Le bureau politique du Hamas envisage de quitter son siège au Qatar, alors que les États-Unis accentuent la pression sur l’émirat pour obtenir un accord sur un échange de prisonniers et un cessez-le-feu.
Selon des sources arabes de haut rang, les dirigeants de l’organisation palestinienne ont approché ces derniers jours au moins deux pays, dont Oman, pour étudier la possibilité d’y installer leur base. Ces mêmes sources soulignent qu’au sein du Hamas, on craint que les négociations pour la libération des prisonniers, qui pourraient s’étendre sur plusieurs mois, ne mettent en péril les relations avec le Qatar et la présence de la direction politique à Doha.