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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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Chrétiens d'Algérie : démêler le vrai du faux - Reforme.net

ALGÉRIE – Les chrétiens d’Algérie demandent que l’on prie pour les responsables de l’église d’Ait Atteli. Le 2 février, le gouverneur de la province de Tizi Ouzou a entamé une procédure visant à fermer cette église. Si la mesure était entérinée, la liberté de culte des chrétiens algériens serait une nouvelle fois atteinte. 16 bâtiments d’église ont déjà été fermés et au moins 4 autres communautés sommées de cesser leurs activités. La procédure de fermeture vise le pasteur, et son père, propriétaire du terrain où se trouve l’église. Pour l’instant, aucune date n’a été fixée pour l’audition de l’affaire par le tribunal.  L’église d’Ait Atteli a été créée en 2006 et a rejoint en 2011 l’EPA (Église protestante d’Algérie), l’organisation qui fédère les églises protestantes d’Algérie. Elle compte plus de 90 membres qui risquent d’être privés de lieu de culte en raison d’un texte de loi qui exige que le culte non musulman ne soit pratiqué que dans des bâtiments autorisés à cet effet. Or aucune autorisation n’a encore été délivrée. Ceci malgré de nombreuses demandes. Face à cette impasse, les églises louent généralement des bâtiments et informent les autorités locales de ces arrangements. Mais elles sont souvent mises au défi de prouver qu’elles respectent la loi et les règles de sécurité. 

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ALGÉRIE-FRANCE – En janvier dernier, la France n’a pas expédié de blé vers l’Algérie, habituellement son principal débouché sur le continent africain, rapporte l’agence Ecofin. Il s’agit de la première fois en 10 ans que le pays d’Afrique du Nord ne reçoit aucune cargaison de la céréale en provenance de l’Hexagone tout un mois durant la campagne commerciale. Dans le pays, l’essentiel des appel d’offres lancés par l’Office interprofessionnel des céréales (OAIC) a été attribué aux fournisseurs riverains de la mer Noire comme la Russie, la Roumanie, l’Ukraine et la Bulgarie ainsi que d’Amérique du Sud comme l’Argentine. Cette absence de la France dans l’approvisionnement céréalier de l’Algérie vient confirmer un mouvement de baisse des volumes acheminés constaté depuis déjà quelques mois. En novembre dernier, le quotidien généraliste Ennahar indiquait en effet que la part du blé français dans les importations totales était passée de 56 % à 24 % depuis le début de l’année 2021. S’il s’agit selon certains observateurs de la dernière manifestation en date de la perte de terrain de l’industrie française sur le marché algérien, d’autres estiment cependant que cette tendance n’est que passagère dans la mesure où la saison d’exportation est loin d’être achevée. A la peine sur sa destination historique, la France s’est notamment rabattue sur le Maroc qui est devenu en janvier son premier débouché hors UE en absorbant 317 000 tonnes de blé. En Algérie, la consommation de blé tourne autour de 11 millions de tonnes par an avec une production qui couvre à peine le tiers des besoins. Dans le pays, les importations de blé coûtent chaque année environ 1,6 milliard $.

MAROC – Le ministère de l’Equipement va recenser tous les puits abandonnés ou clandestins à la suite de la mort du petit Rayan, tombé au fond d’un puits, et sanctionnera les contrevenants, a rapporté jeudi l’agence MAP. « Pour que la tragédie de l’enfant Rayan ne se reproduise plus, le ministre de tutelle a donné des instructions strictes aux directeurs des Agences des bassins hydrauliques pour qu’ils réalisent un recensement complet des puits abandonnés », a déclaré Abdelaziz Zerouali, responsable ministère de l’Equipement, dans une interview à la MAP. « En cas de non-respect des procédures, l’Agence compétente procédera à la sécurisation des puits abandonnés aux frais du contrevenant, avec possibilité de poursuites judiciaires », a-t-il averti. Si le forage de puits au royaume est soumis à un permis, il n’existe pas « de données exactes » sur le nombre des puits clandestins et abandonnés, a concédé Abdelaziz Zerouali, précisant que près de 1.000 procès-verbaux par an sont dressés pour des infractions liées aux forages illicites.

La tragédie du petit Rayan avait été suivie par 1,7 milliard d’internautes pendant quatre jours, a recensé l’Observatoire des opinions publiques numériques, cité mardi par le site Medias24. 

Mali-Cédéao : une situation embarrassante pour la Mauritanie ? | Afrique |  DW | 11.01.2022

MAURITANIE-MALI – Alors que Bamako espère que Nouakchott se rangera de son côté après les sanctions de la Cédéao, les dirigeants mettent la pression sur la junte pour obtenir des réponses sur la tuerie du 17 janvier dernier. Ce jiur-là, à 80 km au sud de la ville mauritanienne d’Adel Bagrou, de l’autre côté de la frontière en territoire malien, plus de 15 civils ont été égorgés ce jour-là, et retrouvés dans une fosse. «Il y avait une dizaine d’éleveurs peuls maliens, et sept Mauritaniens, dont des transporteurs», précise le général Mesgharou Ould Sidi, le directeur général de la sécurité nationale mauritanienne. Il ajoute qu’à ce jour encore «les Maliens refusent de reconnaître que c’est une unité malienne» qui fut l’auteur de cette tuerie, thèse privilégiée à Nouakchott. Bamako a annoncé l’ouverture d’une «enquête transparente dont les résultats seront partagés» avec Nouakchott. Mais, depuis cette promesse faite le 22 janvier dernier, rien n’est venu.

IRAN – Une trentaine de magasins ont été complètement brûlés dans un immense incendie qui s’est déclaré samedi matin dans un centre commercial du centre-ville de Téhéran, la capitale de l’Iran. Aucune victime n’a encore été signalée, selon l’agence de presse semi-officielle des étudiants iraniens. Le porte-parole des pompiers de Téhéran, Jalal Maleki, a déclaré que l’incendie avait été signalé à 07H38 heure locale (04H08 GMT) dans le Grand Bazar de Téhéran. Les pompiers de six postes ont été dépêchés en trois minutes sur les lieux de l’incident. Il a ajouté que l’incendie avait égalemezmnt endommagé de nombreux murs du bâtiment et brisé des vitres. Le centre commercial est situé sur le marché historique de Hajeb Al-Dowleh, qui est l’une des plus anciennes arcades du Grand Bazar de Téhéran.

YÉMEN – Ansarullah (les Houthis)  a accusé les Émirats arabes unis d’être responsables de la disparition de milliers de prisonniers de guerre sur les fronts de combat au Yémen », ajoutant qu’ « il a mené des négociations indirectes avec le gouvernement yéménite pour échanger ces prisonniers ». Le chef du Comité national pour les affaires des prisonniers d’Ansarullah, Abdul Qader Al-Murtada, a affirmé qu’ « il y a actuellement des négociations avec l’autre partie par l’intermédiaire de l’ONU dans le but de parvenir à un accord plus général que les accords précédents », a rapporté la chaîne de télévision Al-Masirah. Il a souligné que « les Émirats arabes unis sont responsables de la disparition de milliers de prisonniers sur les fronts des gouvernorats du sud et sur la côte », soulignant qu’ »il y a des dizaines d’accords qui ont été conclus localement, mais ils sont toujours en attente par l’Arabie saoudite ».

Par ailleurs, la coalition menée par l’Arabie saoudite a annoncé, se samedi, avoir commencé une offensive contre Sana : « des frappes aériennes ont été lancées contre des cibles militaires légitimes à Sanaa en riposte aux menaces hostiles ».

InsectiPro – VC4A

KENYA – « Manger des insectes n’est pas effrayant », explique au Monde Talash Hujibers, la jeune fondatrice d’Insectipro en banlieue de Nairobi, la capitale du Kenya. Lancée en 2018, la start-up produit chaque jour 10 kg de criquets, mais surtout une tonne de mouches soldats noires séchées réservées à des fabricants de nourriture animale. Elle participe à la floraison d’initiatives scientifiques et commerciales qui ont cours depuis une dizaine d’années autour des insectes comestibles au Kenya, où est implanté le Centre international de physiologie et d’écologie des insectes (Icipe). Sauterelles, fourmis noires, criquets pèlerins, mouches, termites : entre 25 et 50 espèces consommables ont été répertoriées dans le pays, principalement dans les régions de l’ouest où le climat est favorable. De nombreux programmes de recherches au Kenya s’intéressent au potentiel de ces insectes et reçoivent des financements d’une dizaine de gouvernements étrangers, de centres de recherches et d’institutions internationales comme l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) ou la Banque mondiale. Objectif : parvenir à développer les nouvelles protéines qui permettront de nourrir 8,5 milliards de personnes en 2030 sur une planète dont les ressources naturelles sont fortement sous pression. L’enjeu est d’autant plus crucial en Afrique subsaharienne où environ un habitant sur cinq souffre aujourd’hui de malnutrition. Or les insectes contiennent, une fois séchés, entre 40 % et 75 % de protéines selon les espèces, mais aussi des graisses, des vitamines et des minéraux et plus d’acides aminés que les plantes. Et leur production « nécessite moins de terres arables, moins d’eau et a une faible empreinte écologique » précise le docteur Chrysantus Mbi Tanga, chercheur en chef au sein de l’Icipe.

ETHIOPIE – La secrétaire générale adjointe de l’Onu, Amina Mohammed, de retour d’Éthiopie où elle s’est rendue dans les régions en conflit du Tigré, d’Amhara, d’Afar et Somali, a dénoncé vendredi, février les horreurs «inimaginables» imposées notamment aux femmes. «Les femmes éthiopiennes, au sens large, ont été touchées d’une manière inimaginable» et «dans vos pires cauchemars, vous ne pouvez pas imaginer ce qui est arrivé aux femmes en Éthiopie», a dit la numéro deux de l’Onu lors d’une conférence de presse, en indiquant aussi avoir vu au cours de son séjour des victimes de «famine». Pour ces horreurs alimentées par la guerre, «tout le monde est à blâmer» et, au 21e siècle, il «est inadmissible qu’un être humain puisse infliger (de telles souffrances) à un autre», a souligné Amina Mohammed, en évoquant notamment le sort d’une jeune femme violée sous les yeux de son fils de trois ou quatre ans et désormais rejetée par son mari, sa famille et la société. «La justice doit être rendue et les responsabilités établies», a estimé la responsable, sans autre précision sur la manière dont les mises en cause pourraient être exercées, en Éthiopie ou via un mécanisme international.

INSOLITE – Être inhumé ou incinéré avec son chien ou son chat de compagnie pour reposer en paix avec lui. Tel est l’objet d’une proposition de loi publiée jeudi au Journal officiel et cosignée par 27 députés français. Concrètement, l’urne funéraire de l’animal pourrait être déposée au sein du cercueil et avant la mise en bière, au même titre que d’autres objets symboliques que l’on peut déjà entreposer dans le cercueil. À l’origine de cette initiative, la situation d’une vieille dame à qui les services funéraires avaient refusé l’inhumation en même temps que son chien décédé. «Ça m’a beaucoup ému, j’ai souhaité faire avancer les choses», raconte Loïc Dombreval, député des Alpes Maritimes, à l’initiative de cette proposition. En France, une famille sur deux détient au moins un animal de compagnie mais cette pratique est interdite car jugée «indigne» depuis une décision du Conseil d’État en 1963. «L’animal est devenu un membre à part de la famille et la crise du Covid-19 l’a d’ailleurs davantage mis en valeur : c’est un vrai compagnon de vie qui nous a permis de sortir, d’aller nous balader, de ne pas être seul quand tout était fermé», développe le député avant de poursuivre : «C’est aussi un être essentiel pour les personnes âgées : beaucoup de personnes en fin de vie n’ont plus que leur animal comme contact, l’idée de les séparer est déchirante». La proposition de loi suscite cependant une certaine incompréhension au Palais Bourbon, rapporte Le Figaro.

HONGRIE – La campagne officielle commence ce samedi 12 février dans ce pays de 10 millions d’habitants au centre de l’Europe. Viktor Orban entend marquer son territoire dès le premier jour, en prononçant son discours annuel sur l’état de la nation. Il est au pouvoir depuis 2010 et se dit persuadé de l’emporter à nouveau en avril pour un 4e mandat. Mais contrairement aux dernières élections en 2018, Orban doit faire face à une opposition soudée. Du centre droit à la gauche radicale, six partis d’opposition ont décidé, à l’automne dernier, de se ranger derrière la figure de Peter Marki-Zay. Cet homme de 49 ans, pro-européen, est un rival sérieux pour Orban, parce qu’il est issu des rangs de son propre parti, le Fidesz. C’est un catholique conservateur, donc il ne donne pas prise aux attaques classiques d’Orban contre la gauche. C’est aussi le maire d’une petite ville, donc il ne peut pas se voir reprocher non plus d’incarner les élites contre le peuple. Les sondages donnent pour l’instant un léger avantage à Orban, trois ou quatre points d’avance.  

MEXIQUE – Le président du Mexique, Andres Manuel Lopez Obrador, s’est montré vendredi 11 février déterminé à poursuivre les responsables de la mort d’un journaliste survenue la veille. « Zéro impunité (…). Et c’est un message à ceux qui sont impliqués dans la criminalité, tant la criminalité organisée que la criminalité en col blanc », a déclaré le président mexicain lors de sa conférence de presse matinale. Heber Lopez Vazquez, reporter du site d’information Noticias Web, a été tué jeudi dans l’Etat de Oaxaca (sud) alors qu’il se trouvait à l’intérieur de son véhicule, avait annoncé le procureur de l’Etat, Arturo Calvo, précisant que les deux meurtriers présumés avaient été arrêtés. Le sous-secrétaire à la sécurité, Ricardo Mejia, a confirmé vendredi leur arrestation « en flagrant délit » par la police locale et qu’une arme à feu a été saisie. « Toutes les pistes d’enquête sont suivies (…) afin de déterminer le mobile et la paternité intellectuelle » du crime, a déclaré M. Mejia, confirmant que le reporter ne faisait pas partie d’un programme gouvernemental qui offre une protection aux journalistes menacés.

THAÏLANDE – Aux amoureux qui s’apprêtent à s’offrir une nuit romantique et torride pour la Saint-Valentin, les autorités sanitaires de Thaïlande ont répété qu’en matière de relations sexuelles, il faut sortir couvert, y compris en portant un masque pendant les ébats. « Le Covid n’est pas une maladie sexuellement transmissible, mais on peut attraper le Covid en respirant de façon rapprochée ou en échangeant de la salive », a expliqué à l’AFP le directeur du Bureau de la santé reproductive Bunyarit Sukrat. Il recommande ainsi aux couples de passer un test antigénique avant leur nuit galante pour éviter de se contaminer. Les amoureux sont priés d’éviter « les positions sexuelles en face à face et les baisers profonds, et d’utiliser un contraceptif s’ils veulent éviter une grossesse non désirée, a-t-il ajouté. « Si possible, porter un masque pendant la relation sexuelle peut aider à réduire les risques de Covid », a poursuivi Bunyarit Sukrat.

Suisse : à Genève, un rabais exclusivement réservé aux femmes fait  polémique - ladepeche.fr

SUISSE – Mercredi dernier, la majorité de gauche de la ville de Genève, en Suisse, a fait adopter une motion qui fait depuis jaser sur les bords du Léman : la mise en place d’un rabais de 20 % sur le tarif des entrées de lieux sportifs ou culturels aux femmes habitant la « Capitale de la paix » ou le canton. Une idée aussi surprenante que généreuse qui a pour but de compenser les inégalités salariales entre les femmes et les hommes. Techniquement, la mesure doit encore franchir quelques obstacles, l’opposition ayant soulevé plusieurs problèmes de constitutionnalité. « Pas de problème majeur, tempère un responsable de la ville de Genève, la motion sera étudiée par l’exécutif local composé de quatre élus de gauche sur cinq. » Aucun délai n’est avancé par ailleurs avancé pour la mise en place de cette mesure, mais la question prend du sens dans une ville classée parmi les plus chères du monde et où les inégalités salariales se creusent localement comme partout dans le pays.

Selon un rapport de l’Office fédéral des statistiques datant de 2020, les écarts salariaux variraient de 7,56 % à 11,52 % selon la position professionnelle considérée. D’autres sources avancent des écarts plus importants encore : 16,5 % à fonctions égales en 2021 voire 19 % pour la même année.

SRI LANKA – Un guide touristique a été condamné pour avoir tourmenté un éléphant d’Asie sauvage avant de diffuser une vidéo de l’incident sur TikTok qui a scandalisé l’audience, ont indiqué des responsable de la protection de la nature vendredi. L’homme, identifié grâce à ses publications sur TikTok, a été condamné à une amende de 200.000 roupies (1000 dollars US) pour cruauté envers les animaux, soit environ 20 fois le salaire minimum mensuel. Dans son clip de 20 secondes tourné dans la région de Habarana (centre-nord du pays), l’homme n’apparaît pas à l’image mais filme depuis un véhicule bleu qui, pleins phares, va confronter et harceler l’éléphant, manifestement effrayé. Ce dernier, aveuglé, tente à reculons de se mettre à l’abri derrière un arbre. L’an dernier, le Sri Lanka a renforcé les lois sur la protection de la faune et de la flore sauvages, incluant un dispositif visant à protéger ses éléphants, animaux sacrés dans le pays. Il en reste moins de 7.000 aujourd’hui, selon le dernier recensement.

MALI- CÔTE D’IVOIRE – Une conversation téléphonique non authentifiée, attribuée au président ivoirien et à l’ex-Premier ministre malien, agite la scène politique et judiciaire malienne. On y entend deux hommes échanger sur la position « intenable » du gouvernement de Bamako. Alassane Ouattara qui échange sur la situation du Mali avec Boubou Cissé, ancien premier ministre malien, il n’y a rien de surprenant. Mais, c’est le contenu de leur échange qui intrigue. Au cours de l’entretien téléphonique qui dure 4 minutes, on entend Alassane Ouattara critiquer et accuser la junte et le Premier ministre Choguel Maïga. Il dit notamment : « On voit qu’ils n’ont pas une économie stabilisée (…) Ils pourront payer les salaires deux ou trois moi, après ils ne pourront plus payer les salaires (…) comment ils vont faire?(…)  Ce n’est pas la Russie qui va régler leurs problèmes. On dirait c’est des naïfs et des ignorants, on dirait qu’ils sont tombés sur la tête ». La justice malienne s’en est déjà saisie et a annoncé que l’enregistrement était en cours d’authentification. Contacté par Jeune Afrique, l’entourage de Boubou Cissé et le service de communication de la présidence ivoirienne se refusent pour l’instant à tout commentaire sur l’affaire.

Document - Sergueï Lavrov : Sur le droit, les droits et les règles

UKRAINE – Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères, a accusé lors d’un appel téléphonique à son homologue américain Antony Blinken, ce samedi 12 février, Washington de vouloir provoquer un conflit en Ukraine avec ses accusations d’une possible invasion russe imminente. Sergueï Lavrov « a souligné que la campagne de propagande lancée par les États-Unis et ses alliés sur une agression russe contre l’Ukraine a pour objectif la provocation, en encourageant les autorités de Kiev » à se lancer dans une « résolution militaire du problème du Donbass », selon ce communiqué. Antony Blinken a affirmé que la voie diplomatique restait « ouverte » pour éviter un conflit en Ukraine, mais nécessiterait une « désescalade » de la part de Moscou. Le président français Emmanuel Macron s’est entretenu pendant 1 h 40 ce samedi avec son homologue russe Vladimir Poutine pour tenter de faire baisser la tension croissante. Ils sont convenus des poursuivre le dialogue. A Kiev, le président Zelensky a jugé que les avertissements sur une invasion russe « provoquent la panique », tandis que la diplomatie ukrainienne a estimé qu’il était « extrêmement important de garder son calme ».

CHINE – Une explosion a frappé un bus et fait un mort et 42 blessés dont deux graves samedi à Shenyang, dans la province du Liaoning au nord-est du pays , ont annoncé les autorités locales, qui ont ouvert une enquête pour en déterminer la cause. Des images diffusées sur internet montrent le véhicule au bord de la route, les vitres brisées, entouré de débris éparpillés. Des témoins interrogés par la télévision publique CCTV ont déclaré avoir entendu un grand bruit au moment de la déflagration, ajoutant que le bus n’avait pas pris feu.

FRANCE – Venant de tout le pays, environ 3 000 véhicules ont tenté de rejoindre Paris, ce samedi 12 février. Contenus par les forces de l’ordre, les manifestants ont formé quelques rassemblements dans la capitale, notamment près de l’Arc de Triomphe. Vers 14 heures, plus d’une centaine de véhicules sont parvenus à rejoindre l’avenue des Champs-Élysées, des automobilistes, certains dorénavant à pied, ont agité des drapeaux et scandé « liberté ». La situation s’est tendue : des gaz lacrymogènes ont été utilisés pour disperser les manifestants. La police a évacué les piétons autour de l’Arc de Triomphe, avant de repousser peu à peu les manifestants vers les jardins qui se trouvent à l’autre bout de cette célèbre artère de la capitale. Voitures, camping-cars et camionnettes étaient partis de Nice, Lille, Strasbourg, Vimy (Pas-de-Calais) ou encore Châteaubourg (Ille-et-Vilaine), circulant pendant deux ou trois jours à vitesse réduite sur des routes secondaires pour rejoindre Paris. Plus de 300 personnes avaient été verbalisées vers 14 h 30 pour « participation à une manifestation non autorisée », selon la préfecture de police de Paris. À 15 h 15, quatorze personnes avaient été interpellées par les forces de l’ordre.

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