La Tunisie condamne l’assassinat de la journaliste palestinienne, Sherine Abu Akleh, alors qu’elle assurait la couverture d’une incursion à Jénine.
La Tunisie dénonce, dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères, « ce crime qui traduit de nouveau, l’obstination de la force d’occupation dans la politique de meurtre méthodique, de violation du droit humanitaire international, et de la liberté de presse, au mépris de tous les usages, lois et traités internationaux ».
La Tunisie appelle la communauté internationale « à assumer sa responsabilité éthique et juridique, pour mettre un terme aux violations israéliennes, et à la politique d’impunité, dans laquelle les forces d’occupation n’ont eu de cesse de se réfugier tout au long de 74 ans d’occupation ».
La protection des journalistes dans les zones de conflit est une responsabilité internationale, et l’on ne peut continuer à traiter, de quelque manière que ce soit, avec les affaires internationales en lien avec l’agression, l’occupation et les violations du droit international avec sélectivité et critères variables, conclut la même source.