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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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dans INTERNATIONAL, Les infos du jour
Dans le monde, ces dernières heures…
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MAROC-FRANCE – Clap de fin pour Hélène Le Gal. Presque trois ans jour pour jour après sa nomination au poste d’ambassadrice de France au Maroc en septembre 2019, l’ambassade vient d’officialiser le départ de la diplomate de 55 ans.

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Pakistan: au moins onze morts dans une bousculade lors d’une distribution d’aumônes pour le ramadan

Son séjour à Rabat a été marqué par la dégradation des relations entre le royaume et l’Hexagone sur fond de polémiques, notamment celles liée à l’affaire Pegasus et à la position de la France sur le Sahara occidental.

Le Maroc réclame désormais un soutien direct et univoque sur ce qu’il considère comme « ses provinces du Sud », et aimerait voir l’Élysée s’aligner sur les positions américaine et espagnole.

Conformément à ce qui avait fuité dans la presse, celle qui fut aussi l’ancienne conseillère Afrique de François Hollande posera ses valises à Bruxelles, où elle prendra la tête du département Moyen-Orient et Afrique du Nord du Service européen pour l’action extérieure (SEAE), équivalent du ministère des Affaires étrangères de l’Union européenne (UE).

Contacté par Jeune Afrique, le SEAE confirme que la désormais ex-ambassadrice entrera en fonction en octobre. En attendant la nomination de son successeur, l’intérim est assuré par Arnaud Pescheux, nommé ministre conseiller à l’ambassade au mois d’août dernier.

SYRIE – Des soldats israéliens ont brièvement pénétré lundi 19 septembre en territoire syrien et tiré sur des «suspects qui jetaient des objets» par-dessus de la barrière frontalière, dans la zone de Haspin sur le plateau du Golan occupé, faisant un blessé, a indiqué l’armée. Israël a conquis en 1967 et annexé une partie du plateau du Golan syrien, région stratégique aussi limitrophe du Liban et patrouillé par ses soldats.

Lundi matin, «des soldats ont repéré quatre suspects qui lançaient des objets le long de la clôture frontalière», a déclaré l’armée dans un communiqué, sans préciser la nature des objets lancés. «Les soldats ont traversé la frontière pour arrêter les suspects et ont tiré sur l’un d’eux, le blessant à la jambe», a ajouté la même source. Le suspect blessé, dont l’état de santé n’a pas été précisé, «a été évacué par hélicoptère vers un hôpital», a poursuivi l’armée israélienne qui ne mentionne pas le sort des trois autres individus.

IRAN – Téhéran n’exclut pas la possibilité de discussions sur une relance de l’accord de 2015 sur son programme nucléaire en marge de l’Assemblée générale des Nations unies, dont le débat général s’ouvre cette semaine, a déclaré lundi le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani.

Les pourparlers indirects entre l’Iran et les Etats-Unis peinent depuis des mois à franchir les derniers obstacles permettant de relancer cet accord entre Téhéran et les grandes puissances internationales encadrant les activités nucléaires iraniennes en échange d’une levée des sanctions contre la République islamique.

« Ali Bagheri Kani, le négociateur en chef sur les questions nucléaires, sera présent à (…) l’Assemblée générale au sein de la délégation mais il n’y a pas de projet spécifique d’avoir des discussions sur l’accord nucléaire. Cependant, je n’exclus pas la possibilité de discussions portant sur l’accord nucléaire », a dit Nasser Kanaani.

Il a toutefois exclu la possibilité d’une rencontre bilatérale entre l’Iran et les Etats-Unis alors que les deux pays n’ont plus de relations diplomatiques depuis 1979. Dans une interview diffusée dimanche par CBS, le président iranien Ebrahim Raïssi a déclaré que l’Iran était prêt à s’engager sérieusement dans une relance de l’accord de 2015 s’il obtenait la garantie qu’aucun futur président américain ne s’en retirerait.

LIBAN – Des manifestants observaient ce lundi matin un sit-in devant le Palais de justice de Beyrouth, bloquant l’autoroute de Adlié dans les deux sens en début d’après-midi, en solidarité avec Mohammad Roustom et Abdel Rahim Zakaria. Les deux hommes sont arrêtés pour avoir pris part au braquage de la Blom Bank en apportant leur soutien à la déposante Sali Hafez, auteure de l’opération, le 14 Septembre dernier. Le dossier des deux détenus a été transféré lundi au procureur général près la Cour de cassation, le juge Ghassan Oueidate, qui doit décider soit de les remettre en liberté, soit de les déférer devant le premier juge d’instruction de Beyrouth.

Sur place, les tensions couvent entre les manifestants et les forces de l’ordre, soutenues par l’armée, et des accrochages chroniques ont lieu. Alors que les contestataires tentaient d’entrer par la force dans l’enceinte de l’établissement, trois bus transportant des agents de la police antiémeute ont été dépêchés sur place en fin de matinée en guise de renforts.

Ce sit-in prolongé laissait présager d’une escalade dont menacent d’ailleurs les manifestants.

La série de braquage de banques n’est pas sans faire craindre une récupération politique dans un contexte d’effondrement socio-économique sujet à toute forme d’instrumentalisation, et où les incidents sécuritaires itinérants se font d’ailleurs de plus en plus fréquents.

Ce lundi, la livre a poursuivi sa chute, s’échangeant à 38 600 LL pour un dollar en début d’après-midi.

ISRAËL – Gadi Eisenkot, l’ancien chef d’état-major de Tsahal qui se présente avec le parti de l’Unité nationale, déclare que, bien qu’il soutienne les blocs des implantations, il considère que la solution à un seul Etat serait désastreuse pour Israël.

« Ceux qui veulent démanteler l’Autorité palestinienne […] pour retourner au Gush Katif à Gaza, provoqueront, à mon avis, un désastre pour l’État d’Israël », a déclaré M. Eisenkot lors d’un événement de campagne dans un lycée de l’implantation d’Efrat, en Cisjordanie.

M. Eisenkot croit qu’Israël doit empêcher la création d’un État binational et chercher à « mettre fin au conflit israélo-palestinien » en citant, les trois « étapes les plus significatives » pour réduire le conflit : les accords d’Oslo, l’accord d’Hébron et le désengagement de Gaza.

Néanmoins, il dit qu’il soutient la « valeur » des implantations sans pour autant soutenir les avant-postes illégaux, qui doivent être démantelés, selon lui.

Suite à ses remarques, la leader du Foyer juif, Ayelet Shaked, et le député du sionisme religieux, Ofir Sofer, ont fustigé l’ex-militaire affirmant que ses commentaires prouvent que le chef du parti, Benny Gantz, est « dangereusement à gauche ».

ISRAËL – Depuis le début de l’année, 47 attaques planifiées dans la capitale ont été déjouées, a annoncé dimanche le chef de la police de Jérusalem, Doron Turgeman.

Selon M. Turgeman, il s’agit d’un chiffre particulièrement élevé (une moyenne de 2 attaques déjouées par semaine) qui démontre les opérations intensives des forces de l’ordre qui opèrent dans tous les quartiers de la ville et autour de Jérusalem.

M. Turgeman a affirmé que l’escalade de la violence en Cisjordanie ne peut être ignorée, de sorte que la préparation doit être adaptée aux informations et alertes de risque d’attaques provenant des agences de renseignement.

Cependant, il a souligné qu’il n’y avait aucune raison de modifier les plans concernant les visites à Jérusalem pendant les fêtes juives, car les préparatifs de la police -2000 agents mobilisés- assureront une sécurité maximale.

La police estime que le nombre de visiteurs sur le Mont du Temple augmentera pendant les vacances et se prépare à ce que des militants musulmans viennent provoquer des troubles.

IRAN-ISRAËL – Dans une interview accordée à l’émission américaine 60 minutes, Ebrahim Raïssi a mis en doute la réalité de la Shoah et a qualifié Israël de « faux régime ».

Selon lui, il y a « certains signes » qui prouvent l’existence de la Shoah. Invité de l’émission américaine 60 minutes pour sa première interview à un média occidental, le président iranien Ebrahim Raïssi a remis en question la réalité de l’Holocauste.

Lorsque la journaliste américaine Lesley Stahl lui demande si selon lui, six millions de Juifs ont bel et bien été exterminés, sa réponse semble assez vague:

« Les événements historiques doivent être examinés par des Historiens. ll y a certains signes que cela s’est produit. Si c’est le cas, ils devraient permettre que cela soit étudié et recherché », estime-t-il.

Il lui est ensuite demandé s’il soutient le droit d’Israël à exister en tant qu’Etat, ce à quoi le dirigeant iranien répond: « Le peuple de Palestine, qui a été forcé de quitter ses maisons et sa patrie, c’est cela la réalité ». Il assure également que les Etats-Unis soutiennent « ce faux régime » dans le but de « s’enraciner et s’établir dans la région. »

ETHIOPIE – La folie des paris sportifs défraye la chronique en Ethiopie. Passés au stade de véritable addiction chez de nombreux jeunes Ethiopiens, ceux-ci se trouvent désormais dans le viseur des autorités, qui menacent tout simplement de les interdire. Fin juin, le responsable de la jeunesse au ministère des affaires sociales, Abebe Haimanot, lançait un avertissement aux opérateurs lors d’une interview à la télévision nationale. Les jeux d’argent provoqueraient « une crise sociale » qui « décourage les jeunes de travailler et d’être maîtres de leurs vies », et « entraîne des dépressions et des pensées suicidaires ». Le ministère souhaiterait donc y mettre un terme, sans préciser à quelle échéance.

La tâche s’annonce ardue. Le gouvernement devra faire face à la pression des lobbies de jeux d’argent mais aussi à celle de la population, alors que la pratique des paris sportifs s’est profondément ancrée dans les mœurs et le paysage éthiopien en un peu moins d’une décennie. Partout en ville, dans la capitale Addis-Abeba ou en province, les boutiques bourgeonnent à chaque coin de rue. Il y en a plus de 2 000 à travers l’Ethiopie.

Seulement, est-il aujourd’hui possible pour l’Ethiopie de se passer d’une telle manne financière, alors que le pays s’enfonce dans le marasme économique à cause de l’inflation et de la guerre civile menée depuis deux ans contre les rebelles du Tigré ? Le secteur des paris sportifs emploie à lui seul plus de 5 000 travailleurs et génère près de 4 millions de dollars (4 millions d’euros) de recettes fiscales annuelles.

KENYA-MAROC – Nouveau rebondissement dans l’affaire du retrait par le Kenya de sa reconnaissance de la «République arabe sahraouie démocratique (RASD)». Le ministère des Affaires étrangères a souligné, dans une note portant la signature de son secrétaire général, Macharia Kamau, que «la position du Kenya concernant la République arabe sahraouie démocratique est pleinement alignée sur la décision de l’Organisation de l’unité africaine (ancien nom de l’Union africaine) d’admettre la RASD en tant que membre le 22 août 1982 et sur la Charte de l’Union africaine».

Et de préciser, comme un pied de nez au président Ruto, qu’il «convient également de noter que le Kenya ne mène pas sa politique étrangère sur Twitter ou sur toute autre plate-forme de médias sociaux, mais plutôt par le biais de documents et de cadres officiels du gouvernement».

Le texte adressé, le 16 septembre, aux ambassades et représentations d’organisations internationales accréditées à Nairobi, a pour objectif de corriger l’ «erreur constitutionnelle» du président Ruto. Le vice-président de la république, Rigathi Gachagua, a confirmé pour sa part la publication de la note du ministère des Affaires étrangères, indiquant, dans une interview à la chaîne KTN News, que la position de son pays sur la question de la reconnaissance de la «RASD» est «en phase avec celle de l’Union africaine. La clarification a été faite. »

RDC – les propos du Secrétaire Général des Nations Unies, dans une interview diffusée le dimanche 18 septembre sur les antennes de deux médias français France 24 et RFI, feront certainement couler beaucoup d’encre et de salive en RD Congo. Pour cause, la veille de l’ouverture de la 77ème session ordinaire de l’Assemblée générale de l’unique organisation intergouvernementale politique au niveau universel, à laquelle prendra part, en présentiel, le Président Félix Tshisekedi, António Guterres a, du point de vue congolais, jeté le pavé dans la marre : « les Nations unies ne sont pas capables de battre le M23. La vérité, c’est que le M23 aujourd’hui est une armée moderne, avec des équipements lourds qui sont plus perfectionnés que les équipements de la Monusco », a-t-il fait savoir.  « Ces équipements viennent de quelque part. Ils ne sont pas nés dans la forêt », a poursuivi le secrétaire général sans répondre à la question du journaliste qui lui demandait si ce matériel venait du Rwanda. Le chef de l’administration onusienne soutient que « l’essentiel, c’est de trouver une discussion sérieuse entre le Congo, le Rwanda et l’Ouganda pour qu’on puisse avoir une perspective conjointe pour éviter cette permanente situation qui nous fait toujours, quand on a un progrès, revenir en arrière. Il faut que ces pays se comprennent mutuellement et il faut que ces pays coopèrent effectivement pour la sécurité de l’est du Congo, et aussi pour les garanties de sécurité, il ne faut pas l’oublier, du Rwanda et de l’Ouganda ». 

MADAGASCAR – Plusieurs établissements scolaires privés ont décidé de supprimer les classes de Première pour alléger leurs charges. Les lycéens passent alors directement à la Terminale après la classe de Seconde alors que le second cycle se fait normalement en trois ans. D’après le président d’une association de directeurs d’écoles privées cité par L’Express de Madagascar, cette pratique est assez courante dans les établissements scolaires avec un faible effectif. « Ce n’est pas rentable, si l’effectif des élèves est faible. Les frais de scolarité des élèves ne permettront pas de couvrir les charges fixes, notamment les salaires des enseignants, et les charges variables comme les craies. », a expliqué la même source.

Le phénomène se serait développé, en ce moment en particulier au cours de cette rentrée. « C’est logique, face au contexte actuel », a renchéri un directeur d’école. Face à la crise économique liée à l’inflation, l’effectif des élèves du primaire à la classe terminale aurait largement baissé en cette nouvelle année scolaire. Les chefs d’établissement ont évoqué la précarité des ménages, mais ils dénoncent également les cours d’appui qui ont favorisé cette baisse d’effectif dans les écoles. Une situation qui inquiète beaucoup les enseignants. « Cela ne sera pas sans conséquence. Les connaissances des élèves ne seront jamais complètes, même s’ils arrivent à décrocher le diplôme du baccalauréat avec ce système. », alerte un directeur d’école. Selon une source auprès du ministère de l’Éducation nationale, la suppression d’une classe dans un établissement scolaire est pourtant interdite.

INSOLITE – Un large sourire aux lèvres, Rocio Fernandez-Clemente arpente ses champs de pistachiers parfaitement alignés sur la terre rougeâtre et argileuse de son village de Corral de Almaguer, dans la province espagnole de Tolède (Castille-La Manche). Sur le dernier bout de terrain qu’elle a acheté, cette ancienne coiffeuse madrilène reconvertie à l’agriculture vérifie la croissance des greffes qu’elle vient d’effectuer sur les troncs de cornicabra – « un arbre autochtone très résistant au climat », explique-t-elle au journal Le Monde.

Plus loin, elle admire les généreuses grappes de fruits qui pendent des branches des arbres adultes qu’elle a plantés il y a maintenant douze ans. « Dans vingt jours, nous pourrons commencer la récolte », conclut cette pionnière, ce vendredi 9 septembre, sans cacher sa satisfaction. Cette année encore, celle-ci promet d’être excellente.

La culture des pistachiers connaît un véritable essor en Espagne. Le royaume est devenu, l’an dernier, le premier pays d’Europe en superficie cultivée, devant l’Italie et la Grèce. Entre 2013 et 2021, la surface agricole consacrée à ce fruit importé majoritairement en Europe d’Iran et de Californie a décuplé, passant de 5 000 à 55 000 hectares, cultivés à près de 90 % en Castille-La Manche.

Signe de cet engouement, le 7 septembre, à Argamasilla de Alba, dans la province de Ciudad Real, le groupe IberoPistacho, spécialisé dans les services aux producteurs, a inauguré « la plus grande usine de transformation de pistaches d’Europe ». D’ici à 2024, celle-ci sera capable de sécher 6 000 tonnes de pistaches durant la campagne de récolte, qui s’étend sur une vingtaine de jours par an. Et partout dans les champs de la communauté autonome, c’est l’effervescence.

Sur les sols pauvres et arides de cette région du centre de l’Espagne, soumise à un climat extrême – des hivers glacials et des étés torrides aux pluies rares –, les agriculteurs ont longtemps pensé ne pas avoir d’alternative aux vignes, oliveraies et céréales, dont les immenses champs s’étendent à perte de vue. Ce climat rude, pourtant, est idéal pour le pistachier, un arbre résistant, très peu gourmand en eau, qui a besoin d’un hiver froid et d’un été chaud, et dont les fruits, réputés pour leurs bienfaits nutritionnels, se vendent sur le marché de gros entre 7 et 10 euros le kilo en ce moment, et dépassaient les 15 euros, en 2021.

« Quand, en 2010, j’ai décidé de planter des pistachiers sur les 17 hectares de terres céréalières que mon père m’avait légués, tout le monde m’a pris pour une inconsciente. A présent, cette femme de 41 ans compte 32 hectares et 7 000 pistachiers cultivés en agriculture biologique, dotée d’une faible irrigation d’appoint, auxquels elle se consacre seule avec son mari, ancien ouvrier dans une usine de jambon, et deux personnes en renfort pour la récolte.

TAÏWAN – La Chine a dénoncé ce lundi une « grave violation » des promesses diplomatiques de Washington après des propos du président américain Joe Biden qui a assuré que les Etats-Unis défendraient Taïwan en cas d’intervention chinoise.

Lors d’une interview diffusée ce weekend, la chaîne américaine CBS a demandé à M. Biden si « des Américains défendraient Taïwan en cas d’invasion chinoise ». Il a répondu: « oui, si une attaque sans précédent venait à se produire ».

La Chine estime que Taïwan, peuplée de 23 millions d’habitants, est l’une de ses provinces qu’elle n’a pas encore réussi à réunifier avec le reste de son territoire depuis la fin de la guerre civile chinoise (1949).

En sept décennies, l’armée communiste n’a jamais pu conquérir l’île, laquelle est restée sous le contrôle de la République de Chine – le régime qui gouvernait jadis la Chine continentale et ne gouverne plus aujourd’hui que Taïwan.

Ces propos de Joe Biden constituent « une grave violation de l’engagement important des États-Unis à ne pas soutenir l’indépendance de Taïwan », a réagi Mao Ning, une porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.

« Cela envoie un mauvais signal, grave, (de soutien) aux forces séparatistes militant pour l’indépendance de Taïwan », a-t-elle souligné devant la presse.

Par trois communiqués conjoints signés en 1972, 1979 et 1982, les Etats-Unis s’étaient notamment engagés à reconnaître le gouvernement de Pékin comme seul représentant légitime de la Chine.

Washington a ainsi coupé ses liens diplomatiques avec Taipei en 1979.

Sollicité par l’AFP, un porte-parole de la Maison blanche a affirmé dimanche que la politique des Etats-Unis à l’égard de Taïwan n’« avait pas changé ». 

AFGHANISTAN – ETATS-UNIS – Les talibans ont remis ce lundi aux États-Unis un vétéran de la marine américaine détenu depuis plus de deux ans, en échange de la libération d’un membre clé du régime taliban, a déclaré le ministre des Affaires étrangères taliban.

« Aujourd’hui, Mark Frerichs a été remis aux États-Unis et Haji Bashir nous a été remis à l’aéroport de Kaboul », a déclaré Amir Khan Muttaqi, lors d’une conférence de presse dans la capitale afghane.

Bashir Noorzai, chef de guerre afghan et membre des talibans emprisonné à vie aux États-Unis pour trafic d’héroïne, est arrivé à Kaboul dimanche soir, ont indiqué plusieurs responsables du gouvernement afghan.

Le porte-parole du gouvernement, Zabihullah Mujahid, a expliqué à l’AFP que Bashir Noorzai n’occupait pas de poste officiel au sein des talibans, mais qu’il avait « apporté un soutien important, y compris des armes », lors de l’émergence du mouvement dans les années 1990.

COSTA RICA – Au moins neuf personnes -trois femmes et six hommes- ont été tuées au Costa Rica quand l’autocar qui les transportait a basculé dans un ravin après un glissement de terrain provoqué par de fortes pluies, a annoncé dimanche le porte-parole de la Croix-Rouge costaricienne Andres Alvarez.

Le véhicule a chuté samedi dans un ravin, profond de 75 mètres, au col El Hundimiento à Cambronero, à environ 80 km à l’ouest de la capitale, San José.

Un motocycliste, décédé dans l’accident, ainsi qu’une voiture ont également été entraînées dans le vide, a précisé la Croix Rouge.

Une cinquantaine de personnes, dont le chauffeur de l’autocar, ont été secourues et sont en vie, selon les services de la Sécurité sociale costaricienne. Les opérations de secours se sont terminées dimanche en début d’après-midi.

L’autocar faisait la liaison entre la capitale San José et la province de Guanacaste et transportait environ 47 personnes, a indiqué au quotidien costaricien La Nacion le propriétaire de la compagnie d’autobus, German Alfaro. La Croix Rouge avait auparavant estimé le nombre de passagers à une soixantaine.

Des images diffusées par les services de secours montrent l’épave de l’autocar au fond du ravin de cette région montagneuse où les opérations de sauvetage ont été particulièrement difficiles.

Le président costaricien Rodrigo Chavez a annoncé lors d’une conférence de presse dimanche trois jours de deuil national.

POLOGNE-HONGRIE-UE – La Pologne a assuré qu’elle s’opposera à « toute démarche » de Bruxelles visant à priver la Hongrie de 7,5 milliards d’euros de financements européens en raison de risques de corruption dans ce pays.

La Commission européenne a pointé dimanche des « irrégularités » et « carences » dans les procédures hongroises de passation des marchés publics, la proportion « anormalement » élevée de candidatures uniques pour ces contrats, ainsi que le manque de contrôle des conflits d’intérêt et de poursuites judiciaires en cas de soupçons de fraude.

« La Pologne va s’opposer de toute force à toute démarche des institutions européennes visant à priver de fonds un pays membre, en l’occurrence la Hongrie, de manière absolument non autorisée », a déclaré le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki lors d’un point de presse.

Le chef du gouvernement nationaliste-populiste polonais, lui aussi en conflit avec Bruxelles qui l’accuse de non-respect de l’Etat de droit, a rappelé que son homologue et allié hongrois Viktor Orban avait déjà préparé « un projet d’accord avec la Commission européenne ». La Commission a accordé quelques semaines de délai à Budapest pour mener des réformes.

L’exécutif européen a suggéré au Conseil, institution représentant les Etats membres à qui revient la décision finale, de suspendre 65% des fonds de trois programmes liés à la politique de cohésion, ce qui représente 7,5 milliards d’euros.

JAPON – Le typhon Nanmadol, l’une des plus grosses tempêtes à frapper le Japon depuis des années, a apporté lundi des vents violents et des précipitations record dans certaines parties du pays, tuant au moins une personne, perturbant les transports et poussant certaines entreprises à suspendre leurs activités.

Ce 14e typhon de la saison au Japon a touché terre près de la ville de Kagoshima dimanche soir, avant de frapper l’île de Kyushu et de traverser sur l’île principale de Honshu. Une rivière de la préfecture de Miyazaki, dans le sud de Kyushu, a débordé, inondant des champs et des routes, selon les images de la chaîne publique NHK. NHK a rapporté qu’un homme a été tué lorsque sa voiture a été submergée par une rivière en crue et que les pompiers tentaient de déterminer si un homme se trouvait à l’intérieur d’une cabane qui a été ensevelie par un glissement de terrain.

Au moins 69 personnes ont été blessées, selon NHK. Le ministère du Commerce a indiqué que quelque 340.000 foyers, la plupart à Kyushu, étaient privés d’électricité lundi matin, tandis que la compagnie ferroviaire Kyushu Railway a déclaré avoir interrompu ses activités à Kyushu. Japan Airlines et ANA Holdings ont annulé environ 800 vols, selon NHK. 

Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a reporté à ce mardi son départ pour New York, où il doit prononcer un discours à l’Assemblée générale des Nations unies, afin de regarder de plus près l’impact de la tempête, ont rapporté les médias. 

CLIMAT – Les réserves mondiales de combustibles fossiles contiennent l’équivalent de 3 500 milliards de tonnes de gaz à effet de serre, qui seraient libérées si elles étaient utilisées et mettraient à mal les objectifs climatiques internationaux, selon un inventaire inédit publié lundi 19 septembre. Cette quantité correspond à ce qui serait libéré dans l’atmosphère si les réserves de pétrole, de gaz et de charbon étaient totalement produites et utilisées, selon un registre mondial créé par le think tank britannique Carbon Tracker et l’ONG américaine Global Energy Monitor.

Cela équivaut à « plus que toutes les émissions produites depuis la révolution industrielle » et « plus de sept fois le budget carbone restant pour respecter la température limite de 1,5 °C », précisent les auteurs. Cette notion de « budget » carbone renvoie à la quantité de CO2 pouvant être émise pour un résultat donné, en l’occurrence l’objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris sur le climat.

Ce registre, qui contient les données sur plus de 50 000 sites dans 89 pays, a pour ambition de fournir aux dirigeants politiques et à la société civile les informations nécessaires pour gérer la sortie progressive de ces énergies fossiles. Il montre notamment que les Etats-Unis et la Russie détiennent chacun suffisamment de réserves de combustibles fossiles pour faire exploser l’ensemble du budget carbone mondial, même si tous les autres pays cessaient immédiatement leur production. Il identifie également la source d’émissions la plus puissante dans le monde : le champ pétrolier de Ghawar, en Arabie saoudite.

TRUMP – Devant des milliers de ses partisans réunis dans l’Ohio, l’ancien président a fustigé samedi soir la « décadence » des Etats-Unis sous Joe Biden dont il s’obstine toujours à contester l’élection. A l’approche des élections des mi-mandat, Donald Trump continue d’alimenter les mensonges sur les fraudes à l’élection présidentielle de 2020. « On a perdu dans leur imagination », a-t-il lancé. Mais l’essentiel du discours a été un tableau apocalyptique de l’Amérique, transformée depuis son départ, à l’en croire, en mendiant énergétique, en puissance militaire humiliée en Afghanistan, en foyer d’inflation et en terre d’endoctrinement scolaire des enfants. En somme, une Amérique décadente. Les démocrates « sont contre Dieu, les armes, le pétrole, les forces de l’ordre, l’identification des électeurs, les baisses d’impôts et la suppression de régulations, la Constitution et nos Pères fondateurs », a égrené Donald Trump.

La machine MAGA fonctionne à plein régime. Mais les cadres républicains redoutent, sans piper mot, la volonté de Trump de prendre le volant de la campagne, comme si toutes les victoires potentielles lui revenaient de droit. « JD me lèche le cul, tellement il veut mon soutien », a lancé l’ancien président, narquois, à l’attention de JD Vance, candidat pour le poste de sénateur dans l’Ohio. En réalité, ce dernier, engagé dans une lutte serrée contre le démocrate Tim Ryan, n’a guère réclamé sa présence. 

ELIZABETH II – La Grande-Bretagne, des dirigeants et des monarques du monde entier ont rendu ce lundi un dernier hommage à la reine Elizabeth II, décédée le 8 septembre à l’âge de 96 ans, lors de funérailles nationales fastueuses à Londres.

Les portes de Westminster Hall, où était exposé le cercueil, ont été fermées au public à 06h30 ce matin (heure de Londres), après quatre jours au cours desquels des centaines de milliers de personnes sont venues rendre hommage à la défunte souveraine, constituant des files d’attente de plusieurs kilomètres dans la capitale britannique.

Ensuite, le cercueil de chêne, sur lequel étaient déposés l’étendard du Royaume-Uni et la couronne impériale d’apparat, a été transporté vers l’abbaye de Westminster sur un affût de canon. Le roi Charles III , ses frères Andrew et Edward, sa sœur Anne, ses fils William et Harry, ainsi que d’autres membres de la famille royale ont suivi le cortège jusqu’à l’abbaye Westminster où se déroulent les couronnements, les mariages et les enterrements des monarques britanniques depuis près de 1.000 ans.

Quelque 500 chefs d’Etat, dont le président français Emmanuel Macron, le président américain Joe Biden, l’empereur du Japon Naruhito ou encore le vice-président chinois Wang Qishan, font partie des 2.000 personnes conviées aux obsèques. 

La cérémonie s’est conclue par le « Last Post », la sonnerie aux morts en usage dans les armées du Commonwealth, et deux minutes de silence seront observées à travers le Royaume-Uni.

Le cercueil d’Elizabeth II, décédée dans son château de Balmoral, en Ecosse, a été ensuite transporté jusqu’à l’arc de Wellington, avant d’être conduit au château de Windsor , à l’ouest de Londres, pour une cérémonie dans la chapelle Saint-Georges. Les dépouilles d’Elizabeth II et de son époux, le prince Philip, décédé l’an dernier à l’âge de 99 ans, ont été inhumées dans la soirée dans la chapelle du mémorial du roi George VI, lors d’une cérémonie privée.

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