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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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MAROC – L’Arabie saoudite a annoncé, vendredi 26 août 2022, la mort d’un de ses citoyens au Maroc, après qu’il a été victime d’une attaque qui a conduit à sa mort par un groupe de personnes, dans un communiqué publié par l’ambassade du Royaume au Maroc via Twitter, sur la base d’informations reçues des autorités compétentes à Rabat.

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Dans le même contexte, des sites saoudiens ont rapporté que la victime avait été tuée mardi 23 août dans un hôtel au Maroc après une altercation avec plusieurs personnes.

Le site Akhbar 24 a cité l’oncle du défunt disant qu’ils avaient reçu « la nouvelle de la mort de son neveu, notant qu’il était allé au Maroc avec un ami atteint d’un cancer pour se faire soigner ».

Des amis de son neveu lui ont assuré que l’incident avait eu lieu dans le même hôtel où il séjourne, a-t-il dit.

L’ambassade saoudienne a souligné qu’elle « suit avec beaucoup d’intérêt avec les autorités compétentes au Maroc le déroulement de l’affaire, et qu’elle a pleinement confiance dans la justice marocaine ».

IRAN – Moqtada Sadr, dont l’influence n’a d’égale que l’imprévisibilité, est l’un des poids lourds de la politique qui peuvent envenimer la crise ou sortir l’Irak de l’ornière dans laquelle il est embourbé depuis les élections législatives d’octobre 2021.

Samedi, Moqtada Sadr, dans un retournement dont il est coutumier, a dit estimer que la dissolution de l’Assemblée et la tenue de nouvelles élections n’étaient plus « si importantes ».  

« Il y a plus important », a écrit le clerc chiite sur Twitter. « C’est que l’ensemble des partis et des personnalités qui ont participé au processus politique de l’occupation américaine de 2003 jusqu’à aujourd’hui ne participent plus », a-t-il poursuivi.

« Et cela comprend le Courant sadriste », le mouvement qu’il dirige, a-t-il assuré. « Je suis prêt à signer un accord dans ce sens sous 72 heures. Si tel n’était pas le cas, il n’y aurait plus aucune place pour des réformes ».

M. Sadr ne détaille toutefois pas quelles personnalités il envisage de désigner pour mener le prochain gouvernement.

Moqtada Sadr, dont l’un des leitmotivs est la lutte contre la corruption, ne participe pas directement à l’actuel gouvernement mais il dispose depuis de nombreuses années de relais dans les ministères et les administrations.

LIBAN – Le conseil islamique chérié a tenu samedi une réunion ordinaire à Dar el-Fatwa sous la présidence du mufti de la République, cheikh Abdel Latif Deriane, afin de passer en revue les développements en cours concernant l’échéance présidentielle et les démarches visant à former un nouveau gouvernement.

Le communiqué publié à l’issue de la réunion dénonce, d’emblée, « un phénomène non conforme aux normes et qui consiste à court-circuiter la question de l’élection d’un nouveau président de la République pour se concentrer sur un problème artificiel axé sur la formation d’un nouveau gouvernement ou le remaniement du gouvernement actuel présidé par le président Najib Mikati. Le conseil chérié souligne que le Liban a besoin d’un nouveau président de la République, plus particulièrement après les positions portant atteinte à l’esprit de la Constitution libanaise, à l’accord de Taëf et à la formule de vivre-ensemble ».

« Le Liban a besoin d’un nouveau président qui respecterait son serment constitutionnel, souligne le communiqué du Conseil chérié. Ce qui se produit au stade actuel est un court-circuitage de ces valeurs et principes, tantôt en remettant en question la légalité du gouvernement actuel, et tantôt en soulevant le slogan de la représentativité confessionnelle et sectaire ».

Après avoir lancé un appel à l’unité des rangs, le Conseil chérié a relevé que la formule ministérielle présentée par le Premier ministre désigné au président de la République est « le fruit de concertations et de contacts entrepris par le président Najib Mikati avec les factions politiques et tous les blocs parlementaires afin de former le gouvernement, premier pas sur la voie de la sauvegarde du pays ». « Le conseil chérié réaffirme son appui au président Mikati dans ses efforts visant à former le gouvernement », ajoute le communiqué.

ISRAËL – Un Arabe israélien de 37 ans a été tué par balle dimanche matin dans la ville de Baqa Al-Gharbiya, dans le nord d’Israël.

Selon la police, l’homme a été tué alors qu’il était assis dans son véhicule sur le parking de la station de lavage de voiture où il travaillait.

L’homme était inconscient lorsque les ambulanciers sont arrivés. Ils ont tenté de le ranimer, mais n’y sont pas parvenus, le déclarant mort sur place.

Il s’agit du troisième décès consécutif par balle dans la communauté arabe israélienne en autant de jours, après le meurtre d’un habitant de Lod âgé de 52 ans vendredi et celui d’un habitant de Ramle âgé de 40 ans samedi soir.

Le week-end dernier, quatre personnes ont été blessées dans des fusillades à travers le pays, dont un garçon de 10 ans touché par une balle perdue près de la ville arabe d’Ein Mahil dans le nord d’Israël.

Les communautés arabes du pays ont connu une recrudescence de la violence ces dernières années. Beaucoup blâment la police, qui, selon eux, n’a pas réussi à sévir contre les puissantes organisations criminelles et ignore largement la violence, notamment les querelles familiales, les guerres de territoire de la mafia et les attaques contre les femmes.

Selon Abraham Initiatives, un groupe qui fait campagne contre la violence au sein de la communauté arabe, 72 Arabes israéliens ont été tués dans des incidents liés à la criminalité depuis le début de l’année. Parmi les victimes, 61 ont été tuées par balle.

RDC – A deux semaines de la rentrée scolaire, le complexe scolaire Lubusha à Lubumbashi dans l’ex-Katanga est menacé de démolition. Deux prêtres ont vendu, à une entreprise minière chinoise, des carrés miniers dont le site du lycée, appartenant à l’Église catholique et composé d’une école primaire et d’un lycée de jeunes filles. L’exploitation serait estimée à 300 000 tonnes de cuivre métal.

Suite à cette vente, le gouvernement provincial du Haut Katanga a même mis en place une commission chargée de la délocalisation de cet établissement construit, il y a près de 50 ans, ce qui suscite des réactions tant dans le milieu de l’enseignement que chez les politiques. Tous s’opposent à la destruction de ce patrimoine.

L’archevêché de Lubumbashi a mené des consultations auprès des représentants des enseignants, des parents d’élèves et même d’anciennes élèves du lycée Lubusha. Tous sont unanimes sur la préservation de cette école.

« C’est vrai que le sol et le sous-sol appartiennent à l’État mais qui est l’État ? L’État, c’est nous, le peuple. Nous disons non à la délocalisation, non à la démolition, non à la destruction du lycée Lubusha », a déclaré, d’un ton ferme, Francois Mwingila, chauffeur au lycée Lubusha. Tout en reconnaissant la vente d’une partie des terres du lycée Lubusha par deux prêtres, il y a deux ans, sans l’autorisation de l’évêque, monseigneur Denis Moto, vicaire général assure que l’Église se bat pour sauvegarder ce patrimoine: « Les prêtres cités dans cette vente ont été suspendus. Personne n’accepte qu’on perde ce patrimoine, qu’on le détruise ! En tout cas, on s’y oppose. »

RDC – Treize personnes, dont deux soldats, ont été tuées dans des attaques de groupes armés ou dans des incidents meurtriers depuis vendredi dans l’est et le nord-est de la République démocratique du Congo, déstabilisés depuis près de trois décennies, a-t-on appris dimanche de sources militaire et locales. «Nous venons de perdre ce dimanche matin un vaillant soldat tué dans l’attaque de notre position à la sortie nord de la ville de Butembo par des miliciens Maï-Maï», a déclaré à l’AFP un chef militaire qui n’a pas souhaité être cité. Deux assaillants ont été aussi tués.

Dans la province voisine de l’Ituri (nord-est) dimanche, «six orpailleurs ont été tués décapités par des rebelles du groupe Coopérative pour le développement du Congo» (Codeco), a déclaré à l’AFP Prince Kaleta, président de la société civile de la localité de Lodjo (Ituri, nord-est). Les rebelles Codeco prétendent protéger les membres de la communauté Lendu contre la communauté rivale hema et les forces de sécurité. Ils sont accusés d’être à la base des violences en Ituri depuis 2017.

Au Nord-Kivu, «dans la nuit de samedi à dimanche, trois civils ont été tués dans une attaque des ADF (Forces démocratiques alliées)», a quant à lui déclaré à l’AFP Flavien Kakule, chef d’une localité de la chefferie de Bashu dans le territoire de Beni (Nord-Kivu). Présenté par l’organisation «État islamique» comme sa branche en Afrique centrale (ISCAP), le groupe ADF est considéré comme l’un des plus meurtriers de l’est congolais.

Au sud du Nord-Kivu, lors de manifestations contre les Nations unies vendredi et samedi, «il y a eu un mort parmi les manifestants porteurs d’armes blanches et qui lançaient des pierres sur une base des Casques bleus.

Enfin, «il y a un militaire qui a été tué, lynché par la population en colère. Le militaire venait de tuer un civil à Kimoka», a déclaré à l’AFP le colonel Philémon Kakule, commandant du régiment de l’armée congolaise à Sake (Nord-Kivu).

ANGOLA – A Luanda, le week-end se déroule sur fond de deuil. Alors les funérailles officielles de José Eduardo Dos Santos ont lieu ce dimanche, samedi déjà, la population faisait la queue pour rendre hommage à l’ex-président décédé en Espagne le 8 juillet dernier.

Occasion pour ces populations de revenir sur l’action de cet homme qui a dirigé leur pays pendant 38 ans.

‘’ J’ai beaucoup appris de lui depuis mon enfance. J’ai suivi sa façon de diriger le pays, le MPLA, -le parti au pouvoir NDLR-. C’était un grand président de la République. A l’époque, je l’ai suivi entant qu’étudiant, il m’a inspiré.’’, raconte un habitant de la capitale angolaise.

Difficile donc pour ces Angolais de contenir leur émotion devant le cercueil du défunt ex-président. José Eduardo Dos Santos aurait eu 80 ans ce 28 août, jour de ses obsèques qui connaîtront la participation d’une dizaine de dirigeants étrangers.

Mais les funérailles de celui que des angolais appelaient Zébu, homme du peuple seront marquées par l’absence de ses enfants opposés au rapatriement du corps de leur père en Angola déboutés par la justice espagnole. Les couteaux sont tirés entre le régime de Luanda et les Dos Santos, visés par la lutte contre la corruption initiée par Joao Lourenco, le successeur de leur père à la tête de l’Angola.

Une douzaine de chefs d’Etat et de gouvernement étaient attendus pour la cérémonie officielle, conduite par l’actuel président Joao Lourenço, sur la place de la République dans le centre de la capitale. 

AFRIQUE DU SUD – Alors que les crimes violents sont en augmentation dans le pays, les Sud-Africains, désabusés par une police inefficace, s’en remettent de plus en plus au secteur privé pour assurer leur protection. Dans les quartiers résidentiels paisibles de Johannesburg, bordant les allées de jacarandas, de hauts murs dissimulent les habitations aux regards, surmontés de clôtures électrifiées ou de barbelés et portant cet avertissement : « armed response » (« intervention armée »), rapporte le quotidien français La Croix.

Des voitures affichant les logos des entreprises de sécurité privée patrouillent à longueur de journée, prêtes à fournir cette « réponse armée » en cas de cambriolage ou fusillade. Dans le pays, le nombre de ces entreprises ne cesse d’augmenter, malgré la crise économique. En 2022, elles sont plus de 11 500 enregistrées, employant près de 570 000 officiers de sécurité. C’est trois fois le nombre de policiers (182 000 en 2021), qui lui ne cesse de diminuer.

De fait, la criminalité, qui ne cesse d’augmenter depuis 2012 en Afrique du Sud, est à l’origine du succès des entreprises de sécurité privée. Au premier trimestre 2022, le nombre de personnes tuées a bondi de 22,2 % par rapport à l’année précédente : en moyenne 68 le sont chaque jour.

INSOLITE – Une véritable guerre de territoire a éclaté ce samedi dans une rue en Thaïlande. Mais aucun mort n’a été recensé et aucun humain n’était impliqué dans le conflit, qui a en réalité opposé… deux varans, rapporte Le Parisien.

Les deux reptiles, longs d’un bon mètre chacun, s’affrontaient en effet au beau milieu de la chaussée, pour défendre leur territoire respectif. Debout face à face, les varans étaient comme enlacés dans un long câlin. La vidéo, abondamment relayée sur les réseaux sociaux, a été visionnée des dizaines de milliers de fois.

« J’ai d’abord cru qu’ils étaient amis, puis quelqu’un m’a dit qu’en fait ils se battaient », a confié un automobiliste témoin de la scène, cité par Le Parisien. En effet, lors de combats les varans s’affrontent debout et s’enlacent comme des lutteurs dans le but de faire tomber leur adversaire.

Ce samedi, les deux reptiles ont interrompu la circulation dans la rue où ils se trouvaient pendant trente minutes. Ils ont finalement pris la fuite sans issue au combat. Les varans pullulent depuis plusieurs années en Thaïlande. Ils sont devenus, notamment dans certaines villes comme Bangkok, un véritable problème de sécurité publique. Ils ont apparemment de moins en moins peur de l’homme, et n’hésitent pas à s’en approcher, comme ce varan qui s’était introduit dans une supérette pour voler de la nourriture.

PAYS-BAS – Six personnes ont été tuées et sept blessées quand un camion a foncé samedi soir sur un groupe de personnes dînant dehors à Zuidzijdsedijk, à environ 30 kilomètres au sud de Rotterdam, selon un bilan ce dimanche de la police néerlandaise.

« Nous avons maintenant six personnes tuées et sept blessées, dont une grièvement, après l’accident d’hier », a déclaré à l’AFP une porte-parole de la police, Mirjam Boers.

« Nous enquêtons toujours pour savoir ce qui s’est produit exactement », a-t-elle ajouté. La police a écarté la piste terroriste dans un premier temps.

Selon la police, le camion remorque a quitté la route et a foncé sur un groupe de personnes qui participaient à un barbecue organisé par un groupe de patinage local.

Le chauffeur du camion, immatriculé en Espagne, n’a pas été blessé. Il a été arrêté et placé en garde à vue.

Mme Boers a confirmé que le chauffeur « n’était pas sous l’influence de l’alcool ». La police a lancé un appel à témoins pour l’aider dans son enquête.

GUINEE – Un collectif guinéen a annoncé avoir suspendu ses manifestations pour le retour au pouvoir de civils, après une demande des chrétiens du pays et des Etats ouest-africains qui ont appelé samedi à « des compromis » pour régler la crise.

Le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC), coalition de partis, syndicats et organisations de la société civile, a déjà organisé des manifestations les 28 et 29 juillet et le 17 août.

Il a cependant appelé à des manifestations « citoyennes et pacifiques » le 29 août et le 4 septembre à Conakry et dans sa banlieue, et le 5 septembre dans tout le pays.

Le FNDC « a accédé à la demande des chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) et des chrétiens de Guinée de suspendre les manifestations » le 29 août et le 4 septembre, qui coïncident avec un dimanche, « jour de prière de nos compatriotes chrétiens ».

Le médiateur de la Cédéao dans la crise guinéenne, l’ex-président béninois Thomas Boni Yayi, a annoncé avoir achevé samedi une mission de médiation.

« L’objectif de cette deuxième trêve », après une précédente fin juillet, « est de donner une énième chance à la médiation de la Cédéao afin qu’elle puisse trouver une issue à la sortie de (la) crise guinéenne entretenue par la junte militaire », affirme le FNDC dans le communiqué.

PEROU – Le président péruvien Pedro Castillo a remplacé les hauts responsables de la police nationale péruvienne (PNP), deux semaines après que des agents anticorruption ont fait une descente au siège du gouvernement, avec l’autorisation d’un tribunal, à la recherche de la belle-sœur du président qui fait l’objet d’une enquête.

Les changements concernent le commandement général, l’état-major général et l’inspection générale de la PNP.

M. Castillo a qualifié d’« illégal » le raid effectué au Palais du gouvernement, lorsque des équipes de police et des procureurs ont recherché pendant plusieurs heures sa belle-sœur, Yenifer Paredes, accusée par le ministère public de faire partie d’un réseau de corruption qui aurait été dirigé par le président lui-même et son épouse, Lilia Paredes.

Les actions des policiers dirigés par le colonel Harvey Colchado ont incité les avocats du président Castillo à déposer une plainte contre lui auprès du bureau de l’inspecteur général de la PNP, selon la presse locale.

La présidente du Parlement péruvien, Lady Camones, a accusé le président Castillo de « nouvel acte d’abus de pouvoir », « sans même comprendre que les institutions sont au service du pays et non pour la défense à des fins personnelles », dans un message sur Twitter, où elle l’accuse d’« obstruction à l’enquête ».

Elle a précisé que le ministre de l’Intérieur, Willy Huerta, serait invité la semaine prochaine à s’exprimer devant la commission de la Défense « afin de rendre compte des raisons qui ont donné lieu à ces changements discutables ».

Le président Castillo fait actuellement l’objet de six enquêtes du bureau du procureur.

SERBIE-KOSOVO – La Serbie et le Kosovo ont conclu ce samedi « un accord sur la liberté de circulation » entre les deux pays, après le regain de tensions suscité par de nouvelles règles frontalières et administratives imposées par Pristina, a annoncé le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.

Cet accord ne résout cependant pas la question des plaques d’immatriculations des voitures des Serbes du Kosovo, dont le changement pour des plaques kosovares exigé par Pristina avait provoqué un nouvel accès de violence en juillet.

A la suite des négociations pilotées par l’UE, Pristina consent à ne pas introduire au 1er septembre, comme c’était son intention, des permis de séjour pour les personnes entrant au Kosovo avec une carte d’identité serbe, a indiqué M. Borrell sur Twitter, assurant avoir « reçu des garanties » du Premier ministre kosovar Albin Kurti.

En échange, le président serbe Aleksandar Vucic a accepté de supprimer le permis de séjour que Belgrade imposait aux visiteurs détenteurs d’une carte d’identité kosovare pour entrer en Serbie.

Désormais, les autorités serbes et kosovares devraient donc reconnaître mutuellement leurs cartes d’identités.

TAÏWAN – Deux navires de guerre américains sont entrés en transit dans le détroit de Taïwan, a annoncé la marine américaine ce dimanche 28 août, une première depuis des manœuvres chinoises sans précédent près de l’île. Dans un communiqué, , l’US Navy a affirmé que ce passage « démontrait l’engagement des Etats-Unis en faveur d’une région indo-pacifique libre et ouverte ».

Les tensions dans le détroit de Taïwan ont atteint leur plus haut niveau depuis des années, à la suite de la visite de la présidente de la Chambre américaine des représentants Nancy Pelosi début août dans l’île autonome. La Chine a procédé à des manœuvres militaires terrestres et maritimes sans précédent en représailles, et Taïwan a réalisé ses propres exercices pour simuler une défense contre une invasion de la Chine.

La 7e flotte américaine a précisé que les deux croiseurs lance-missiles de classe Ticonderoga, l’USS Antietam et l’USS Chancellorsville, avaient effectué un transit « de routine » « dans des eaux où la liberté de navigation et de survol s’appliquent conformément aux normes internationales ». Elle a souligné que les deux navires avaient emprunté « un couloir du détroit de Taïwan qui se trouve au-delà des eaux territoriales de tout Etat côtier », ajoutant que l’armée américaine se réservait le droit d’« opérer partout où le droit international le permet ».  La 7e flotte est basée au Japon et constitue un élément essentiel de la présence navale des Etats-Unis dans le Pacifique.

VATICAN – C’est un choix important pour l’avenir de l’Église. Des hommes de terrain, de différents continents et sensibles aux « périphéries » : le pape François a créé samedi 27 août vingt nouveaux cardinaux proches de sa ligne, une étape supplémentaire dans la préparation de sa succession.

Sous les dorures de la basilique Saint-Pierre de Rome, en présence de dizaines de cardinaux et de représentants diplomatiques, le souverain pontife a créé vingt nouveaux cardinaux, parmi lesquels seize « électeurs » – ceux qui sont âgés de moins de 80 ans – pourront participer au futur conclave.

Comme de coutume, les nouveaux « princes de l’Église » se sont agenouillés devant le pape pour recevoir leur barrette (coiffe carrée) rouge et leur anneau cardinalice. Seuls 19 d’entre eux étaient toutefois présents, l’archevêque ghanéen Richard Kuuia Baawobr ayant dû être hospitalisé pour un problème cardiaque.

« Un cardinal aime l’Église (…) en traitant les grandes questions, comme en s’occupant des petites ; en rencontrant les grands de ce monde, comme les petits, qui sont grands devant Dieu », a déclaré dans son homélie le souverain pontife, arrivé en fauteuil roulant mais semblant en bonne forme.

La nomination de ces hauts prélats chargés d’assister le pape est scrutée par les observateurs, qui y voient une indication sur la possible ligne du futur chef spirituel du 1,3 milliard de catholiques.

Sensible aux communautés minoritaires, à la fibre sociale et à l’évangélisation, le jésuite argentin s’est affranchi du choix traditionnel d’archevêques de grandes villes, préférant des profils moins attendus.

Le pape François a désormais choisi 83 cardinaux sur le total actuel de 132 électeurs, soit près des deux tiers, la proportion nécessaire pour élire un nouveau pape, même si ce choix est toujours imprévisible.

Avec 40 % des électeurs, l’Europe reste ainsi le continent le plus représenté, devant l’Amérique du Sud et l’Asie (16 % chacune), l’Afrique (13 %) et l’Amérique du Nord (12 %). A peine plus de 20% des catholiques vivent en Europe.

HAÏTI – La crise économique et sociale est si importante à Haïti que les élèves vont devoir patienter avant de retrouver leur salle de classe. Les autorités ont en effet annoncé le report d’un mois de la rentrée scolaire alors que le pays fait face à une flambée des prix, notamment des fournitures scolaires, et à une pénurie de carburant.

« Le ministère de l’Education nationale porte à la connaissance du public que la rentrée des classes pour l’année académique 2022-2023 est désormais fixée au lundi 3 octobre 2022 », au lieu du 5 septembre, indique un communiqué publié vendredi. Le texte ne donne aucune raison à ce report, mais le ministère y affirme qu’un nouveau calendrier scolaire sera rendu public et que le nombre de jours de classe réglementaires sera respecté.

De nombreux Haïtiens se demandaient ces dernières semaines si la rentrée pourrait avoir lieu à la date prévue en raison de l’insécurité, de l’inflation et de la pénurie de carburant, qui complique les déplacements. Au mois de juillet 2022, le taux d’inflation a atteint 29 %, selon les données de l’Institut haïtien de statistique et d’informatique (IHSI). En conséquence, les prix des produits de première nécessité ne cessent de grimper, tout comme ceux des fournitures scolaires.

Si la décision du ministère de l’Education était attendue par beaucoup, le coordonnateur de l’Union nationale des normaliens et éducateurs d’Haïti, Kenson Délice, a déploré que les autorités n’aient pas annoncé de mesures pour permettre une rentrée des classes dans de meilleures conditions d’ici un mois. 

AFGHANISTAN – Le ministre taliban de la Défense a accusé ce dimanche le Pakistan de laisser des drones américains utiliser l’espace aérien pakistanais pour pénétrer dans le ciel afghan.

L’accusation du ministre intervient près d’un mois après l’annonce par le président Joe Biden la mort à Kaboul d’Ayman al-Zawahiri, le chef d’Al-Qaïda, par une frappe de drone américain.

Selon le ministre Mohammed Yaqoub, des drones américains continuent actuellement d’être vus au-dessus de Kaboul, en pénétrant dans l’espace aérien afghan depuis le Pakistan.

«Nos informations indiquent qu’ils (des drones américains) entrent en Afghanistan depuis le Pakistan et utilisent l’espace aérien du Pakistan», a affirmé Mohammed Yaqoub, lors d’une conférence de presse à Kaboul. «Nous demandons au Pakistan de ne pas utiliser son espace aérien contre nous», a-t-il ajouté.

Après la mort de Zawahiri, Islamabad avait nié avoir autorisé les Américains d’utiliser l’espace aérien pakistanais.

FRANCE – Le débat sur la taxation des « super profits » des entreprises s’accélère. Alors que le gouvernement était initialement opposé à une taxation exceptionnelle sur les super profits des entreprises, la première ministre Elisabeth Borne a affirmé samedi dans Le Parisien ne pas « fermer la porte » à ce dispositif, que plusieurs pays européens ont déjà voté, comme en Espagne. 

« Personne ne comprendrait que des entreprises dégagent des profits exceptionnels alors même que les Français peuvent être inquiets pour leur pouvoir d’achat », a affirmé Mme Borne dans sa première interview depuis la pause estivale. Je ne ferme pas la porte à taxer les super profits », a ajouté la Première ministre, qui doit s’exprimer lundi devant le Medef, au moment où les prix flambent partout dans le monde en raison notamment de la guerre en Ukraine.

Mais pour la cheffe du gouvernement, une nouvelle taxe n’est pas l’option prioritaire. « Je pense que les entreprises qui font des super profits doivent rendre du pouvoir d’achat aux Français en mobilisant les dispositifs votés début août » comme le triplement de la prime pouvoir d’achat, dite « prime Macron », sans charges sociales ni fiscalité. 

Certaines entreprises « ont déjà pris des engagements, nous veillerons à ce qu’ils soient respectés. 

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