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Dans le monde ces dernières heures

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Dans le monde, ces dernières heures…
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SYRIE – Deuxième journaliste tué dans l’exercice de son travail en Syrie depuis le début de l’année 2022, Atef Al Saidi a été abattu par un sniper alors qu’il couvrait des confrontations dans la province de Deraa

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“Peu de journalistes choisiraient de rester à Deraa pour faire leur métier, mais Atef Al Saidi était l’un d’entre eux, déclare le bureau Moyen-Orient de Reporters sans frontières (RSF), RSF déplore l’assassinat de ce journaliste courageux qui couvrait la révolution syrienne depuis le premier jour. Le meurtre de journalistes ne peut rester impuni, et nous demandons que toute la lumière soit faite sur ce crime abominable. 

Atef Al Saidi a été mortellement blessé le 5 novembre 2022 à Deraa, lors d’un reportage sur des affrontements entre des factions liées à l’État Islamique et les factions locales de l’armée syrienne, soutenues par une brigade pro-russe. Le journaliste de 45 ans couvrait le regain de violence entre ces deux parties à Tariq El Sedd, un quartier de Deraa dans le sud de la Syrie qui abrite des milices affiliées à l’État Islamique.

Atef Al Saidi est le deuxième journaliste tué en Syrie cette année, après l’assassinat, le 21 janvier 2022, du photographe Ahmed El-Nasser qui couvrait alors des combats contre Daesh à Hassaké, au nord-est de la Syrie. Depuis 2016, 64 journalistes ont été tués en Syrie qui se place au 171e rang (sur 180) du Classement mondial de RSF de 2022.

IRAK – Le nouveau Premier ministre irakien Mohamed Chia al-Soudani a annoncé mardi que le service militaire ne serait finalement pas rétabli, contentant nombre d’Irakiens qui le jugent inutile.

Introduit en 1935 en Irak, le service militaire obligatoire a été révoqué en 2003, dans la foulée de la chute de Saddam Hussein, renversé par l’invasion menée par Washington. Les Etats-Unis avaient alors dissous l’armée et les services de sécurité irakiens.

Mais en août 2021, le gouvernement irakien qui a précédé celui de M. Soudani a envoyé aux députés un projet de loi visant à rétablir la conscription.

Un certain nombre de projets de loi « ont été retirés du Parlement parce qu’ils ne correspondent pas à l’orientation du gouvernement », a déclaré mardi Mohamed Chia al-Soudani, en poste depuis un mois.

« Cela comprend le +service au drapeau+ », autrement dit la conscription, a-t-il dit après le Conseil des ministres.

Le projet de loi, rappelle L’Orient-Le Jour, prévoyait le retour du service militaire pour tous les hommes irakiens de 18 à 35 ans pour une période maximale de 18 mois et minimale de trois mois, selon le niveau d’études.

Nombre d’Irakiens étaient vent debout contre ce texte qui n’avait, selon des sources parlementaires, que peu de chances d’être approuvé par les élus.

L’ancien ministre de l’Electricité Louaï al-Khatib jugeait ainsi sur Twitter que dans un pays où près de quatre jeunes sur dix sont au chômage, il est plus urgent de « créer des centres de formation professionnelle » que de rétablir le service militaire.

IRAN – Téhéran a rejeté le projet de résolution présenté à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) par les États-Unis et trois pays européens, qui dénoncent le manque de coopération de Téhéran dans le dossier nucléaire, a affirmé, ce mercredi 16 novembre, le chef de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA).

« Ils (ces pays) ont rédigé une résolution et apporté des documents dont ils savent eux-mêmes qu’ils ne sont pas vrais et qu’ils sont rejetés par la République islamique », a affirmé Mohammad Eslami, cité par l’agence officielle Irna.

Les États-Unis et leurs alliés, « qui multiplient les sanctions » contre l’Iran, sont habitués à « adopter une politique de pression maximale et répandre des accusations contre la République islamique, a-t-il ajouté.

M. Eslami a ajouté qu’aucune visite de représentants iraniens à l’AIEA n’était à l’ordre du jour « pour le moment ».

Les États-Unis et les trois pays européens (Royaume-Uni, France et Allemagne) parties à l’accord sur le nucléaire iranien conclu en 2015 ont soumis, mardi soir, à l’AIEA, une nouvelle résolution dénonçant le manque de coopération de Téhéran, selon des sources diplomatiques.

Selon le projet de résolution consulté par l’AFP, le Conseil « exprime sa profonde inquiétude » face à ce problème qui reste en suspens « du fait d’une coopération insuffisante de l’Iran ».

IRAN-FRANCE – Le président macron a dénoncé ce mercredi 16 novembre une « agressivité croissante de l’Iran » à l’égard de la France par « des prises d’otage inadmissibles », et appelé Téhéran à « revenir au calme et à l’esprit de coopération ».

S’exprimant lors d’une conférence de presse en clôture du sommet du G20 en Indonésie, le président français a également appelé l’Iran « au respect de la stabilité régionale », évoquant « les bombardements ces derniers jours sur le sol irakien ».

« La France a toujours respecté les dirigeants, le peuple iraniens. Nous avons toujours été dans une approche de discussion, de respect. Je pense que les choix qui ont été faits ces derniers mois ne vont pas dans ce sens du côté de l’Iran. Donc j’appelle au retour au calme, au respect de la stabilité régionale, au respect aussi des ressortissants français », a ajouté Emmanuel Macron.

Ce mercredi, le ministre iranien de l’Intérieur, Ahmad Vahidi, a déclaré que plusieurs agents des services de renseignements français avaient été arrêtés lors des manifestations dans la République islamique. « Des personnes d’autres nationalités ont été arrêtées pendant les émeutes, dont certaines ont joué un rôle important. Il y a des éléments des services français de renseignements qui seront traités conformément à la loi », a dit Ahmad Vahidi à la télévision publique iranienne.

La justice iranienne a prononcé mardi et aujourd’hui quatre condamnations à mort à l’encontre d’ « émeutiers », soit cinq depuis dimanche.

IRAN-GRECE – Deux pétroliers battant pavillon grec et saisis en mai dernier par les Gardiens iraniens de la Révolution ont été libérés et ont quitté mercredi l’Iran, a annoncé ce mercredi le ministère grec de la Marine marchande.

« Après des négociations de plusieurs mois avec l’Iran, les pétroliers Prudent Warrior et Delta Poseidon, saisis depuis le 27 mai, ont quitté » ce pays, selon un communiqué.

La plupart des 50 marins des deux équipages avaient quitté les pétroliers et été remplacés il y a quelques semaines.

« Aujourd’hui c’est une journée très agréable pour nos marins, pour la Grèce car une affaire particulièrement désagréable et compliquée a pris fin », s’est félicité Giannis Plakiotakis, ministre de la Marine marchande, cité dans le communiqué.

La saisie des deux pétroliers avait eu lieu après la saisie en avril dernier de pétrole d’intérêt iranien sur le pétrolier Lana, qui se trouvait dans un port grec. Cette saisie avait été décidée à la suite d’une demande judiciaire des États-Unis adressée aux autorités grecques.

La cargaison avait finalement été restituée au pétrolier Lana, battant pavillon iranien.

LIBAN – Le chef du bloc parlementaire du Hezb, Mohamad Raad, est revenu mardi à la charge rappelant le profil du nouveau chef de l’État tel que dressé par Hezb et qui ne doit pas être «hostile» à la Résistance et la «poignarder dans le dos». «Nous voulons un président de la République qui reconnaît l’importance du rôle que joue la Résistance pour défendre la souveraineté et la sécurité du Liban « , a-t-il ainsi déclaré lors d’une cérémonie dans le village de Aadchit au Liban-Sud.

Critiquant les souverainistes, M. Raad a fait remarquer que « certains candidats à la présidentielle estiment que la sécurité et la stabilité du Liban est tributaire d’une attitude de complaisance à l’égard des États-Unis et d’une ouverture à tous les pays et amis. » Et d’insister: « Nous devons faire le meilleur choix qui consiste à élire une président qui sera fier (…) des efforts menés pour protéger le pays et qui veillera à ne pas poignarder la Résistance dans le dos », faisant ainsi écho au discours tenu dans le même sens par le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, vendredi dernier.

ISRAËL – Malgré le ralentissement du marché immobilier, les prix des appartements ont grimpé de 1,1 % au cours des mois d’août à septembre par rapport aux mois de juillet à août, complétant ainsi une augmentation de 19,8 % au cours de l’année écoulée – soit la plus forte augmentation annuelle des prix en une décennie, selon les données du Bureau central des statistiques (CBS) publiées ce mardi. 

L’indice des prix à la consommation a également augmenté en octobre de 0,6%, ainsi l’inflation de l’année écoulée a atteint 5,1%.

En juillet-août, les prix des appartements ont bondi de 1,9 % par rapport à juin-juillet. En septembre, l’indice des prix à la consommation a augmenté de 0,2 % et l’inflation est demeurée à 4,6 %, comme en août, malgré les hausses de taux d’intérêt.

« La Banque d’Israël doit immédiatement arrêter la hausse des taux d’intérêt, qui nuit directement à la poche de la population et au secteur des affaires et à sa capacité à étendre ses activités. Cela conduira à un ralentissement de l’activité dans l’économie. Une nouvelle augmentation des taux d’intérêt n’arrêtera pas la guerre en Ukraine mais pourrait conduire à l’étranglement financier de nombreuses entreprises et rendre le panier de produits et services plus chers pour le public », a réagi le président de l’Association des Industriels d’Israël Ron Tomer.

CISJORDANIE – Un assaillant palestinien a tué mardi trois civils israéliens dans le nord de la Cisjordanie occupée, dans une attaque au couteau puis au volant d’une voiture en prenant la fuite, blessant aussi plusieurs personnes avant d’être abattu, ont annoncé des responsables.

Ces violences ont éclaté à quelques heures de la prestation de serment des députés israéliens élus aux législatives du 1er novembre, au moment où les tractations sur la formation d’un nouveau gouvernement mené par Benjamin Netanyahu, qui pourrait être le plus à droite de l’histoire du pays, se poursuivent.

L’armée israélienne a fait état d’une « attaque au couteau » près de la zone industrielle d’Ariel. « Un terroriste est arrivé à l’entrée de la grille d’accès à la zone et a poignardé des civils dans cette zone », a indiqué un communiqué de l’armée.

« D’autres civils ont été poignardés dans une station-service voisine. Le terroriste a pris la fuite à bord d’une voiture volée, a provoqué intentionnellement un accident de voiture et a percuté un autre civil », a ajouté l’armée.

D’après les services de secours israéliens, un homme de 35 ans est décédé après avoir reçu un coup de couteau et un autre âgé de 50 ans a été tué dans l’accident de voiture sur une route voisine.

Un troisième Israélien, grièvement blessé avec un couteau, a succombé à ses blessures, ont indiqué les secouristes.

L’auteur de l’attaque a été « neutralisé » par un soldat qui se trouvait dans le secteur, a indiqué l’armée, précisant à l’AFP que l’assaillant était palestinien.

Dans le même temps, le ministère palestinien de la Santé a rapporté la mort de Mohammed Mourad Sami Souf, 18 ans, par des balles israéliennes dans ce secteur, sans autres détails.

EGYPTE – la mine d’or souterraine Sukari peut soutenir une exploitation minière de 1,5 million de tonnes de minerai par an, selon une récente étude réalisée par le cabinet indépendant Entech. C’est l’annonce faite mardi 15 novembre par son propriétaire Centamin, précisant que cela nécessitera un investissement compris entre 25 et 35 millions de dollars pour les travaux d’optimisation.

Il faut noter que cette nouvelle capacité correspondrait à une progression de 31 % par rapport au taux d’extraction actuel. Si Centamin débloque les fonds, le taux d’extraction devrait grimper progressivement dès 2024 pour se stabiliser l’année d’après, soit en 2025.

« L’expansion de la capacité d’exploitation souterraine de Sukari est une étape importante vers la réalisation de notre engagement à produire régulièrement 500 000 onces par an à partir de la mine d’or de Sukari », confie Martin Horgan, PDG de Centamin.

Pour rappel, Sukari a produit 331 410 onces d’or pour le compte des trois premiers trimestres de l’année 2022. Ses objectifs annuels de production se situent entre 430 et 460 000 onces d’or.

ETHIOPIE – Le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed s’est exprimé, mardi 15 novembre, devant les députés de la Chambre des représentants, pour la première fois depuis la signature de l’accord de Pretoria entre son gouvernement et les autorités tigréennes. Il a appelé à tenir les « promesses » faites par cet accord. Pour lui, la paix était indispensable pour ne pas mettre en péril le développement du pays.

Après de longues interventions sur l’inflation, la monnaie, les universités, la sécurité alimentaire, les importations et l’investissement, Abiy Ahmed a été plutôt disert sur la guerre. S’il a condamné comme « ennemi du peuple » la rébellion oromo qui continue ses opérations, pour lui, stopper les combats contre les Tigréens était nécessaire. « Une mauvaise paix comme une bonne guerre, ça n’existe pas, a-t-il clamé. Même quand on est victorieux, on tue des gens et on brûle de l’argent. »

« Maintenant, a-t-il encore assuré, nous devons tenir parole » et « travailler dur pour éviter les problèmes ». Il a ainsi renvoyé aux « processus » de dialogue et à « la loi » les litiges territoriaux autour du Tigré, estimant que les pourparlers de paix n’étaient « pas le lieu » pour régler ces désaccords.

Enfin il a assuré que l’aide humanitaire avait recommencé à arriver, et que les télécommunications et l’électricité étaient peu à peu rétablies.

KENYA – le Directoire de l’horticulture (HCD) a imposé le mardi 15 novembre, une interdiction sur les expéditions d’avocats en vrac pour une période de 3 mois, rapporte le quotidien local The Kenya Wall Street. Cette mesure intervient un mois après que des enquêtes menées par l’organisme public en octobre dernier ont révélé une pénurie de fruits matures dans les circuits d’approvisionnement locaux.

Elle vise en outre à empêcher les ventes d’avocats immatures sur le marché international en vue de préserver l’image de qualité de l’industrie kenyane qui avait déjà enregistré au cours de l’année plusieurs rejets de ses cargaisons en raison de la non-conformité des fruits par rapport au niveau de maturité requis.

En conséquence, les autorités ont fermé la saison de récolte des variétés Hass, Fuerte, Pinkerton et Jumbo et l’expédition par voie maritime pour cette saison. D’après Benjamin Tito, directeur du HCD, les exportations d’avocats hors saison ne seront autorisées que par voie aérienne et sous réserve d’inspections et d’une approbation de l’organisme.

Par ailleurs, le responsable indique que la mesure de suspension sera réexaminée en janvier 2023 après une évaluation des stocks disponibles. Alors que le pays d’Afrique de l’Est dispose désormais d’un débouché pour ses expéditions d’avocats sous forme fraîche vers la Chine, cette interdiction est un nouveau coup dur pour les exportateurs.

Pour rappel, les expéditions kenyanes d’avocats à destination de l’empire du Milieu ont rapporté 7 milliards de shillings (57 millions $) entre août et octobre 2022.  

RDC – Les affrontements continus entre l’armée et les rebelles du M23 dans l’est de la République démocratique du Congo ont provoqué mardi la fuite de milliers de déplacés vers Goma, au moment où se trouvait dans la ville l’ex-président kényan et « facilitateur » Uhuru Kenyatta, a constaté une équipe de l’AFP.

Depuis plusieurs jours, des affrontements à l’arme lourde sont signalés vers Kibumba, à une vingtaine de km au nord de Goma. Cette localité est considérée comme un des derniers verrous sur la route nationale 2 en direction du chef-lieu du Nord-Kivu.

En début d’après-midi, alors que des rumeurs faisaient état d’une avancée des rebelles, des militaires ont été vus passant à moto au niveau du camp de déplacés de Kanyaruchinya, au sud de Kibumba.

Depuis la progression du M23 dans la province, des milliers d’habitants se sont réfugiés dans ce camp pour échapper aux combats. Lundi, le chef du camp estimait à environ 40.000 le nombre de ses occupants.

Les déplacés « ont vu des militaires fuir sur des motos, ce qui a déclenché » un mouvement de panique, a indiqué à l’AFP un déplacé ayant pris la fuite vers Goma. « Des militaires ont fui après les combats et la population, notamment des déplacés, s’est également enfuie », a confirmé une source sécuritaire, sous couvert d’anonymat.

« Je tiens à vous rassurer… Les forces loyalistes contiennent l’ennemi sur les hauteurs de Kibumba », a déclaré à la presse en fin de journée le gouverneur militaire du Nord-Kivu, le général Constant Ndima, en demandant à la population de « rester calme ».

ALLEMAGNE – La Cour constitutionnelle de Berlin a annulé mercredi les élections locales de septembre 2021 dans la capitale allemande, perturbées par de nombreux dysfonctionnements, une situation inédite qui va entraîner un nouveau scrutin.

« Les élections à la Chambre des représentants et aux assemblées de district sont déclarées invalides dans toute la zone électorale », a annoncé Ludgera Selting, présidente de la Cour constitutionnelle de Berlin.

Les Sages de la Cour berlinoise ont notamment invoqué pour justifier leur décision, rarissime dans l’histoire récente allemande, « la fréquence et la gravité des erreurs de vote », résultant selon eux de « failles systémiques dans la préparation des élections ».

Un nouveau scrutin, avec les mêmes candidats, doit désormais se dérouler dans les 90 jours, probablement le 12 février. La ville est actuellement dirigée par l’ex-ministre Franziska Giffey (SPD), à la tête d’une coalition formée avec les Verts et l’extrême gauche Die Linke.

Les électeurs berlinois étaient appelés aux urnes le 26 septembre pour élire à la fois les députés du Bundestag, les membres de la Chambre des représentants et des assemblées des douze districts de la ville. Un référendum local sur l’expropriation éventuelle de grands groupes immobiliers était aussi organisé ce jour-là, en pleine pandémie de Covid.

Or, la capitale était ce dimanche 26 septembre en partie paralysée par l’organisation du marathon de Berlin, auquel participent chaque année plusieurs dizaines de milliers de personnes.

Résultat: des électeurs s’étaient plaints de ne pas avoir pu aller voter en raison de ces perturbations ou d’avoir dû attendre des heures, avant de parvenir à voter après l’heure officielle de fermeture des bureaux de vote.

ALLEMAGNE – Environ 800 distributeurs ont été forcés au cours des deux dernières années en Allemagne, de plus en plus souvent à l’explosif. Le pays semble incapable d’endiguer un phénomène d’une ampleur inédite. Le mode opératoire est souvent le même : en pleine nuit, comme dans le centre-ville de Schüttorf (Allemagne). Holger Zwafing, un commerçant, a tout vu et raconte à France info : « À 00h15, il y a eu l’explosion, et après, ils ont voulu essayer de récupérer l’argent. Puis il y a eu une deuxième explosion, et le feu s’est propagé ». Le butin s’est élevé à 80 000 euros. En 2021, rien que dans la région de Francfort (Allemagne), plus de 2,5 millions d’euros d’argent liquide ont ainsi été dérobés.

Selon la police, les braquages sont l’œuvre de réseaux organisés, qui maîtrisent l’utilisation d’explosifs, et prennent souvent la fuite à plus de 300 km/h en direction des Pays-Bas. Des patrouilles de police spéciales ont été mises en place à la frontière. « C’est dangereux, car quand ils sont en fuite, ils ne s’occupent pas du trafic ou de la police. Ils sont prêts à tout pour échapper à notre contrôle », relève Dominik Strör. 

Parmi les solutions envisagées, fermer l’accès aux distributeurs entre 23 heures et 6 heures du matin, quand ils sont situés à l’intérieur des bâtiments. Le ministère allemand de l’Intérieur redoute que ces attaques finissent par faire des victimes, et demande aux banques d’investir davantage dans la sécurité des distributeurs.

ETATS-UNIS – Un juge fédéral de Washington a rejeté mardi une mesure sanitaire qui permet d’expulser sans délai les migrants franchissant sans visa les frontières terrestres des Etats-Unis.

La mesure, appelée « Title 42 », est « arbitraire » et ne respecte pas les règles fédérales, a déclaré le juge Emmet Sullivan. Elle avait été mise en œuvre par le gouvernement Trump en mars 2020, au début de la pandémie de Covid-19.

La situation à la frontière mexicaine est devenue aux Etats-Unis un sujet politique explosif, sur lequel le président démocrate Joe Biden est inlassablement attaqué.

Son administration avait dans un premier temps continué d’utiliser ce dispositif controversé, avant de chercher à le lever. Les gouverneurs républicains d’une vingtaine d’Etats avaient alors saisi la justice pour l’en empêcher.

En mai, un juge de Louisiane avait statué que la mesure devait continuer à être appliquée.

Les Etats plaignants affirmaient notamment que la levée de cette mesure provoquerait une recrudescence des passages aux frontières et par conséquent une hausse du nombre de migrants résidant clandestinement sur leur sol.

Le « Title 42 » est une mesure de santé publique qui a été adoptée en 1893 pour protéger les Etats-Unis contre les nombreuses épidémies de choléra et de fièvre jaune qui survenaient à l’époque. Elle n’a été que très rarement mise en œuvre depuis lors.

Quand elle est utilisée, cette mesure est applicable immédiatement et ne permet pas de recours légal, même pour ceux qui souhaitent déposer une demande d’asile, sauf rares exceptions notamment pour les Ukrainiens.

CUBA – Une délégation du département d’Etat américain a rencontré mardi à La Havane les autorités cubaines pour évoquer la question migratoire et la réactivation d’accords bilatéraux en la matière, au moment où Cuba connaît un exode record.

« La délégation américaine a souligné les domaines de coopération fructueuse en matière de migration, tout en identifiant les questions qui ont constitué des obstacles à la réalisation des objectifs des accords », a fait savoir le département d’Etat dans un communiqué.

« Assurer une migration sûre, régulière et humaine entre Cuba et les États-Unis demeure un intérêt mutuel des deux pays et est conforme aux intérêts des États-Unis de favoriser la réunification des familles et de promouvoir un plus grand respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales à Cuba », ajoute le texte.

Cette rencontre fait suite à l’annonce la semaine dernière par les Etats-Unis de la reprise complète de la délivrance de visas à partir du 4 janvier au consulat américain de La Havane pour les Cubains désirant émigrer.

L’île connaît depuis un an un exode migratoire sans précédent, avec sa pire crise économique en trente ans sous les effets conjugués des conséquences de la pandémie et du renforcement des sanctions sous Donald Trump (2017-2021).

Un record de 224.000 Cubains sont rentrés illégalement aux Etats-Unis au cours des douze derniers mois, selon les chiffres datant d’octobre de la police américaine des frontières. En 2021, ce chiffre s’élevait à 39.000.

Les deux précédentes crises migratoires avaient vu fuir plus de 100.000 Cubains en 1980 et environ 45.000 autres en 1994.

KOWEIT – Sept personnes, dont deux femmes, ont été exécutées ce mercredi au Koweït pour une série de meurtres, a annoncé le parquet, les premières exécutions depuis 2017 malgré les appels à la clémence d’un groupe de défense des droits humains.

Le ministère public a déclaré dans un communiqué que les exécutions avaient été menées par « pendaison » après avoir été approuvées par l’émir du pays.

Il a précisé que les personnes exécutées étaient deux femmes (une Koweïtienne et une Ethiopienne) et cinq hommes (trois Koweïtiens, un Syrien et un Pakistanais).

Il s’agit des premières exécutions au Koweït depuis 2017 lorsque les autorités avaient pendu sept personnes, dont un membre de la famille régnante et une femme qui avait mis le feu lors d’un mariage, causant des dizaines de morts.

Dans un communiqué, Amnesty International a appelé à l’arrêt des exécutions dans cet Etat du Golfe, les qualifiant de « peine cruelle, inhumaine et dégradante ».

Le Koweït a exécuté des dizaines de personnes depuis l’introduction de la peine de mort au milieu des années 1960 et la plupart des condamnés sont des meurtriers ou des trafiquants de drogue.

ROYAUME UNI – L’inflation a encore accéléré en octobre au Royaume-Uni, à 11,1% sur un an, au plus haut en plus de 40 ans, propulsée surtout par la hausse des factures d’énergie, a annoncé ce mercredi l’Office national des statistiques (ONS).

Ces nouvelles hausses de prix, plus rapides qu’attendu, sont un nouveau coup dur pour les ménages britanniques frappés par une sévère augmentation du coût de la vie, à la veille de la présentation budgétaire qui doit signer le retour de l’austérité dans le pays.

« La hausse des prix du gaz et de l’électricité a poussé l’inflation à son plus haut niveau depuis plus de 40 ans » malgré le plafonnement des prix mis en place par le gouvernement, relève Grant Fitzner, chef économiste de l’ONS, sur Twitter.

Selon l’institut statistique, les prix du gaz ont bondi de près de 130% au cours de l’année écoulée, et l’électricité s’est envolée de 66%. Mais les hausses de prix de l’alimentation ont aussi contribué à tirer l’inflation à ce sommet depuis 1981.

L’inflation avait accéléré le mois précédent à 10,1%, ce qui constituait un plus haut depuis 1982.

Les hausses de prix ont grimpé au-delà des attentes des économistes et de la banque d’Angleterre, qui s’attendaient à une inflation qui frôlerait sans le dépasser, le taux de 11% avant d’amorcer sa descente.

Le Chancelier annoncera demain jeudi des « décisions difficiles » pour « réduire la dette, assurer la stabilité et faire baisser l’inflation tout en protégeant les plus vulnérables ». Des dizaines de milliards de livres de coupes dans les dépenses et de hausses d’impôts sont attendues.

IMAM IQUIOUSSEN – L’imam marocain Hassan Iquioussen, exilé cet été en Belgique pour se soustraire à un arrêté d’expulsion en France, a été en placé en centre fermé en vue d’un éloignement du territoire belge, a annoncé ce mercredi la secrétaire d’Etat belge à l’Asile et la Migration.

« L’homme a perdu son droit de séjour en France et devait retourner dans son pays d’origine, le Maroc. Il a donc été placé dans un centre de retour fermé en vue de son éloignement du territoire », a indiqué la secrétaire d’Etat, Nicole de Moor, dans un communiqué.

« Il ne donne aucun signe qu’il souhaite retourner volontairement. Les autorités françaises réclament toujours le retour de la personne afin de pouvoir l’envoyer au Maroc », a ajouté cette responsable chrétienne-démocrate flamande, précisant que M. Iquioussen n’a « pas l’autorisation de séjourner sur le territoire belge.

 ”Nous restons en contact avec la France pour permettre son éloignement” , a-t-elle souligné.

Mardi, la justice belge avait une seconde fois refusé de remettre l’imam à la France en vertu d’un mandat d’arrêt européen (MAE).

La cour d’appel de Mons a confirmé la décision rendue en première instance le 21 octobre par le tribunal de Tournai.

Les avocats de l’imam arguaient que l’infraction reprochée par la France ( »soustraction l’exécution d’une mesure d’éloignement« ) n’existe pas en droit belge, ce qui est une condition pour qu’un MAE puisse être exécuté.

FRANCE – Environ 750 kg de cocaïne ont été saisis lundi sur un bateau dans le port du Havre (Seine-Maritime), a appris l’AFP mercredi auprès du parquet, confirmant une information du quotidien régional Paris Normandie.

Le parquet du Havre s’est dessaisi au profit de la Juridiction inter-régionale spécialisée (Jirs) de Lille, a précisé à l’AFP le procureur de la République du Havre, Bruno Dieudonné.

La drogue se trouvait sur un bateau en provenance d’Amérique du Sud, dans des sacs entreposés dans un conteneur, selon une source judiciaire.

Aucune interpellation n’a été réalisée à la suite de cette saisie, a ajouté la même source.

Début septembre, les services douaniers avaient annoncé avoir saisi 15,42 tonnes de cocaïne depuis début 2022, soit une hausse de 94% sur les sept premiers mois par rapport à l’année précédente.

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