du charisme et elle incarne les exigences d’un tournoi comme Roland-Garros« , a plaidé Moretton jeudi lors de la conférence de presse d’intronisation de la nouvelle directrice.

TOUR DE FRANCE- La jeune femme qui avait brandi une pancarte sur la route, sur laquelle était inscrit : « Allez opi omi » ( « Allez papi mamie » en allemand, visiblement pour saluer des grands-parents d’origine germanique fans du Tour) et avait provoqué une chute massive du peloton, a été condamnée ce jeudi par le tribunal correctionnel de Brest à une peine d’amende de 1.200 euros. Elle devra également verser un euro symbolique à l’Union nationale des cyclistes professionnels (UNCP), partie civile. Agée de 31 ans, la jeune femme était poursuivie pour « mise en danger d’autrui » et « blessures involontaires ». Le parquet avait requis une peine symbolique de quatre mois de prison avec sursis. Les images de la chute des coureurs avaient fait le tour du monde, déchaînant un fort intérêt médiatique alors que la jeune femme restait introuvable. Quatre jours après les faits, la jeune femme s’était rendue à la gendarmerie de Landerneau, chargée de l’enquête, ne supportant plus la pression médiatique.

CINEMA – Accusé depuis trois ans de « viol » par l’actrice Sand Van Roy, la justice a prononcé un non-lieu en faveur de Luc Besson ce jeudi 9 décembre. La juge d’instruction parisienne a suivi les réquisitions du parquet de Paris, qui avait réclamé le 8 octobre dernier l’abandon des poursuites dans cette affaire emblématique de l’ère #MeToo. « Je regrette d’avoir porté plainte, ce pays ne protège pas les victimes des gens connus », affirmait encore l’actrice belgo-néerlandaise dans un documentaire diffusé mi-novembre sur France 2. Elle a annoncé sur Twitter une « plainte pour faux » visant la magistrate. Dans ce dossier, Luc Besson, âgé de 62 ans, conteste les accusations qui le visent. Il n’a pas été mis en examen mais seulement placé sous le statut moins incriminant de témoin assisté le 25 janvier dernier, à l’issue d’une longue audition. L’affaire avait démarré avec la plainte pour viol déposée le 18 mai 2018 par l’actrice contre l’influent producteur et réalisateur français après un rendez-vous avec lui dans un palace parisien. Deux mois plus tard, elle avait dénoncé d’autres viols et agressions sexuelles, commis selon elle au cours de deux années d’une « relation d’emprise professionnelle » avec Luc Besson. Après les dénonciations de l’actrice, huit autres femmes avaient témoigné  auprès de Mediapart de gestes déplacés, voire d’agressions sexuelles de la part du réalisateur du « Grand Bleu », « Nikita » ou « Le Cinquième Elément ». Les faits étaient en grande partie prescrits.

JOURNALISTES – La liberté de la presse est toujours plus menacée. Jamais le nombre de journalistes emprisonnés dans le monde n’a été aussi élevé, a dénoncé, ce jeudi, le Comité de protection des journalistes (CPJ) basé à New York. A elles seules, la Chine et la Birmanie représentent un quart des 293 reporters derrière les barreaux. L’association a également dénombré 24 journalistes tués cette année dans le monde, parmi lesquels 19 «en représailles à leur travail», d’abord au Mexique et en Inde. Le CPJ, une association financée par des dons privés et qui dénonce depuis 40 ans les meurtres, emprisonnements, violences, censures et menaces contre les journalistes, a dénombré dans son rapport annuel 50 journalistes emprisonnés en Chine, 26 en Birmanie, 25 en Egypte, 23 au Vietnam et 19 au Bélarus. Le rapport du CPJ ne mentionne cependant pas le meurtre de quatre journalistes en Europe, dont deux dans des pays de l’UE en 2021. Les agressions contre les femmes journalistes en Europe ont également augmenté en 2021. Le nombre de violations signalées a augmenté de près de 17 % par rapport à 2020, selon la Coalition For Women In Journalism.

ITALIE- Le gendarme de la concurrence en Italie a infligé à Amazon une amende de plus de 1,128 milliard d’euros pour « abus de position dominante » après avoir discriminé des vendeurs qui n’avaient pas eu recours à son service logistique. « Amazon a porté atteinte aux opérateurs concurrents dans le service logistique du commerce électronique », a constaté l’autorité italienne dans un communiqué publié jeudi 9 décembre. Le géant américain de la distribution en ligne s’était déjà vu imposer une sanction de 68,7 millions d’euros en novembre pour infraction aux règles de la concurrence en restreignant l’accès à la plateforme Amazon de certains revendeurs de produits Apple. Ce comportement est d’autant plus grave aux yeux de l’Antitrust italien qu‘ »au moins 70% des achats de produits électroniques grand public en Italie » se font sur Amazon.La position dominante d’Amazon sur le marché italien « lui a permis de favoriser son propre service logistique auprès des vendeurs actifs sur la plateforme Amazon.it au détriment des opérateurs concurrents », a jugé l’autorité italienne

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