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Dans le monde ces dernières heures

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Dans le monde, ces dernières heures…
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Maroc: saisie de plus de 2 millions de pilules de captagon destinées à  l'Afrique de l'Ouest

MAROC – La police marocaine a annoncé avoir saisi vendredi plus de deux millions de pilules de captagon, une drogue de synthèse de la famille des amphétamines, et déjoué «une tentative de trafic international» de psychotropes dans le port de Tanger-Med, sur la côte nord du royaume.

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Selon la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), la cargaison de drogue était «dissimulée à l’intérieur d’un conteneur de marchandises, à bord d’un navire de transport maritime battant pavillon d’un pays européen en provenance du Liban et à destination d’un pays de l’Afrique de l’Ouest». Ni le pays européen ni le pays africain n’ont été identifiés.

«Les perquisitions (…) ont permis la découverte et la saisie de substances psychotropes dissimulées à l’intérieur de barils contenant des produits de consommation, soit au total 2.018.500 comprimés de Captagon», a précisé un communiqué de la DGSN, sans autre détail. Une enquête est en cours à Tanger. Si le Maroc est classé comme le premier producteur de cannabis au monde selon l’ONU, et une plaque tournante de la contrebande de kif vers l’Europe, les saisies d’amphétamines y sont rares jusqu’à présent.

IRAN – De nouvelles manifestations d’étudiants accompagnées de grèves dans les commerces ont eu lieu samedi en Iran en dépit d’une répression accrue, selon des défenseurs des droits humains, sept semaines après la mort de Mahsa Amini. 

 Les forces de sécurité ont usé d’une nouvelle méthode pour réprimer des manifestations dans des universités de Téhéran, fouillant les étudiants et obligeant ceux qui portaient des masques à les enlever, selon des militants. Malgré cela, des étudiants ont manifesté à l’Université Islamique de Machhad, dans le nord-est de l’Iran, criant «je suis une femme libre, vous êtes les pervers», selon une vidéo publiée par la BBC Persian. «Un étudiant meurt, mais n’accepte pas l’humiliation», criaient les étudiants à l’université de Gilan, à Rasht, dans le nord de l’Iran, sur une vidéo mise en ligne par un militant. L’AFP n’a pas été en mesure de vérifier dans l’immédiat ces vidéos.

Selon l’ONG Hengaw, basée en Norvège et qui défend les droits des Kurdes d’Iran, une «grève largement suivie» était observée samedi à Saghez, la ville natale de Mahsa Amini, dans la province du Kurdistan, où les magasins avaient baissé le rideau. 

IRAN – L’Iran a annoncé ce samedi avoir testé avec «succès» une fusée capable de transporter des satellites dans l’espace, a rapporté la télévision d’État.

L'Iran dit avoir testé avec "succès" un lanceur de satellite - The Times of  Israël

Les gouvernements occidentaux craignent que les systèmes de lancement de satellites intègrent des technologies interchangeables avec celles utilisées dans les missiles balistiques capables de livrer une ogive nucléaire, ce que l’Iran a toujours nié vouloir construire.

La télévision a fait état du «lancement suborbital réussi du lanceur de satellites dénommé Ghaem-100», sans révéler plus de détails sur l’opération. «L’essai en vol de ce lanceur (…) a été réalisé avec succès», a-t-elle précisé.

Selon la même source, la fusée Ghaem-100 a été fabriquée par l’organisation aérospatiale des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de l’Iran.

C’est le premier lanceur de satellites iranien à combustible solide à trois étages, a indiqué la télévision. Ghaem-100 «est capable de placer des satellites pesant 80 kilos sur une orbite à 500 kilomètres de la surface de la terre», a ajouté la télévision.

ISRAËL – Le chef de l’opposition en Israël et futur Premier ministre, Benyamin Netanyahou, a déclaré vendredi, lors de conversations à huis clos, qu’aucune atteinte ne sera portée aux défilés de la gay pride dans les villes israéliennes, ni au statu quo lié à la communauté LGBT.

Ces déclarations surviennent après que le parti d’extrême droite d’Itamar Ben Gvir, qui a fait une percée lors des élections législatives de mardi, a affirmé qu’il voulait interdire la tenue de la gay pride à Jérusalem.

Le député du parti d’Itamar Ben Gvir, Avi Maoz, a indiqué qu’il chercherait également à revenir sur l’interdiction par le ministère de la Santé de la thérapie de conversion pour les gays, autorisant « des conseils psychologiques pour ceux qui ne veulent pas être homosexuels. » 

Numéro 5 sur la liste du parti Sionisme religieux, Yitzhak Wasserlauf a également clairement fait savoir qu’il ne soutiendrait pas les défilés de la fierté ajoutant : « je pense que ce n’est pas bon et que ce n’est pas sain ».

Avi Maoz, chef de la faction anti-LGBT Noam, avait déclaré à la radio que son parti allait « étudier les possibilités juridiques d’annuler la gay pride de Jérusalem ».

Ethiopie: les rebelles du Tigré dénoncent un bombardement après le  cessez-le-feu

ETHIOPIE – « Un drone éthiopien a attaqué des civils hier à Maychew, au Tigré », a affirmé sur Twitter Kindeya Gebrehiwot, un porte-parole des autorités rebelles, faisant également état de « bombardements d’artillerie sur la ville ayant tué et blessé des civils ». Il a ajouté que « cela s’est passé après la signature de l’accord de paix à Pretoria », conclu entre le gouvernement fédéral éthiopien et les rebelles tigréens, sous l’égide de l’Union africaine (UA).

Ces informations n’ont pu être vérifiées de source indépendante, l’accès au nord de l’Ethiopie étant interdit aux journalistes et les réseaux de télécommunications très aléatoires au Tigré, quasi coupé du monde depuis plus d’un an. Sollicités par l’AFP, ni le gouvernement éthiopien, ni l’UA n’ont réagi dans l’immédiat à ces accusations et Kindeya Gebrehiwot n’a pu être joint.

TANZANIE – En raison de la sécheresse,  les autorités de Dar es Salam font appel à la responsabilité collective pour éviter une pénurie d’eau.

Pendant 24 heures, un jour sur deux, les 5,5 millions d’habitants de la capitale économique doivent renoncer à cette ressource précieuse. Une situation qui risque de durer, d’autant que la sécheresse continue de s’aggraver, avertissent les météorologues.

Ce n’est pas la première fois que la Tanzanie rationne l’eau. Le pays est confronté depuis 2018 à un « stress hydrique », c’est-à-dire qu’il prélève plus d’eau qu’il n’en dispose dans les nappes phréatiques et dans ses stocks, selon un rapport de la Banque mondiale.

Le problème, cette fois, est que le manque d’eau impacte également l’approvisionnement en électricité. Les centrales hydroélectriques des villes de Tonga et de Kilimandjaro, notamment, dépendent de la rivière Ruvu. Et la baisse du niveau du fleuve, de plus de 40%, du jamais-vu, fait craindre des coupures de courant. Les restrictions à l’accès à l’eau resteront en place jusqu’à ce que les niveaux augmentent. Mais la pénurie a également multiplié les appels en faveur de solutions durables pour combler le déficit hydrique.

Afrique du Sud : six personnes tuées par balle dans l'est du pays

AFRIQUE DU SUD – Aux alentours de 20H30 GMT, sept hommes se trouvaient dans une maison du township de Clermont, dans le nord-ouest de la capitale de la province du KwaZulu-Natal (KZN), quand des assaillants ont surgi et ouvert le feu, selon un communiqué de la police.

« Six personnes ont été tuées par balle et une autre blessée », a-t-elle indiqué sans donner de détails sur les causes de la tuerie.

Une enquête a été ouverte pour meurtres et tentative de meurtre et la police a lancé un appel à témoins.

« Rien ne peut justifier des meurtres aussi brutaux », a déploré le chef de la police provinciale, le lieutenant général Nhlanhla Mkhwanazi, cité dans le communiqué.

Quelque 70 meurtres sont enregistrés chaque jour en Afrique du Sud, selon les dernières statistiques officielles publiées en octobre. Le pays détient l’un des taux de criminalité les plus élevés au monde.

INSOLITE – Une automobiliste de 45 ans a été grièvement blessée par sa propre voiture qui l’a écrasée à trois reprises, a indiqué la police municipale de Saint-Gall, au nord-est de la Suisse, ce vendredi 4 novembre.

La conductrice serait descendue de sa petite berline sans doute pour décharger quelque chose du coffre arrière, mais sans couper le moteur.

Arrêté dans une rue en légère pente, le véhicule s’est mis en mouvement en marche arrière. Elle a bien tenté de le stopper, mais en vain car elle a fini par tomber au sol. La voiture lui a alors roulé dessus une première fois, selon la police, citée par l’agence ATS.

Continuant sa course folle, le véhicule a percuté une automobile un peu plus loin et est repartie dans le sens inverse, en direction de la femme à terre qui s’est faite écraser une deuxième fois.

Mais la course de sa voiture ne s’est pas arrêtée là. Cognant le trottoir, elle est repartie en marche arrière pour rouler une troisième fois sur l’infortunée avant de finir enfin sa course folle dans une barrière en bois. La femme a été hospitalisée dans un état grave.

ESPAGNE – Deux militantes écologistes se sont collé la main samedi sur le cadre de tableaux de Goya, au musée du Prado à Madrid, afin de dénoncer l’inaction des autorités face au réchauffement climatique, a-t-on appris auprès de la police espagnole.

Les deux militantes, qui n’ont pas abîmé les tableaux mais ont tagué « +1,5°C » sur le mur entre les deux peintures, en référence à l’objectif de réchauffement que s’est fixé la communauté internationale, ont été interpellées et placées en garde à vue, selon la police.

Dans une vidéo mise en ligne par Extinction rebellion, collectif écologiste adepte de la désobéissance civile, on voit les deux activistes la main fixée chacune sur un tableau, dans l’une des salles du musée, avant d’être prises en charge par des responsables de la sécurité du musée.

Selon Extinction rebellion, les deux peintures en question sont « La Maja nue » et « La Maja vêtue », du peintre espagnol Francisco de Goya (1746-1828).

Cette action est « un signe de protestation » face à « la hausse de la température mondiale, qui va provoquer un climat instable avec de graves conséquences sur toute la planète », souligne le collectif dans un communiqué.

Cette action fait suite à plusieurs autres de ce type menée par des militants du climat, qui ont pris pour cible des œuvres d’art fameuses dans plusieurs villes d’Europe.

Au début du mois, deux militantes de « Last Generation » avaient répandu de la purée de pommes de terre sur la vitre protégeant la toile de Claude Monet « Les Meules » au musée Barberini de Potsdam, en Allemagne.

Des militants écologistes se sont également collés sur la vitre protégeant la « Fille à la perle » de Johannes Vermeer dans un musée aux Pays-Bas et d’autres ont jeté de la soupe sur celle qui protégeait les « Tournesols » de Vincent van Gogh à la National Gallery de Londres.

Vendredi, des militants ont projeté à Rome de la soupe sur un Van Gogh protégé par une vitre.

32 tonnes de cannabis saisis en Espagne : un record mondial selon la police  - ladepeche.fr

ESPAGNE – La police espagnole a annoncé ce samedi avoir mis la main sur 32 tonnes de têtes de cannabis, soit «la plus grande saisie de cette substance au niveau international», au terme d’une enquête ayant entraîné l’arrestation de vingt personnes. Cette vaste opération, baptisée «Jardines» («jardins» en français), s’est déroulée ces dernières semaines dans plusieurs villes d’Espagne, dont Tolède (centre) et Valence (est), où les trafiquants présumés stockaient la majeure partie de la marchandise, a indiqué la Garde civile.

Elle «s’est conclue par la saisie de 32 tonnes de têtes de marijuana», équivalent à la production de «1,1 million» de plants de cannabis, soit «la plus grande saisie de cette substance, non seulement en Espagne, mais aussi au niveau international», a-t-elle insisté dans un communiqué. Selon la Garde civile, les têtes de cannabis étaient emballées sous vide pour être expédiées dans différentes régions espagnoles, mais aussi dans d’autres pays européens, «principalement la Suisse, les Pays-Bas, l’Allemagne et la Belgique».

Au total, vingt personnes âgées de 20 à 59 ans – neuf hommes et onze femmes – ont été interpellées lors de l’opération. L’organisation à laquelle ils appartenaient «contrôlait l’ensemble du processus de production et de distribution de drogue», précise la Garde civile. 

RUSSIE – Treize personnes ont trouvé la mort dans un incendie survenu dans un café en Russie, dans la ville de Kostroma, à quelque 300 kilomètres de Moscou, ont annoncé ce samedi les autorités locales.

« Selon les premières informations, l’incendie a fait 13 victimes », a annoncé le gouverneur de la région, Sergueï Sitnikov, sur le réseau social Telegram.

L’incendie, survenu dans un café du nom de « Poligon » dans la nuit de vendredi à samedi, a été éteint en début de matinée, a précisé le gouverneur, faisant état de cinq blessés.

Selon les services d’urgence, le feu s’est propagé sur une surface de 3.500 m2.

L’agence Ria-Novosti, citant une source policière, précise que 250 personnes ont été évacuées de l’immeuble dans lequel le feu s’est déclaré.

PELOSI – « Nous ne devons pas avoir peur, nous devons être courageux », a fait valoir vendredi la présidente de la Chambre des représentants américaine Nancy Pelosi, au sujet de l’agression de son mari et à quelques jours des élections de mi-mandat aux Etats-Unis qui s’annoncent tendues.

Pelosi appelle à ne pas avoir peur après l'agression de son mari | LFM la  radio

« Cela m’a fait prendre conscience de la peur qu’ont certaines personnes de ce qui se passe dehors » dans le monde, a dit la dirigeante démocrate dans une vidéo publiée sur Facebook, arguant que cette peur se faisait ressentir parmi les employés des bureaux de vote en particulier, et la population américaine en général.

Elle s’exprimait au lendemain de la sortie de Paul Pelosi de l’hôpital. Le 28 octobre, un homme de 42 ans, David DePape, est entré en pleine nuit dans le domicile du couple à San Francisco et a attaqué M. Pelosi, âgé de 82 ans, avec un marteau, le frappant au moins une fois. L’assaillant a dit aux enquêteurs qu’il avait également eu l’intention de ligoter Nancy Pelosi, absente au moment de l’agression, et de lui briser les rotules.

« Le message est clair, il y a des raisons de s’inquiéter. Mais nous ne pouvons pas avoir peur, nous devons être courageux », a déclaré Mme Pelosi.

Cet événement a renforcé les inquiétudes sur la possibilité que la désinformation et les profondes divisions politiques ne débouchent sur des actes violents, à quelques jours des élections de mi-mandat.

Les craintes de violence politique ont crû aux Etats-Unis depuis que Donald Trump a refusé d’accepter sa défaite en novembre 2020, à l’origine de l’assaut du Capitole le 6 janvier 2021.

Dans sa vidéo, Nancy Pelosi a soupiré: « Le chemin sera long », assurant que son mari « se portera bien ».

Concernant les élections, qui selon les sondages donnent pour l’instant avantage aux Républicains, Mme Pelosi a averti qu’« il ne (faisait) aucun doute que notre démocratie est en jeu. »

PEROU – Des habitants autochtones de la région amazonienne du Pérou ont libéré vendredi à la suite de négociations un groupe de plus cent touristes qu’ils avaient pris en otage la veille pour protester contre le manque d’aide gouvernementale après une fuite de pétrole, ont annoncé des responsables officiels.

Voyageant à bord d’un bateau fluvial, ces personnes avaient été kidnappées jeudi par des membres de la communauté Cuninico faisant pression en faveur d’une intervention des autorités péruviennes à la suite du déversement le 16 septembre de 2.500 tonnes de brut dans une rivière.

Des femmes et des enfants figuraient parmi les touristes retenus, dont 27 étaient originaires des États-Unis, d’Espagne, de France, du Royaume-Uni et de Suisse. Les 80 autres étaient des Péruviens.

Un responsable autochtone avait souligné que cette prise d’otages avait été décidée pour que le gouvernement envoie une délégation constater les dommages environnementaux provoqués par la fuite de pétrole.

Il avait ajouté que les passagers ainsi retenus passeraient la nuit sur le bateau en attendant qu’une solution soit trouvée.

L’incident était survenu sur un affluent de la Marañón, une rivière faisant face au territoire de la communauté Cuninico.

Des groupes autochtones bloquent en outre depuis jeudi le passage de tout type de bateau sur ce cours d’eau pour protester contre le déversement de brut qui avait été provoqué par une rupture de l’oléoduc Norperuano (ONP) dans la région sauvage de Loreto.

Le 27 septembre, le gouvernement a décrété l’état d’urgence pour une durée de 90 jours dans la zone touchée sur le territoire des communautés Cuninico et Urarinas où vivent quelque 2.500 autochtones.

L’oléoduc Norperuano de la compagnie étatique Petroperú, l’un des plus grands ouvrages du Pérou, a été construit il y a quatre décennies pour transporter du pétrole de la région amazonienne à Piura, sur la côte, s’étendant sur quelque 800 km.

La compagnie avait attribué cette fuite à une attaque, avec « une déchirure intentionnelle de 21 centimètres dans l’oléoduc ».

Petroperú a fait état de 10 attaques depuis janvier contre son oléoduc à Loreto, qui ont causé des marées noires.

La post-fasciste Giorgia Meloni, première femme à diriger l'Italie, a pris  ses fonctions - Le Parisien

ITALIE – La nouvelle Première ministre de l’Italie, Giorgia Meloni, a relevé vendredi la prévision de déficit public du pays pour 2023, visant désormais 4,5% du PIB, afin de financer des mesures de soutien aux ménages et aux entreprises, a appris l’AFP de source gouvernementale.

Son prédécesseur Mario Draghi avait prévu en septembre un déficit à 3,4% du PIB, à législation constante. L’écart entre les deux prévisions revient à environ 21 milliards d’euros supplémentaires, selon la feuille de route économique adoptée vendredi soir en conseil des ministres.

Parallèlement, le gouvernement Meloni a revu à la hausse sa prévision de croissance pour cette année, à 3,7%, contre 3,3% prévu par M. Draghi.

L’annonce surprise le 31 octobre d’une hausse du PIB de 0,5% au troisième trimestre, là où le gouvernement et les experts du Parlement attendaient un léger recul, a dû motiver cette décision et devrait accroître les marges de manœuvre budgétaires de Giorgia Meloni.

Le ministre de l’Economie Giancarlo Giorgetti a maintenu la prévision de croissance de 0,6% pour 2023 établie par le gouvernement de Mario Draghi, dont il fut ministre du Développement économique.

Le Fonds monétaire international (FMI) juge cependant inévitable une récession l’an prochain en Italie, avec un recul du PIB de 0,2%.

COREES- Le Nord continue sa démonstration de force. Au terme d’une semaine marquée par un nombre record de tirs de missiles, Pyongyang a encore lancé quatre missiles de courte portée vers la mer Jaune, a déclaré ce samedi l’armée sud-coréenne. L’armée de Corée du Sud a détecté le lancement « depuis Donglim, dans la province de North Pyongan, vers la mer occidentale, entre 11h32 et 11h39 », a déclaré l’état-major interarmées sud-coréen dans un communiqué, utilisant un autre nom pour la mer Jaune.

Peu auparavant, l’armée sud-coréenne avait annoncé la participation samedi après-midi du bombardier lourd supersonique américain B-1B aux vastes exercices aériens en cours en Corée du Sud menés conjointement par Séoul et Washington.

Le B-1B est un bombardier supersonique peu détectable par les radars et capable de voler à très basse altitude. Même s’il a été initialement conçu pour porter des armes nucléaires, il est utilisé par les États-Unis pour des missions de combat exclusivement conventionnelles depuis le milieu des années 1990, indique son constructeur Boeing sur son site internet. Il a notamment été utilisé en Irak, en Afghanistan et en Libye.

CHINE – La Chine a annoncé samedi qu’elle s’en tiendrait « indéfectiblement » à sa politique zéro Covid, douchant les espoirs des marchés d’un assouplissement par Pékin, dernière grande économie à appliquer un protocole sanitaire radical, qui ne l’empêche pas d’être confrontée à une hausse des cas à l’approche de l’hiver.

Chine : en plein rebond épidémique, Xi Jinping ordonne la poursuite de la  politique du "zéro Covid"

Pékin « s’en tiendra indéfectiblement à la politique globale du zéro Covid », a déclaré le porte-parole de la Commission nationale de la santé (NHC), Mi Feng.

La politique zéro Covid en Chine, en vigueur depuis bientôt trois ans, se traduit par des confinements à répétition, des tests PCR à grande échelle et une quarantaine obligatoire à l’arrivée de l’étranger, qui vont donc se poursuivre.

« À l’heure actuelle, la Chine est toujours confrontée à la double menace des infections importées et de la propagation des épidémies nationales », a argumenté Mi Feng lors d’une conférence de presse, jugeant la situation face à la pandémie « plus sombre et complexe que jamais ». 

« Nous devons continuer à donner la priorité aux personnes et aux vies », a martelé le porte-parole, alors que la Chine a enregistré samedi une hausse des cas, avec 3.659 nouvelles infections, la plupart asymptomatiques, contre 2.000 nouveaux cas positifs mercredi.

Le nombre de personnes en quarantaine dans le pays est désormais au plus haut depuis le confinement de Shanghai au printemps, note le cabinet Capital Economics, avec des foyers détectés dans plus de 50 villes.

HAÏTI – Le ministère américain des Finances américain a annoncé vendredi la mise en place de sanctions visant directement deux responsables politiques haïtiens, dont le président en exercice du Sénat, accusés d’avoir «contribué activement» au trafic de drogue transitant par l’île caribéenne.

Les sanctions visent Joseph Lambert, actuel président du Sénat, ainsi qu’un de ses prédécesseurs, Youri Latortue, qui a occupé le perchoir en 2017 et est par ailleurs cousin de l’ancien Premier ministre Gérard Latortue. Le gouvernement canadien, pays comptant également une importante communauté haïtienne, a annoncé de son côté se joindre aux sanctions américaines en prenant des mesures similaires.

Les deux hommes sont accusés par l’administration américaine d’avoir «profité de leur position officielle pour opérer un trafic de stupéfiants et collaborer avec des réseaux criminels en vue d’affaiblir l’état de droit en Haïti», a résumé le sous-secrétaire américain au Trésor, en charge du terrorisme et du renseignement financier, Brian Nelson, cité dans un communiqué. 

De son côté, le département d’État a annoncé une interdiction d’entrée sur le territoire américain à l’encontre de Joseph Lambert, accusé de «violations flagrantes des droits de l’Homme» et de corruption, ainsi qu’à l’encontre des membres de sa famille. Joseph Lambert et Gérard Latortue voient l’ensemble de leurs avoirs et propriétés bloqués aux États-Unis ainsi que toute entreprise dont les deux hommes seraient actionnaires majoritaires, directement ou indirectement.

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