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Dans le monde ces dernières heures

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Dans le monde, ces dernières heures…
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SYRIE – L’aéroport syrien d’Alep, endommagé par des frappes israéliennes cette semaine, a rouvert vendredi, a-t-on appris de source officielle.

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Selon le ministère des Transports, cité par l’agence de presse officielle syrienne Sana, les travaux de réparation sont achevés et le trafic aérien devait reprendre à la mi-journée après que l’aéroport est resté plus de 72 heures hors service.

Vers 17H30 GMT (20H30 locales), un premier avion civil en provenance du Koweït a atterri à Alep, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), une ONG basée en Grande-Bretagne mais disposant d’un large réseau de sources en Syrie.

Mardi soir, des frappes israéliennes ont, selon Sana, mis hors de service la piste de cet aéroport, le deuxième du pays, déjà touché le 31 août.

L’OSDH avait indiqué que les frappes visaient également un entrepôt dans l’enceinte de l’aéroport utilisé par des milices affiliées à l’Iran et fait état de trois morts.

Ces dernières années, Israël a mené des centaines de frappes aériennes en Syrie, visant des positions du régime ainsi que des forces iraniennes et du Hezbollah libanais, grands alliés de Damas et ennemis jurés d’Israël.

SYRIE – Trois personnes sont mortes du choléra dans des régions de Syrie, ont annoncé samedi 10 septembre les autorités locales kurdes, en appelant à l’aide la communauté internationale pour limiter la propagation de cette maladie. «Un grand nombre de cas de choléra ont été recensés dans des régions des provinces de Raqa (Nord) et de Deir Ezzor (Est)», a indiqué le département de la Santé de l’administration autonome kurde dans un communiqué publié à Qamichli (Nord-Est) où il siège.

D’après l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), la maladie s’est propagée dans l’ouest de la province de Deir Ezzor à travers l’eau potable contaminée, après que les autorités ont cessé de distribuer du chlore aux stations de pompage ces trois derniers mois.

L’ONG a fait état d’un grand nombre de personnes présentant des symptômes de choléra – vomissement, diarrhée et maux de tête.

Après 11 ans de guerre, la Syrie souffre de graves pénuries d’eau, outre la sécheresse. Le conflit a endommagé environ deux tiers des usines de traitement d’eau, la moitié des stations de pompage et un tiers des châteaux d’eau, selon un rapport du Fonds de l’ONU pour l’enfance (UNICEF) datant d’avril.

Près de la moitié de la population dépend de sources d’eau alternatives et souvent insalubres, a déclaré l’UNICEF.

IRAK – L’Irak a reçu des demandes pour augmenter les quantités de pétrole brut qu’il exporte vers l’Asie, a déclaré vendredi à l’agence de presse nationale INA le responsable du marché pétrolier de l’État, SOMO.

La Chine et l’Inde ne renonceront pas au pétrole brut irakien même si le pétrole russe leur est actuellement proposé à un prix réduit, a déclaré Alaa al-Yasiri, ajoutant que son pays exporte toutes les quantités excédentaires de brut qui sont disponibles à l’exportation.

« L’Irak est depuis trois ans le premier fournisseur de pétrole brut à l’Inde …(et à la Chine) mais la Russie sera un concurrent pour nous sur ce marché cette année », a déclaré Yasiri.

IRAN – Les autorités ont opté pour le silence au lendemain du décès d’Elisabeth II alors que beaucoup de jeunes avouaient ignorer tout de la reine d’Angleterre et que d’autres affichaient leur hostilité, accusant son pays d’avoir soutenu le régime du chah.

La télévision d’Etat s’est bornée au strict minimum en annonçant brièvement et sans emphase sa mort et diffusant quelques photos et vidéos d’archives.

« J’ai vu la nouvelle de sa mort sur Instagram, je n’ai rien ressenti et franchement je m’en fiche », confie à l’AFP Haniyeh, une étudiante.

Alors que les télévisions du monde entier ont bouleversé leurs programmes pour annoncer le décès, Faraz, vendeur sur le marché de Tajrich dans le nord huppé de la capitale, assure n’en avoir jamais entendu parler.

« Je n’ai pas la télévision (…) je ne la connais pas », dit ce jeune en servant un client.

Si les Iraniens s’intéressent beaucoup à la politique intérieure et internationale, la plupart en revanche restent indifférents aux familles royales depuis la Révolution islamique de 1979 qui a mis à bas la monarchie.

« Je ne la connaissais pas et je me fiche de sa mort », indique à l’AFP Faezeh, une infirmière de 26 ans.

IRAN – L’Iran a qualifié d’«infondées» les accusations de l’Albanie selon lesquelles Téhéran aurait mené des cyberattaques massives visant ce petit pays des Balkans, qui a décidé mercredi 7 septembre de rompre ses relations diplomatiques avec la République islamique. «Le ministère des Affaires étrangères estime que la décision de ce pays de rompre ses relations diplomatiques avec nous en se basant sur des accusations infondées est une action malavisée et irréfléchie», indique un communiqué officiel iranien.

L’Iran a fermement condamné ce samedi la décision des Etats-Unis d’imposer de nouvelles sanctions contre son ministère des Renseignements accusé d’être responsable de la cyberattaque massive ayant visé l’Albanie.

IRAN NUCLEAIRE – Berlin, Paris et Londres ont exprimé ce samedi leurs « sérieux doutes » sur « l’engagement » de Téhéran à parvenir à un « résultat positif » dans les négociations en cours pour sauver l’accord de 2015 sur le nucléaire.

« Début août, après un an et demi de négociations, le coordinateur du JCPoA (l’accord de 2015, ndlr) a présenté un ensemble de textes finaux qui devait permettre à l’Iran de remplir à nouveau ses obligations au titre du JCPoA et aux Etats-Unis de revenir à l’accord », rappellent les gouvernements des trois pays dans un communiqué commun.

« Dans ce paquet final, le coordinateur a apporté des modifications supplémentaires qui nous ont poussés aux limites de notre flexibilité », soulignent-ils.

« Malheureusement, l’Iran a décidé de ne pas saisir cette opportunité diplomatique décisive » et « poursuit l’escalade de son programme nucléaire bien au-delà de ce qui pourrait être justifié de manière plausible pour des raisons civiles », regrettent Londres, Paris et Berlin.

Téhéran a ainsi récemment demandé une nouvelle fois la clôture d’une enquête de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) concernant des traces d’uranium enrichi retrouvées sur trois sites non déclarés, ce que le patron de l’Agence, Rafael Grossi, refuse.

« Cette dernière demande soulève de sérieux doutes quant aux intentions de l’Iran et à son engagement en faveur d’un résultat positif concernant le JCPoA », font valoir les trois pays.

Selon eux, « la position de l’Iran n’est pas conforme à ses obligations juridiquement contraignantes et compromet les perspectives de rétablissement du JCPoA », conclu en 2015 avec Téhéran par les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Chine et Russie) plus l’Allemagne.

« Notre position reste claire et inchangée. L’Iran doit coopérer pleinement et immédiatement avec l’AIEA, en toute bonne foi », ajoutent-ils.

« Compte tenu du fait que l’Iran ne conclut pas l’accord sur la table, nous discuterons avec nos partenaires internationaux de la meilleure façon de gérer l’escalade nucléaire continue de l’Iran et son manque de coopération avec l’AIEA », préviennent Paris, Londres et Paris.

La dernière réponse de l’Iran dans les négociations en cours est un pas « en arrière », avait déjà estimé vendredi à Bruxelles le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken.

LIBAN – Le médiateur américain dans les pourparlers visant à résoudre un conflit frontalier maritime entre Israël et le Liban a déclaré vendredi que les négociations ont fait de « très bons progrès ».

Amos Hochstein a atterri au Liban vendredi matin pour une série d’entretiens éclair avec de hauts responsables. Il s’est exprimé immédiatement après une réunion avec le président Michel Aoun, le vice-président du parlement Elias Bou Saab et le chef de la Sécurité générale Abbas Ibrahim. Il reste encore du travail à faire et il semble donc que l’accord n’est pas pour demain.

L’armée israélienne a annoncé qu’un drone s’était écrasé en mer Méditerranée à la frontière nord avec le Liban. Le porte-parole a expliqué que la cause du crash était un « dysfonctionnement technique », notant que « l’armée a récupéré le drone , sachant que l’accident faisait toujours l’objet d’une enquête ». Et de poursuivre :  « d’autres drones de ce modèle seront mis hors fonction jusqu’à ce que l’enquête soit terminée ».

ISRAËL – La plus grande chaîne de supermarchés d’Israël, Shufersal, a annoncé jeudi l’ouverture du premier « magasin autonome » du pays, où les clients n’auront pas à faire la queue à la caisse ni à scanner leurs produits aux machines. 

Les paiements seront réglés entièrement de manière numérique, afin de rendre les achats plus rapides pour les clients. 

La technologie utilisée dans le magasin de Shufersal est développée par la start-up israélienne Trigo, qui a également mis au point cette technologie dans la succursale londonienne de High Holborn du détaillant britannique Tesco.

Trigo travaille aussi avec les enseignes allemandes REWE, Aldi NORD, Netto et Wakefern Food Corp. aux États-Unis, a indiqué la société dans un communiqué conjoint avec Shufersal.

Elle utilise une technologie alimentée par l’intelligence artificielle pour transformer les supermarchés en magasins numériques totalement indépendants. Elle utilise également des algorithmes pour les caméras installées au plafond, qui enregistrent automatiquement les mouvements des acheteurs et leurs choix de produits.

CISJORDANIE – Les forces de sécurité israéliennes ont arrêté trois Palestiniens dans la nuit de vendredi à samedi au cours d’une opération où des armes illégales ont été saisies dans toute la Cisjordanie.

Il s’agissait d’une opération conjointe des Forces de défense israéliennes (FDI), de l’agence de sécurité Shin Bet et des gardes-frontières. 

Le raid a eu lieu dans les villages palestiniens de Bir El Basha et de Kabatia. 

Les personnes détenues ont été emmenées pour une enquête plus approfondie par les forces de sécurité.

À l’approche des fêtes juives de la fin du mois, les forces de sécurité israéliennes sont en état d’alerte sur fond de regain de tension en Cisjordanie, alors que l’armée israélienne se prépare à une vaste opération dans le territoire palestinien.

Une source militaire a déclaré vendredi que « les prochains jours seront une période de test. Partout où l’Autorité palestinienne (AP) n’agira pas, Israël interviendra et intensifiera ses actions ».

EGYPTE – Netflix bientôt brouillé en Egypte ? Le Caire a annoncé jeudi la réglementation des plateformes de streaming. Concrètement, les autorités du pays vont leur imposer de se conformer «aux normes et valeurs morales» de l’Egypte avant de délivrer à leurs sites des licences leur permettant d’être diffusé. Dans un communiqué, le Conseil suprême de la régulation des médias indique notamment que «des règles de régulation et des licences pour les plateformes de contenu électronique telles que Netflix et Disney seront mises en place, incluant leur engagement à respecter les normes et valeurs sociétales de l’Etat».

Cet «engagement» obligatoire semble sous-entendre que l’offre de vidéo de ces plateformes ne devra, par exemple, plus proposer de films évoquant des thèmes tabous dans le pays, comme l’homosexualité. «Cette décision s’inscrit dans une tendance d’accentuation de la répression sous Al-Sissi. Cela s’étend à tous les domaines, notamment le numérique avec plus d’une centaine de sites bloqués ces quatre dernières années», explique à Libération Leslie Piquemal, responsable du plaidoyer européen pour le Cairo Institute for Human Rights Studies.

L’Etat égyptien n’a toutefois pas encore précisé quelles seront les modalités d’obtention des licences, ni à quelles sanctions s’exposeront les plateformes en cas de non-respect. 

ETHIOPIE – La première cargaison humanitaire de céréales transportée d’Ukraine par le Programme alimentaire mondial (PAM) est arrivée en Ethiopie. L’aide alimentaire livrée dans le cadre de l’Initiative dite des céréales de la mer Noire, négociée par la Turquie et les Nations unies, permettra de fournir une assistance pendant un mois à plus de 1,5 million de personnes déplacées par la sécheresse et les conflits, a expliqué Stéphane Dujarric, porte-parole principal du Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, lors d’un point de presse tenu ce vendredi.

Il a souligné que les céréales sont actuellement stockées dans l’entrepôt principal du PAM situé dans la ville d’Adama et seront distribuées dans les semaines à venir.

D’autre part, une délégation du gouvernement éthiopien et des représentants tigréens du TPLF se sont retrouvés jeudi pour des pourparlers confidentiels à Djibouti. Ces discussions sont organisées par l’émissaire américain pour la Corne de l’Afrique, Mike Hammer, en déplacement en Éthiopie depuis la semaine dernière.

Les points de discussions restent d’ailleurs les mêmes : principalement la signature d’un cessez-le-feu et la fin du blocus du Tigré. Deux sujets plus épineux seront aussi à surmonter. L’intervention de l’armée érythréenne dans la guerre aux cotes d’Addis-Abeba, et le devenir du Wolkait, une bande de terre disputée à l’ouest du Tigré.

D’après un proche du TPLF, ces discussions devraient durer plusieurs jours.

OUGANDA-RDC – Les autorités congolaises ont annoncé, vendredi, avoir reçu « plusieurs millions de dollars » de l’Ouganda en exécution de l’arrêt de la Cour internationale de justice (CIJ) le condamnant de verser à la RDC des fonds au titre de réparations dues pour l’invasion de l’Est (1998-2003).

Intervenant lors de la réunion du conseil des ministres autour du président Félix Tshisekedi, la ministre de la Justice, Rose Mutombo Kiese, a rappelé qu’en exécution de l’arrêt de la CIJ, Kampala doit verser à Kinshasa 5 tranches annuels de 65 millions USD. « Le premier versement (65 millions) » est intervenu le 1er septembre 2022, d’après la ministre.

« Ces fonds sont logés dans un compte transitoire du ministère de la Justice et Garde des sceaux dans une banque locale », a-t-elle précisé, selon le compte rendu lu par le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, à la télévision d’Etat.

Le compte « ne pourra être actionné qu’après l’opérationnalisation effective du fonds spécial de réparations des activités illicites de l’Ouganda en RDC pour indemniser les victimes et ou leurs ayant droits », selon la même source.

En février dernier, la Cour internationale de justice, avait fixé à 325 millions de dollars le montant des dommages que Kampala doit verser à Kinshasa à la suite de la deuxième guerre du Congo (1998-2003). Les troupes ougandaises étaient intervenues et occupé la province de l’Ituri, riche en or, dans l’Est congolais. Selon la plus haute juridiction de l’ONU, Kampala est responsable de violations du principe de non-ingérence et du droit international humanitaire.

La RDC réclamait plus de 11 milliards de dollars à l’Ouganda.

L’arrêt de la CIJ soulignait que sur l’enveloppe totale, 225 millions USD devront être alloués pour « compenser » les viols et les violences sexuelles « systématiques et à grande échelle », l’enrôlement d’enfants de moins de 15 ans, les déplacements de population et la mort de 10 000 à 15 000 civils imputables à l’armée d’occupation ougandaise.

Pour les destructions matérielles, la CIJ avait fixé les dommages à 40 millions USD et 60 millions USD pour le pillage de l’or, du coltan, du diamant, du café, ainsi que pour l’exploitation forestière et les conséquences sur la faune et la flore.

RDC – Les délégués et experts des pays membres de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) ont signé, jeudi 8 septembre, à Kinshasa, l’accord portant sur le statut de la Force régionale qui sera déployée dans l’Est du pays. Selon les autorités, il s’agit d’une avancée majeure dans le déploiement de cette Force.

La cérémonie de signature officielle s’est déroulée en présence du président congolais Félix Tshisekedi et du secrétaire général de cette organisation sous-régionale, Peter Mathuki.

L’accord fixe le délai des opérations à six mois renouvelables. 

Il détermine le régime des facilités fiscales et administratives réservé aux contingents. Ce document, que les autorités congolaises qualifient d’historique, fixe également le régime des immunités ainsi que le code de bonne conduite. L’accord va plus loin dans les détails et définit aussi le mode de règlement des différends sur le terrain ainsi que la gestion des dommages collatéraux qui peuvent surgir pendant les opérations. 

Félix Tshisekedi a mis l’accent sur cette question, a dit à RFI le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula: « Le président a insisté sur la nécessité, lors des opérations, de protéger la population, de respecter les droits de l’homme ainsi que la nécessité d’une coordination entre tous les participants avec notamment le soutien de la Monusco qui est présente aujourd’hui sur le terrain. » 

Concernant les pays contributeurs, le chef de la diplomatie congolaise a précisé le rôle que jouera le Rwanda, accusé de soutenir les combattants du M23 : « Le Rwanda va se déployer à l’intérieur de son territoire, le long de la frontière pour protéger sa frontière. Il ne viendra pas à l’intérieur de la RDC. Le Kenya va déployer ses unités dans le Rutshuru au Nord-Kivu. »

On sait aussi que les Burundais dont les troupes sont déjà en RDC, s’occuperont des groupes armés localisés dans la province du Sud-Kivu. Les Ougandais qui sont déjà engagés sur le sol congolais, resteront en Ituri. De leur côté, les Sud-Soudanais seront déployés au Nord du pays dans l’ex-province orientale.

KENYA – Les recettes touristiques du Kenya ont plus que doublé pour atteindre 167,1 milliards de shillings (1 milliard de dollars) de janvier à août, contre 83 milliards de shillings pour la même période il y a un an, a déclaré vendredi le ministre du Tourisme et de la Faune, Najib Balala.

M. Balala a déclaré dans un communiqué que ces gains étaient le résultat d’une augmentation de 91 % du nombre de visiteurs internationaux, qui a atteint 924 812, en partie grâce à une reprise après la pandémie, et prévoit une forte croissance jusqu’à la fin de l’année.

Le tourisme, ainsi que l’horticulture, le thé et les transferts de fonds sont les principales sources de devises du Kenya. (1 $ = 120,2000 shillings kenyans)

MALAWI – L’Initiative des religions unies (URI) a appelé à la consolidation de la paix et à la coexistence entre les politiciens, les chefs traditionnels et les jeunes.

Geoffrey Manase, coordinateur pays de l’URI, a lancé cet appel vendredi à Lilongwe lors d’une réunion de dialogue avec les parties prenantes sur la résolution des conflits.

Manase a déclaré que l’organisation cherchait à contrer les discours de haine parmi les dirigeants du pays.

« Les discours de haine apportent le désordre à la nation parce que les gens croient tout ce qui est dit par leurs dirigeants », a-t-il déclaré.

Manase a déclaré que l’organisation voulait contrer ces discours et apporter la paix qui est vitale pour le développement socio-économique de la nation.

Si le Malawi veut réaliser le programme 2063, alors il devrait valoriser la paix comme le principal moteur du développement, car s’il n’y a pas de paix, la nation ne peut pas se développer, a-t-il déclaré.

Le coordinateur des programmes des étudiants de l’Université musulmane, Sheikh Ahmed Chenda, a déclaré que malgré les différences, les gens doivent se rassembler et coexister.

« Il est essentiel de se rassembler en tant que personnes venant d’horizons différents pour atténuer les discours de haine dans notre pays », a-t-il déclaré.

Chenda a déclaré que la plupart du temps, les conflits se produisent par le biais de discours de haine entraînant des conflits et des guerres.

L’ancienne conseillère du Parti démocrate progressiste (DPP) pour le quartier 1 de Chinsapo, Monica Singini, a assuré qu’elle utiliserait son influence pour prêcher la paix et non des discours de haine lors de ses réunions avec des gens, en particulier des jeunes.

AFRIQUE DU SUD – Eskom, la compagnie d’électricité sud-africaine, sera contrainte d’augmenter les coupures de courant prévues ce week-end après des pannes supplémentaires pendant la nuit, a déclaré la compagnie samedi.

Après avoir prévu des coupures allant jusqu’à 3 000 mégawatts (MW), Eskom a déclaré qu’elle devrait passer à des coupures de phase 4 allant jusqu’à 4 000 MW jusqu’à 5 heures lundi.

Les coupures de phase 4 signifient que les foyers et les entreprises ne disposant pas de leurs propres générateurs n’auront pas d’électricité pendant six heures par jour, ce qui aura un impact sur l’utilisation des appareils et le commerce.

« Malheureusement, en raison de pannes supplémentaires au cours de la nuit, Eskom n’a pas été en mesure de reconstituer les réserves de génération d’urgence, ce qui a aggravé les contraintes actuelles de capacité de génération », a-t-il déclaré.

Elle a ajouté que l’escalade des coupures de courant a pour but de reconstituer les réserves d’urgence afin de contenir les coupures de courant à des niveaux inférieurs la semaine prochaine.

Les centrales électriques vieillissantes d’Eskom fonctionnent principalement au charbon et sont très sujettes aux pannes.

Le gouvernement du président sud-africain Cyril Ramaphosa a tenté de réformer Eskom pour la rendre plus efficace, mais les progrès sont lents.

Sur une capacité totale du parc d’environ 46 000 MW, Eskom a actuellement 5 579 MW en maintenance planifiée et 16 599 MW indisponibles en raison de pannes.

AFRIQUE DU SUD – Un tribunal sud-africain a annulé vendredi la suspension jugée « inappropriée » de la cheffe du principal organe de lutte contre la corruption, décidée par le président Cyril Ramaphosa après l’ouverture d’une enquête publique le visant dans le cadre d’une sombre affaire de cambriolage.

« La décision du président était inappropriée » et « la suspension peut avoir été une mesure de rétorsion et donc contraire à la loi », a déclaré la Haute cour du Western Cape dans une décision dont l’AFP a eu copie.

« La suspension de la requérante est donc annulée de manière effective à compter de la date de la décision », a conclu le tribunal.

M. Ramaphosa avait suspendu en juin la médiatrice de la République, Busisiwe Mkhwebane, à la tête du principal organe chargé de la lutte contre la corruption du pays, au lendemain de l’annonce par cette dernière de l’ouverture d’une enquête publique le visant.

M. Ramaphosa, 69 ans, est accusé d’avoir dissimulé à la police et au fisc un cambriolage datant de 2020 dans une de ses propriétés, au cours duquel d’importantes sommes en espèces ont été trouvées, cachées dans du mobilier.

KOSOVO – Les puissances occidentales veulent rapidement un accord sur le Kosovo, afin d’éviter un autre conflit en Europe et demandent à la Serbie de choisir son camp dans le contexte de la guerre en Ukraine, a déclaré samedi le président serbe Aleksandar Vucic.

Après avoir rencontré vendredi soir à Belgrade Emmanuel Bonne et Jens Plötner, les conseillers diplomatiques du président français Emmanuel Macron et du chancelier allemand Olaf Scholz, le chef de l’Etat serbe a convoqué samedi le Conseil national pour la sécurité, pour discuter de leurs messages.

« Les représentants des pays européens les plus puissants, qui nous ont dit avoir aussi le soutien des Etats-Unis et de la Turquie, considèrent que, dans les conditions d’une guerre déjà existante en Europe, il n’y a pas besoin de nouveaux conflits et qu’il est important de parvenir le plus vite possible à une solution » pour le Kosovo, a déclaré M. Vucic en conférence de presse.

Les deux émissaires ont proposé à la Serbie « une nouvelle armature des pourparlers », a dit le président serbe, à savoir, selon lui, « beaucoup plus d’activités, de tentatives, de pressions ».

La Serbie ne reconnaît pas l’indépendance que son ancienne province à majorité albanaise a proclamée en 2008.

Depuis, la région est le théâtre de frictions épisodiques. Le Nord du Kosovo, où vit une importante minorité serbe, avait de nouveau été secoué en juillet par des violences.

Le Kosovo a été reconnu par une centaine de pays, dont les Etats-Unis et la plupart des pays de l’Union européenne (UE), mais pas par la Russie et la Chine.

MEXIQUE – La Garde Nationale du Mexique est passée vendredi sous le contrôle de l’armée, résultat d’une réforme législative contestée par les Nations Unies et les organisations de défense des droits de l’homme qui dénoncent la militarisation de la sécurité publique.

Le Sénat a définitivement adopté cette réforme prévoyant le rattachement au ministère de la Défense de la Garde nationale, une force de police avec un commandement civil, pour notamment lutter contre le narcotrafic.

Même si ses 115.000 membres sont principalement des militaires, elle dépendait jusqu’ici du ministère de la Sécurité.

Votée par les députés le 3 septembre, la réforme a été adoptée par 71 voix pour, 51 contre et une abstention, a annoncé le Sénat sur son compte Twitter.

Cette réforme suscite un vif débat au Mexique, le président étant accusé de vouloir militariser le pays, ce dont il se défend. L’opposition et les organisations de défense des droits de l’homme l’estiment contraire à la Constitution et les parlementaires d’opposition devraient la contester devant la Cour suprême.

La Haute-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme par intérim, Nada Al-Nashif, a depuis Genève qualifié cette décision de « revers pour la sécurité publique fondée sur les droits de l’homme ». Cela laisse le pays « sans force de police civile au niveau fédéral, ce qui consolide davantage le rôle déjà prépondérant des forces armées dans la sécurité publique », a-t-elle ajouté.

La Garde nationale est un corps de sécurité créé en 2019 par le président de gauche Andres Manuel Lopez Obrador après son arrivée au pouvoir fin 2018 pour combattre le crime organisé. Elle venait remplacer la Police fédérale qui, durant ses dix années d’existence, a été entachée par des allégations de corruption et de violations des droits humains.

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