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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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David Govrin rappelé à son poste à Rabat suite à de graves accusations

MAROC-ISRAËL – David Govrin a affirmé dans un article publié dimanche que les allégations de harcèlement sexuel portées contre lui ont été inventées par le haut responsable de la sécurité du bureau de liaison. Le chef du bureau de liaison israélien à Rabat, également accusé de malversations financières et administratives, a été rappelé la semaine dernière par le ministère des Affaires étrangères de son pays, rappelle Israel Noticias.

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Dans une lettre adressée au ministère israélien des Affaires étrangères, révélée par Ynet, l’avocat de Govrin, Dror Matityahu, a soutenu que son client est victime de diffamation de la part du haut responsable de la sécurité de la mission diplomatique à Rabat, Ran Metzuyanim, qui ne cherche qu’à nuire au diplomate avec qui il s’est disputé.

Metzuyanim « a contacté de nombreux médias et mené une campagne de diffamation, insultante et offensante contre l’ambassadeur », a souligné l’avocat dans sa lettre, précisant que Govrin a déposé en février une plainte contre Metzuyanim pour utilisation abusive du véhicule de sécurité de la mission. En avril, le diplomate a mal noté Metzuyanim, avançant qu’il n’était pas qualifié pour le poste et que le garder causerait un « préjudice diplomatique ».

Selon de hauts responsables du ministère des Affaires étrangères, il est peu probable que Govrin retourne à son poste à Rabat. Quatre employés du bureau de liaison ont dû partir en raison des mauvaises relations de travail avec Govrin qui est par ailleurs accusé de détournement d’un cadeau inestimable offert par Mohammed VI pour la fête de l’indépendance d’Israël.

SYRIE – Les autorités libanaises auraient contribué à arrêter un médecin syrien travaillant pour l’agence de renseignement israélienne du Mossad, a rapporté samedi le média Al-Akhbar, affilié au Hezbollah.

Selon les informations relayées, Moaeen Youssef, 53 ans, a été arrêté le mois dernier après que les renseignements libanais ont recueilli des informations à son propos en suivant ses comptes sur les réseaux sociaux. Les renseignements recueillis suggéraient que le médecin récoltait des informations sur les réseaux d’égouts et les infrastructures d’approvisionnement en eau de la Syrie, ainsi que sur les réseaux routiers de Damas. 

Lors de son interrogatoire, Moaeen Youssef aurait déclaré avoir vécu en Suède, où il était à la tête du service de néphrologie d’un hôpital de Stockholm. Il a affirmé avoir reçu un mail en 2018 d’un homme nommé « Christopher », lui proposant un rôle dans un projet de purification de l’eau en Syrie. 

Il serait entré en Syrie via le Liban, selon Al-Akhbar .

Moaeen Youssef se serait fait passer pour un employé d’une entreprise factice chargée de purifier l’eau de la Syrie, afin de recueillir des renseignements pour Israël. Il aurait été missionné par le Mossad pour prendre des photos de l’emplacement de réservoirs d’eau et de sites utilisés pour le traitement de l’eau.

Il aurait également recruté ses deux frères – des officiers à la retraite des forces armées syriennes – pour travailler pour l’agence de renseignement israélienne. 

Le médecin aurait rencontré à plusieurs reprises des agents du Mossad à Stockholm, à Prague, à Milan et à Rome, où il aurait reçu des appareils de télécommunication pour transférer des données à l’agence israélienne. 

Lors de l’une de ces rencontres en Italie en 2019, le Mossad aurait proposé de fournir de l’argent pour une usine appartenant au père de Moaeen Youssef, dans l’espoir de recruter sa famille, selon le rapport. Le Mossad aurait également envoyé des cadeaux à son père ainsi qu’à un autre de ses frères. 

SYRIE – Le chef adjoint du Centre de réconciliation russe a annoncé vendredi 9 septembre la liquidation en Syrie de plus de 20 membres armés du Front al-Nosra, dont un chef de milice takfiriste originaire du Kirghizstan.

« Selon les informations dont nous disposons, le bombardement par l’armée de l’air russe de l’un des camps de militants à Idlib, le 8 septembre, a conduit à la liquidation du chef du groupe armé Brigades Tawhid wal Jihad, connu sous le nom d’Abou Salah al-Ouzbeki. Il est impliqué dans l’organisation d’attentats terroristes contre les forces et les infrastructures gouvernementales en Syrie », a déclaré aux journalistes le général de division Oleg Yegorov.

Il en a découlé de l’attaque selon lui « la liquidation de plus de 20 membres de haut rang de l’organisation du Front al-Nosra, qui sont chargés de la préparation au combat des militants et de l’organisation de l’activité financière et administrative ».

Âgé de 30 ans et originaire du Kirghizstan, Abou Salah n’est autre que Serajeddine Moukhtarov.

Selon Nedaa Post, un site d’information de l’opposition syrienne pro occidentale, il est venu en Syrie en 2015 et y a rejoint le front al-Nosra au sein duquel il a fondé la brigade ouzbek. Il a par la suite pris les rênes de la milice al-Tawhid wal Jihad, qui faisait partie de Hayat Tahrir al-Cham (HTC/HTS), une nouvelle appellation adoptée par le front al-Nosra, la branche d’al-Qaida en Syrie, après avoir soi-disant coupé ses liens avec cette nébuleuse, pour éviter d’être sanctionné par l’ONU qui la classe dans sa liste des organisations terroristes.

Irak: 11 pèlerins iraniens et leur chauffeur tués dans une collision |  Arabnews fr

IRAK – Onze pèlerins iraniens et leur chauffeur irakien ont péri dimanche dans un accident de la route dans le centre de l’Irak, la collision de leur véhicule avec un camion ayant provoqué un incendie, ont indiqué des responsables. Dimanche, sur une route de la province de Babylone, au sud de Bagdad, un minibus conduit par un Irakien et transportant des pèlerins iraniens a percuté un camion en stationnement, a indiqué à l’AFP le porte-parole des autorités sanitaires de la province, Ahmed al-Jibouri. La collision a provoqué un incendie, selon un responsable des autorités routières à Bagdad, précisant que certains corps ont été calcinés.

«Onze Iraniens sont morts sur le coup ainsi que le chauffeur irakien», a précisé Ahmed al-Jibouri, évoquant lui aussi un incendie. Quatre pèlerins blessés se trouvent dans un état critique, a-t-il précisé. Le chauffeur du camion en stationnement a été interpellé, a précisé Ahmed al-Jibouri.

Selon des statistiques officielles, près de deux millions de pèlerins iraniens sont entrés en Irak pour visiter la ville sainte de Kerbala à l’occasion de l’Arbaïn, un des plus grands rassemblements religieux au monde qui marque le 40e jour de deuil pour le martyre de l’imam Hussein, petit-fils du prophète Mahomet et figure fondatrice de l’islam chiite.

IRAN NUCLEAIRE – Téhéran est toujours prêt à coopérer avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) pour «balayer» les doutes soulevés par cette dernière sur le caractère pacifique du programme nucléaire de Téhéran, a indiqué lundi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères. «La République islamique est prête à coopérer avec l’AIEA pour balayer les fausses impressions concernant ses activités nucléaires pacifiques», a déclaré le porte-parole, Nasser Kanani, lors de sa conférence de presse hebdomadaire.

Cette déclaration intervient alors que la réunion du Conseil des gouverneurs de l’AIEA s’ouvre lundi à Vienne. L’agence onusienne avait indiqué mercredi «ne pas être en mesure de garantir» que le programme iranien soit «exclusivement pacifique». En cause, «l’absence de progrès» sur la question de trois sites non déclarés, où des traces d’uranium ont été découvertes par le passé, selon un rapport confidentiel de l’AIEA consulté par l’AFP. L’Iran a dénoncé jeudi ce rapport comme «sans fondement».

LIBAN – Selon des informations obtenues par Entreprendre, une délégation saoudienne de premier rang a rencontré à Paris la semaine dernière de hauts fonctionnaires français en charge des dossiers libanais et Moyen-Orientaux.

Les deux délégations ont tenu une série de réunions consacrées au Liban et à l’aide qui pourrait être apportée au pays, en proie à une crise économique et financière désastreuse.

Selon nos sources, la délégation saoudienne a réaffirmé, sans ambiguïté, sa position sur l’aide financière envisagée par le FMI pour le Liban.

Pour Ryad, représentant l’ensemble des pays du Golfe, il n’est pas question de débourser 1 centime tant que l’axe iranien continue de diriger le Liban. 

L’approche saoudienne consiste à prioriser donc la dimension politique dans le règlement de la crise, jusque-là occultée par le plan du FMI et son principal parrain, la France. Le royaume pose donc des « préalables stricts » à son engagement.

Il exige, d’abord, l’élection d’un président de la République souverainiste et non porté par le parti-milice pro iranien, le Hezbollah, comme cela avait été le cas en 2016 pour l’élection du Président actuel Michel Aoun. 

Il exige ensuite la formation d’un gouvernement tout aussi souverain. Il exige enfin, le retour du Liban, aujourd’hui tourné vers l’Iran, dans son environnement arabe naturel.

Aucun de ces trois points n’est actuellement réunis.

LIBAN-ISRAËL – Le chef d’État-major de l’armée israélienne, Aviv Kochavi, a menacé dimanche soir « le gouvernement libanais et le Hezbollah », affirmant qu’ils « subiront les conséquences en cas d’atteinte à la souveraineté d’Israël, à ses intérêts et à sa population ».

Menaces israéliennes au Liban et au Hezb - Ici Beyrouth

« Au Liban, c’est le Hezbollah, classé par de nombreux pays comme étant une organisation terroriste, qui agit », a poursuivi Aviv Kochavi lors de la cérémonie de passation de pouvoir au commandement régional du Nord. « Il a déjà pris le contrôle de plusieurs parties du Liban. Pratiquement, c’est la partie qui définit la politique sécuritaire du Liban. »

Aviv Kochavi a en outre constaté que sur le plan sécuritaire, « le Hezbollah a pris le Liban en otage » et que celui-ci « paie un double prix sur le plan sécuritaire et économique ». Par conséquent, a-t-il estimé, la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies n’est pas appliquée. Il a dénoncé à cet égard la présence massive de l’arsenal militaire du Hezbollah au Liban-Sud, dans la banlieue sud et la Bekaa.

ISRAËL – Le chef du Mossad, David Barnea, a affirmé ce lundi que les services de renseignements israéliens ont déjoué récemment des dizaines d’attaques terroristes iraniennes à l’étranger, lors de la conférence annuelle de l’Institut pour la politique antiterroriste à l’Université Reichman de Herzliya.

« Le régime de Téhéran enfreint les règles tout en exploitant cyniquement les principes de l’islam. C’est un régime qui prône la violence comme moyen légitime. Ce ne sont pas des actions aléatoires, c’est du terrorisme d’État, planifié, systématique et stratégique », a-t-il affirmé.

David Barnea a énuméré quelques-uns des attentats terroristes déjoués par le Mossad, et a mentionné, entre autres, la tentative d’attaquer des hommes d’affaires israéliens à Chypre, ainsi que des touristes et des diplomates israéliens en Turquie.

Le chef du Mossad a par ailleurs expliqué que l’Iran est « une république qui utilise le terrorisme pour ses propres besoins. Le terrorisme n’est pas utilisé pour protéger ses citoyens, mais pour avoir du pouvoir et contrôler le régime ».

Il a par ailleurs expliqué qu’Israël ne participerait pas à la « mascarade » d’un nouvel accord sur le nucléaire entre les puissances mondiales et l’Iran, avertissant que l’accord qui se dessine n’offrirait « aucune immunité » à Téhéran face aux opérations de l’agence d’espionnage.

« L’accord est basé sur des mensonges iraniens. L’Iran a cherché à construire une arme nucléaire qui met en danger l’existence d’Israël. L’accord les aidera facilement à atteindre cet objectif en bénéficiant d’une légitimation internationale », a déclaré M. Barnea dans son premier discours public depuis son arrivée à la tête du Mossad en juin 2021. « La signature de l’accord nucléaire signifie que le régime terroriste recevra immédiatement environ 6 milliards de dollars, en plus des 90 milliards de dollars la première année. Si même une seule partie de ces sommes va au terrorisme, alors notre défi et celui du monde pour le contrer sera énorme. C’est l’une des faiblesses évidentes de l’accord », a-t-il souligné.

ISRAËL – Le bureau national des statistiques israélien va commencer à publier des données sur les différences socio-économiques entre les Juifs d’origine ashkénaze ou européenne, et ceux d’origine « mizrahi » ou d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, a rapporté vendredi le site d’information JTA.

Cette décision, qui intervient après des décennies de rétention des données sur le sujet, devrait permettre d’en apprendre davantage sur les écarts de richesse, d’éducation et d’autres facteurs entre ces deux groupes.

Historiquement, et dans une large mesure encore, les juifs ashkénazes ont peuplé les classes supérieures d’Israël, tandis que les juifs mizrahi ont été globalement plus pauvres, les politiques discriminatoires des premières années d’Israël étant responsables de cette inégalité. Ce schéma se reflète dans le paysage électoral israélien et façonne la politique du pays. Selon le JTA, des recherches récentes estiment qu’en 2018, seuls environ 15 % des Juifs israéliens âgés de 25 à 43 ans sont d’origine mixte. La proportion d’Israéliens d’origine mixte semble augmenter, mais il pourrait falloir des décennies pour qu’ils deviennent majoritaires.

Par ailleurs, 21 700 adolescents israéliens sont en décrochage scolaire et ne fréquentent aucune structure éducative reconnue, selon un rapport publié par le Centre de recherche et d’information de la Knesset.   

Parmi ces jeunes de 13 à 17 ans qui ont quitté l’école, 28% étudiaient auparavant dans des établissements orthodoxes, 25% dans ceux du secteur arabe, 20% dans le secteur laïc et 6% dans les établissements publics religieux. 

Égypte : Des déclarations sur la COP27 suggèrent l'intention de restreindre  l'activisme | Human Rights Watch

EGYPTE – A quelques semaines de la COP27 de Charm El-Cheikh. Human Rights Watch accuse, lundi 12 septembre, les autorités égyptiennes d’imposer « des obstacles » au travail des groupes de défense de l’environnement égyptiens. « Ces restrictions violent les libertés de réunion et d’association et menacent la capacité de l’Egypte à respecter ses engagements en matière d’environnement et d’action climatique, alors qu’elle accueillera la COP27 en novembre », affirme l’ONG dans un communiqué.

Si Le Caire s’érige en champion de la lutte pour le climat et se présente comme porte-voix de l’Afrique en appelant les pays développés à respecter leurs engagements financiers pour aider le continent à s’adapter au changement climatique, pour un des environnementalistes anonymes cités par HRW, « c’est parce que c’est dans l’intérêt [de l’Egypte], notamment en termes de financements ».

L’ONG appelle ainsi « les Etats participant à la COP27, à travailler avec les autorités égyptiennes pour assurer une participation des diverses composantes de la société civile durant la conférence sur le climat ». Les autorités égyptiennes n’ont en effet cessé de museler toute forme d’opposition, de presse indépendante ou de militantisme en ligne depuis l’arrivée au pouvoir du président Abdel Fattah Al-Sissi en 2013.

ETHIOPIE – Reprise du conflit dans le nord, sécheresse historique et inflation persistante : les Ethiopiens n’avaient pas grand-chose à fêter, dimanche 11 septembre, à l’occasion du passage à la nouvelle année.

Sur un marché aux bestiaux d’Addis-Abeba, les multiples crises auxquelles est confronté le deuxième pays le plus peuplé d’Afrique étaient dans toutes les bouches. « Comme vous pouvez le voir maintenant, tout est cher. S’il y avait la paix, ce ne serait pas comme ça », expliquait samedi à l’AFP un commerçant, Endashew Denekew, à la veille des célébrations du nouvel an éthiopien, connu sous le nom d’Enkutatash : « Les gens sont restés à la maison et ne sont pas venus au marché pour vendre leur bétail. »

Ce lundi, la communauté internationale a appelé à saisir « l’opportunité » de paix en Ethiopie, après que les rebelles du Tigré se sont dits prêts à négocier avec le gouvernement sous l’égide de l’Union africaine pour mettre fin à la guerre dans le nord du pays. Dans un communiqué diffusé dimanche soir, les autorités tigréennes issues du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF) se sont dites, en effet, disposées « à participer à un processus de paix robuste sous les auspices de l’Union africaine » (UA).

Elles avaient jusqu’à présent toujours rejeté la médiation de l’envoyé spécial de l’UA, l’ancien président nigérian Olusegun Obasanjo, dénonçant sa « proximité » avec le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed.

KENYA – Le président élu lors des élections générales du 9 aout dernier William Ruto prêtera serment ce mardi. La cérémonie se déroulera au centre sportif international Moi, à Kasarani dans le comté de Nairobi.

L’équipe du président élu a interdit aux médias locaux de couvrir l’inauguration présidentielle, offrant les droits de diffusion exclusifs à Multichoice Kenya Ltd, une filiale du groupe sud-africain de télévision.

L’annonce a suscité des protestations de la part des journalistes locaux et des organisations de médias, le principal journal Daily Nation accusant le président élu de gâcher « des occasions de se montrer digne d’un homme d’État ».

Les radiodiffuseurs locaux recevront donc le flux en direct du contractuel.

Si les détails du contrat n’ont pas été rendus publics, les précédentes inaugurations présidentielles ont été couvertes conjointement par les médias locaux, sans frais pour le gouvernement.

L’équipe de communication de M. Ruto a défendu cette décision, affirmant que la filiale du groupe sud-africain « fournira un canal pour le reste de l’Afrique ».

Elle a accusé les médias locaux de partialité à l’égard de M. Ruto, soulignant la couverture critique de ses campagnes et de sa coalition Kenya Kwanza (Kenya First).

Rwanda: construction de la première ville verte en Afrique en 2020

RWANDA – Le gouvernement du Rwanda lance la phase pilote du projet « Green City Kigali ». Conçue en 2020, mais interrompue par le Covid-19, l’initiative permettra la mise en place d’infrastructures urbaines durables, notamment des logements écologiques pour environ 8 000 personnes dans la capitale Kigali.

Entre technologies, véhicules électriques, énergies renouvelables, gestion durable des déchets et forêts urbaines, aucune dimension écologique n’échappe au « Green City Kigali ». Ce projet de ville verte couvrant une superficie de 620 hectares dans la banlieue de Kinyinya Hill, entre dans sa phase pilote. C’est dans ce cadre que le Fonds vert du Rwanda (Fonerwa) a désigné le cabinet Feilden Clegg Bradley Studios (FCBStudios), en vue de la réalisation du plan directeur du Green City Kigali. L’entreprise d’ingénierie basée au Royaume-Uni travaillera sur une partie du site (16 hectares), en partenariat avec l’Institut royal des architectes britanniques.

Le projet d’une valeur totale de 5 milliards de dollars bénéficie du soutien financier de plusieurs partenaires à l’instar de l’Agence allemande de développement (KfW) et du Fonds vert pour le climat (GCF). Le Green City Kigali abritera 1,7 million de logements construits à partir de matériaux locaux et alimentés à l’énergie solaire. Ces édifices seront également connectés à un système de collecte des eaux usées et pluviales.

« Le Rwanda s’est engagé à promouvoir des villes durables et la ville verte de Kigali démontrera qu’il est possible d’assurer un développement urbain durable à grande échelle. Il servira sans aucun doute de catalyseur de changement, non seulement au Rwanda, mais aussi dans la région », affirme Teddy Mugabo, le directeur général du Fonds vert du Rwanda qui prévoit également de construire des établissements commerciaux et des bureaux connectés, afin d’y accueillir des entreprises « innovantes ».

MADAGASCAR – Au moins neuf personnes sont mortes dans une collision à Madagascar entre deux bateaux sur le fleuve Loza, près de la ville d’Antsohihy (dans le nord-ouest), a-t-on appris ce lundi auprès des autorités maritimes. 

Dimanche vers 17h (16h, heure française), un navire de marchandises a heurté une vedette transportant 35 personnes, dont des enfants, qui a coulé immédiatement. Neuf morts ont été recensés, tandis que certains passagers ont pu regagner les rives, selon des témoins. « Nous ne savons pas encore ce qu’il est advenu des autres passagers », a expliqué Jean-Edmond Randrianantenaina, directeur général de l’Autorité de gestion maritime et portuaire (APMF). Les opérations de sauvetage se poursuivaient.

Le boutre de marchandises est rentré dans la vedette en bois, mesurant huit mètres long, selon les premiers éléments de l’enquête. « L’accident pourrait être dû à l’absence d’éclairage de la vedette », a avancé Jean-Edmond Randrianantenaina. 

« Le navire de marchandises s’est enfui après la collision, mais nous l’avons rattrapé » dans la nuit, a-t-il ajouté, précisant que l’équipage était interrogé par les gendarmes.  

AFRIQUE DU SUD – Au moins une personne a été tuée et plusieurs blessées après l’effondrement d’un barrage minier à Jagersfontein, dans le centre de l’Afrique du Sud. L’accident a provoqué des inondations. Une rivière de boue et d’eau s’est écoulée de la mine de diamants désaffectée vers une zone résidentielle.

« Des maisons et des voitures » ont été emportées, a déclaré dimanche Palesa Chubisi, porte-parole du Premier ministre de la province de l’Etat-Libre, Sisi Ntombela, dans un communiqué.

Les autorités locales ont d’abord déclaré que trois corps avaient été retrouvés, puis ont revu ce chiffre à la baisse en évoquant une personne tuée. Le ministre sud-africain des Ressources minérales et énergétiques, Gwede Mantashe, a, lui, déclaré qu’il pourrait y avoir jusqu’à cinq morts, que quatre personnes étaient portées disparues et que quatre autres étaient dans un état critique.

« Neuf maisons ont été emportées et 20 autres ont été détruites. C’est une catastrophe », a-t-il ajouté lors d’une conférence de presse en ligne. Plus tôt, Palesa Chubisi avait indiqué que quarante personnes, dont une femme enceinte, avaient été évacuées vers des hôpitaux locaux.

Autrefois propriété du géant de l’extraction de diamants De Beers, la mine avait été acquise en 2010 par le consortium Superkolong, selon le gouvernement, qui l’a décrite comme étant désormais « abandonnée ». La cause de l’effondrement du barrage n’est pas encore connue.

NORVEGE GAZ – La Norvège, devenue le premier fournisseur de l’Europe en gaz naturel à la place de la Russie, est « sceptique » à l’égard d’un plafonnement du prix du gaz prôné par une majorité de pays-membres de l’UE, a affirmé ce lundi son Premier ministre, Jonas Gahr Støre.

Plafonner le prix du gaz ? La Norvège est sceptique - L'EnerGeek

« Nous sommes d’accord pour avoir un dialogue encore plus étroit avec l’UE à l’avenir concernant les différentes propositions qui sont sur la table », a dit M. Støre dans un communiqué, diffusé après un entretien téléphonique avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

« Nous abordons les discussions avec l’esprit ouvert mais nous sommes sceptiques à l’égard d’un prix maximum pour le gaz », a-t-il ajouté. « Un prix maximum ne changera rien au problème fondamental, à savoir qu’il y a trop peu de gaz en Europe ».

Réunis vendredi à Bruxelles, les ministres européens de l’Energie s’étaient dits favorables à une série de mesures d’urgence pour enrayer la flambée des factures de gaz et d’électricité, certains évoquant même un plafonnement du prix des importations de gaz dans l’UE.

Si la Commission européenne a proposé de plafonner le prix du gaz en provenance de Russie, plusieurs Etats dont l’Italie préconisent un plafonnement complet des prix du gaz acheté par l’UE, y compris le gaz naturel liquéfié (GNL).

La Norvège, qui a largement tiré parti de la flambée des cours exacerbée par l’invasion de l’Ukraine par la Russie, s’était jusqu’à présent montrée discrète sur la question d’un plafonnement du prix, renvoyant la balle aux compagnies pétrolières chargées de négocier les contrats.

Le pays scandinave a récemment supplanté la Russie au rang de premier fournisseur de gaz vers l’Europe grâce à une hausse de 8% de ses propres livraisons et, surtout, à la chute des livraisons russes.

AZERBAIDJAN – Les exportations de gaz de l’Azerbaïdjan vers l’Europe ont bondi de plus de 30% cette année, a annoncé ce lundi Bakou, devenu l’un des fournisseurs de substitution du Vieux Continent qui cherche à se passer de la Russie.

L’Azerbaïdjan, pays du Caucase riche en hydrocarbures, a « livré 7,3 milliards de mètres cubes » de gaz à l’Europe au cours des huit premiers mois en 2022, a annoncé sur Twitter le ministre azerbaïdjanais de l’Energie, Parviz Chahbazov.

Au total, Bakou va livrer 12 milliards de mètres cubes de gaz à l’Europe en 2022, soit un volume supérieur de 31% par rapport aux quantités fournies l’an dernier, selon la même source.

En juillet, la cheffe de la Commission européenne Ursula von der Leyen s’était rendue en Azerbaïdjan pour convaincre Bakou de livrer davantage de gaz à l’Europe, qui cherche à réduire sa dépendance au gaz russe dans le contexte du conflit en Ukraine.

Mme von der Leyen et le président azerbaïdjanais Ilham Aliev avaient convenu de doubler « en quelques années » le volume de gaz vendu à l’Europe par Bakou.

GUINEE – Mamady Doumbouya, chef de la junte et de l’Etat en Guinée, est visé par une plainte déposée jeudi à Paris pour « complicité de torture » et « d’homicides volontaires » par les opposants du Front national de défense de la constitution (FNDC), a appris l’AFP ce lundi de source proche du dossier.

Les plaignants sont le FNDC, une coalition d’opposition composée de partis, de syndicats et d’organisations de la société civile, ainsi que les familles de trois personnes « tuées par balle » dans des manifestations anti pouvoir et d’une décédée en détention, entre fin juillet et mi-août .

« Les circonstances de ces faits permettent de mettre en évidence la participation du colonel Mamady Doumbouya, dont on peut penser qu’il a a minima participé par le biais des ordres donnés aux militaires dont il contrôle les agissements », soulignent les plaignants. Ils demandent à la procureure de Paris d’ouvrir une enquête, « d’autant plus indispensable au regard de l’absence de toute perspective crédible de poursuites à l’endroit de la junte militaire en Guinée, en l’absence d’indépendance des juridictions nationales ».

La justice française est selon eux compétente car d’après leurs « éléments », « le colonel Mamady Doumbouya aurait la nationalité française ». Deux sources, proches de l’actuelle et l’ancienne présidences, ont confirmé à l’AFP que M. Doumbouya avait bien cette nationalité depuis plusieurs années.

M. Doumbouya a en outre servi dans la Légion étrangère, et il est mariée à une Française.

TCHAD – La junte militaire a annoncé dimanche que la convocation par la justice du principal leader de l’opposition, après la répression violente de rassemblements de ses partisans, était suspendue, en attendant la fin d’un dialogue de réconciliation nationale.

Tchad: l'opposant Succès Masra fait plier la junte militaire

Cette annonce intervient au moment où la communauté internationale s’émeut du sort fait aux manifestants et appelle le Conseil militaire de transition (CMT), qui a pris le pouvoir il y a 16 mois, à respecter le principe des « libertés publiques », dans le cadre du processus de transition vers des élections promis par les généraux.

Succès Masra, jeune président des Transformateurs, l’un des plus virulents partis de l’opposition, était convoqué vendredi par le procureur de la République de N’Djamena, quelques jours après que plus de 200 de ses partisans ont été arrêtés dans des rassemblements violemment dispersés. Son domicile, qui est aussi le siège de son parti, avait alors également été encerclé par les forces de l’ordre.

M. Masra avait commencé à cheminer vendredi pour répondre à cette convocation, suivi par des centaines de partisans, mais la police a violemment dispersé le cortège, contraignant l’opposant à faire demi-tour.

INDE – Le premier ministre indien Narendra Modi participera la semaine prochaine à un sommet régional qui, selon Moscou, donnera lieu à des discussions en tête-à-tête entre les présidents russe Vladimir Poutine et chinois Xi Jinping, a annoncé dimanche 11 septembre le gouvernement indien.

La réunion des États membres de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), qui se veut un contrepoids à l’influence occidentale et qui comprend, outre la Chine, la Russie et l’Inde, quatre pays d’Asie centrale (Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan et Tadjikistan) et le Pakistan, doit se dérouler à Samarcande, dans le sud-est de l’Ouzbékistan, les 15 et 16 septembre. Dans son communiqué, le gouvernement indien n’a pas précisé si Narendra Modi aurait des entretiens bilatéraux avec Vladimir Poutine, Xi Jinping ou, pour la première fois depuis qu’il est devenu en avril le premier ministre du Pakistan, avec Shehbaz Sharif.

NOUVELLE CALEDONIE – Le ministre délégué chargé des Outre-mer, Jean-François Carenco, a déclaré lundi qu’il n’y aurait pas de « référendum de projet » mi-2023 afin de valider un nouveau cadre juridique du territoire, comme promis par son prédécesseur Sébastien Lecornu.

« On peut pas dire: « Je viens écouter au nom de M. Darmanin, Mme Borne et du président de la République+ et dire +c’est comme ça » (…). Non, il n’y aura pas de référendum de projet là (…) en juillet/septembre 2023 », a déclaré M. Carenco, interrogé sur la chaîne locale Calédonia.

L’ancien ministre des Outre-mer, Sébastien Lecornu, avait promis un « référendum de projet » pour juin 2023, afin de valider un nouveau cadre juridique du territoire.

Cependant, depuis le référendum remporté par les partisans de la France fin 2021 mais boycotté par les indépendantistes, les discussions entre les partenaires de l’accord de Nouméa sont au point mort.

Le calendrier paraissait d’ailleurs difficile à tenir, les indépendantistes ayant décidé de ne pas se rendre au comité des signataires, instance de suivi de l’accord de Nouméa, souhaité par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin en septembre-octobre. Ils avaient également rappelé à la veille de la visite de M. Carenco, qu’ils ne discuteraient que « sur la date de la pleine souveraineté et le droit à la décolonisation ».

Un retour rapide des indépendantistes autour de la table des négociations semble d’autant plus compromis que le mouvement indépendantiste FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste) traverse actuellement une phase de turbulences, en raison d’un désaccord entre ses deux principales composantes, le Palika et l’Union calédonienne sur la place à accorder au parti communautaire l’Eveil océanien, qui défend les intérêts de l’importante communauté wallisienne du territoire.

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