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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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Tout ce que vous devez savoir sur le paiement électronique en 2022

ALGERIE – Tous les agents économiques devront accélérer leur transformation numérique et proposer à leurs clients un moyen de paiement électronique. L’Etat a prolongé le délai de la mise en place de ces instruments de paiement électronique au 31 décembre 2023, selon le texte de la loi de Finances complémentaire (LFC), publiée jeudi dernier sur le Journal officiel (JO). « Tout agent économique devra mettre à la disposition du consommateur des instruments de paiement électronique, pour lui permettre, à sa demande, de régler le montant de ses achats à travers son compte bancaire ou postal dûment domicilié au niveau d’une banque agréée ou Algérie Poste «, stipule la loi, précisant que « les agents économiques doivent se conformer aux dispositions du présent article, au plus tard, le 31 décembre 2023 «.

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Tous les professionnels doivent en effet s’équiper en terminal de paiement électronique et demander une carte de domiciliation bancaire. Les autorités leurs accordent ainsi un délai supplémentaire de plus d’un an. Cette mesure devrait encourager la bancarisation des fonds de l’informel et inciterait progressivement à la formalisation de l’économie informelle dans le pays.

MAROC – Selon l’Observatoire marocain des prisons (OMP), les Africains arrivent en tête des détenus étrangers présents dans les prisons marocaines. L’Europe occupe la 2ᵉ place suivie des pays arabes.

Au dernier décompte, le Maroc comptait 1132 détenus étrangers dans ses prisons, dont 69 femmes, provenant d’Afrique, d’Europe, du Moyen-Orient, d’Asie et des Amériques, a indiqué l’Observatoire dans son rapport annuel sur la situation des établissements pénitentiaires et des détenu·e·s au Maroc.

Selon l’appartenance géographique et la nationalité, 122 prisonniers sont des ressortissants nigériens, tandis que 195 sont Européens, dont 73 ressortissants espagnols et 70 ressortissants français, suivis des pays arabes avec 133 détenu·e·s, dont les Algériens avec 55 détenus. Pour rappel, l’OMP avait publié en décembre dernier un guide des détenus étrangers dans le cadre de sa stratégie visant à protéger les droits fondamentaux des prisonniers, tout en leur fournissant ainsi qu’à leurs familles un soutien humanitaire dans un contexte migratoire marqué par de nouvelles problématiques carcérales.

À fin décembre 2020, le nombre de détenus incarcérés dans les prisons marocaines s’élevait à 84 994, dont 43 % âgés entre 20 et 30 ans, selon l’Observatoire marocain des prisons. Plus des 97% des détenus sont des hommes.

IRAK – Les forces de sécurité au Kurdistan d’Irak ont fait usage de gaz lacrymogène et tiré samedi des balle en caoutchouc pour disperser une manifestation anti pouvoir, arrêtant brièvement sept parlementaires d’un parti d’opposition ayant appelé au rassemblement dans la région autonome.

« Nouvelle génération », jeune parti de l’opposition kurde, a appelé à la manifestation qui devait se tenir à Souleimaniyeh, deuxième ville du Kurdistan, et plusieurs autres villes, pour dénoncer des conditions de vie de plus en plus difficiles, les pratiques autoritaires du gouvernement régional et la corruption qui sévit dans la région autonome.

Des dizaines de véhicule de police étaient déployés dans le centre de Souleimaniyeh (nord). Quand des centaines de manifestants sont arrivés, les forces de sécurité ont immédiatement utilisé des gaz lacrymogènes et tiré des balles en caoutchouc pour les disperser, a constaté un correspondant de l’AFP. Les forces de sécurité ont empêché les journalistes d’utiliser leur caméra, a-t-il précisé.

Le Kurdistan est régulièrement pointé du doigt par les défenseurs des droits humains qui dénoncent arrestations arbitraires, violations de la liberté de manifestation et atteintes à la liberté de la presse.

« La corruption, la pauvreté et le chômage ont atteint des sommets » au Kurdistan, fustigeait début août sur Twitter Shaswar Abdalwahid qadir, le président de Nouvelle Génération (neuf députés sur les 329 du Parlement fédéral).

Le Kurdistan d’Irak, se présentant comme une oasis de stabilité avec ses infrastructures et ses projets immobiliers rutilants, est dominé par deux formations historiques: le Parti démocratique du Kurdistan (PDK) et l’Union patriotique du Kurdistan (UPK), chacun tenu par des clans familiaux rivaux, les Barzani et les Talabani.

OUGANDA – Les autorités ougandaises ont suspendu les activités d’un important groupe de défense des droits des LGBTQ, le qualifiant d’entité illégale.

Sexual Minorities Uganda est, depuis 2004, le plus important groupe de soutien aux lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et homosexuels de la nation est-africaine.

Son dirigeant, Frank Mugisha, a déclaré samedi que les autorités chargées de superviser les organisations non gouvernementales lui ont conseillé de suspendre ses activités, affirmant que son groupe ne disposait pas des documents nécessaires.

« Cela signifie que le travail de sauvetage que nous faisons est en suspens. Nous ne pouvons pas protéger et soutenir les personnes LGBT vulnérables », a-t-il déclaré. « Le contexte, bien sûr, est l’homophobie et la transphobie ».

Le Bureau des ONG a déclaré dans un communiqué que le groupe devait cesser ses activités « avec effet immédiat » car il n’est ni une entreprise ni une ONG.

L’affaire contre Sexual Minorities Uganda découle du nom même du groupe. Le bureau d’enregistrement des sociétés a refusé d’enregistrer ce nom, le jugeant inadapté. Un juge a donné son accord et l’appel du groupe devant une juridiction supérieure est en attente de jugement, a déclaré Mugisha.

L’homosexualité est illégale en Ouganda en vertu d’une loi datant de l’époque coloniale qui criminalise les actes sexuels « contraires à l’ordre de la nature ».

Certains responsables ougandais ont demandé instamment une nouvelle législation sévère après qu’un panel de juges a annulé une loi anti-gay promulguée par le président Yoweri Museveni en 2014, dans un contexte de condamnation internationale. La version originale de ce projet de loi, présentée pour la première fois en 2009, prévoyait la peine de mort pour ce qu’elle appelait des actes d’homosexualité aggravés.

Au Kenya, une campagne électorale minée par la désinformation en ligne

KENYA – La campagne pour la présidentielle au Kenya s’est officiellement achevée samedi mais sur les réseaux sociaux, la propagande se poursuit, alimentée par une armée de trolls qui depuis des mois, derrière leurs écrans, se livrent à une dangereuse escalade de désinformation.

Dans la dernière ligne droite vers l’élection de mardi, les partisans des deux principaux candidats, le vice-président William Ruto et le vétéran Raila Odinga, ont notamment inondé les réseaux sociaux de messages accusant leur adversaire de se préparer à truquer les résultats.

« Nous voyons de plus en plus de fausses informations qui cherchent à délégitimer les résultats de l’élection avec des affirmations répandues qui affirment que le camp adverse ne gagnera que par fraude et qu’il tente de voler l’élection », souligne Benedict Manzin, analyste en charge de l’Afrique subsaharienne à la société de renseignement Sibylline.

Une figure de la campagne de Ruto a ainsi accusé l’équipe d’Odinga de vouloir truquer le scrutin après que ce dernier a demandé l’utilisation d’un registre électoral papier et non du registre numérique prévu.

Des accusations, souvent virales, inquiètent dans un pays marqué par plusieurs épisodes de violences post-électorales, dont les plus sanglantes en 2007-2008 ont fait plus de 1.100 morts dans des affrontements politico-ethniques.

La contestation des résultats des dernières élections en 2017 avait donné lieu à une répression policière brutale, tuant plusieurs dizaines de personnes.

RDC – Des combattants de la redoutable milice surnommée « Zaïre » et qui dit défendre la communauté Hema, ont tué une vingtaine de villageois (30 selon l’Agence France presse) et blessé 16 autres à Damas, village du territoire de Djugu dans la nuit de vendredi à samedi. Ces personnes participaient à des funérailles lorsque les miliciens ont ouvert le feu.

En Ituri, l’armée mène des offensives depuis hier samedi pour neutraliser le groupe armé Zaïre. Depuis plusieurs mois, cette milice en affronte une autre, la Codeco (Coopérative pour le développement du Congo) pour le contrôle des terres et carrés miniers.

« Toutes les dispositions sont prises pour endiguer la menace que représente la milice Zaïre dans cette région », assure le lieutenant Jules Ngongo, porte-parole de l’armée en Ituri au micro de notre correspondant, Pascal Mulegwa. De même, l’administration prendra en charge les obsèques des personnes tuées et les soins à apporter aux blessés. « Ces actes susceptibles de compromettre le processus de paix doivent cesser !», martèle le lieutenant Ngongo.

ECHECS – L’ancien vice-Premier ministre russe Arkadi Dvorkovitch a été réélu dimanche président de la Fédération internationale des échecs (FIDE), face à un rival ukrainien qui affirmait que sa position était intenable du fait de la guerre.

Réunies en Inde, un total de 157 fédérations nationales d’échecs sur 179 ont voté en faveur de M. Dvorkovitch, a annoncé le chef de la commission électorale de la FIDE, Roberto Rivello.

Le Russe faisait face à au grand maître ukrainien Andrii Baryshpolets, qui n’a recueilli que 16 voix. Cinq délégués se sont abstenus et un vote a été déclaré nul.

De nombreux responsables russes ont été frappés par des sanctions depuis l’invasion de l’Ukraine en février. Mais Arkadi Dvorkovitch, 50 ans, qui a servi sous le président Vladimir Poutine en tant que vice-Premier ministre de 2012 jusqu’à son élection à la présidence de la FIDE en 2018, a réussi à conserver son fauteuil.

Peu avant le vote, Andrii Baryshpolets a accusé M. Dvorkovitch d’avoir « d’énormes liens avec le gouvernement russe ».

« Vous, Arkadi, êtes responsable de ce qui se passe en Ukraine maintenant. Vous êtes responsable de la montée en puissance du gouvernement russe et de la machine de guerre de la Russie. Comment nous, le monde des échecs, pouvons-nous nous permettre cela ? » a dénoncé l’Ukrainien.

M. Dvorkovitch a répondu qu’il avait adopté « une position forte sur les événements tragiques en Ukraine », et qu’il avait soutenu la réduction de la participation de la Russie à la FIDE.

En mars, Arkadi Dvorkovitch avait semblé critiquer l’invasion russe, affirmant que ses « pensées (allaient) aux civils ukrainiens ».

Côte d'Ivoire: Alassane Ouattara accorde la grâce présidentielle à son  prédécesseur Laurent Gbagbo

CÔTE D’IVOIRE – Le président ivoirien Alassane Ouattara a annoncé samedi avoir accordé sa grâce à son prédécesseur et ancien rival Laurent Gbagbo, sous le coup d’une peine de 20 ans de prison dans son pays à la suite de la crise post-électorale de 2010-2011. « Dans le souci de renforcer la cohésion sociale, j’ai signé un décret accordant la grâce présidentielle à M. Laurent Gbagbo », a déclaré M. Ouattara dans un discours à l’occasion du 62e anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire.

Le chef de l’Etat a également annoncé avoir demandé « qu’il soit procédé au dégel de ses comptes et au paiement de ses arriérés de ses rentes viagères ».

Il a en outre annoncé avoir signé un décret accordant « la libération conditionnelle » à deux anciennes figures de l’appareil militaire et sécuritaire du régime de Laurent Gbagbo, condamnées pour leur rôle dans la crise de 2010-2011. Il s’agit du contre-amiral Vagba Faussignaux, ex-patron de la Marine, et du commandant Jean-Noël Abéhi, ancien chef de l’escadron blindé de la gendarmerie du camp d’Agban, à Abidjan.

Laurent Gbagbo, 77 ans, définitivement acquitté en mars 2021 de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye où il avait été transféré fin 2011, est rentré dans son pays en juin 2021.

Sans jamais avoir été inquiété depuis son retour, il restait néanmoins sous le coup en Côte d’Ivoire d’une condamnation à 20 ans de prison pour « le braquage » de la Banque centrale des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO) pendant la crise de 2010-2011.

La crise était née du refus de M. Gbagbo de reconnaître la victoire d’Alassane Ouattara à la présidentielle de fin 2010 qui avait entraîné des violences ayant fait quelque 3.000 morts jusqu’à l’arrestation de Laurent Gbagbo à Abidjan en avril 2011.

ITALIE – Le Parti démocrate italien (PD, centre-gauche) a annoncé samedi avoir conclu un accord avec la gauche et les écologistes en vue des législatives de septembre, pour lesquelles la droite part favorite unie à l’extrême droite.

Cet accord électoral avec Europa Verde et la gauche italienne (Sinistra italiana, SI) était « nécessaire », a défendu le secrétaire du PD, Enrico Letta, lors d’une conférence de presse avec le secrétaire de SI, Nicola Fratoianni et le co-porte-parole des Verts, Angelo Bonelli.

« Les différences ne doivent pas devenir un obstacle à la convergence », a souligné de son côté M. Fratoianni, estimant qu’une « nouvelle phase commence » afin d’« empêcher l’extrême droite » d’accéder au pouvoir.

Mardi, le PD s’était déjà allié avec le petit groupe centriste Azione de Carlo Calenda, dans l’optique d’affronter le bloc conservateur constitué de Forza Italia de Silvio Berlusconi, la Ligue de Matteo Salvini et les souverainistes de Fratelli d’Italia de Giorgia Meloni.

La gauche est sous pression depuis l’effondrement le mois dernier de la coalition d’union nationale du Premier ministre Mario Draghi, qui a donné le coup d’envoi d’une campagne électorale pour les législatives rapidement dominée par la droite.

Fratelli d’Italia, formation nationaliste et eurosceptique, est depuis plusieurs semaines en tête des sondages avec environ 24% des voix.

Ses alliés, Forza Italia et la Ligue anti-immigration, sont crédités respectivement de 7% et 12% des intentions de vote.

Le PD oscille pour sa part autour de 23% des intentions de vote, rendant indispensable la création d’alliances pour rester dans la course.

SENEGAL-CANADA – Le Sénégal a accusé la police canadienne d’avoir « sauvagement tabassé » une de ses diplomates en poste à Ottawa, la police faisant état de son côté d’une altercation avec une « personne agressive » qui a blessé deux de ses agents.

Le ministère sénégalais des Affaires étrangères a indiqué vendredi dans un communiqué avoir convoqué jeudi la chargée d’affaires de l’ambassade du Canada à Dakar pour « dénoncer vigoureusement et condamner fermement un acte raciste et barbare ».

La police canadienne a fait mardi « une descente au domicile » de la diplomate sénégalaise en service à Ottawa lors de laquelle elle a « exercé » sur elle « une violence physique et morale humiliante, devant témoins et en présence de ses enfants », a affirmé Dakar, sans préciser l’identité de la diplomate.

Interrogée vendredi soir, la police de Gatineau, banlieue québécoise de la capitale fédérale canadienne, a reconnu l’altercation, survenue mardi alors qu’un huissier de justice « muni d’une ordonnance devant être exécutée » avait demandé le concours des forces de l’ordre.

« Malgré le rappel du statut de diplomate de la victime et de l’inviolabilité de son domicile, les éléments de la police canadienne l’ont menottée et sauvagement tabassée, au point qu’elle a eu du mal à respirer, ce qui a conduit à son évacuation par ambulance à l’hôpital », selon le communiqué sénégalais.

Cette version des événements a été rejetée en bloc par la police canadienne qui affirme avoir au préalable confirmé que « le document judiciaire était bel et bien valide et que l’officier de justice ayant autorisé l’ordonnance judiciaire avait été informé que la personne avait un statut diplomatique ». Puis, ajoute le communiqué canadien, « faisant face à une personne agressive et refusant de collaborer, les policiers sont intervenus afin d’expliquer la démarche et de s’assurer que tout se déroule dans le calme ». C’est alors qu’« une policière a été frappée au visage et blessée », indique le Service de police de la ville de Gatineau (SPVG). « Les policiers ont donc décidé de procéder à l’arrestation » de la diplomate. Mais elle « a résisté » et « blessé par morsure un deuxième policier ».

Centrafrique: nouvelle manifestation pour un référendum constitutionnel

CENTRAFRIQUE – Plus d’un millier de manifestants ont exigé samedi à Bangui la tenue d’un référendum pour modifier la Constitution en Centrafrique et permettre au président Touadéra de briguer un troisième mandat, un projet dénoncé par l’opposition, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Les manifestants, en tee-shirts rouge ou bleu, couleurs du Front républicain, organisateur de la manifestation et proche du pouvoir, ont scandé l’hymne national et brandi des banderoles affirmant « Pour un avenir meilleur, le peuple demande une nouvelle constitution » ou « Touadéra doit continuer ».

Hippolyte Ngate, secrétaire du Front républicain,  a remis au Premier ministre Félix Moloua, présent avec d’autres membres du gouvernement, une demande officielle pour la tenue d’un référendum.

« Le peuple ne veut qu’une chose, la modification de cette constitution qui est caduque(…) Nous demandons une nouvelle constitution adaptée à la réalité du pays », a déclaré M. Ngate.

CUBA – Un gigantesque incendie a frappé un dépôt pétrolier de la banlieue de Matanzas, le feu se propageant à plusieurs réservoirs. Le gouvernement cubain a demandé de l’aide et des conseils pour maîtriser les flammes

Cuba a reçu des offres d’assistance de nombreux pays après son appel à l’aide pour faire face au gigantesque incendie d’un dépôt pétrolier frappé par la foudre qui a engendré des explosions dans lesquelles au moins une personne a été tuée, 121 blessées et 17 encore portées disparues.

Quelque 1 900 personnes ont été évacuées de la zone sinistrée, située dans la banlieue de Matanzas, ville de 140 000 habitants à 100 kilomètres à l’est de La Havane, d’où était visible l’énorme panache de fumée noire obscurcissant le ciel. « Un corps a été retrouvé sur le site de l’accident », a déclaré Luis Armando Wong, directeur de la Santé de Matanzas, lors d’une conférence de presse. Cinq blessés sont dans un état critique, trois dans un état très grave et 28 sérieusement atteints, selon un dernier bilan communiqué sur le compte Twitter de la présidence. Parmi les blessés figure le ministre de l’Energie, Livan Arronte.

Les 17 personnes disparues sont des pompiers « qui se trouvaient dans la zone la plus proche de l’incendie » lorsqu’une explosion a eu lieu.

L’incendie s’est déclaré vendredi soir quand la foudre a frappé l’un des réservoirs du dépôt pétrolier. Au petit matin, le feu s’est ensuite propagé à un deuxième réservoir.

MALI – Au moins douze civils sont morts dans le centre du Mali après l’explosion de bombes cachées dans les corps de civils tués que leurs proches étaient venus chercher, ont indiqué samedi un élu et la police, en accusant les djihadistes.

Vendredi, «les djihadistes ont d’abord tué deux civils à Ouakan» près de Bankass, dans le centre du Mali, «avant de piéger leur corps», a expliqué à l’AFP un élu d’une localité voisine, sous couvert de l’anonymat.

«Lorsque les parents, les proches des personnes tuées sont venues pour chercher les corps, il y a eu explosion et au moins dix autres personnes ont été tuées», a-t-il ajouté.

Cette version a été corroborée par un autre élu de la région, qui a indiqué que «plusieurs autres civils sont pour le moment portés disparus à Ouakan» sans que l’on sache s’ils sont «décédés ou pas».

Une source policière a confirmé à l’AFP «le bilan provisoire d’une dizaine de civils tués». Un dispositif de sécurité devait être mis en place dès samedi «pour sécuriser les populations». «Les djihadistes utilisent de plus en plus des méthodes criminelles. Ils ont piégé à Ouakan des corps qui ont explosé par la suite», a précisé cette source.

La Russie va lancer en orbite un satellite iranien la semaine prochaine

IRAN-RUSSIE – Téhéran a assuré ce dimanche qu’il contrôlerait «dès le premier jour» un satellite que la Russie mettra en orbite pour lui mardi, après que la presse américaine a assuré que l’appareil serait d’abord utilisé par Moscou dans sa guerre en Ukraine.

Le satellite de télédétection «Khayyam» commandé par la République islamique doit être lancé le 9 août depuis le cosmodrome (russe) de Baïkonour, au Kazakhstan, avait indiqué mercredi dernier l’Agence spatiale russe (Roscosmos).

«Tous les ordres liés au contrôle et à l’opération de ce satellite seront émis dès le premier jour et immédiatement après le lancement par des experts iraniens basés au ministère des Communications iranien», a indiqué dimanche l’Agence spatiale iranienne dans un communiqué.

Jeudi, le quotidien américain The Washington Post assurait que la Russie «envisage d’utiliser le satellite pendant plusieurs mois» dans sa guerre en Ukraine avant d’en céder le contrôle ensuite à l’Iran.

Citant des sources anonymes de renseignement occidentales, le journal affirme aussi que le satellite fournira à l’Iran «des capacités sans précédent, notamment de surveillance quasi-ininterrompue d’infrastructures sensibles en Israël et dans le Golfe», mais seulement après que Moscou l’aura utilisé pour «accroître sa surveillance d’objectifs militaires» dans le conflit en Ukraine.

SOMALIE – Des tirs d’obus de mortier ont frappé ce dimanche sans faire de victimes des quartiers proches du palais présidentiel à Mogadiscio, la capitale de la Somalie, peu après l’approbation de la composition du gouvernement par le parlement, signe des défis à venir pour les nouveaux dirigeants.

Déjà menacée par une famine imminente avec la pire des sécheresses en 40 ans, la Somalie est confrontée ces derniers mois à une intensification des attaques du mouvement d’insurrection islamiste shebab.

Selon un témoin, un obus a endommagé un hôpital privé.

Ces attaques, non revendiquées, interviennent après que le Parlement s’est réuni dimanche et a entériné la composition du gouvernement présenté le 2 août par le Premier ministre Hamza Abdi Barre, par 229 voix pour, sept contre et une abstention.

M. Barre, nommé le 15 juin par le nouveau président Hassan Cheikh Mohamoud, élu en mai, a formé une équipe de 75 ministres et vice-ministres.

Parmi eux, Muktar Robow, 53 ans, alias Abou Mansour, un ancien dirigeant des islamistes radicaux shebab, liés aux jihadistes d’Al-Qaïda et dont il a fait défection en 2017, occupe les fonctions de ministre des Affaires religieuses.

GAZA – Israël et le jihad islamique ont accepté une trêve proposée par l’Egypte dans la bande de Gaza, où 41 Palestiniens dont quinze enfants sont morts, a indiqué une source au sein des services de sécurité égyptiens à l’AFP.

« L’Egypte s’attelait depuis 48 heures » à obtenir une trêve « entre les deux parties », a déclaré ce responsable sous couvert d’anonymat.

Selon le ministère de la Santé à Gaza, aux 41 morts palestiniens viennent s’ajouter plus de 275 blessés dénombrés en deux jours dans l’enclave sous strict blocus israélien depuis quinze ans.

Les autorités israéliennes contredisent ce bilan et assurent que des enfants palestiniens ont été tués samedi par un tir de roquette raté du Jihad islamique vers Israël.

Depuis le début de son opération vendredi, Israël assure viser des sites appartenant au Jihad islamique, dont environ 15 combattants ont été tués, selon l’armée israélienne. Les forces israéliennes ont également annoncé avoir arrêté en deux jours environ 40 membres de l’organisation en Cisjordanie, territoire palestinien occupé depuis 1967 par l’Etat hébreu.

Le Jihad islamique a affirmé dimanche avoir tiré des roquettes vers Jérusalem pour la première fois depuis le début des hostilités vendredi. Comme 97% des 585 projectiles lancés depuis Gaza, elles ont été interceptées par le bouclier antimissile israélien, d’après l’armée israélienne.

L’Etat hébreu dit mener à Gaza une « attaque préventive » visant le Jihad islamique. Il a affirmé avoir tué des combattants et « neutralisé » les chefs de l’organisation, considérée comme terroriste par Israël, les Etats-Unis et l’Union européenne.

En mai 2021 déjà, des affrontements entre Israël et des organisations armées de Gaza avaient fait en onze jours 260 morts côté palestinien, parmi lesquels des combattants, et 14 morts en Israël, dont un soldat, d’après les autorités locales.

La trêve avait alors été négocié par Le Caire, premier pays arabe à avoir signé la paix avec Israël dès 1979 et parrain régulier des discussions entre groupes palestiniens.

Tensions autour de Taïwan – Les manoeuvres militaires de Pékin tirent vers  leur fin | Tribune de Genève

TAÏWAN – La Chine bouclait ce dimanche 7 août ses plus grandes manœuvres militaires jamais menées autour de Taïwan, qui furent une réaction de colère à la visite de la représentante de la Chambre des députés des Etats-Unis, Nancy Pelosi, sur l’île. Ce déplacement a fait plonger les relations entre Pékin et Washington au plus bas depuis des années.

Numéro trois des Etats-Unis, Mme Pelosi a déclenché la fureur de la Chine avec sa visite mardi et mercredi, la plus importante d’un élu américain à Taïwan en vingt-cinq ans. Pékin a réagi en suspendant une série de discussions et de coopérations bilatérales sino-américaines, en particulier dans les domaines de la lutte contre le changement climatique et de la défense.

Ce dimanche, l’armée a mené « des exercices pratiques conjoints en mer et dans l’espace aérien entourant l’île de Taïwan », a précisé le commandement est de l’armée chinoise, qui chapeaute l’espace maritime oriental du pays – et, donc, Taïwan. Ces exercices visaient à « tester la puissance de feu conjointe sur le terrain et les capacités de frappe aérienne à longue portée », a-t-il ajouté.

Le ministère de la défense taïwanais a confirmé que la Chine avait envoyé « des avions, des navires et des drones » autour du détroit, « pour simuler des attaques contre l’île principale de Taïwan et contre des bateaux dans nos eaux ». Ces vastes manœuvres devaient s’achever à la mi-journée, même si Pékin compte mener de nouveaux exercices « à tir réel » jusqu’au 15 août dans la mer Jaune, qui sépare la Chine de la péninsule coréenne.

Le ministère des transports taïwanais a annoncé qu’à midi six des sept « zones temporaires de danger » que la Chine avait demandé aux compagnies aériennes d’éviter étaient revenues à la normale, 

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