Le personnel ouvrier, travaillant pour une société de services au profit de la TAV, gestionnaire des aéroports d’Enfidha et Monastir, ferment pour la 2ème Journée consécutive, l’entrée et la sortie de la ville d’Enfidha à partir de la Nationale Une. La Garde nationale a été obligée de réorienter la circulation vers des routes alternatives.
Les sit-inneurs réclament leurs salaires de Février, ainsi que des primes encore à la charge de ladite société. Ils ont brûlé des pneus et bloqué la route par des blocs de pierre.