Un haut responsable du Hamas a fait part à l’AFP, ce dimanche, de la décision du mouvement d’arrêter les négociations en vue d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, dénonçant le « manque de sérieux » et les « massacres » israéliens.
Dans le même temps, un autre haut responsable du mouvement islamiste palestinien a indiqué, à l’AFP, que le chef de sa branche armée, Mohammed Deif, visé par une frappe israélienne samedi, était en vie.
« Le chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a informé, lors d’une série d’appels, les médiateurs et des intervenants régionaux de la décision du Hamas d’arrêter les négociations en raison du manque de sérieux de l’occupation (Israël, NDLR), de la politique de procrastination et d’obstruction et des massacres contre des civils non-armés », a indiqué le premier haut responsable du mouvement à l’AFP, sous couvert d’anonymat.
Ismaïl Haniyeh a accusé le Premier ministre israélien de chercher à bloquer un cessez-le-feu dans la bande de Gaza par des « massacres odieux » perpétrés par les forces israéliennes, selon un communiqué du mouvement islamiste.
Israël a dit avoir visé dans « une zone clôturée gérée par le Hamas » dans ce secteur du sud de Gaza Mohammed Deif, chef des brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas, et Rafa Salama, commandant de la brigade du Hamas de Khan Younès, présentés comme « deux cerveaux du massacre du 7 octobre ».
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou avait déclaré, samedi soir, n’avoir « aucune certitude qu’ils aient été éliminés l’un et l’autre ».
« Le commandant Mohammed Deif va bien et supervise directement les opérations des brigades al-Qassam et de la résistance », a affirmé, dimanche, l’autre haut responsable du mouvement islamiste palestinien à l’AFP, sous couvert d’anonymat.
Dans le même temps, un autre haut responsable du mouvement islamiste palestinien a indiqué, à l’AFP, que le chef de sa branche armée, Mohammed Deif, visé par une frappe israélienne samedi, était en vie.
« Le chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a informé, lors d’une série d’appels, les médiateurs et des intervenants régionaux de la décision du Hamas d’arrêter les négociations en raison du manque de sérieux de l’occupation (Israël, NDLR), de la politique de procrastination et d’obstruction et des massacres contre des civils non-armés », a indiqué le premier haut responsable du mouvement à l’AFP, sous couvert d’anonymat.
Ismaïl Haniyeh a accusé le Premier ministre israélien de chercher à bloquer un cessez-le-feu dans la bande de Gaza par des « massacres odieux » perpétrés par les forces israéliennes, selon un communiqué du mouvement islamiste.
Israël a dit avoir visé dans « une zone clôturée gérée par le Hamas » dans ce secteur du sud de Gaza Mohammed Deif, chef des brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas, et Rafa Salama, commandant de la brigade du Hamas de Khan Younès, présentés comme « deux cerveaux du massacre du 7 octobre ».
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou avait déclaré, samedi soir, n’avoir « aucune certitude qu’ils aient été éliminés l’un et l’autre ».
« Le commandant Mohammed Deif va bien et supervise directement les opérations des brigades al-Qassam et de la résistance », a affirmé, dimanche, l’autre haut responsable du mouvement islamiste palestinien à l’AFP, sous couvert d’anonymat.