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Dans le monde ces dernières heures

Tunisie Direct par Tunisie Direct
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Dans le monde, ces dernières heures…
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LIBYE – Le département libyen de lutte contre l’immigration clandestine a expulsé jeudi plus de 200 migrants illégaux vers leurs pays d’origine.

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Selon Nasser al-Khatroushi, directeur du bureau des expulsions du département, les migrants, originaires d’Egypte (105) , du Tchad (101), du Soudan (20) et du Niger, ont été expulsés par voie terrestre vers leurs propres pays.

Les expulsions ont été effectuées pour la première fois en collaboration avec les services de lutte contre l’immigration clandestine de l’est et du sud de la Libye, a indiqué le responsable libyen à Xinhua.

« Aujourd’hui, nous sommes très heureux de voir des responsables de l’ouest, de l’est et du sud de la Libye réunis ici à Tripoli pour résoudre le problème de l’immigration clandestine, qui est un sujet compliqué », a de son côté déclaré Mohamed al-Khoja, directeur du département de lutte contre l’immigration clandestine.

Le nombre des personnes qui « font l’objet d’une interdiction de territoire » ne cesse de croître et « les centres pénitentiaires sont bondés, ce qui crée beaucoup de difficultés », a expliqué à l’AFP le général Ahmad Abu Kraa, chargé des relations publiques de la police judiciaire.

TURQUIE – Le gouvernement turc a nié ce vendredi que ses bombardements contre les groupes kurdes dans le nord de l’Irak et de la Syrie pouvaient nuire aux forces de la coalition internationale dirigée par les États-Unis, après que le Pentagone a déclaré que ses troupes en Syrie étaient « directement menacées » par l’offensive turque.

Le ministre turc de la Défense, Hulusi Akar, a souligné qu' »il est totalement exclu que nous causions du tort aux forces de la coalition ou aux civils », a rapporté l’agence de presse étatique turque Anatolia. « Nous n’avons qu’une seule cible, et ce sont les terroristes », a-t-il déclaré, ajoutant qu’Ankara « a fait et continuera de faire tout ce qui est nécessaire pour mettre fin au terrorisme et assurer la sécurité du pays ».

M. Akar a établi à 326 le nombre de membres présumés du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) et des Unités de protection du peuple (YPG), une milice kurdo-syrienne, « neutralisés » depuis le début de l’offensive. La Turquie utilise le terme « neutralisé » pour signifier que les suspects ont été tués, capturés ou remis aux autorités. Dans le cas d’un bombardement, cela implique qu’Ankara les considère comme morts.

IRAN – Agressions sexuelles et viols à l’encontre de celles et ceux qui osent afficher leur hostilité au régime sont désormais monnaie courante en Iran, une manière d’instiguer la peur et la terreur chez les manifestants les plus sonores, et plus particulièrement les femmes, à l’origine des premières vagues de contestations en septembre. Alors qu’un récit glaçant de CNN témoigne de l’utilisation quasi-systématique du viol sur les femmes arrêtées et enfermées par le pouvoir iranien, Alice Bordaçarre, responsable du bureau Droits des femmes pour la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) revient sur l’utilisation de cette pratique dans le contexte actuel de l’Iran : « Il est démontré, dit-elle au HuffPost, que les autorités iraniennes utilisent le viol pour réprimer les manifestations et pour semer la terreur auprès des personnes qui participent au mouvement actuel, en particulier des femmes, même si des cas de viol de jeunes hommes ont aussi été dénoncés. Dans les années 80 et après le soulèvement qui a suivi la réélection d’Ahmadinejad en 2009, de nombreux cas de viols avaient déjà été dénoncés. Il s’agit donc d’une stratégie malheureusement récurrente des forces de sécurité en Iran.

En ce sens on peut en effet parler d’une « arme » des autorités. Le viol ne peut être considéré comme accidentel et isolé. C’est un outil stratégique utilisé pour humilier, dominer, intimider, détruire les individus et des communautés. Il vise ici à terroriser pour briser la révolution en faisant craindre aux femmes et aux hommes qui participent au mouvement de lutte de subir des violences sexuelles en cas d’arrestation. » 

IRAN – Des unités blindées et des membres des forces spéciales iraniennes font route vers les régions kurdes, théâtre d’accrochages récents avec des groupes armés, a annoncé vendredi 25 novembre le commandant des forces terrestres des gardiens de la révolution.

« Ce mouvement des forces terrestres vise à renforcer les unités situées à la frontière et à empêcher l’infiltration de groupes terroristes affiliés aux groupes séparatistes opérant dans la région nord de l’Irak », a expliqué le général Mohammad Pakpour, selon l’agence iranienne Tasnim. L’officier avait « conseillé » mardi aux habitants des « zones voisines des bases des groupes terroristes de les évacuer pour ne pas être blessés lors des opérations des gardiens », l’armée idéologique de la République islamique.

ISRAËL – Le Likoud et Otzma Yehudit (Force juive) se sont mis d’accord tôt vendredi sur les postes que le parti d’extrême droite occupera dans le nouveau gouvernement. Itamar Ben Gvir occupera le poste nouvellement créé de ministre de la Sécurité nationale (un ministre de la sécurité publique élargi). Les partis ont signé une annexe à un accord de coalition (mais pas encore l’accord complet en lui-même) détaillant les postes que recevra Otzma Yehudit.

Selon le radiodiffuseur public Kan, l’accord prévoit également la création d’une garde nationale à grande échelle et l’extension de la mobilisation des troupes de réserve dans la police des frontières.

Selon Channel 12 news, les parties ont convenu de diviser l’actuel ministère du développement de la périphérie, du Néguev et de la Galilée, suite à l’insistance du parti Shas pour détenir le portefeuille de la périphérie – villes souvent plus pauvres, habitées par de nombreux ultraorthodoxes. Shas recevra également le ministère de l’Intérieur ainsi que les portefeuilles de la Santé et de la Protection sociale.

Outre le ministère de la sécurité nationale, le parti détiendra également le portefeuille modifié du ministère du Développement du Néguev, de la Galilée, celui du Patrimoine, la fonction de vice-ministre de l’Économie, la présidence du comité de sécurité publique de la Knesset, ainsi que la présidence tournante du comité spécial pour le fonds des citoyens israéliens (qui supervise les recettes publiques provenant du forage gazier). Les négociations avec le Sionisme religieux de Bezalel Smotrich sont toujours au point mort.

SOUDAN – Le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a confirmé qu’au moins treize personnes ont été tuées et près de 5 600 déplacées par les récents combats entre deux factions rebelles dans l’État occidental du Darfour central, au Soudan.

L’agence a indiqué sur son site Internet que les combats entre les factions de l’Armée de libération du Soudan-Abdel Wahid (SLA-AW) ont éclaté le 19 novembre dans la ville de Shamal Yamal Marra et se sont étendus aux zones voisines.

Elle a noté que « les dirigeants communautaires indiquent que treize personnes ont été tuées, quatre blessées, douze sont portées disparues et six ont été enlevées », tandis que quelque 32 000 personnes « ont perdu l’accès à leurs fermes et à leurs champs en raison de l’insécurité, et que certaines fermes ont été incendiées ».

« Environ 5 600 personnes ont fui leur domicile et se sont réfugiées dans les camps de déplacés qui accueillent déjà quelque 16 000 personnes.

« La situation reste tendue et imprévisible et des rapports indiquent que les deux parties mobilisent leurs forces pour un nouveau conflit », a déclaré l’agence, avant de confirmer que « des forces de sécurité ont été déployées dans les zones touchées, qui sont désormais inaccessibles aux travailleurs humanitaires en raison de l’insécurité ».   

ETHIOPIE – Une délégation de militants d’Amnesty International a remis ce vendredi plus de 15.000 signatures à l’ambassade d’Éthiopie située à Bruxelles. Les activistes ont voulu dénoncer les violences sexuelles envers les femmes dans la région éthiopienne du Tigré.

Les violences sexuelles et les passages à tabac subis par les femmes dans le Tigré sont trop souvent oubliés et ignorés, déplore Amnesty International. Par cette action, l’ONG veut demander la fin de ces graves violations aux droits de l’Homme.

“En cette journée internationale contre les violences faites aux femmes, nous appelons les autorités éthiopiennes à cesser immédiatement ces crimes intolérables et à tout mettre en œuvre pour que justice soit rendue aux survivantes du Tigré“, a déclaré Philippe Hensmans, directeur francophone d’Amnesty International Belgique.

Au début du mois de novembre, les rebelles et le gouvernement éthiopien ont signé un cessez-le-feu pour mettre fin à deux années de violences dans le nord du pays. Cependant, Amnesty International continue de militer pour qu’une aide d’urgence soit mise en place au Tigré.

SOMALIE – Le ministère somalien de l’Information a annoncé, ce vendredi, que 15 éléments du mouvement al-Shebab avaient été tués lors d’une opération de l’armée dans le sud du pays.

Le ministère a déclaré dans un communiqué qu’ »Une opération militaire a été menée par des unités de l’armée en coopération avec les services de renseignement somaliens et des alliés internationaux, dans le village de Bulo Madino, dans la région du Bas-Shabelle ».

« L’opération a fait 15 morts parmi les éléments d’al-Shebab et détruit l’équipement militaire dont disposaient les terroristes », a ajouté la même source.

Des unités de l’armée somalienne ont mené une opération similaire, dans la journée du mercredi dernier, dans le village de Bulo Madino, au cours de laquelle 49 éléments d’al-Shebab avaient été tués.

OUGANDA – Les autorités ougandaises observent une « tendance à la baisse du nombre de cas » d’Ebola, particulièrement dans le centre du pays où la maladie est réapparue il y a deux mois et dans la capitale Kampala, a déclaré la ministre de la Santé.

« Nous faisons de bons progrès et nous commençons à voir des résultats, en particulier à l’épicentre (dans les districts) de Mubende et Kassanda. Avec des déplacements restreints et l’accent mis sur la communication des risques dans les communautés (…), nous constatons une tendance à la baisse du nombre de cas », a déclaré Jane Ruth Aceng en marge d’une conférence sur la santé dans la capitale.  « Nous ne voyons pas non plus de cas à Kampala, dans la métropole du Grand Kampala, et nous n’avons pas non plus vu de cas à Masaka et Jinja. (…) Nous progressons et c’est un progrès admirable », a-t-elle souligné.

KENYA – Le gouvernement du Kenya demande instamment à l’athlétisme mondial de ne pas bannir le pays de ce sport, promettant d’intensifier sa lutte contre l’utilisation de substances interdites après qu’une série de ses athlètes aient été suspendus pour dopage.

Le pays d’Afrique de l’Est est mondialement connu pour ses coureurs de demi-fond et de fond, qui ont remporté de nombreuses médailles d’or aux Jeux olympiques et aux championnats du monde et ont réalisé des temps records aux marathons.

Après avoir fait face à des accusations d’utilisation généralisée de médicaments améliorant les performances pendant plusieurs années, la puissance de l’athlétisme a récemment été secouée par un nombre croissant de ses coureurs testés positifs.

Une interdiction laisserait ses athlètes dans l’incapacité de concourir au niveau mondial et nuirait gravement à la réputation du pays dans ce sport.

« Nous ne laisserons pas des individus sans éthique ruiner la réputation du Kenya par le dopage », a déclaré vendredi sur Twitter le ministre kényan des sports, Ababu Namwamba. « Nous devons vaincre le dopage et ses auteurs ».

Cinquante-cinq athlètes kenyans sont actuellement interdits et huit provisoirement suspendus, selon l’Unité d’intégrité de l’athlétisme (AIU), un organisme indépendant formé par World Athletics pour lutter contre le dopage dans le sport.

Le Kenya est un pays de « catégorie A » selon les règles antidopage de l’athlétisme mondial, ce qui signifie que ses athlètes doivent subir au moins trois contrôles d’urine et de sang sans préavis, hors compétition, avant les grands événements.

Il existe actuellement sept pays de catégorie A, dont le Belarus, l’Éthiopie et l’Ukraine.

RDC –  Après l’annonce à Luanda d’un cessez-le-feu, ce mercredi 25 novembre, et d’un retrait des rebelles du M23 des zones qu’ils occupent dans l’est de la République démocratique du Congo, l’espoir d’une issue rapide au conflit était mince.

« Le M23 a pris connaissance de ce document [l’accord, ndlr] sur les réseaux sociaux… Il n’y avait personne [nous représentant] dans ce sommet donc ça ne nous concerne pas vraiment », a déclaré Lawrence Kanyuka, porte-parole politique du Mouvement du 23 mars. « Normalement, quand il y a un cessez-le-feu, c’est entre les deux parties en guerre », a-t-il ajouté.

Un mini-sommet organisé le 23 novembre dans la capitale angolaise a réuni notamment le président congolais Félix Tshisekedi et, en l’absence du président rwandais Paul Kagame, son ministre des Affaires étrangères Vincent Biruta.

Le porte-parole du M23 a affirmé que le mouvement était « toujours prêt à un dialogue direct avec le gouvernement congolais pour résoudre les causes profondes » du conflit ». Il n’en est pas question, a répondu Christophe Lutundula, rappelant qu’il était exclu de négocier avec des « terroristes »

MADAGASCAR – Pour trouver une alternative à la déforestation massive, plusieurs sociétés planchent depuis des années sur la fabrication de combustibles plus écologiques et plus durables que le charbon. C’est le cas d’une entreprise japonaise qui tente de s’implanter sur le marché malgache en proposant une machine de fabrication de combustible solide à base de balles de riz (écorces des grains de riz).

Pour l’instant, c’est un prototype qui a été présenté cette semaine au grand public. Il nécessite encore quelques ajustements avant une éventuelle commercialisation. Si cela revient moins cher que le bois,  la machine coûte cher, environ 70 millions d’ariarys ( près de 16 000 euros). Et les pièces de rechange mettent six mois à arriver sur l’île.

Plus de 90% de la population utilise le bois comme principale source d’énergie pour la cuisson et le chauffage. Résultat, Madagascar a perdu quasiment 50% de ses forêts naturelles depuis les années 50.

COMORES – Les procureurs des Comores ont requis jeudi une peine de prison à vie contre l’ancien président Ahmed Abdallah Sambi, jugé par contumace pour haute trahison.

« Il a trahi la mission qui lui a été confiée par les Comoriens », a martelé le procureur Ali Mohamed Djounaid. D’un ton solennel dans son imposante robe rouge, il a réclamé la réclusion à perpétuité à la Cour de sûreté de l’Etat, juridiction spéciale dont les décisions ne peuvent pas faire l’objet d’appel.

Principal opposant de l’actuel président Azali Assoumani, M. Sambi, 64 ans, est accusé d’être impliqué dans le scandale de la « citoyenneté économique ». L’ancien président (2006-2011) avait fait voter en 2008 une loi permettant de vendre au prix fort des passeports à ceux en quête d’une nationalité.

Un moyen de renflouer les caisses de l’Etat en offrant une terre d’accueil administrative, notamment aux dizaines de milliers de « bidouns », bédouins des pays du Golfe considérés comme des citoyens de seconde zone dans leur patrie et privés de documents d’identité.

L’ancien chef d’Etat est accusé d’avoir détourné une fortune dans le cadre de ce programme. Le préjudice pour le gouvernement s’élève à plus d’1,8 milliard d’euros, selon le procureur, soit plus que le PIB du petit archipel pauvre dans l’océan Indien.

« Ils ont donné à des voyous le droit de vendre la nationalité comorienne comme on vendrait des cacahuètes », a fustigé un avocat de la partie civile, Me Éric Emmanuel Sossa.

Mais selon l’avocat français de la défense à l’AFP, Me Jean-Gilles Halimi, « aucune trace de cet argent n’a été démontré, aucun compte découvert ».

M. Sambi, en préventive depuis plus de quatre ans, bien plus que la durée légale fixée à huit mois, était à l’origine poursuivi pour corruption. Les faits ont été requalifiés en haute trahison, crime qui selon Me Halimi « n’existe pas en droit comorien ».

CITES – Les délégués de plus de 180 pays et experts à la COP-19 de la Convention sur le commerce international d’espèces menacées (CITES), réunis à Panama, ont décidé de maintenir l’interdiction totale du commerce de cornes de rhinocéros blancs (Ceratotherium simum simum).

La proposition du Eswatini (ex-Swaziland), parrainée par le Botswana et la Namibie, d’assouplir le commerce de cornes de ses rhinocéros pour dégager des ressources afin de financer la protection de l’espèce a été rejetée lundi par 85 voix contre 15 et 26 abstentions en dépit du soutien du Japon et de plusieurs pays africains. D’autres pays africains, l’Union européenne, Israël et le Panama avaient auparavant appelé à rejeter tout aménagement.

De même, les délégués ont refusé d’autoriser la reprise du commerce de l’ivoire, même régulé, à la satisfaction de l’ONG Fonds international pour le bien-être animal (IFAW).

Le « commerce légal d’ivoire ouvre des opportunités pour les trafiquants d’ivoire d’éléphants chassés par des braconniers », fait valoir le vice-président de l’IFAW, Matthew Collis.

AFRIQUE DU SUD – À quelques jours de la Journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre, l’Afrique du Sud compte encore 13,7% de séropositifs. L’un des taux les plus élevés au monde. Mais plus de 5,4 millions, sur un total estimé à 8,2 millions de personnes infectées, prennent des antirétroviraux, soit l’un des plus importants programmes de traitement du VIH au monde, qui a permis de réduire spectaculairement la mortalité.

«Le nombre d’enfants orphelins du sida a diminué» en conséquence, rappelle Agnes Mokoto, qui dirige au Cap un programme dédié au sein de l’ONG Networking HIV. Ils sont passés de 1,9 million en 2009 à 960 000 en 2021, selon l’ONUSIDA. L’écart dans la pyramide des âges dû à l’épidémie a créé une génération perdue, notamment de jeunes parents.

Plus de 330 000 vies ont ainsi été perdues, liées aux erreurs de gestion de Thabo Mbeki et de sa ministre de la Santé surnommée «Dr Betterave» car elle recommandait des décoctions avec du citron comme remède, affirme une étude de l’université Harvard.

Malgré les progrès, le gouvernement sud-africain «reste préoccupé par les taux élevés d’infection», surtout «chez les adolescentes et jeunes femmes», a récemment souligné le vice-président David Mabuza. Les relations sexuelles transactionnelles avec des hommes plus âgés, appelés «sugar daddies» ou «blessers», sont largement responsables de cette propagation, alimentée par un chômage très élevé (33,9%).

Et la stigmatisation de ces femmes empêche souvent «une prise en charge sanitaire satisfaisante», affirme Sibongile Tshabalala, présidente de Treatment Action Campaign, évoquant des infirmières culpabilisant celles qui demandent des préservatifs ou veulent se faire tester.

CENTRAFRIQUE – Un Casque bleu marocain a été tué jeudi dans une attaque dans le sud-est de la Centrafrique, pays en proie à une guerre civile depuis 2013, a annoncé ce vendredi l’ONU, qui n’a pas identifié les assaillants.

« Un casque bleu du contingent marocain (…) est décédé suite à une attaque survenue jeudi matin à l’aérodrome d’Obo alors qu’il sécurisait, avec d’autres éléments de son contingent, le périmètre d’un aérodrome pour un atterrissage », a précisé dans un communiqué la Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca), qui a déployé une force de maintien de la paix depuis 2014, avec un effectif de plus de 14.000 militaires aujourd’hui.

La Minusca précise qu’une enquête a été ouverte pour déterminer les « circonstances exactes » de cette attaque et a rappelé que « toute atteinte à la vie d’un soldat de la paix peut être considéré comme un crime de guerre ».

Les derniers Casques bleus tombés en Centrafrique étaient trois militaires bangladais tué le 4 octobre dans l’explosion d’un engin au passage de leur véhicule dans le nord-ouest.

Une énième guerre civile a éclaté en Centrafrique en 2013 quand une rébellion dominée par les musulmans, la Séléka, a renversé le président François Bozizé, et que le camp du chef de l’Etat déchu a lancé en représailles des milices d’autodéfense à majorité chrétienne et animiste, les anti-balakas.

À l’appel du président Faustin Archange Touadéra, la Russie a déployé des centaines de paramilitaires du groupe de sécurité privé Wagner qui ont permis de repousser les groupes armés de la plupart des territoires qu’ils occupaient.

La présence et l’autorité de l’État n’ont toutefois pu être réinstallées partout et durablement.

SAO TOME – Une tentative de coup d’Etat a échoué dans la nuit de jeudi à vendredi à Sao Tomé-et-Principe, petit pays insulaire du golfe de Guinée considéré comme un modèle de démocratie parlementaire en Afrique, a annoncé le Premier ministre Patrice Trovoada.

Quatre hommes, dont l’ancien président de l’Assemblée nationale sortante Delfim Neves et un ex-mercenaire déjà auteur d’une tentative de putsch en 2009, qui ont été arrêtés, ont tenté d’attaquer le quartier général de l’armée, a précisé M. Trovoada dans une vidéo authentifiée et envoyée à l’AFP à Libreville par la ministre de la Justice Ilsa Maria dos Santos Amado Vaz.

Le chef du gouvernement, qui apparaît assis à un bureau, les traits fatigués, en tee-shirt sous un vêtement de pluie, a tenu à « rassurer » la population et « la communauté internationale ».

« Il y a eu une tentative de coup d’Etat qui a débuté autour de 00H40 et (…) s’est terminée peu après 6 heures du matin », a-t-il poursuivi, ajoutant: « Les forces armées ont subi une attaque dans une caserne ».

Une habitante contactée par téléphone par l’AFP a raconté sous couvert de l’anonymat qu’elle avait entendu des « tirs d’armes automatiques et d’armes plus lourdes, ainsi que des détonations, deux heures durant à l’intérieur du QG de l’armée » dans la capitale Sao Tomé.

AZERBAÏDJAN – L’Azerbaïdjan a annoncé vendredi avoir annulé des pourparlers de paix prévus à Bruxelles avec l’Arménie parce qu’Erevan insistait pour que le président français Emmanuel Macron y assiste.

Les relations entre ces deux pays voisins du Caucase sont empoisonnées depuis plus de 30 ans par des disputes territoriales ayant mené à deux guerres, aux lourds bilans de dizaines de milliers de morts, dans lesquelles Bakou accuse Paris de manquer de neutralité en soutenant Erevan.

Des pourparlers de paix ont lieu depuis plusieurs mois entre le président azerbaïdjanais Ilham Aliev et le Premier ministre arménien Nikol Pachinian, dont la prochaine rencontre était prévue le 7 décembre à Bruxelles.

M. Pachinian « a accepté cette réunion à condition que le président français Macron soit présent », a déclaré vendredi M. Aliev lors d’une conférence internationale à Bakou. « Cela veut dire que la rencontre n’aura pas lieu », a-t-il ajouté.

Moscou, qui considère le Caucase comme son pré carré, voit d’un mauvais œil la médiation européenne, soupçonnant les Occidentaux de vouloir la concurrencer alors qu’elle est accaparée par son invasion de l’Ukraine.

Interrogé vendredi par la presse sur l’annulation de la rencontre à Bruxelles par M. Aliev, le Kremlin a indiqué que la Russie était prête à accueillir les pourparlers entre Bakou et Erevan.

Des affrontements ont régulièrement lieu à la frontière entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan. En septembre, des combats entre les deux pays ont ainsi fait 286 morts dans les deux camps et réveillé la crainte d’une guerre de grande ampleur, comme celle qui a fait plus de 6.500 tués en 2020.

GUINEE – Les principaux partis guinéens ont boycotté jeudi 24 novembre l’ouverture d’un dialogue avec les autorités dominées par les militaires sur les conditions d’un retour des civils au pouvoir, a constaté un correspondant de l’AFP à Conakry.

Ce dialogue initié par la junte est supposé associer le plus grand nombre à la conduite de la période dite de transition au cours de laquelle doit se préparer le retour des civils à la tête du pays. Mais il s’ouvre dans un climat de forte défiance après des mois de répression de toute dissidence.

La Guinée est dirigée par une junte qui a pris le pouvoir par la force le 5 septembre 2021 à la faveur d’un des différents putsch qu’a connus l’Afrique de l’Ouest depuis deux ans. Les militaires se sont engagés à céder la place à des civils élus au terme d’une période au cours de laquelle ils disent vouloir mener de profondes réformes.

Les militaires conduits par le colonel Mamady Doumbouya viennent de consentir sous la pression de l’organisation des Etats ouest-africains Cédéao à limiter cette période transitoire à deux ans à partir de janvier 2023.

Le gouvernement installé par la junte a lancé jeudi « le cadre de dialogue inter-guinéen ». Les participants, une mosaïque de petits partis et d’organisations de la société civile, doivent discuter jusqu’au 15 décembre de l’organisation des élections, de l’élaboration d’une nouvelle Constitution et du référendum auquel elle donnerait lieu, ou encore du recensement préalable de la population.

ROYAUME-UNI – Le Royaume-Uni a enregistré une immigration nette record, estimée à un demi-million de personnes, principalement issue de populations hors Union européenne, dans un contexte post-pandémie marqué par la guerre en Ukraine.

Selon les estimations de l’Office national des statistiques britannique (ONS) publiés jeudi, le Royaume-Uni a enregistré une immigration nette de 504.000 personnes entre juin 2021 et juin 2022. Ce chiffre a augmenté de 331.000 personnes par rapport à l’année précédente.

« Une série d’événements dans le monde ont affecté les modèles de migrations », « pris ensemble, ils sont sans précédent », a souligné Jay Lindop, directrice du centre des migrations internationales à l’ONS.

Des éléments comme le fait qu’il s’agisse de la première période pleine depuis la sortie de l’UE, la guerre en Ukraine, l’accueil de ressortissants afghans ou de titulaires de passeports d’outre-mer fuyant Hong Kong ont « tous contribué aux niveaux record d’immigration de long-terme que nous avons vus », a-t-elle ajouté.

L’augmentation des arrivées en provenance de pays hors-UE, en particulier d’étudiants après la levée des restrictions de voyage après la pandémie de Covid-19, ou encore l’arrivée de réfugiés ukrainiens sont autant de « facteurs indépendants les uns des autres » qui font qu’il est « trop tôt pour dire si ce tableau se maintiendra », a-t-elle ajouté.

Dans le détail, 39% des immigrants sont arrivés avec un visa étudiant, 21% avec un visa de travail.

En plus des chiffres sur l’immigration légale, l’ONS estime que 35.000 personnes ont traversé illégalement la Manche sur la période.

Sous pression face à cette délicate question, la très à droite ministre de l’Intérieur Suella Braverman a admis mercredi que le gouvernement britannique a « échoué à contrôler les frontières ».

Ces chiffres risquent d’alimenter le débat déjà vif sur l’immigration dans le pays, alors que la maîtrise des flux migratoires était l’une des grandes promesses du Brexit.

ROYAUME-UNI – Dans un contexte social tendu, les infirmières britanniques vont se mettre en grève les 15 et 20 décembre, a annoncé le syndicat Royal College of Nurses (RCN) vendredi 25 novembre.

« Les gens sont de plus en plus irrités par les mesures cosmétiques annoncées par les employeurs et le gouvernement », a précisé Pat Cullen, la secrétaire générale du syndicat. Ces deux journées de mobilisation, votées après « le rejet de négociations de la part du gouvernement », seront une première en 106 ans d’existence du syndicat.

Selon des estimations, le salaire réel des infirmières a chuté de 20% depuis 2010. L’actuelle crise du coût de la vie, avec une inflation supérieure à 11%, est notamment en cause. 

Le salaire annuel d’une infirmière débutante est de 27 000 livres brut (environ 31 400 euros). Mais pour le ministre de la Santé britannique, Steve Barclay, « c’est une période difficile pour tout le monde ». Le gouvernement affirme ne pouvoir répondre aux demandes « inabordables » du RCN, qui « représentent une augmentation salariale de 19,2% ». 

Cette grève intervient alors que le système de santé public (NHS), sous-financé depuis des années, est plongé dans une grave crise. Le gouvernement a annoncé une augmentation du budget du NHS de 3,3 milliards de livres l’an prochain et l’année suivante.

Selon le RCN, en Angleterre, environ 47 000 postes d’infirmières ne sont pas pourvus. L’an dernier, quelque 25 000 infirmières ou sage-femmes qui travaillaient dans le public ont claqué la porte. Plus de 7 millions de personnes attendent de recevoir un traitement dans les hôpitaux anglais, un niveau jamais atteint auparavant.

HONGRIE-UE – La Commission européenne reste ferme à l’égard du Premier ministre hongrois Viktor Orban. Elle insiste sur une coupe de 20% des fonds européens accordés à Budapest pour les sept prochaines années, soit 7,5 milliards d’euros.

L’institution juge que les 17 mesures proposées par la Hongrie pour lutter contre la corruption sont insuffisantes et que les autorités doivent faire plus pour débloquer la totalité de l’enveloppe.

Le Parlement européen est sur la même longueur d’onde. Les eurodéputés ont approuvé jeudi une résolution qui demande à l’UE de ne pas verser l’argent sans véritable changement.

Le gouvernement de Viktor Orban est pointé du doigt depuis plusieurs années pour le recul démocratique du pays et pour une corruption systémique. Pour la première fois de son histoire, l’UE a d’ailleurs déclenché au printemps dernier le nouveau mécanisme sur l’Etat de droit. Cet outil permet la suspension des fonds européens en cas de menace sérieuse à l’encontre des valeurs européennes.

Budapest estime avoir fait sa part du travail avec l’adoption de nouvelles mesures anti-corruption et une réforme des appels d’offres publics.

La Hongrie fait face à une inflation record, un déficit public important et sa monnaie s’affaiblit. L’économie hongroise dépend donc des fonds européens. Les Etats membres se prononceront au début du mois prochain sur cette suspension et sur le plan de relance hongrois.

FRANCE – Emmanuel Macron a estimé vendredi que le retour à l’hôpital du personnel de santé non vacciné contre le Covid-19 devait être une décision « scientifiquement établie », « pas un choix politique ».

« Si les scientifiques (…) nous disent que c’est souhaitable d’un point de vue scientifique de réintégrer ces soignants, il faut que le gouvernement le fasse », a déclaré le chef de l’Etat lors d’un déplacement à Dijon.

« Ce n’est pas un choix politique », a-t-il ajouté, tançant « des soignants qui considèrent que cela n’est pas un devoir déontologique de se vacciner ».

Jeudi, une proposition de loi des députés LFI visant la réintégration du personnel de santé non vacciné n’a pas pu être votée à l’Assemblée, l’opposition fustigeant les « manœuvres » du camp présidentiel pour ralentir les débats.

« Tu vas la fermer! », a notamment lancé dans l’hémicycle, excédé, le député de Guadeloupe Olivier Serva (groupe LIOT) à l’adresse de députés Renaissance qui l’interpellaient pendant son intervention, provoquant une suspension de séance.

La question fait polémique depuis que l’obligation vaccinale du personnel de santé a été mise en place en septembre 2021.

Le ministre chargé des relations avec le Parlement Franck Riester a critiqué la proposition de loi LFI, un texte « grave », selon lui.

« Au moment où la circulation du virus repart à la hausse, où il y a une épidémie de bronchiolite et la grippe, c’est grave de réintégrer des personnels non vaccinés », a-t-il estimé sur France Inter.

Les partisans d’une réintégration font valoir que les vaccins anti-Covid ont perdu beaucoup de leur efficacité contre la transmission de la maladie, bien qu’ils restent protecteurs sur le plan individuel contre les formes graves.

Ils jugent aussi aberrant d’empêcher des soignants d’exercer leur activité dans un contexte de manque de personnel, bien que la proportion de personnes suspendue soit extrêmement minoritaire dans les hôpitaux.

MACRON – En déplacement à Dijon ce vendredi 25 novembre, Emmanuel Macron a jugé « normal » que la justice fasse son travail sur « l’affaire McKinsey », qui s’élargit désormais à ses campagnes électorales de 2017 et 2022, tout en soulignant qu’il n’était pas « au cœur » des enquêtes.

Le chef de l’Etat était interrogé par des journalistes en marge d’un déplacement en Côte-d’Or à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.

« C’est normal que la justice fasse son travail, elle le fait librement », a-t-il déclaré, précisant avoir « appris (…) par la presse » les enquêtes du parquet national financier (PNF). « C’est une très bonne chose que toute la lumière soit faite et que la transparence soit faite », a-t-il ajouté.

Avant de préciser : « Je crois que le cœur de l’enquête n’est pas votre serviteur. » La présidence de la République a estimé jeudi qu’il appartenait à la justice de conduire ces investigations « en toute indépendance. »

Le parquet national financier (PNF) a annoncé jeudi avoir confié à des juges d’instruction, fin octobre, deux enquêtes sur l’intervention des cabinets de conseil dans les campagnes électorales de 2017 et 2022. L’une porte sur des soupçons de « tenue non conforme de comptes de campagne et minoration d’éléments comptables dans un compte de campagne », l’autre vise « des chefs de favoritisme et recel de favoritisme. » En clair, la justice cherche à savoir si des cabinets de conseil n’auraient pas indûment participé au financement des campagnes du candidat Macron, avant de bénéficier en retour de juteux contrats publics.

FRANCE – Après une baisse à 79 points cet été, l’indicateur était remonté à 82 en octobre et atteint 83 points ce mois-ci. Cette amélioration continue du moral des ménages est notamment due à leur confiance dans leur capacité d’épargne.

Le moral des ménages s’est très légèrement amélioré en novembre en France, mais reste largement en dessous de sa moyenne de longue période, selon des données publiées vendredi par l’Insee. L’indicateur progresse d’un point par rapport à octobre pour s’établir à 83, soit 17 points en dessous de son niveau moyen entre 1987 et 2021, qui était de 100.

Selon l’Institut national de la statistique, les ménages sont plus optimistes que le mois précédent quant à leur situation financière et leur capacité à épargner. Sur un mois, « le solde d’opinion relatif à la capacité d’épargne future gagne cinq points et celui sur la capacité d’épargne actuelle en gagne trois », souligne l’Insee, ajoutant que « ces deux soldes se situent au-dessus de leur moyenne de longue période ».

Les ménages sont un peu plus nombreux qu’en octobre à considérer que le niveau de vie en France va s’améliorer au cours des 12 prochains mois (+4 points). Sur une note plus négative, les craintes liées au chômage se renforcent de quatre points également.

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