Il se confirme, de plus en plus, qu’un nouveau programme de réajustement sera conclu, incessamment sous peu, avec le Fonds Monétaire International (FMI), pour espérer redresser la barre de l’économie nationale et équilibrer les finances publiques.
Le FMI table sur deux axes de réformes. D’une part, des ressources plus transparentes et des dépenses plus efficaces. D’autre part et en urgence absolue, l’avenir des entreprises publiques et des caisses sociales. Ce programme est prévu de fin 2021 à 2025 et a pour objectif de ramener l’endettement public à 85 % du PIB et la masse salariale globale à 14,5 % du PIB, alors qu’elle est maintenant à 17,5 %.
Des objectifs ambitieux que nos gouvernants sont appelés à réaliser s’ils veulent sauver le pays, mode FMI. Et même si ce n’est pas la meilleure recette, ils n’ont jusque-là, rien proposé de concret, pour espérer s’y dérober.